:s Etudiants Ila ïioloin Le Eolcttevisi en Aussi

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28 e Année - M 0 9.505
LUNDI 27 JANVIER 1919
de Tùvronxf
I G cent.
ORGANE DE D3F3NS3 SOCIALE ET RELIGIEUSE
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DIREOHDN, 25, ruo Roquelaine
NOTE-EXPRESS
par f\i spécial
"H
LES
ii'lijvitatioi) déciii)
:s Etudiants I la ïioloin Le Eolcttevisi en Aussi
JOLI
UNE
TÊféres et déjà
LE PÉRIL DE L'AIR
U est rossible de répondre
taicnt a i esuruu M
lié pour le 15 février
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Princ - « .
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1» Parce qu 'une telle conférence ne saurait
amener l'apaisement en Russie ;
2° Parce que seules des compétitions territoriales pourraient être utilement résolues a
Vile Prinkipo, alors que les différends quf divisent les Russes ne sont pas des différends
territoriaux.
Ces anarchistes
ne
manquent pas de logique.
'On ne peut avouer plus explicitement que le
aroblùme russe n'est autre chose que la lutte
rie l'ordre contre le désordre.
.
Rien n'est jilus évident ; et vouloir concilier
cette antinomie ne veut sortir du domaine du
têve.
•
y a-t-il d'autre part. QUCIQUC chance de voir
mroclamer la trêve désirée par le président
H/l'Uson et dont il lait la condition nécessaire
la réunion de' l'extraordinaire conférence
gxCil a iiwjinèe ? Pus davantage.
a La proposition d'une cessation des hostiliïês qui ne fut point faite durant la période où
nous éprouvions des difficultés sérieuses, est
mise en avant, proclame Tehilcherinc. au moment même où. les forces de la réaction fléchissent de plus en plus. »
Donc pas
soit écrasé.
de
trêve
avant, que
l'adversaire
Mais c'est exactement
ce
que
pensent
MM Sazonoff et le vrihec Lvoff. qui ne voient
pas de solution en dehors de l'écrasement des
hommes qui. après avoir livré la Russie aux
'Allemands à Brest-Litovsk. y ont répandu la
terreur et l'anarchie.
Notre excellent ami M. Pierre d'Welles pubiie dans l'Action Française ce très intéressant article gue nous croyons devoir reproduire in extenso :
ocemièie
7,
MANIFESTATION
A LA SORtëONNE
La guerre... mats ils la préparent déjà. —
nous aussi, nous aurons notre revanche. —
Nous reviendrons dans dix ans. quinze ans ;
La prochaine guerre se gagnera dans les airs.
Oui vicmlra à Î7ie des Princes
'Anvarcmmenl personne.
•
r
riZce Lvoft et M. Sazonott. qui reprèParia lès deux gouvernements de
toura cl
CaTcaT (amiral KoHchak) et
d'Ekatcrrnadar (général Dcnikinc), ont âè^tlorrnAUment qu'Us n'iraient Va*, car*
Test Pas possible de concilier la civilisation
'et f anarchie.
Or voici <tue- de son côté le gouvernement
lolciieviste paraît peu désireux
d'être
au
voyage :
BELLE
La
whrase est du maréchal Foch ;
il l'a "prononcée à l'Académie des Sciences où
son avis sur la possibilité
d'une
nouvelle
guerre avec l'Allemagne lui était demandé. La
seconde a été recueillie pendant les jours qui
ont suivi l'armistice, sur les lèvres mêmes des
soldats et des indésirables 'germains quittant
l'Alsace-Lorraine : ils l'appellent : unser verlorenes Land. La troisième, enfin, proférée
ipar d'influents personnages d'outre-Hhin, a
été pubiée dans las journaux, jointe à des
considérations sur l'avenir de l'air et .lanéces.
sitô du développement des constructions aériennes.
Ces (propos méritent réflexion : ils deviennent, menaçants, si nous tenons compte de
l'expérience, acquise si durement, de l'esprit
allemand, de l'état actuel de la navigation
aérienne, des .facilités
dans
l'avenir d'une
agression par la voie de l'air.
Pendant longtemps, nous avons identifié
l'Allemagne et l'ordre ; ipar suite, le long de
ces quatre années de guerre, nous nous sommes étonnés de trouver associés l'ordre et la
barbarie. M. Ferrero. le célèlbre historien italien de Rome, a donné dans son Génie latin
la clef de l'anparente contradiction en conformité A toutes les vues de l'Action Française : l'ordre est le sens de la mesure ; la
pensée allemande, anarohkpie, les appétits
allemands, démesurés, ne connaissent ni bornes, ni limites.
Voilà -pourquoi, si le Germain est battu, il
n'est pas le moins du monde abattu : ses espoirs ont été déçus, il le reconnaît, il ne renonce pas ; il chercihera à faire mieux en
Rappliquant à la tache avec une ténacité accrue par l'aiguillon de l'échec. Sa première
victoire depuis l'armistice, il vient de la remporter en domptant la révolution • son heure
viendra, il l'espère. La terre et la mer lui sont
durement disputées : il lui reste l'air !
LA
wsm
COMPOSITION
DES
COMMISSIONS
Paris, :?G janvier,
Nous avons déjà donné les noms des délégués qui représenteront
les grandes puissances dans la commission de la Société des
Nations. Voici ceux des délégués dos quatre
autres commissions :
Responsabilités de 'a guerre : Etats-Unis :
les deux délégués n'ont pas encore été nommés ; Empire britannique, sir Gordon
Howart, attorney général : le
deuxième délégué n'est pas désigné; France : MM. Tardiou
et Larnaude ; Italie : le sénateur Scialoja, le
député Raimondo ; Japon : les deux délégués ne sont pas désignés.
Commission des réparations :
Etats-Unis :
MM. Pariiich, Davis, Mac Cormick ; Empire
britannique : MM. Hughes,
Simund, lord
Cunlisao ; France : MM. Klotz, Loucheur,
Lebrun ;
Italie
:
MM.
Salandra,
d'Amcglio, et un troisième délégué ; Japon : MM.
Mokri Magaoku, Frikin.
Législation internationale du travail : EtatsUnis : MM. Hurley, Gompers ; Empire britannique : MM. Barnes, Malcolin de Lavigne ; France : MM. Colliard. Loucheur ;
Italie : MM. Mavor, des Planches. Cabrini;
Japon : MM. Otichiau, Oka.
Régime des ports : voies fluviales et ferrées:
Etats-Unis : M. Wiiite et un deuxième délégué ; Empire britannique : M. Siston et un
deuxième
délégué ; France : MM. André
Weiss et Claveille ; Italie : MM. Crespi, di
Martino ; Japon : MM. Yyamakawa, colonel
Sato.
VIOLATÏ0NS
ET
RÉPARATIONS
Paris, 26 janvier.
Voici le texte du projet de résolution concernant les violations des lois de la guerre
en vue d'une, présentation à la Conférence
de la paix :
Paris, 2G janvier.
•Sous les auspices de l'Effort de la France
et de ses alliés, une manifestation, dite des
Etudiants de la Victoire, a eu lieu cet aprèsrtifel à la Sorbonne, en présence du président
die. la République et
sous la présidence de
M. Paul Deseiianel.
La vaste salle était absolument oomible.
M. Deseiianel a pris la parole.
Parlant de la question sociale, il a déclaré
que la France devait aiborder, sans retard, les
jurablèmes vitaux : assurance à la natalité,
assurance contre la maladie et l'Invalidité,
assurance pour là vieillesse, accession de plus
en plus large et de plus en plus facile des
travailleurs au capital, à la 'propriété et à
l'épargne, organisation des associations professionnelles, organisation du crédit, etc.
Abordant la question religieuse, il a invité
tous les Français à avoir pour leurs convictions réciproques non pas de la tolérance,
mais du respect.'
«. Si, de part et d'autre, le respect est sincère, sans arrière-pensée, nous aurons beaucoup fait déjà pour la paix sociale et pour
la grandeur du pays. »
Après avoir constaté que
la Constitution
de p.875 a duré plus longtemps que les Constitutions
antérieures
depuis la Révolution
française, qu'elle a résisté au conflit mondial,
M. Deschanel a dit :
«' Elle a des défauts : elle renvoie trop vite
les ministères ; les partis extrêmes, qui ne
sont, pas unis pour cette besogne, doivent
l'aire un examen de conscience. »
Abordant ensuite la question de l'enseignement, l'orateur a déclaré :
« Il faut que nous donnions à la France un
enseignement non chauvin, mais national.
J*' Allemagne a su organiser des universités ;
profitons des leçons, perfectionnons nos méthodes.
« Pour travailler,
il
nous faut la paix :
s'il est bien de repousser l'Invasion, il est
mieux de l'empêcher. Tant que les Allemands
tiendront
l'accès de nos routes d'invasion,
tanrt qu'ils pourront accumuler, de ce côté-cl
du, Rhin, les moyens d'agression, le monde
ne sera pas tranquille. Puis, des garanties
internationales, nos alliances doivent survivre à la guerre ; elles ne seront pas moins
fécondes pendant la paix. Ix>s trente Etats qui
ont rompu avec l'Allemagne sont le noyau
tout formé
d'une organisation nouvelle du
monde.
DE
QUARANTE
UN DÉFICIT
MILLIARDS
DE
ROUBLES
Berne, 26 janvier.
Le budget du gouvernement Wolch,«vlste
•russe pour 1919 présente un déficit de quarante milliards de roubles sans compter le
déficit spécial des Postes et Télégraphes.
LIBÉRATION
DES
OFFICIERS "FRANÇAIS
Stockholm. 26 janvier.
M. Duchesne, consul de France a Pétrograd. vient d'arriver à Helsingfors. Il annonce que tous les officiers français détenus
à Pétrograd et à Moscou sont libérés, sauf
trois dont la libération est prochaine.
Un convoi de 30 Français, des instituteurs
en majorité, est arrivé en Suède d'où il se
rendra en France.
Le Voyage à l'Ile des Princes
L'ATTITUDE
Stockholm, 26 janvier.
D'après une enquête dans les milieux bolchevistes, il résulte que le but moral poursuivi par M. Wilson, dans sa proposition d'une
Conférence russe aux îles des Princes, échappo
comiplôlement aux bolchevistes qui considèrent M. Wilson comme le représentant des
gTands trusts américains.
Deux courants se dessinent dans le gouvernement bolcheviste : les uns voudraient l'aide
économique des Alliés, comime autrefois celle
des
Allemands, à n'importe quel
prix. Us
seraient prêts à accorder de grands avantages,
notamment aux Américains.
M. Litvinofî parlait déjà dans son offre de
paix de concessions minières et les bolchevistes laissent entendre qu'ils donneraient aux
futurs concessionnaires le droit d'exterritorialité pour garantir l'ordre des entreprises.
Mais à côté de ce courant un autre plus
fort se manifeste ; il est certain que, grisés
par ce nouveau succès et cette invitation à la
Conférence, qu'ils considèrent comme la reconnaissance du gouvernement des Soviets
les bolchevistes continueront la politique des
phrases révolutionnaires et utiliseront les
séances de la Conférence pour la propagande
universelle.
Ils feront probablement les deux simultanément : savoir des offres d'affaires aux Américains et l'agitation révolutionnaire pour les
peuples occidentaux.
Gomme leur situation militaire actuelle est
mauvaise, ils sont émerveillés du répit nouveau que leur donne la Conférence ; ils redoutent que les gouvernements antiboldhevlstes refusent d'aller à la Conférence ou n'acceptent pas d'armistice qui, en effet, risquerait de démoraliser les armées sibériennes et
esthoniennes. Us ne croient nullement à là
possibilité d'une entente entre les différents
gouvernements et ne la désirent pas.
L'essentiel pour eux est do montrer au peuple qu'ils sont traités sur le pied d'é-galité
par les Alliés.
Les imaginations -bien Connues de Benson
le romancier anglais, dans Je Maître de là
« Qu'une commission
composée de deux
'
Or, les forces qui fléchissent pour le. moreprésentants pour chacune des cinq grandes
,meni en Esl 'wni.e 'ne sont pas les forces de là Terre, ne sont plus un mythe : voici que nous
puissances et de cinq représentants à élire
es touchons du doigt. Il y a quelques mois
réaction, niais les bandes que Trolskii'a cru
«• L'eff royaWe
bouleversement d'où nous
les Allemands envoyaient un zeppelin vers le
par les petites puissances soit nommée pour
devoir aller encourager de sa présence.
sortons doit être suivi d'une étape vers une
faire une enquête et un rapport sur les points
petit territoire de leur Est-Africain Allemand
Et, daulre part, l 'Ukraine vient de se joincivilisation -dus haute ; et la encore ce sera
suivants :
encore entre leurs mains : ils espéraient saudre aux groupes qui sont en guerre contre le
la gloire de la France d'avoir, la première,
« 1° Responsabilité
des
auteurs de la
ver leur commandant en chef : le plateau sur
gouverne menti des Soviets.
montré le chemin. L'avenir, n'en doutez pas,
guerre : 2° Faits
concernant les violations
lequel devait atterrir le dirigeable fut 'pris
es ià la justice. Travaillons de' toutes nos forAinsi le rendez-vous de l'Ile des Princes ap
a! ées avant son
des lois et coutumes de la guerre, commises
I
^
arrivée. Par
ces à en hâter l'avènement.
parait comme un immense coup d
par les forces de l'Empire allemand et de ses
ce
'épée
dans
reçut
"e
nouvelle
auyeau.
1 A yss nl
« Enfin — c'est mon dernier mot — pour
^Mf
e : revenant sur ses pas, ilalliés sur terre, sur mer et dans les airs, au
D î
faire tout cela, il faut vivre ; or, si nous con^ Ce sera autant de gagné pour la Conférence i ralliait la Bulgarie, son point de déioart, après
cours de la présente guerre ; 3° Degré de restinuons de restreindre volontairement notre
"de la Paix.
ponsabilité pour ces crimes, visant des memun vol sans arrêt de 7.200 kilométras II v a
natalité et de nous laisser décimer par l'albres, pris en particulier, des forces ennemies
quelques murs, dans le Malin. M de La Vanlv
Cclle-ci ,ne va donc plus se trouver en précoolisme, la tuberculose et
d'autres fléaux,
y compris des membres des états-majors gédemandait la livraison des zeppelins par l'\l
sence que de deux solutions :
dans cinquante ans l'Allemagne aura plus de
lui les
néraux et d'autres individualités si haut plaOu bien fixer d'ores et déjà les limites de
su)Per-zarwlins seSi les Alliés ne demandent pas, outre la sus120
millions
d'habitants
et
la France à
cées qu'elles 'soient ; 4' Constitution et proraient capables de couvrir en 100 heures une
la Russie
ntourer d 'un cordon sanitaire et
pension
des hostilités, la
cessation de la
Donc, sans un
cédure du tribunal approprié pour mettre en -peine 40 : un contre trois.
distance de .8.9») kilomètres, alors m^Ham
laisser la l
:sie cuire dans son jus.
63 SéParé
guerre civile, qui se traduirait par le rétablisénergique effort sur nous-mêmes, nous somjugement ces crimes ; 5° Toutes antres affaiOu vrend
mes
perdu.
sement de la liberté de parole, de réimion
des décisions en ce qui concerne
Ses
*
res analogues ou connexes aux points menle gouverni icnt de la Russie et assister, pour
et de la presse, les bolchevistes pourront uti« Vous qui êtes
les heureutx, vous devez
tionnés ci-dessus, qui pourraient apparaître
Voua donc un ouitil déjà dangereux • si
les faire c "
liser la proposition de la Conférence exclusi1
uter, certains « des groupes orgaau cours- de l'enquête
et que la commission donner l'exemple. Permettez-nous de vous ennisês qui s
vement
pour consolider leur dictature
dispulent présentement la direcrôler
dans
notre
grande
croisade,
la.
première
jugera
utile ou convenable de prendre en
tion et la < nduite de la Russie ».
iérieZ f ,?n ^° ssedera ™e puissante flotte ronsidération.
Cette dernière opinion est celle des démo»
de toutes, la croisade pour la . vie ! »
Amen™
r
commerce,
des
Lutt-Haraburgcrates
et
socialistes suédois.
Or, le pt 'nient Wilson n'a vas retiré son
America Ce jourdà, nou s serons à la merci
Après M, Deschanel, ont pris successivement
Voici d'autre part, le texte du projet de réaffirmation suivant laquelle l'Europe cl la
d une attaque presque immédiate ; rien n'em
la
parole
:
M.
Lucien
Poincarô,
Vice-recteur
solution concernant la question des réparamonde ne peuvent être en paix si la Russie
1«chera d'moffensifs dirigeables, puisque
le tions, pour être présenté à la Conférence de
de l'Académie de Paris; M. Lafferre, ministre
ne l'est vas.
dirigeable aura, paraît-il, la supériorité sur
la paix :
de l'instruction publique ; M' Henri Robert,
On l'ai prêle, d'autre part, l'intention de ne
les aéroplanes pour les forts tonnages, rien
bâtonnier de l'Ordre des avocats < M. Durasme
«
Qu'une
commission
de
trois
représentants
reconnaître en Russie
qu'un
gouvernement
ne les empêchera de porter des bombes dans
président de l'Association générale des étuau plus, pour chacune des cinq grandes puisdiants.
-établi .qui endosserait la dette russe.
leurs cales, plus puissantes qu'elles n'ont jaAmsterdam, 26 janvier.
sances, et de deux représentants au plus par
mais été.
'
tin brillant concert a suivi.
C'est donc à la seconde solution qu'il va se
D'après un télégramme du Bureau de presse
puissance pour la, Belgique, la Grèce, la Po0Ur fixé
'trouver accule.
de
Breslau,
le
Conseil
national de Breslau
res
o
h ^J'
'
Pace de quelques logne la Roumanie et la Serbie, soit nommée
heuies,
venu s de
partout,
des
croiseurs
annonce que les troupes tchèques se sont em; Et une nouvelle entrée en campagne sera le
en vue d'étudier et de présenter un rapport :
parées d'Odenberg, après en avoir chassé les
aériens, rapides et innombrables seront réuiremier résultat tangible de la Conférence de
s 1° Sur le montant des réparations que
a Paix.
Polonais, à la suite d'un combat violent.
nis en esoadres à des points déterminés suile» puissances
ennemies
devront payer ;
vant
leur
position
à
l'heure
de
l'appel
•
des
PECH-DAVY.
2° Sur leurs capacités de paiement. ; 3° Sur
ordres préparatoires et un appel de ï S F
la méthode, la forme et l'époque à laquelle le
suffiront. L'organisation sera bien faite n'en
paiement devra être effectué. »
LEDEBOUR EN COUR D ASSISES
doutons pas : au moment convenable
des
ultimatums seront adressés aux divers' gouBerne .20 janvier.
LE SLESWIC CENTRAL DEMANDE
On mande de Berlin à la Gazette de Francvernements, tandis que les routes d
l'air
COMPLOT CONTRE LE RÉGENT
SA RÉUNION AU DANEMARK
e
fort
que
le
Ledebours
sera
traduit devant
seront barrées, les aérodromes détruits
les
Borne, 26 janvier.
la
Cour
d
'assises
sous
l'inculpation
de
rébelvoies de communication terrestres coupées
Copenhague, 26 janvier.
Les journaux annoncent que 46 personlion.
les grands ports et les grandes villes survoDes pétitions signées par un grand nomnes ont été arrêtées, à Sarajevo, pour comlées par de puissantes escadrilles, sou
peine bre d'habitants des cantons du Sleswig cens
plot contre le prince Alexandre, régent de
LE CAPITAINE
SADOUL EN ALLEMAGNE
de représailles terribles, il faudra accepter
tral
ont été remises au gouvernement daSerbie. Ce sont, pour la plupart, des musulla conception allemande du inonde et nous
nois, qui est sollicité de faire les démarches
Zurich, 26 janvier.
mans et des Croates et un socialiste serbe.
savons ce que cela veut dire !
Une dépêche de Berlin sifmale que le canécessaires auprès de l'Entente pour que les
. JLes
bolchevistes
viennent de lancer,
pitaine français Sadoul vient de faire un
populations du Sleswig central obtiennent, à
Mais nous allons nous faire livrer les Zepséjour à Berlin, Brème et Hambourg en mis'jjans le monde, par radio-télégramme, un pelins. Et l'avenir ?... Mais nous nous défen- la Conférence de la Paix, le drfflt de faire
sion de propagande pour le compte de Lédocument d'une importance capitale.
connaître par un vote libre leur désir d'être
drons... Il n'y a pas d'autre remède à une
nine.
' Sa longueur nous empêche dte Je repro- attaque brusquée que de la .prévoir et de l'é- réunies au Danemark.
Les signataires de ces pétitions invoquent
duire in extenso, et d'ailleurs il contient craser dans son germe. Et d'autre part, nous
L'ASSEMBLÉE NATIONALE CONVOQUÉE
le programme du président Wilson relatif
no pouvons pas, à moins die revenir à la barjun abondant verbiage.
Bruxelles, £6 janvier.
POUR LE 6 FEVRIER
au
droit
des
nations
de
disposer
de
leur
sort,
barie,
entretenir
de
coûteuses
escadrilles
de
Sa portée, toutefois, est considérable.
V Indépendance Belge dit que la Chambre de
programme qui est accepté par le gouvernecombat
.d'innombrables
artilleries
contre
Bâle. 26 janvier.
commerce hollandaise a tenu son assemblée
iÇe n'est, en effet., rien de moins qu'un aéronefs, de gigantesques filets...
ment allemand comme base de paix.
On mande de Berlin :
générale, à laquelle ont assisté une soixan'jtppel à
révolution universelle, contre
taine de membres seidement sur six cents.
Avec
la
remise
entre
nos
mains
des
Zeppe«j Le Moniteur de l'Empire publie
une
•toute -civilisation,
LA SÉANCE DE LUNDI
La réunion a rejeté par 37 voix contre SQ
lins actuellement
construits,
du secret de
ordonnance du 23 janvier convoquant l 'Asi. Les bolchevistes convoquent à un con
uno proposition de radiation de toutes les
semblée Nationale pour le 6 février, à Weil'alliage d'aluminium qui fait la valeur de
Paris,
26
janvier.
éfrès international tous les partis
mar. »
firmes allemandes
et des alliés des Alleleur
armature métallique, il
faut imposer
itariens révolutionnaires.
mands, ainsi que des membres de la ChamLundi après-midi, il sera procédé à la noaux Allemands, comme pour les sous-marins,
bre
qui,
pendant
la
guerre,
ont trafiqué avec
UN
AVERTISSEMENT
D'EBERT
mination
dos
représentants
des
petites
puisLes principes dont ils se réclament sont l'interdiction absolue dô construire dirigeales Allemands.
AUX PARTIS BOURGEOIS
pBux qu'ils ont eux-mêmes mis en prati- bles et aéroplanes au-dessus d'un certain ton- sances au sein des commissions.
Lundi matin, le Comité de la Conférence
nage : pas de navires aériens hors de chez
que, et ceux des spartaciens.
Berne, 20 janvier.
se réunira à nouveau et poursuivra l'examen
Quajit à leur programme, il tient en eux. pas de compagnie allemande de trans- des problèmes territoriaux.
Au cours d 'une interview, Ebert, président
port international ; aux Alliés, le contrôle
ïruelques articles, quei voici :
du
.gouvernement
de
Berlin,
a prévenu les éléM. Henrv Simon, ministre des colonies,
absolu de l'air et des constructions aérienments ••bourgeois,
<à
l'Assemblée Nationale,
, 1° La période actuelle est la période nes : la plus élémentaire des prudences exige assistera. La question des colonies alleman- ou'ilri ne sauraient jamais devenir un instruLA BELGIQUE
des d'Afrique y sera abordée.
ces conditions.
He l'effondrement 'et de la dissolution di
ment de réaction socialdémocrate.
ET LES COLONIES AFRICAINES
tout :1e système capitaliste mondial.
Prenons g'arde : nous .gommes aujourd'ui
11 s'opposera à toute tentative de rclour en
Bruxelles, 26 janvier.
les maîtres : que nous reservo demain ? A
2° La tache du prolétariat consiste au
arrière et il affirme que de l'Assemblée NaParlant, de la prochaine réunion de la conquoi nous servirait d'avoir gagné la guerre,
Jjourcl'hui à s'emparer de suite du poutionale devra sortir une Allemagne nouvelle
férence africaine, le journal le Soir rappelle
d'avoir éloigné Paris des barbares, de désiqui sera douce aux déshérités d'hier.
voir gouvernemental. Ce pouvoir signifie
la participation de la Belgique aux opéraToute réaction serait le signal d'une nou.^anéantissement de l'appareil actuel o> rer le Rhin même commie barrière, si, de
tions
militaires
en Afrique, et ajoute que
gaieté de cœur, nous donnions à nos ennemis
velle révolution qui éterniserait une situation
LA DÉMISSION DE VON WINTERFELD
Rouvernemeut, pour le remplacer par séculaires
l'affirmation prêtée au ministre des colonies
avec la liberté de l'air, le pouvoir
économique que le pays ne peut supporter
ï appareil du pouvoir prolétarien.
belge, lors de son récent voyage à Londres,
plus longtemps.
'
de tourner tous les obstacles 1 L'isolement
Genève, 2G janvier.
que la Belgique n'entend pas se préoccuper
On a annoncé la démission du général von
3° Un nouvel appareil gouvernemental superbe de la Grande-Bretagne, l'éloignedu litige africain, est totalement fausse.
s emparer de la dictature de la ment du Nouveau-Monde perdent leur va- Winterteld de ses fonctions de membre de
Le Soir dit que la Belgique, d'accord avec la
classe ouvrière.
la commission d'armistice.
•eur: le monde devient trop petit 1
France et l'Angleterre, prendra officiellement
Le motif de cette démision est le suivant :
Souvenons-nous de la Prusse après Iéna !
& 4° La dictature du prolétariat doit ame
l'initiative de
propositions de revision de
Au cours de la dernière réunion pléniérc
immô diate du capita
l'acte de Berlin.
Tierre d'WRLI.ES.
de la commission, une déclaration du maréIL SERAIT ENVOYÉ EN EXIL
brivêe
suppression de la propriété
chal Foch fut lue par le général Nudant, Le
Londres. 26 janvier.
maréchal Foch annonçait
qu'en vertu de
K
;
aSRurer la
Les journaux publient des dépêches d'Amsl'accord conclu lors de la dernière prolongaiiste ru
,
révolution
1£
terdam disant que les gouvernements alletion à partir du 23 janvier l'occupation des
mand et hollandais sont parvenue à un acîôtcs do pont sur le Rhin deviendra effective
^intérieur et à l'extérieur, pour apporter
cord qui concerne la position de l'ex-Kniser
I.o général von Winterfeld déclara :
L'AUTONOMIE DE LA CATALOCNE
«cours
autres fractions
Me
qui serait envoyé en exil dans les Indes néer£ésa,mie™. de la bourgeoisie et de ses UNE BELLE CÉRÉMONIE A STRASBOURG
« J'ai déjà dit au général Nudant. dans un
lan Baises.
Barcelone, 26 janvier.
entretien privé, que jo verrais dans l'occupaL'Assemblée de la Manconmiunidad, après
Strasbourg, % janvier.
tion d'une téte de pont une tellé méfiance
! LE KAISER VOUDRAIT REVENIR
Le maréchal Pétain, commandant en chef
avoir introduit dans la séance d'aujourd'hui,
contre le travail de la commission que le
A BERLIN
des armées de l'Est, est venu aujourd'hui à
quelques amendements dans le statut de l'aujour où un tel ordre serait donné je doman
Strasbourg pour remettre le cordon de grandtonomie, a été d'accord pour rejeter le proderais à être relevé de mes fonctions.
Londres. 26 janvier.
jet d-e la
commission
e.xtiapailemcntaire
officier do la Légion d'honneur au général
De Berlin au Dat (y Mail :
« Ce moment est désormais arrivé. »
Gouraud.
nommée par le gouvernement du comte de
Un journal berlinois
a fait paraître une
Romanonas. Elle a déclaré que seul le statut
Le général Nudant répondit :
La cérémonie, simple et impressionnante,
l raents
édition spéciale, rapidement enlevée dans les rédigé par l'Assemblée, répond aux a s pi ra7o T" de ce prolétariat
s'est déroulée devant la statue ,du général
« Je ne connais
pas les raisons qui ont
i ues. en raison de la nouvelle sensationnelle
g
. Ç 6* moyens fondamentaux de la lutte
Kléber.
tions d?. la Catalogne ; elle a donc invité les
déterminé le maréchal Foch à i rondrc cotte
qu'elle contient.
v»,
* es f'tiO 'Us en masse du prolétariat,
parlementaires
catalans, à demander
aux
Tout Strasbourg était sur pied. Le nouveau
mesure : je suis presque siir qu'elle n'est eu
journal affirme que le kaiser et sa famille
Muant jusqu'à la lutte ouverte, à main armunicipalités, aux députations provinciales
maire, l'avocat Pfersdorff, avait eu à cœur
retourner en Allemagne, pour
aucune
façon
motivée
riar
la
manière
d'agir
et
aux
citoyens,
leur
concours
pour
l'établispée, contre. le pouvoir gouvernemental dit d'apporter ses félicitations au général Goude la commission. »
vivre comme simples particuliers, aussitôt nue
sement de ce statut.
capitalisme.
raud. qui jouit d'uno grande popularité dans
l'Assamblée Nationale aura redonné au pays
Une
délégation de parlementaires,
a la
tous les milieux alsaciens.
UJM Constitution légale.
Le reste du document est rt?latif à la
suite de cette décision, s'est rendue à la préLes maisons étaient pavoisées et la foule
fecture pour protester contre l'attitude de la
lactique qu 'il convient d'adopter à l'égard a fait une chaleureuse ovation au maréchal
GUILLAUME II
et au général.
police au cours des manifesta ions qui eurent
,nes socialiste». A l'égard des socialistes
DÉFENDU PAR LEiS SOCIALISTES
lieu
en faveur de l'autonomie.
Un défilé a eu lieu après la cérémonie.
patriotes, le combat sans merci. Pour les
Berne, 26 janvier.
New-York, 26 janvier.
On remarque dans ta foule beaucoup d'ouautres, il faut s'efforcer de les diviser,
11 est remarquable que l'organe officieux
Au cours du débat qui a eu lieu au Sénat
vriers et de jeunes filles portant la cocarde
ij Les holrbpvlstes 6num6rent ensuite les
sur le crédit de cent millions de dollars de
du Gouvernement socialiste, la Gazette genecatalane ; les maisons sont pavoisées
flivers groupes et partis russes qu'il con
raÙ <V l'Allemagne du Xord, .prenne avec armandé par M. Wilson pour le ra.vitatHemenl
,l,.,ir la défense de Guillaume II et proteste
de l'Europe, trois
sénateurs
républicain:
£ient de convoquer au Congrès intornatio
M n'y en a pas moins do 31.
roipro le mémoire de MM.
Larnaude. et de
MM. Penroso, Johnson et Poinldoxh-r se Bi n
Bruxelles, 26 janvier.
Lapradelle nui conclut à la mise en accuprononcés énerKiquement contre cette wro
La division ifrancaise commandée par le gé: Ce documeal demeurera dans l'histoire
position.
Ils
ont
déclaré
'due
s'il
était
rvclK'
satton
de
l
'ex-erapereur.
Pomme le premier exemple d'un appel h néral Dégoutte, qui depuis son arrivée a cmi- ment question de soumettre les bolcheviks
E£ ueutwhe AUacnu'iiir y.citung aiflrme,<juo
L'ÉTAT DU. GÉNÉRAL POEMYRAU
les sympathies unanimes do la populaI* guorrici des classes «t à l'inmirrc-clion , quis
dans l'état actuel du droit international, 11
d'Europe en les ravitaillant, on faisait coin
tion, va partir -prochainement. Ello va se ren
ësl impossible de poursuivre
Guillaume 11
{•"dressé a tous les peuples du monde par I dre en France pour contribuer aux travaux plètemont erreur.
Rabat, 2X3 janvier.
M Johnson
demande que les noms de;
,l'. v;i!it la r..,iir de justice les principes juriL'état de santé du ^nôral Poamyrau, blessé
igouvomcment de fait,
I de restauration de la région de Lille.
ipcuplcs appelés ù bénéficier du crédit fUSSen
diques
qui
seront
promulgues
par
la
Société
au
cours
du
coanbat
livré
au Tafllalct. j.araît
'ifi revêt une signification particulièrcT/état-anajor de la division a donné, hier
rendus 'publics.
,l. '
Nations
ne
pouvant avoir un erret
inquiétant. Un épanchement pleural, déterP™511 ! prave fi l'heure où iles gouvorne- soir, uno fête Intime d'adieu ; la mustnun du
D'autres orateurs ont attaqué M. Iloover
miné par la présence du projectile dans le
386" d'infanterie, arrivée la veille do Thlelt. a
Fhents do 1'F.ntonte viennent do faire aux
déclarant qu'il désirait envoyer de la viande
« iJÉntento peut, en abusant de son pouipournon. s'est produit ; on craint uno pleudonné un concert public, place do Brouckùre,
partis
organisés
de
la
Russie
l'invitation
de
conserve
on
Allemasno
pour
en
débarravoir
iucer
et
condamner
Guillaume
II
;
mfkîa
nue
résie pulmonaire.
• .
en présence d'un nombreux public, qui a fait
•
l'on sait.
ser les packers do Ghicapro et amener la sta
en ,irW Mlant ainsi, elle agira contrairement
Cependant, la diminution de la fièvre, dans
un chaleureux accueil
soldats français.
Wlisation des prix en Amérique,
au droit, i
Iflmati-'
e
^U tr]llrJf,
?X
f™J
,i°P p ?!'.n
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'Î! c
teP? : t,awè?
de New"York
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sE.mpts line»
e*c
EN SERBIE
Le Bolchevîsme
ALLEMANDS ET HOLLANDAIS
la
prolé'
La Conférence Africaine
y
L'Exécution de l'Armistice
LeMouvemeni Monarchiste
au Portugal
A LA FRONTIÈRE ESPAGNOLE
n m *AIA
On télégraphie de
rtnlP euX
ht
aux
nationTs
Aux Pays
Sort de SWKaiser
La Situation en Espagne
reconquis
(Je
entendent
I
y
Le RâvitaillemQat de Tlurops
Les Troupes françaises en Belgique
P*
AU MAROC
«ax
l
Bibliothèque municipale de Toulouse - Tous droits réservés
26
janvier.
ém ss
„Ji
« Des voyageurs rapportent que l'agitation'
est grande à Valença et dans d'autres viln cr it < ue les
ïoSri °
?
î
monarchistes s'apprà
1
tent à se retirer. »
CHEFS
MONARCHISTES
ARRÊTÉS
„
....
,
Madrid, 26 janvier.
On télégraphie de Lisbonne :
Les chefs monarchistes ont été arrêtés ï
Vigo.
LA SITUATION A PORTO
On mande
chiste :
de
Madrid 26 janvier,
Porto, de source
monar-
Les
fommunications restent coupées avec
Lisbonne ; la
mobilisation
armée sa pours b taillon
. ?
,s civils ont été organisés
la ville est tranquille. Il y a cependant quel! }
ques morts et des blessés ; environ 300 officiers ont été faits prisonniers : un ré»iinent
a dû être dissous.
Erlwi
Le gouvernement provisoire a annulé toutes les lois promulguées par la République j
il envoie des troupes à Avoiro Villareal et
sur d autres points restés fidèles à la République.
LE ROI
MANUEL
Paris, 2 G janvier.
On mande de Vigo, à l'Agence Bavas, qu«
le roi Manuel serait entré en Portugal, ce matin, 'à six heures, en franchissant la rivièrs
Mïno, à Gamina.
Mais, d'autre part, l'Agence Reuler a vu, ce
matin, le secrétaire privé du roi qui lui a dit
que celui-ci n'a présentement aucune intention de se rendre au Portugal et qu'il est en
ce moment à .Londres.
POUR
LES
OFFICIERS
DÉMOBILISÉS
Paris, 26 janvier.
L e gouvernement s e préoccupe de la situa,
tion spéciale des officiers qui vont être rendus successivement à la vie civile par la démobilisation, et dont beaucoup n'avaient pas
encore de situation avant la guerre ou désirent en avoir une plus conforme à leurs aptitudes.
La même question se pose pour des soldat?
et des sous-officiers
ayant
une instruction
supérieure.
Le ministre du travail avait convoqué hiei
après-midi,
pour examiner
les mesures à
prendre à cet égard, les représentants des
grandes
administrations
patronales et des
administrations publiques, susceptibles d'aider le ministre du travail et le Sous-secrétai
re d'Etat de la démobilisation pour le placement de ces officiers au moment de leur démobilisation.
Lesdits représentants se sont engagés à
recueillir auprès des adhérents de leurs organisations
tous les renseignements nécessaires sur les emplois qui pourraient être offerts
à ces officiers et les moyens de leur faciliter
l'accès à ces emplois lorsque une préparation
spéciale serait nécessaire.
eass les usines ai y-uewe
UN
MEETING DE CHOMEURS
Paris, 26 janvier,
Un meeting de chômeurs et de chômeuse*
des usines de guerre a eu lieu samedi aprèsmidi.
Après de nombreux discours, l'assemblée
a voté un ordre du jour demandant que les
chômeurs ayant travaillé pour les intendances
anglaises ou américaines
bénéficient
d'indemnités
de licenciement identiques à
celtes accordées par le gouvernement français.
A l'Académie des Sciences
LES MEMPRES NON RÉSIDENTS
Paris, 26 janvier.
fine commission, chargée
de
dresser une
liste de candidats pour la place de membre
non résident, vacante a l'Académie des sciences, adressé, en comité secret, la liste de présentation suivante, portant en première ligne
M. Kilian, professeur à la Faculté des sciences de Grenoble ; en deuxième ligne, "M. Cosserait, professeur à la Faculté des science»
de Toulouse ; en troisième HKne, cx-œqnio et
par
ordre
alphabétique, MM. Barbier, de
Lyon, de Forcrnnd de Coiselet, de Montpellier,
et de Sparte, de Lyon, tous correspondant»
de la Compagnie.
L'élection aura lieu demain lundi.
Aérienne
mit
ex r opriat,on
«!mi P ,
Madrid.
Vigo :
A ,aires de M. Païva Conccïro,
dont un militaire, sont arrivés à Vigo pouf,
se mettre en rapport télégraphiquement avec
les monarchistes portugais do Madrid.
/ monarchistes portugais qui se trouvalent dans les villages de la frontière anrljuit a Vigo et, bien qu'ils ne veuillent paa
iaire de déclarations, il est évident qu 'ils
juient leur pays parce que la cause royaliste est perdue.
LES
DES BOLCHEVISTES
TOULOUSE
LE
RAVITAILLEMENT
PAR
AVION
Paris, 2X3 janvier
La première ligne Paris-Valenciennes a été
ouverte le 23.
En quelques heures, les avions ont enleva
tout le stock préparé par l'Intendance militaire en vivres et couvertures
.
Bien aue le premier jour. 0.000 boîtes de lait
ont été transportées.
.
.
Paris-Maulxiixge est en service depuis hier ;
les terrains pour Paris-Douai ont été reconnus ; la ligne fonctionnera dans deux ou trois
jours.
LA TRAVERSÉE
DE LA MÉDITERRANÉE
EN AVION
(Marseille, 26 janvier.
iLe lieutenant pilote aviateur Henri Rogot.
qui tente la traversée de la Méditerranée en
avion, de Marseille à Alger, par les Iles lialéares, sans arrêt, a pris son vol cette nuit,
à 2 h. 05. du camp d'aviation de Miramas, a
51 kilomètres de Marseille .
Le lieutenant Hoget est accompagné <îu capitaine Coli.
,
„.„ . ..
Il s'agit d'un voyage de SOO kilomètres audessus de la mer,
en passant par les îles
Baléares, mais sans atterrissage.
le lieutenant pilote Henri Roget et, le capitaine Coli ont atterri, sans incident, à
du matin, sur 1 hippodrome de Russefn Dey.
'"ua traversée s'est effectuée normalement,
avec grand vent.
.
.
Les deux aviateurs sont repartis dans la
matinée, par la vole des airs, pour regagnée
la France.
ROCHEFORT PARIS LIÈCE
EN BALLON SPHÉRIJUE
Bruxelles, 26 janvier.
J.'Eloile Rclgc annonça
que
l'aéroiiuuto
aviateur belge Demuyter a fait une longua
traversée en ballon sphérique.
Parti de Rochefort dans la soiréo, Il C
passé au-dessus de Parts à minuit, et a attarri
à Liè-ge avant le jour. 11 était acxompagnft
do quatre passagers, dont l'un descendit '
WStPSrsWBBWB
03 PRISONNIERS
LES
DERNIERS
a
RAPATRIEMENTS
Brest, 26 janvier.
Le vapeur Almeria, venant a'AileTna^
Wrivé à Brest avec sept officiers e
soldats, dont 12 Herbes.
il avait a boni dix malades qui ont
transportés à l'hôpital maritime
Cherbourg, 87 janvier.
Le vapeur allemand Sierra Ventât»
rapatrié, à l'arsenal, hier après-midi, 1.895 l'i'antais et 320 Italiens.
, ...
Le vapeur italien Bucnos-Ayres a rapatrie
4 l'arsenal, 2.172 Français et 70 Italiens, dont
«» malades alités.
Un troisième vapeur, le Re d'itfllia. est arrivé en rade avec des rapatriés. Le débarquement aura lieu ce matin.
g
LES INSTRUCTIONS EN COURS
LE LIEUTENANT HERVÉ
TRANSFÉRÉ A NANTES
Nantes. 2fi janvier.
Le lieutenant Hervé, qui a été transféré
de Bordeaux à Nantes, a subi un interrogatoire sur le fond au sujet duquel on garde le
secret le plus rigoureux
„•
On dit toutefois que le lieutenant Hei.e
s'est défendu avec énergie en déclarant que
des faits qui lui sont reproches, certains sont
inexacts et d'autres dénaturés ou considérablement .exagérés.
INTELLIGENCE
AVEC
LA
CONFÉRENCE DES ASSOCIATIONS
INTERALLIÉES
Paris, £6 janvier.
On sait que les
Associations
française,
anglaise,
américaine
et
italienne
pour
la Société des Nations ont décidé de se réunir en ume Conférence pour élaborer un
projet commun de Société des Nations.
La première réunion de cette Conférence
a eu lieu hier, a 4 h. 30 du soir, sous la
présidence de M. Léon Bourgeote. De nombreux
délégués des différents pays alliés
étaient présents. Nous citerons notamment :
MM. Painlevô,
Ribot. Jules Roche, Albert
Thomas, d'Estournelles, de Constant,
Paul
Strauss, Ferdinand Buisson,
Doumer, Godait, Aujard, Paul Appel, doyttfi de la Faculté des Sciences. Weiss et de La Pradelle,
professeurs à* la
Faculté de Droit ;
Larnaude, doyen de la Faculté de Droit ; le
général
Hallier, sous-chef
d'état-major ;
M. Barnes, délégué britannique à la Conférence de la Paix ; lord Robert Cecil, Henderson
et
J.-H. Thomas, du parti travailliste anglais ;
le major D. Davies, de la
Chambre des Communes ;
Hamilton Holt,
délégué de la Société américaine pour la
Ligue des Nations ;
Vandervelde, délégué
belge à la Conférence de la Paix, etc..
L ENNEMI
26 janvier,
Pari:
de
L'Allomand Hoolz, ancien' secrétaire
*Âbvssinie, et son complice l'Autrichien Carmeich
ont été interrogés
hier après-miai,
par lè capitaine Mangm-Bocquct,
officier
wumorteur au 2.» conseil de guerre. Ils viennent, d'être inculpés d'intelligence avec 1 enTous deux avaient été récemment condamnés par le 7« conseil de guerre de Paris à la
détention perpétuelle' pour avoir tenté de
de
partisans
««emparer, avec une troupe
notre possession
qu'ils avaient recrutée di
de Djibouti.
AC capareurs
Struxfano, que nous n'avions pas vu à
l'ouvrage depuis 5 ans, fournit une partie
merveilleuse ; il est actuellement dans une
forme splcndide ; sa passe sèche et nette
la mêlée : la puissance et la précision de
son service à la touche font de lui l'un des
meilleurs demis de mêlée que k> rugby français est produit.
Bioussa. quoique fort handicapé par ses
glorieuses blessures, est, toujours le joueur
élégant et scientifique que nous avons connu.
Mounic nous montra une forme que nous
étions loin de lui soupçonner.
Delricu, meilleur que jamais, joua la touche de superbe façon.
Gay. très adroit, possède toujours son joli
coup de botte.
Allons ! que- voilà de jolies réserves pour
nos Stadistes.
Excellent arbitrage du sympathique Dugès,
ancien arrière stadiste. — LYNX.
'et
M.
LÉON
BOURGEOIS SOUHAITE
LA BIENVENUE AUX DÉLÉGUÉS
•M. Léon Bourgeois a souhaité la bienvenue aux hôtes de l'Association
française.
Il a d'abord adressé son salut aux représentants do l'Association américaine
qui répondant à l'émouvant appel du président
Wilson, ont traversé l'Atlantique pour affirmer qu'après avoir pris la part la plus noble et la plus
désintéressée à la grande
guerre, le peuple américain entendait donner son concours absolu à la grande cause
de la paix ; à. l'Association anglaise, qui
resserre encore entre
la
France
et
le
'Royaume-Uni les liens que le sang versé en
commun
pendant
quatre années a formés
pour
toujours entre les deux nations ; à
l'Association italienne, qui a tenu à venir
affirmer ici la communauté des pensées et
des sentiments qui ont uni, sur le même
champ de bataille, les deux grandes sœurs
latines pour le triomphe de leurs revendications nationales.
LES
GRANDS
MATCHES
46* division britannique bat Stade français
par 5 points h rien.
Club athlétique de la Société générale et de
l'Union sportive et amicale de Clichy font
match nul par 2 points à 2.
.^iiori ing-Cub de Choisy-le-Roi bat Cercle
athlétique de Vitry par 6 buts à 1.
Légion Saint Michel bat Association sportive
française par 3 buts à 1.
Gallia Club bat Paris-Université-Club par 2
put s à 1.
Rueil-Alhlétkiue-Club bat C. S. des SourdsMuets par 3 huts à rien.
Le match, qui devait mettre en présence le<
Bacing-Club de France et le Naional-RugbyClub, na pas eu lieu, le terrain étant igelé.
k'îimh
H,a Température
Du i« janvier 1919
Situation générale : temps froid-, ciel couvert,
avec brouillards; neige dans ta stations oiev©es;
Température : minîma, — 3" -, à midi, — î ;
maxinia, 0".
Probabilités : temps brumeux, et froid.
Le Relèvement économique
VERS
UNE
CONFÉDÉRATION
AGRICOLE
GÉNÉRALE
Nouvelles religieuses
siècles la politique française, celle de la
en particulier, revendiquant constamment la
rive
gauche
du
Rhin et progressant Vers le tlanc par Metz,
Toui et Verdun, plus lard .par l'Alsace
Strasbourg, enfin »-ar Mayencc et Coblentz.
Quant aux sentiments des populations, ils
étaient telluncnt français qu'on a dû les admettre en 1>!01 au sein do la patrie " tança iso
après plusieurs refus et sur leurs
nstances
réitérées- : «lie» plébiscitèrent deu: fois Napoléon et lui fournirent ses mei
urs soldats. Si donc il y a attentat con
leur voJonté, c'est en 1814 qu'il a été contint
c'est, une injustice à réparer comme les an-
Monarchie
<BO VUE BBS ËCOIiRS D'ORIENT. — Demain, il
S horcrcs, ii l'oratoire M.-J> de Na'/rufth, m Pn*llnpe-JPtol messe pour les nwmtwe-t associés a»
l'Œuvre. Allocution.
»ûtc et ibénéd letton.
«r
Notre Clergé à l'honneur
mmes particulièrement heureux d'annonNe
cé* que M. l'iufcé Couzier, vicaire à Salnt-Ptcrrc,
mobilisé aux armé;/; d'Orient, a reçu la decaratlen
fie.iiùe de « la Miséricorde ». Cette dt.corauon e.si
destinée a récompenser le ûéveiaioroent dont 11. couzler a été prodigue dans l'hôpital du retimaïuberoum. iprès de Salonlque, dont 11 éta.t le quasi
gestionnaire.
Nous prions M. l'aimé Co-.r/ier, qui honore avec
tant d'autres
le
clergé
toulousain,
d'agréer
l'expret-sion de nos meilleurs compliments.
A la Section Toulousaine
d'Action Française
LES PROBLEMES DE LA PAIX
CONFERENCE DE M. DESPE RAMONS
capétienne
et
et
11 se peut que sous la contrainte allemande, les sentiments des Rhénans
aient
été
modifiés et, noue n'avons pas l'intention de
les annexer contre leur «ré. Donc, nous occimerons un territoire qui est nécessaire ft
notre défense et quant aux populations, nous
les attendrons, nou s causerons
Pour celles
qui crieront : c Vivo la France ! » nous les
admettrons individuellement ou
par
groupes, a.nrès un stao-e suffisant dans 1--' famille
française. A ceux qui crieront : « Vive l'Allemagne ! » noms d'rons : c'est sur l'autre
rive, veuillez traverser.
Et elles trouveront ce traitement bien doux
-par rapport à celui qu'ont subi nos populations du Nord et à celui que l'Allemagne victorieuse aurait imposé h l'Artois, a la Picardie et à la Champagne annexés à l'Empire.
Mais le tempg passe et M. Despéramons ne
peut qu'indiquer
succinctement
les autres
problèmes de, la Paix.
Le. plus important est la connaissance et la
surveillance de ce qui se passera de l'autre
cOtô du Rhin.
La situation a empirée depuis qu'ont été
écrits VHistoire de deux Peuples et les Tronçons du Serpent. Auionwt'hui, l'Al'emwno
vaincue va se retrouver forte de ses 70 ou 80
millions d'habitants, surtout si elle annexait
l'Autriche allemande, ce qmo nous ne devons
permettre " i aucun prix : de plus l'AutricheHongrie n'existe pas. l a Russie est en décomposition et l'Allemagne ne va plus être entourée, en dehors de la France que par des peuples en formation, Pologne, Bohême, Yougoslavie, sur lesquelles elle aura vite fait
si
nous n'y prenons garde, d'étendre ses tentacules.
Petite Correspondance
DEUX
VIEUX ABONNES, — Nous avons
principe absolu do no pâmais pulhlier tes eomntiT
niellions anonymes. VeitUllez nous donner votist
nom ot votre- adresse; nous publioions ensuiu, votre lettre.
AVIS DE DÉCÈS
Mesdemoiselles Marie et Eugénie DAGRAS,
Madame et Monsieur Marius DAGRAS. négociant ; Madame et Monsieur Jean DAGRAS
ei leurs entants. Monsieur Charles DAGRAS
ont la douleur de faire part à leurs umis e|
connaissances de la perte cruelle qu'ils viennent d'éprouver en la personne de
Monsieur Auguste DAGRAS
décédé le 26 janvier 1919, a l'âge de 19 ans,
muni des Sacrements de
l'Eglise,
et
le*
prient de vouloir bien assister à ses obsèques, qui auront Ijeu a Toulouse, le ma Ui i&
janvier 1919. à 2 heures du soir, sur la pa<
roissc Saint-Etienne.
On se réunira à la maison mortuaire, 19,
Port Saint-Etienne.
Les personnes qui, par oubli ou omission,
n'auraient pas reçu de lettre de faire part,
sont priées de considérer le .présent avis coin.,
me en tenant lieu.
Pompas Funèbres Générales, 7. r. Latayetto, T. 10-34
Hier, à 8 heures fort exactement, a eu lieu,
au siège de la Section toulousaine d Action
iraiicaise.la réunion que nous avons annoncée
et au cours dé laquelle notre excellent ami,
M. André Dcsvéramons.que les auditoires toulousains entendent chayue fois avec un plaisir
accru, a donné une très intéressante conférence sur les .problèmes de la paix, dont malheureusement il n'a pu développer complètement que la première partie.
L'orateur a été présenté dans les termes les
Monsieur et Madame de RAYMOND, Mesplus délicats par M. d'Welles, président de la
demoiselles Anita et Angèle de RAYMOND reSection toulousaine, qui a rappelé, avec émoligieuses ; Madame veuve Pierre MIGNoiSAC
tion, tous les liens qui rattachent iM. Despéraont la douleur de faire part à leurs amis el
mons à Toulouse, le souvenir de son père et le
connaissances de la perte cruelle qu'ils viea.
sacriace de son flis, tombé au otiamp d honnent d'éprouver en la personne de
neur au cours de la grande guerre.
Le devoir de chaque Français, a dit M. DesMadame Cécile de RAYMOND
péramons, à l'heure où nos diplomates et nos
Née de LUPPE
gouvernants -discutent -autour dte la table de la
et
les
prient
de
Conférence les conséquences de la défaite al, „(,..-„•
------ bien
- — assister à * se«
BWt
; -- vouloir
auront heu le lundi 27 janvief
lemande, est de créer autour d'eux une atmosphère do nature à appuyer les droits qu'ils
i,
™wvs et demie, sur la paroisse
Saint- Michel
sont chargés de faire valoir ; à montrer aux
On se réunira à la maison mortuaire Allées
représentants des nations alliées que les rebaint-Michel, il bis.
présentants de la France ont l'opinion du
pays derrière eux.
Il ne sera pas fait d'autre invitation
Nous devons aller à la Conférence comme
un peuple victorieux. Lés droits que nous
D'autres problèmes territoriaux nous solréclamons à l'heure du règlement des complicitent, Syrie, Maroc, car il faudra bien retes, nous les tenons de notre situation de voiviser un traité dont Jaurès disait : « Nous
Monsieur Henri FREJAVILLE ; Monsieur et
sins les plus immédiats de l'Allemagne, souavons internationalisé tous le 9 profits et nous Madame SIR1AY ; Mesdemoiselles Marguerit*
mis périodiquement, au cours des siècles, a
n'avons nationalisé, que les charges
»
et Jeanne SIR1AY. ont la douleur de faira
ses brutales agressions ; nous les tenons de la
P^fin il v «. '«
,i e la réparation.
parts à leurs amis et connaissances de la
vaillance de nos soldats, nobles héritiers do Il faut que l'Allemagne pale.
perte cruelle qu'ils viennent d'éprouver en la
toutes les tra-ditions françaises et dont von
( o iibien ? Le» est mations sont des plus ! personne de
Kiuolt a pu dire : « Nous avions tout ptrévù i variées. 1250 milliards disent les uns, 875 mil
Monsieur Jea Si FRÉJAVILLE
tout sauf l'héroïsme du soldat français qui, 1 liards dit la Banque Suisse qui paraît s'aip
battu, repoussé, n'en pouvant plus, manquant ' puyer
'
et les prient de vouloir bien assister à ses ob
sur des documents.
de munitions comme de vivres, se redresse
sèques, qui auront lieu le mardi 38 janviei
Se basant sur l'énormité du chiffre, nos
tout à coup à l'appel du clairon et repart in1919,
2 heures de l'après-midi, sur la -pasocialistes disent : elle ne pourra pa$ payer ;
fatigable en sens
inverse
jusqu'à la vicroisse, Sainte-Germaine.
peut-être pourrait-elle payer le
tiers,
tant
toire. »
On se réunira à la maison mortuaire, avetvaut ne rien lui demander du tout.
nuo Crampel, -4.
Et nous los leur devons, malgré notre imMais si elle ne paie pas, c'est noms qui depréiparation officiellement reconnue.
Il ne sera pas fait d'autre invitation.
vrons payer ; notre budget devrait être porté
•Nos droits, nous les tenons encore de tout pour cela à 20 milliards et chacun de nous
<,7*i
ce que nous avons souffert, do nos
devrait verser a l'Etat la moitié des revenus
ments ravagés, de nos 1.200.000 morts, de nos
de son travail. Or l'Allemagne peut écono000.000 mutilés, du sacrifice des uns, des souf- miser 15 milliards sur son budget ; personne
frances des autres, des larmes de la plupart
d'entre nous ne supporterait qu'on ne soufd'entre nous.
frît pas un peu pour payer la différence.
Ouols sont tlonc les problèmes qui s'imposent
Nous ferons le errante de cr- mi'*>1le doit ;
Madame DOAZAN -NANCY ; Messieurs Henr*
à 1 attention ries négociateurs, quels sont res
nous la ferons payer par acomptes, nous
et Armand
DOAZAN ; Mademoiselle
Made
droits que nous devons faire valoir à la Consaisirons poin ce*u les gages iicvusca res et leine DOAZAN ; Madame veuve Félix DOAférence ?
nous irons, s'il le faut, jusqu'à l'expropriaZAN : Monsieur et Madame
Philippe DOATout d'abord des revendications territoriation.
ZAN et leurs enfants, préviennent leurs pales.
Il y a un dernier problème, celui de la
rents, amis
et connaissances, qu'un serv.ee
Et sériant le problème comme il l'a été au
responsabilité personnelle des auteurs de la
de neuvaine sera célébré pour le repos dl
cours de notre histoire nationale, M. Cespéguerre ; il est nécessaire que ceux-ci supporl'âme de
ramons examine successivement la question
tent les conséquences pénales de leurs criMonsieur C-rtende DOAZAN
,1-Alfce-l.oriaino. <ui bassin de la Sarre,
mes mais qui ne doit venir qu'après le reste.
de la riva gauche du Rhisi,
Maire de yiUariès (Haute-Garonne)
Que l'Allemagne oaie d'abord et qu'elle ne
La question oit Jieui «renient réglée en ce
pn 'sco A -opori» venir noue dire
'<» auteurs le jeudi 30 janvier, à 10 heures et demie, eu
qui concerne l'Alsace-Lorraine ; l'Allemagne,
responsables de
la
guerre
ont été
puni?,
l'église de Villariès, ainsi que le service d'an,
en nous déclarant la guerre, a déchiré le ! nous sommes quittes.
niversaire de
traite cto Francfort et nous avons repris pu- i
Cette conférence, au cours de laquelle 1 orarement et simplement notre bien ; nous l'a- t teur a montré une fois de plus la précision,
Monsieur Félix DOAZAN
yons repris sans avoir recours auv firmes =an--,
l'élégance et la chaleur qui l'ont toujoers
Il
ne
sera
pas fait d'autre invitation.
lesanellfla «ertains
'--nln-ient nés jÀir !i« !
fait 'particulièrement goûter du public, a été
!
réaniii'
ÎI possibie. « Le plébiscite est fait »,
chaleureusement applaudie.
0,V,«eq 'i6so <ïl! 1
Justement émue >par la persistance de la crise,
économifiuo, la 'Fédération agricole do la région
toulousaine a convoqué, en une assemblée irténcéré
qui s'est tenue bler matin, de 0 heures a midi,
siège de la Société d'agriculture, rue SanitAntotnc-dn-T. toutes les organisations axroîessionmeMes intéressées.
.
. .
Cette réunion, fort Intéressante a tous les points,
do vue, présidée par M. HiiRpoIy te I (aurons, président do la Société d'agriculture, s'est ouverte par
la lecture du remairiTuaMe raioxu-t, do M. le marquis de Palaminy sur la situation agricole dans,
notre pays et l'avenir do l'agriculture.
LA LIBERATION DES RESERVISTES DES
Cette étudo d'un, si puissant intérêt — et sur laCLASSES AUXILIAIRES POUR BLESSURES
aueilo nous nous réservons do revenir — a obtenu
Paris, 27 janvier.
lo plus vif et le plus légitime succès.
11 a été ensuite procédé a la discussion de l'orNous recevons la note- suivante
dre du jour. Les diverses questions concernant lé
Par un additif à l'ordre particulier de déravitaillement
ont particulièrement éveillé l'attenmobilisation n» 2-, du 21 janvier, concernant
^On a égaltment arrêté un représentant de
tion, de l'Assemblée. A signaler la judicieuse incommerce de la rive gauche, qui revendait les 3°, 4°, 5° et 6° échelons, le président du terventlem do M. Coaizinet qui a fait ressortir ce
Conseil ministre de la, guerre, fait connaîque présente d'arbitraire le système de la «parudu beurre
on taxi-auto, chez des particutre que :
tion imposée aux communes comme aux départeliers au prix de 16 a 18 fr. le lùlo.
ments et celui do 3a réquisition. Ce double système,
^°
Les
militaires
classés
dans
le
service
Pur le marché
Bdgar Quinet, les inspeca exposé l'orateur, a abouti à favoriser les In ton.
teurs ont arrêté un marchand qui vendait auxiliaire par suite de blessures de guerre,
môdiaires véreux. 11 taut obliger les propriétaires
appartenant aux classes 1905 à 1911, feront
le beurre 18 fr. le Kilo.
_
,«.-_!,«
a. faire la déclaration de leurs denrées; cetto déclapartie du 5° échelon et seront ainsi cSémobiTous ces individus ont été remis en liberté
ration devrait être afflcliée et l'Etat pourrait do
la sorte s'assurer de ce qui lui est nécea-airo
ot invités à se tenir a la disposition de la i lises avec ie s classes 1303 et 1904.
2° Los militaires classés dans le service
i'ius d'inquisition, de visite domiciliaire du gentastice.
, ,
.
.
darmes !
auxiliaire
par
suite
de
blessures
de
guerre,
Cinquante-deux commissions rogatoircs ont
M. Tunrol, ancien ministre des travaux publics,
appartenant
aux
classes
1912
à
1317,
feront
êié délivrées contre les producteurs ds proa démontré la nécessité impérieuse pour les popupartie du 6° échelon et seront démobilisés
lations rurales de choisir judicieusement leurs reavec lias classes 1305 et 1908.
présentants aux Assemblées politiques. « Si vous
Note. — La décision que l'on vient de lire
n'y prenez pas garde, a déclaré M.- Tunnel, la ren'est pas seulement un additif à la circulaiprésentation de ce pays va être antiagricole ! Envoyez
à la -Chambre des agriculteurs et non pas
re du 21 janvier 19M, mais encore un rect'fides politiciens ! » (Vives approbatioits.'l
catif h celle du 16 décembre 1918 en vertu Je
Tout naturellement la discussion, s'est alors orlen.
LA HESCS A PARIS
laquelle tous les hommes de la réserve de l'actée vers les moyens do meilleurs propagande. ES
tive avant été classés i ans le service auxiParis, 36 janvier.
l'on a envisage la création d'une vaste Fédération
liaire à la suite de Mesures de guerre sont
Depuis ce matin, 8 heures, la neige tombe
*trou,i>ant tous les syndicats agricoles, une sorte
r orra
assimilés à la plus jeune classe de la terrinous
do Confédération générale de l'Agriculture, MM.
«ans discontinuer. Une couche blanche couteurs. lion. 3 pas de discussion en ce qui conEeniaury,
Savignol,
de
Beaumont
et
do
vre les' toits et les rues ; la circulation est for- toriale. Or cette classe, 190S, fait parv.j du
PaMmlny
Ont
topjî
.
a
.
tour
demandé
l'extc-rwiorv
de
i'Aisa
cerne
ilCe- t.on«»,„
5» échelon.
tement gênéé.^
"
ces syndicats.
fj
Les familles ""EMAUX et ERARD remercient
CRÉATION DE COURS SPÉCIAUX
AUe3,1
Asribrolse
Rendu,
avec
l'autorité
qui
s'attache
sincèrement les personnes qui leur ont témoiELLE EMPÊCHE LE DÉPART
L'UniA-orsito de Toulouse recevra très j>rocliain-otaspéi son titre de jurésident du Syndicat central des rialj et de
gné des marques do sympathie à l'occasiofi
DE L'AÉROBUS
preparep la revanene.
ment 1 500 étudiants faisant partie de l'armée
agriculteurs do la Haute^Garonne, a insisté sur la
du décès de
En ce qi
arnéricain-e qui suivront dans nos Facultés des
base même de cette Confédération qui est le SynParis, 26 janvier.
îa Sarre,
nos
droits
ni
cours spéciaux organisés à leur intention.
dicat communiai. M. Anihroisa Rendu a annoncé
Monsieur Louis DEMAUX
eurent
ePar suite de la neige et de la brunie, l'autoI :0]1J:US L. CB
M. Cowdery, n«ro1jcsseur am « Oberlin Collège »,
la création prochaine d'TOe coopérative agricole,
trait,,i
rité militaire a interdit le déport de laerobus
Ancien industriel
a été <Méguo nar la Comnni-ssion d'éducation <i©
où les cultivateurs trouveront à bon compte tenu
de 1815 et, puisque l'on est en train de répade.
Farina», qui devait tenter ce matin le raid
l'Y. M. O. A. ipour remplir auprès d'eux lo rôle
Ancien artilleur mobile de la Haute-Garonm
les avantages matériels désirables.
rer las anciennes injustices en Pologne, en
de totour et do conseil.
Paris-Londres.
,
,
. .
H. Bonjiaïous. — . Il nous faut rester dans le
[Siège de Belforl 1870-71)
A REIMS
En conséquence, le départ est retarde ]Uscadre professionnel avec pour base lo Syndicat Bavieroet ailleurs, on doit également réparer
La mess© de neuvaine sera célébrée dan<
eèiie-là. Le bassin uc m odvru lioao .av.w** DM»
communal. »
*
Beims. 26 janvier.
uu 'à ce que le temps soit favorable.
avec la fr
la plus stricte intimité.
M. le marquis de Palaminy a fait ensuite émet1WM ; en 1815, LanLa neige tombe en abondance, et, sous le
rfi".
Sarrelvuck
et
Sarre
tre des vœux concernant la suppression des taxaP®£os>«4 Funèbres VA «ina-ai©s, 7. r. Latayette. T. 10-3»
jiiis nous furent enlinceul blanc, Reims paraît plus tragique
COMMENC.EM.EiNT D'INCENDIE. — Hier matin,
levés ; «n sait pourquoi
tions et des répartitions, la réfaction du; matériel
encore.
veirs i il. 20, un commencement d'incendie s'est dédes chemins do fer et de batellerie a confier à l'Un.
C 'est -que les A.
-alors avaient voulu
Le président et Mme Wilson,
acclamés
claré au n* 131 do la Grand'rue-Saint-Miciie],
dr.istrio privée, la création de services automobiles
laisser aux lianes de la France cette blessure
par la foule, traversent les rues en ruines.
dand l'atelier do clrarpen-te do -M. Ducros. Le feu a
interdépartemontaux sous la directian comb^méo d©
ouverte par laquelle il était facile de l'enDu 26 janvier.
nris naissance à la uoutre maîtresse qui soutient
Us sont reçus sur le parvis de la CathéT-Administration et des Chambres
do commerce.
la toituro et dont l'extrémité so trouve en faco
Le
vceit
concernant
l'utilisation
des
poudreries
— le vapeur remorqueur Le-Niolê, qui avait drale par le cardinal et visitent en détail
**ais
il
n'est
nas
missi-We
<m?
p«
vWa*
n-a.n
d'uno cheminée de la maison portant lo n" 138 do
pour la fabrication de l'azote et de l'acide, sulfnle monument, s'arrètant notamment devant
la ruo des Récoliete, appartenant à M. Artis. Oo
été coulé en Tade de Toulon, le long de l'épaçaises
que
ces
places
fortifiées
par
Vaumn
rltfhe a motivé une savante Intervention do M. le
;
Monsieur Eîio
DORRES,
pharmacien da
ve du cuirassé la Libel le, a été renfloué par le transept où un obus de 380 a failli causer
Professeur Fabie.
no soient pas rendues à la mère-patrie.
, feu a été rapidement étetet >ar les pomip-iers do. la
r
des
dégâts
irréparables
au
cours
du
bomcaserne centrale. Les dégâts, évalués i 300 francs
l » classe : Madame Elie DORRES née ANle pontont t Allas, après une semaine dopéra11. Honoré Le-y^ue, sénateur, a appuyé lo wittenviron,
sont
couverts
aiar
une
Compagnie
di'assubardement d'avril 1917. Des sapours du géMUES
et
leurs
enfants
Jean
et Renée ; Ma«<soe de la for.nration d'-une C. G. T. agricole et
le"" «rei» à» 1815 ; ils li »<s^W e «H«.'i'
rances.
préconisé la résistance
aux
empiétements d'un
dame Henri REY, née DORRES ; Monsieui
j_ i,e conseil municipal de Metz a adopté, i nie ont édifié, sous les obus, un contrefort.
Reste la rive gaucùe du Rhin.
Etatisme do plu? en plus envahissant,
DEUX VOLEUSES. — Le commissaire de uolice Henri REY et leur fils Gérard, aux arméesj
Le cardinal a affirmé solennellement que
•\ l'unanimité
une motion déclarant Metz I
il semole <.ue xon . MB ,
jj^j'ler • si '
\t Turrel a défendu lo projet présenté par M. de
du -i" arrondissement a mis à la ddsr«ositkm du
les familles RICHARD. CONSTANS, ROCHEmarraine de 'la ville de Pont-à-Mousson.
| jamais les tours ne furent utilisées dans un
Palaminy tendant a faire stenaler par dos orsa- l'on en pane, on le fait seulement avec des ' procureur de la RéjniMiquo les nommées Julia Co.
FORT, ANDRIES, PEYTCU, RBCOUIE, SA.
— Les Ukrainiens ont promis do libérer j but militaire.
circonlocutions, dès péripnrases, une timidité
cagne, épouse Aoatia, 42 ans, domestique, sans dontemes départementaux a former aux r.,rocureu.rs
Le
président
a
répondu
;
«
l'ai
toujours
GNE, MARGERY,
RUMEAU,
RLANCHARD.
le capitaine français Villaine et le citoyen j
enllu eau donnent nuu.res' - n. ,.ae u ^, U o ne
micile fixé, et Jeam ,j .Fontasié, 39 ans. caiiffondo la RtiranMiquo' les actes réprêhensibles commis
cru
do
même.
»
gp-Dir -as .«MIS iortJS.de i>uue dJ Olt. '
ndèro amiaulante, sans domicile fixe, inculpée do DELASSUS et CRASTE prient leurs amis ei
ivi.r certains industriels ou eommercants. ceux-ci
belge' Hedonut.
I
M. Wilson a reçu du maître-verrier Sivol.
n'hésitent
pas
à
compliquer
te
prcMcme
né
do
la
connaissances
de
vouloir
bien
assister à 1*
On invoqué contre l'annexion des payscls— M. et Mme Wilson sont partis, à huit
mon la reproduction d'un vitrail. M. Wilcrise- des transports en paralysant 1e transît.
messe d'anniversaire de
TROUVAILLES. — Réclamer : au Bureau des
rbenaiis ic uron ut.> iieiàu» u u >^vo«ex CI euxheures ce matin, pour visiter le bois Belleau
« C'est honteux co qui! so produit sur certains réson a fait, malgré le mauvais temps, le
éaaw», un bloc-express et un iparapluie; à M.
ou combattirent victorieusement les premièMadame veuve DORBES
seaux, s'est écrié M. Tutrrel. Des vsçurûns sont mis mêmes, et si quelqu'un émet l'hi.poûiese d'une
Pierre Soureubilta, rue du Quatre-Septembre, 9,
tour de l'édifice.
volonté des populatioais cisrbénanes do «e
res divisions américaines ; dans l'après-midi
à la dlfinosition de ceux assez fortunés pour y
Née Marie JULLIA
un ane; à -Mme. Daressy. rue Sainte-Marie, 17, un
A son départ, il a été de nouveau acclavoir
réunies
à
la
France,
on
déclare
gravemettre
lo
prix
!
»
ifs visiteront Reims.
parte-monnaie avec potito somme; à Mme Fournil,
qui sera célébrée, nour le repos de son finie 1«
ment : « i\ous ne voulons pas les annexer
•M.
Cazal.
axent commercial a la Compagnie
Z*. Le commissaire du gouverneur du tri- mé Le président est allé ensuite visiter
ruo du Poids-de-l'Iiu/ile, 3, un portefeuille- à M.
fort de la Pompelle.
mardi 28 janvier 1919, à 10 heures du matin
d'Orléans. — Stcna-lez inons ces faits. Us ne se re- •GST elles en sont '-"''-{rnes. »
Loubens, Hôtel de l'Opéra, place du Capitole, i,
bunal régional de Metz a séquestré les biens
nouvelleront plus ! » (Ainpla.ud'âsemen.ts.)
l'église de Notre-Dame du Taur.
un ciiiien avec collier.
Il
faut
cependant oser parler sôrieusedo rex-K&iser en Alsace et Lorraine.
LE RETOUR A PARIS
t,'e.rd,re du tour ayant été ôpuisé, M. Ili.ppolyte
11 ne sera pas fait d'autre invitation.
meiit.
_ Le prince de Galles et le prince Albert
T
yn'ens
a
levé
cette
séance
qui
ne
peut
avoir
On se réunira à l'église.
Paris, 26 janvier.
La Rhin est et a toujours été la frontière
sont arrivés à Bruxelles ; ils sont les hôtes
mu d'iienreux effets pratiques dans un très proLe président et Mme Wilson, de retour de
naturelle de la France.
chain avenir. — L. B
r
Le droit de monter la garde sur le Rhin
_ °Ainsi qu'on l'avait annoncé les trans- leur pèlerinage dans les régions dévastées
sont arrivés hier soir,
t» h. 30, à leur
nous le tenons du fait que nous sommes les
ports ont repris aujourd'hui
d'une. f»con
voisins d'une race de proie -qui, maintes fois
hôtel de la rue Monceau. Leur voyage s'est
•iorniale dans toute la région parisienne.Jt&DXION DES COMMERÇANTS DEMOBILISES
au cours des siècles et cinq fois depuis la Réeffectué sans incident.
POMPES FUNÈBRES GÉNÉRALES
_ Le nroduit net du placement des Bons
— Les commerçants démobilisés qui, du fait do la
LA TAXATION
volution, a envahi notre territoire ; tous les
(Convois,
transports,
cercueils, lettres, eta»
le la Défense Nationale s'est élevé pour la
mobilisation, ont été mis dans i 'impossibilité de
SUR
PIED
ET
A
LA
CHEVILLE
Organisations
de services pour soldat»
traités
que
l'on
pourra
signer
a
la
suite
de
payer
les
effets
souscrits
antérieurement
au
première quinzaine de janvier à 1.123 mil7. Rue Lafapette. — Téléphone io
Arrôté do M. le -préiet do la Hante-Garoa-nc, en la Conférence de la paix ne nous empêcheront t août l9J<i, et ont. par suite, bénéficié des mora&>uronnes morttiates. — Cbeix à dt>mlelM
toires, sont invités à se rendre à la réunion qui
dato <lu 13 janvier, qui fixe ainsi qu'il suit les
pas de rester la terre promise à la Germanie
Drlsnlimitus dai liétail à la production et des vianaura
lieu
demain
mardi
58
janvier,
i
9
Jicures
du
barbare et affamée, et contre ces menaces redes à la cirovllle :
soir, salle du V étage du café Aindrau, place du
nouvelées d'invasion, le seul bouclier efficace
est notre armée. On -conçoit, dans la quesPrix
du
bétail
à
la
production
UME DÉFAITE DES BOLCHEVIKS
Ordre du jour : Constitution d'un comité de détion de la rive gauche du Rbin deux phases •
Animaux de l'espèce bovine, — Bœute et tautenÊo «les nieratorlés.
ficiiauliements récents on anciens, BJ»mor«*
dôgermanisation des pays cisrtiénans- francireaux de tous âges et vaches ayant au i>lus t ans :
R. A. T., TERRITORfiAUX HT RÉSERVISTES DE
gie. Cystite, Rétrécissements, Maladie.» de 1«
Rue dépèelie Wolff, datée de Kovno 25 jansation dos mêmes nays.
V qualité, '2 fr. 10; S-* 1 fr. 70; S", 1 tr. 35; vaches
L ACTIVE. — Réunion générale ce soir lundi à
vier, annonce que les troupes lithuaniennes
vessie, Coliques néphrétiques. Incontinence
âiïées do plus <lo i ans : 1" qualité, i fr. O0;
On est à peu près d'accord sur ]a première
De notre correspondant particuticr :
a
h.
30,
i
(Tanclennc
Faculté
das
Lettres,
rue
de
auraient infligé une défaite aux bolcheviks, à
d'urînea
et
élites
maladies de votas urt»
2*. 1 fr. »; 3", 1 fr. 23. — Veaux : 1" qualité,
phase et sur la nécessité qu'il n'y ait plus
Bentusat.
Puy-l'Evé-quc, 20 .janvier.
35 kilomètres ^ l'est de Kovno et auraient lait
i! fr. 00, lo tout lo Mlo.
nairôs SCTU radicalement tnisrls pa' les
un soldat allemand, plus une forteresse alle—
•
i e coupable. André ltouvenot est né à Marpins de
prisonniers. Les Lithuaniens mar/ini»iati.>; de l'espèce bovine. — Agneaux et moumande sur la rive gaucho du Rhin sinon mêPILULES DU DOCTEUR 10UX
mande • il liabite Agén et est âgé de 30 ans.
cheraient sit'r Vilna.
tons : 1" qualité, 2 fr. 70; 2*. 2 fr. 10; 3*. f fr. 61).
me dans une profondeur de 30 kilomètres le
Le llacon, 6 fr. Envoi iranoo contre mail*
toïès avoir divorcé à 23 ans, il s est remarie.
— «rebis : 1" qualité, 2 fr. 40 ; 2*. 1 fr. &) ;
long' de la rive droito ; car c'est là que
ont poste de 6 tr. 33. Dépôt :
Pharmaolli
3*. 1 fr. 40, le tout lo liilo.
Vt y a six ans, avec Jeanne Cbadelec, sa vtcl'Allemagne prépare et de là qu'elle lance ses
OuLtEUX, 9. rue de Kémusat. ToulouM.
Animaux de l'espèce porcine. — Porcs pesant plus
agressions.
do 120 Mlos : i fr. S0. — Porcs pesant de SO ù
' Celle-ci, ne pouvant supporter sa brutalité,
Et certains en sont arrivés à la thèse des
120 kilos : -4 i-r. &0. — Porcs .ursant moins do SO 1(1
rentra chez elle.
v . .
A L'INSTITUT CATHOLIQUE
trois frontières, politique, économique et miETAT
GRAVE
DU
ROI
PIERRE
los
:
4
fr.
10.
—
Truies
ot
verrats
:
4
fr.
20.
le
Rouvenot
mécanicien-chauffeur, fut mobiCours publics
tout
.lo
lillo.
litaire,
dont
la
première
resterait
celle
de
lisé à l'Arsenal de Toulouse : c'est, de là qu'il
Râle, 27 janvier.
1815.
Lundi 33 janvier, ;\ ', heures. — « La législation
revint chez sa bello uière pour réclamer cerPrix de la viande à la cheville
On mande de Laibach :
Mais il ne suffit pas qu'il n'y ait, pas un
mariage d'-anrùs le nouveau code do droit canoVieux
dentiers, argenterie, bijoux
meuBtevrfs de tous âges et vacïiCi? ayant au pinj soldat allemand sur la rive gauche du Rhin ; d,u
Le roi Pierre, dont l'état de santé avait emnl«iuo (suite) : lies emiiéche-mcnts dtrimants », par bles anciens, reconnaissances Mont-de-Piété<
Aw'lvé cnë/. celle-ci, H la trouva avec sa
4 ans : 1" qualité, 4 fr. 30; S*, 3 fr 70; 3' 3 tr. «0
piré en ces derniers jours, a ou une seconde
3/6. UeseoD, doyen.
il
est
nécessaire
quel'armée,
charg-éo
de
Félix, antiquaire. 18. ruo Saint-Etienne.
femme, assise au coin du feu.
— Yj'ciiics âgées do plus de i ans : 1' qualiU;
•Mardi ss, ;\ 4 benires. — ( Le miracle devant la
attaque. Le prince héritier s'est rendu immégarder le Rhin, ait des vues sur la rive droiH prétend qu'une discussion s éleva ou sui fr. .10; 2", S fr. CO; 3*. 3 tr. — Veau. : 1" qua.
raison », ipar M. Catliala,. professeur.
diatement auprès de lui.
1 qualité
te,
donc
qu'elle
occupe
les
pays
de
la
rive
Agneaux
et
moutons
:
,1
lit»,
5
fr.
30
jet de quelques objets qui lui étaient contesM0NDlAL-0FPii
~raa
~Bàvaid. Grand*
Mercretli -10, à 4 heuws. —
ILO Bralima-ni-smc.
fr. 20; 3", 3 tr. 83. — BreMs : l" qua.
0 fr. »; 2'
gauche ; et comme il faut éviter les frictions
Y-s et alors, de doux balles de revolver, U
AKence. Locations, Ventes. Achats coaunerc*»
Littérature et phllosoiphte religieuses », ,par M. lo
ltté. 6 fr. 20; 2', 4 fr. 90; 3", 3 fr. 80. - - Porcs
et les complications de
l'occupation
d'un
Maisons. Propriétés.
Massa mortellement
belle mère et tira une
chanoine
Malsoavnoiive,
doyen.
1" qiunKté « tr. 70, lo tout lo kilo.
pays fût-il neutralisé, l'armée française, qui
Vendredi 8t, à k heures. — a Les fondements bio.
nuire ballo sur sa femme, qui ne fut pas atloiriques <ln Vitalismo », par M. l'abbé Houle.
ëinto • niais il se précipita sur elle avec un
campe sur la rive gaue.be
du
Rhin,
doit
routeau, qu'il lui plon.ffçn dans le côté gause trouver en territoire français.
A LA FACULTÉ DES LETTRES
11 y va des intérêts des Alliés comme des
" L'assassin mit le feu ;\ trois lits, puis sinôtres ; le colonel Rcpmgton n'éerivait-ii pas
Cours dd In semaine du n janvier au /• lévrier
L/*
conseil
mtmiûtoal s?, réunira en sosatoH
Guérissent dto la Qeutt e et des Rlmmastisnief
mula un suicide en se Jetant dans la rivière
ivee-iu,!»cnt. : « La Manche doit être défendue
Lundi, à 6 li, 10. — M. Durrbach. — Antiquités
extraoïxiinaire, aujoiuMl'îiul linnil in Jamler coupar l'usage du
ajreorfues et latines. — sujet, dn cours : « Pc/mméï
sur le Rhin ».
il peu près sans eau.
*
ra,nt. il i> Iwwircs du soir.
M'i'êté par ln gendarmerie. Rouvenot fut
— IJCS ftiillcos du Forum » (suife cl j(m. pi-ojcc'
OlKSve du ion-»- : Indemnité de cliûmase.
Et M. Despéramons montre au cours des
A
TOULOUSE
tiens.
conduit il Piu-H'.vcque : sur lui furent trouItordi. a i h. ta. — OM. lr. Mérimée. - Littérav'ées trois lettres adressée Tune à son coloLe Stade Toulousain (mixte) bat le
tiffl'o espagnole. — Sujet du cours : u Le d.vamanel, l'autre au procureur do la Itépubliquc et
DÉPURATIF VCCÊTAL
Olympique par 81 points 15 essais, 3 butej
•urgfi Jean
Bneina et l'influente de la aies
ln troisième à son père.
Une sur la littérature dramatique «
ù 3 points (1 essai).
Dans
lettres, le misérable annonce que
La liolle, 1 fr. 60 ; par poste. 1 fr. 80
Mewaedf il 5 n. «. '— w. Graiîk». — Hisioire de
•le graves choses vont se passer ; donc 11
L'équipe première du Stade étant en déplav
« ,7 î nSH *»
: " Le «*nl« invenlll dans La Croix-Verte. 11. rue de Rémusat, Touieusi
tivait prémédité' son mauvais coup.
cement à Pau, c'est l'équipe seconde qui
1 awhJtcr.tii.ro vomone de France (suite)1 • j a df.-oCahort
ration. » FrojcctioiiB.
not. a
Uo
Joua contre les Castrais. Cette -partie fut, en
tous points, splendide-.
-M C*»W».
La société russe
FILS
aiu XIX' siècle d'aipru'.; la littérature russe; — SuIJCS Castrais possèdent, une liolle équipe,
jet du cours :
TA .période do ir;:>iri1inii '.suite) :
puissante, bien en souffle, mais. hier, elle
COTON, LIN et CHANVRE
les Petites fions clM* Gogol, » Projections.
avait affaire à trop forte partie, car les Touen nclielinit, DU BON A LOTS PANAMA, MI)!t>rn>émeQI à la loi tpMlla
COTONS, câblés, échevaux
\cndredi. a r, h. », — M. T.olscau, — La Bandu 12 mars
pnyublo DIX fr. en «(inscrivant cl le solde par inensnnllléa
lousains étaient renforcés
par
Stnixianu,
LINS, tissages et filtories
jfMniinUsme. — Sujet du cours : « Ses base» bisprn.liinl deux un3. Dos It;
vorsoin., on ritvinnt seul |iroprlét»!ro du tllro
torkruM. _ j. »
llioussa. Mounic, Delrieu et lia y.
TISSUS. Lainages ot Draperies
JJBirae s'il était payé complut at l'on a droit 0 la totalité du lot gagné.
La présence de tous ces brillunis Joueurs
Samedi, à & h. 15. _ M rartallliae. - AMUéO.
BONNETERIE
tous genres
ces» av«c, un vif plaisir que nous avons
Tûuttilri l 'nnama von gafhfitH Ni Htnbourii d 400 jr. p. vol» do tirage.
JOAto pnaiistorkrue. — Sujet dm «ours : « T-c« pod'avant-guerre,
changea
complètement la
LINCERIE
relevé
duns le dernier
mouvement de la
Les LOT8 PANAMA affreat 370 lliajtes donnant les lotH ci -deasons
Dti'latlons primitives de l'.Vinéirternc. » rrojivlloiis
physionomie du jeu que nous Sommes àc£OU*
RUBANS sorRéa et glacés
Légion d'honneur du ministère des travaux:
tumés a voir depuis quelques années. Nous
LAINES A TRICOTER
punîtes, le nom de notre excellent ét symparevîmes,
hier,
du
vrai
rugby.
Plus
de
ces
thique confrère M. Marius Richard
** c ™a
horribles
cafouillages
où
l'on
se
martelle
les
taire général du groupement des
intérêts
côtes plus de plaquages sensationnels après
économiques de la prisse quotidienne, fran—
lesquels l'homme reste étendu sur lo ground,
A
eyBoulecard Sèbastorol, Paris
çaise, secrétaire général
de
l'association
Total:
fr. - Tirage le 15 FÉVRIER 1919
niais tous Us loueurs n'ayant qu'une préoOCU
I
Usine à Lyon
Française pour le développement
de 1 ouOn participe • toua los tiragoa fuoqu'n oo quo le numéro eorte.
nation ; in fliger l'homme pour le ballon et
tillage, national, élevé nu grade d'officier.
Tél. 1 Dont se.na — Cent oc sa
Xumena de suite — Sécurité absotue — liste gratuite après Tirage
ouvrir à outrance.
M. Marins Richard qui, durant, la guerre,
\M dsmaadaai «ont reçues Ju^n'nn 16 FÉVRIER 191», midi'
I.a qualité du jeu fourni par les stadistes
LES CALAS CLASSIQUES
& rendu îi la pressa française les plus_ signa
mantiht-f.ostt de Dix ù-anoa à M. IX>UBAKESSF, directeur du Crédit
fut, eupérioure Les lignes arrière», constamnhle
et
lo
plus
Familial Algérien, to, rue d lcly, ALGER.
lés services, est le nlvis aime "
1*:
MMiipatHUrim
directeur, M N.-ulra..K>,i.v noua
ment en acllon, nous firent admirer toute
arino.il»-., iHiii, |,. dnnnnrJw 2 Mvi-lec, Sali..' ilislen».
OROS LOT DE BOO.OOO FRANCS, LE 15 FÉVRIER
dévoué des cont
uno gamme 'In combinaisons exécutées avec
ifsion
liien
cor""«-«'«». I* lH-UU (UH
Nous lui ad
Gérant . AU finît BBSSfMI
aiw; uo \icbo>r
lmi>rlmwle ppéetaJ»
Paris, 26 janvier.
Le service des fraudes a découvert que des
producteurs de province, au lieu d'envoyer
'leurs produits sur les marchés réguliers, halles
centrales et commissionnaires,
adressaient directement leurs marchandises à des
marchands qui revendaient clandestinement
le beurre' 15 à 20 francs le Uilo, et les œufs,
Je 750 à 7S0 francs le 1.000, au lieu de 630 à
é6Ô fr., cours noirmal.
Hier
les inspecteurs ont amené au commissariat de M. Lavaysse un boulanger de
Montmartre, qui vendait dans son arriéreboutique du beurre, à raison de 20 fr. le
m
a
départe-
S DE N EU VAINE
Ve
LE MAUVAIS TEMPS
REMERCIEMENTS
Université de Toulouse
.w;..iv. . ..
. ûm iss Képsi aefâsieas
PETITS FAITS
AVIS D'ANNIVERSAIRE
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AVIS ET CONVOCATIONS
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itons.
La Viande de boucherie
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Maladies Intimes et Contagieuses
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EN SERBIE
très cher
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LES ARTHRITIQUES
Conseil Municipal
FOOTBALL
RUGBY
Castres*
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COU
NOS CONFRÈRES
137
136
274
2/4
J
Lois fie 500.000 francs
274 Lois île 5.000 francs
- 250.000 1.375 - 2.000 - 100.000 - 14.150 - 1.000
1O.000 - 81.175
400
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