Telechargé par Fatima Zohra AMAAZOUZ

comp sensoriels

publicité
Rétinopathie du prématuré
Définition
La rétinopathie du prématuré (ROP) est un trouble vasoprolifératif rétinien rare
affectant les nourrissons prématurés. Elle se caractérise initialement par un retard du
développement physiologique vasculaire rétinien, et par conséquent, par une
angiogenèse aberrante sous forme d'une néovascularisation intravitréenne.
La rétinopathie de la prématurité (rétinopathie des prématurés) est un trouble
bilatéral anormal de la vascularisation rétinienne du prématuré, en particulier ceux
dont le poids de naissance est très faible. Les séquelles vont d'une vision normale à
la cécité. Le diagnostic est ophtalmoscopique. Le traitement d'une forme sévère peut
faire appel à la cryothérapie ou la photocoagulation au laser ou au bévacizumab; les
autres traitements s'adressent aux complications (p. ex., le décollement de la rétine).
Physiologie :
Les vaisseaux sanguins rétiniens internes commencent à se développer vers le milieu de la
grossesse, mais la rétine n'est complètement vascularisée qu'à terme. La rétinopathie de la
prématurité se développe si ces vaisseaux continuent leur croissance de manière anormale et
forment un bourrelet de tissu entre la rétine centrale vascularisée et la rétine périphérique non
vascularisée. Dans les cas sévères de rétinopathie de la prématurité, ces nouveaux vaisseaux
envahissent le corps vitré. Parfois, la totalité de la vascularisation de l'œil s'engorge (plus
disease).
La sensibilité à la rétinopathie de la prématurité est corrélée à la proportion de surface
rétinienne encore non vascularisée à la naissance. Chez le nouveau-né pesant < 1 kg à la
naissance, la rétinopathie de la prématurité se produit dans 47 à 80% des cas, et une
rétinopathie de la prématurité grave se produit dans 21 à 43% des cas. Le pourcentage est
plus élevé en cas de nombreuses complications cliniques (p. ex., infection, hémorragie
intraventriculaire, dysplasie bronchopulmonaire). L'excès (en particulier prolongée)
oxygénothérapie augmente le risque. Une supplémentation en oxygène est cependant souvent
nécessaire pour oxygéner le nourrisson convenablement même si ni le niveau de sécurité ni la
durée de l'oxygénothérapie n'ont été déterminés.
Examen du fond de l'œil (ophtalmoscopie)
Traitement

Photocoagulation au laser

Bévacizumab
Dans la rétinopathie de la prématurité sévère, la photocoagulation au laser afin de détruire la
rétine périphérique avasculaire réduit l'incidence des plis rétiniens et du décollement de la
rétine. La vascularisation rétinienne doit être surveillée toutes les 1 à 2 semaines jusqu'à
maturation suffisante des vaisseaux. Si un décollement de la rétine se produit au cours de la
petite enfance, un cerclage de la sclère ou une vitrectomie avec ablation du cristallin doit être
envisagé, mais ces procédures sont des thérapeutiques de dernier recours qui apportent peu
de bénéfices.
En cas de cicatrices résiduelles, un suivi à vie au moins 1 fois/an est nécessaire. Le traitement
de l'amblyopie et des anomalies de la réfraction pendant la première année améliore la vision.
Le nourrisson atteint de décollement complet de la rétine doit être suivi afin de dépister la
survenue d'un glaucome secondaire et la diminution de la croissance oculaire et adressés à
des programmes d'intervention adaptés aux malvoyants.
Le bevacizumab est un anticorps monoclonal anti-facteur de croissance endothéliaux qui peut
arrêter la progression de la rétinopathie de la prématurité. Par rapport à la thérapie au laser,
le bevacizumab a un taux de récidive plus bas et moins d'anomalies structurelles. La récidive,
si elle se produisait, aurait lieu quelques mois plus tard; à long terme un suivi ophtalmologique
est nécessaire. Les préoccupations relatives à l'absorption systémique et à une infection
possible couplées à la nécessité d'une dose optimale et d'un calendrier de suivi sont des
raisons pour lesquelles ce médicament est resté une thérapie de 2e ligne qui peut être utilisé
pour traiter une maladie grave ou en conjonction avec une thérapie laser.
Prévention
Après une naissance prématurée, une supplémentation en oxygène n'est nécessaire que pour
éviter des fluctuations de l'oxygène, car l'hyperoxie et l'hypoxie augmentent le risque de
rétinopathie de la prématurité. La vitamine E et la restriction de lumière ne sont pas efficaces.
La surdité congénitale concerne les enfants sourds ou souffrant
d’une perte auditive à leur naissance qui évoluera par la suite avec le
temps. On recense en France environ un 1 cas pour 1000 naissances.
Elle pose un véritable problème car elle n’est pas systématiquement
dépistée et nous le savons, l’audition d’un enfant joue un rôle centrale
dans son développement et son apprentissage, notamment celui du
langage.
LES CAUSES DE LA SURDITÉ DE
NAISSANCE
La perte d’audition peut avoir deux origines : une origine acquise
(exemple : un traumatisme sonore) ou bien une origine congénitale
(exemple hérédité).
Parmi les causes congénitales on distingue plusieurs possibilités




Les causes génétiques héréditaires comme le syndromes
Branchio-Oto-Rénal, le syndrome de Stickler, le syndrome de
de Waardenburg, le syndrome de Usher, La maladie de
Refsum, un déficit en biotinidase...
Une naissance prématurée
Des infections in utero (rubéole, syphilis, toxoplasmose…)
Un manque d'oxygène in utero ou bien à la naissance
(hypoxie)
LE DÉPISTAGE D’UN NOURRISSON
Le dépistage auditif d’un bébé n’est pas systématique bien qu’il soit
désormais obligatoirement proposé. Ce test permet d’établir un
premier diagnostic après la naissance. Deux examens sont alors
pratiqués pour évaluer les capacités d’audition de bébé :
 Otoémissions acoustiques automatisés : une sonde placé dans
l’oreille diffuse des sons brefs et faibles comme une voix
chuchotée. Les réactions sont récoltées par la sonde ou des
électrodes.
 Les potentiels auditifs évoqués (PEA) : ce test permet d’étudier
l’activité du cerveau après réception de stimulis auditifs.
Ce dépistage n’étant pas systématiques, la plupart des surdités
congénitales sont diagnostiquées après 15 mois.
Les symptômes de surdité chez les enfants
Dans son guide "Dépistage des troubles de l'audition chez l'enfant" (réalisé en
association avec le ministère de la Santé), la Société Française de Pédiatrie donne
les principaux signes de surdité qui doivent alerter les parents. Ainsi, devant l'un de
ces symptômes n'hésitez pas à prendre rendez-vous chez votre médecin ou ORL.
Dans les premiers mois

Absence de réaction aux bruits, même s'il y a un bruit fort et soudain, il ne sursaute
pas, son expression de visage ne change pas ;

Par contraste, réactions vives aux vibrations et au toucher ;

Sommeil trop calme.
La prise en charge va bien sur dépendre du degré de surdité :

Légère (perte auditive de 21 à 40 décibels) ;

Moyenne (perte de 41 à 70 dB) ;

Sévère (perte de 71 à 90 dB) ;

Profonde (perte supérieure à 90 dB).
Comment prévenir les troubles de l'audition ?
Pour prévenir les surdités qui ne sont pas d'origine congénitale la vaccination
contre les bactéries responsables de méningites purulentes peut être conseillée
(Haemophilus influenzae, pneumocoque).
Corps et pensée
Les troubles physiques et sensoriels peuvent être causés par un trouble particulier
de l’organe en soi, comme l’œil, ou peuvent être causés par une lésion au cerveau
qui nuit à la fonction de cet organe. L’ordinateur est une bonne analogie : si votre
l’image de votre écran disparaît, c’est peut-être parce qu’un problème l’empêche de
fonctionner, même si le moniteur en soi fonctionne, ou il est possible que l’ordinateur
fonctionne, mais le moniteur peut être brisé. Le corps peut être touché de la même
façon.
Conséquences sur l’ouïe
Comme la majorité des complications causées par la prématurité, le risque que le
bébé souffre d'une certaine forme de perte auditive augmente avec le degré de
prématurité. Les organes impliqués dans l'ouïe comme la membrane du tympan, la
trompe d’Eustache, etc. se développent relativement tard dans l’utérus. Tout le
système auditif continue de se développer jusqu’à la 26e semaine de grossesse et
demeure vulnérable aux blessures pendant un certain temps après cette période.
C’est pour cette raison que les niveaux de bruit à l’unité néonatale des soins intensifs
(UNSI) sont le plus bas possible.
La perte auditive chez les bébés prématurés peut être causée par une blessure, une
infection ou une anomalie congénitale.
On devrait faire un test auditif aux bébés avant qu’ils ne quittent l’UNSI et plusieurs
mois après. Il est extrêmement important d’identifier les troubles auditifs : les bébés
et les enfants qui souffrent de perte auditive seront très désavantagés en ce qui
concerne l’apprentissage et le développement. Un trouble auditif non identifié
augmente les risques de troubles. Par exemple, les enfants atteints d’une perte
auditive peuvent sembler avoir des problèmes de comportement alors qu’en réalité,
ils n’entendent tout simplement pas les instructions. Si la source véritable du
problème reste inconnue, on traitera l’enfant pour un trouble du comportement plutôt
que pour sa perte auditive.
Types de troubles auditifs
La perte auditive se présente sous plusieurs formes et peut varier de légère à grave,
parfois allant jusqu’à la surdité. Certains types de troubles auditifs peuvent être
traités. Même si le traitement n’est pas réussit ou n’est pas aussi bien réussi qu’on
ne l’aurait souhaité, il est toujours préférable de connaître l’existence du trouble
puisqu’il est alors possible de prendre d’autres mesures pour améliorer la vie et
l’apprentissage.
Surdité de perception
Les troubles de surdité de perception proviennent de l’oreille interne. Ils sont souvent
causés par des infections prénatales, l'asphyxie pendant ou peu après la naissance,
ou des facteurs génétiques. De plus, certains médicaments utilisés dans le traitement
d'infections néonatales graves peuvent causer ou empirer la surdité de perception.
Dans la majorité des cas, la surdité de perception n’est pas réversible, ni
médicalement, ni chirurgicalement. Cependant, les aides à l'audition et peut-être les
implants cochléaires peuvent souvent limiter ou réduire au minimum les
conséquences de la condition.
Surdité de transmission
Les troubles de surdité de transmission proviennent de l’oreille moyenne ou de
l’oreille externe. Autrement dit, certains types d’obstructions empêchent le son d’être
transmis à l’oreille interne. Plus couramment, cette obstruction est causée par de la
cire, un liquide, ou encore une rupture ou une perforation de la membrane du
tympan. Dans la majorité des cas, ces troubles peuvent être traités médicalement ou
chirurgicalement. Si l'obstruction est causée par un liquide, elle est habituellement
provoquée par une infection acquise à un moment donné après la naissance appelée
l’otite moyenne.
Les signes à reconnaître
En plus des tests auditifs, les parents devraient être reconnaître les signes de
troubles auditifs potentiels, y compris :



aucune réaction aux sons bruyants ou à la voix d'un parent à six mois d'âge corrigé;
retard en ce qui concerne le babillage et les premiers mots comme « maman » et «
papa » à 12 mois d'âge corrigé;
retard en ce qui concerne la parole et incapacité à identifier la source des sons à
deux ans d'âge corrigé.
Conséquences sur la vue
De tous les troubles qui touchent les bébés prématurés, les troubles de la vue sont
parmi les plus courants. Même si cela est possible, il est rare que certains bébés
prématurés deviennent aveugles ou fonctionnellement aveugles. Pour la plupart, il
est possible de corriger les troubles de la vue à l’aide de lunettes ou des verres de
contact.
La rétinopathie de la prématurité, une condition qui fait en sorte que les vaisseaux
sanguins de l’œil se développent anormalement, peut parfois causer des troubles de
la vue qui ont des conséquences permanentes. Même si beaucoup de bébés atteints
de rétinopathie de la prématurité auront une vision excellente ou presque excellente,
un cas grave de rétinopathie de la prématurité peut faire en sorte que la rétine se
détache ou se détache partiellement, ce qui entraînera une perte de la vue profonde
et probablement permanente.
Les cas légers de rétinopathie de la prématurité se résorbent habituellement d’euxmêmes. Les cas graves peuvent nécessiter le laser ou d’autres formes de chirurgie
dans le but de corriger les troubles de la vue.
Certains cas de rétinopathie de la prématurité peuvent laisser l’enfant avec des
conditions diminuant la vue soit sous la forme de la netteté, ou de l'acuité, ou d’une
perte du champ visuel touchant la capacité de voir selon un champ visuel complet.
Bien qu’elles ne soient pas uniquement causées par la rétinopathie de la prématurité,
on compte parmi ces conditions les suivantes :



La myopie. Cette condition fait en sorte que l’œil ne peut pas se concentrer sur les
objets distants. Beaucoup d’adultes sont atteints de cette condition que l’on corrige
habituellement à l’aide de lunettes. Il est parfois possible de la corriger, ou de la
diminuer, à l’aide d’une chirurgie au laser lorsque l’on est plus vieux.
Le strabisme. Il est possible qu'un œil ou les deux yeux convergent vers l’intérieur ou
vers l'extérieur. On peut parfois corriger cette convergence à l'aide de verres
correcteurs. Si ce n’est pas le cas, il est possible d’effectuer une chirurgie sur les
muscles de l’œil afin de parvenir à l’alignement des yeux.
L’astigmatisme. Cette condition consiste en une cornée asymétrique, ce qui rend la
concentration difficile. L’astigmatisme est très courant; beaucoup de gens naissent
avec l'astigmatisme et en sont atteints à un certain degré sans troubles de la vue
importants. Cette condition se manifeste également dans les cas de myopie et
d’hypermétropie. Des lentilles spéciales peuvent être nécessaires afin d'aider à
corriger le trouble.
On devrait examiner régulièrement les yeux de tous les bébés prématurés. Les
parents doivent savoir reconnaître les troubles de la vue. Voici des signes courants
associés à des troubles de la vue :





incapacité à suivre un objet à six semaines d’âge corrigé et plus;
yeux qui oscillent constamment;
yeux qui convergent souvent à plus de trois mois d’âge corrigé;
ne cligne pas des yeux lorsque l'on utilise la photographie au flash;
déteste l’éclairage normal.
Il est possible de traiter bien des troubles de la vue à l’aide d’examens réguliers et de
l’attention des parents entre les visites médicales. Il est important d’identifier ces
troubles tôt puisque certains d'entre eux se traitent mieux lorsque l’enfant est très
jeune. En effet, certaines de ces conditions ont une période limite propice au
traitement, puisqu'elles ne peuvent qu'être traitées efficacement lorsque le patient est
jeune.
Conséquences sur le mouvement et la coordination
Mouvement et tonicité
Les bébés prématurés ont tendance à avoir une tonicité inhabituelle, car leurs
muscles se sont développés dans le monde extérieur où ils étaient soumis à la
gravité, contrairement aux muscles d’un bébé à terme qui se sont développés en
flottant dans le liquide amniotique. Cela peut prendre jusqu’à un an avant que les
muscles d’un bébé prématuré ne ressemblent à ceux d’un bébé à terme.
Une tonicité inhabituelle peut signifier que les bras et les jambes du bébé prématuré
sont plus souples que la normale. Cela peut également signifier que ses bras et ses
jambes sont beaucoup plus ankylosés que ceux d'un bébé à terme. Dans bien des
cas, ces problèmes se résorbent d'eux-mêmes avec le temps. Cependant, chez
certains bébés, les troubles de tonicité ne se résorbent pas dans un délai d’un an. La
cause de ce trouble est parfois l’infirmité motrice cérébrale (IMC). L’IMC survient
lorsqu’une lésion cérébrale touche la capacité de l’esprit à contrôler le corps.
L’intervalle de gravité de l'IMC est vaste : dans un cas léger, le bébé peut avoir des
spasmes musculaires occasionnels ou il est possible que ses muscles restent
anormalement ankylosés ou souples. Si le bébé atteint de tonicité inhabituelle a
également subi une lésion cérébrale comme l'asphyxie ou une hémorragie
intraventriculaire (HIV), on examinera la possibilité d’une IMC. Il est facile de détecter
tôt dans la première année de vie certains cas d’IMC.
Un bébé prématuré avec une tonicité inhabituelle ne sera pas nécessairement atteint
d'IMC. Cependant, si on diagnostique une IMC, il est probable qu'elle soit également
associée à d’autres conséquences du contrôle des muscles comme des difficultés à
saisir ou à manger. La parole peut aussi être touchée.
La majorité des bébés prématurés chez qui l’on diagnostique une IMC sont atteints
d’une forme légère de la condition. Les difficultés à s'asseoir, à ramper, à marcher et
à se balancer en sont des conséquences physiques courantes. Les enfants atteints
d’IMC peuvent également avoir des troubles de coordination. Par exemple, ils
peuvent avoir de la difficulté à atteindre ou à saisir de petits objets. En plus des
muscles ankylosés ou souples, les bébés atteints d’IMC peuvent souffrir de troubles
musculosquelettiques comme les pieds plats, la marche pointe des pieds en dedans,
les hanches disloquées ou une difformité de la colonne vertébrale.
Certains enfant atteints d’IMC sont très intelligents, mais risquent d'avoir de la
difficulté à apprendre à cause de leur incapacité.
Il est parfois possible de diminuer certaines des limitations fonctionnelles causées
par l’IMC à l'aide de la physiothérapie. Les parents peuvent apprendre des exercices
d’étirements afin d’aider leur enfant à améliorer sa flexibilité et l’amplitude de ses
mouvements.
Motricité globale et motricité fine
Il n’est pas toujours possible de prévoir le degré de limitation qu’aura l’IMC sur les
activités et l’apprentissage de l’enfant au fur et à mesure qu’il grandit. Le mouvement
en général se divise en deux groupes : la motricité globale et la motricité fine.
La motricité globale est la capacité de faire de grands mouvements comme le fait
d’agiter un bras ou une jambe. Elle se développe d’abord lorsque le bébé commence
à prendre le contrôle de ses mouvements saccadés et apparemment aléatoires. Pour
que la motricité globale se développe, les muscles, les os et la fonction nerveuse
doivent fonctionner simultanément. Finalement, cela se manifeste dans la capacité
de s’asseoir, de se tenir debout et de marcher.
La motricité fine consiste en une amélioration de la motricité globale. Le fait de
ramasser de petits objets ou d'utiliser un crayon pour écrire ou pour dessiner en sont
des exemples. En plus de la coordination entre les parties et les systèmes du corps
nécessaires à la motricité globale, la motricité fine suppose une conscience et un
certain degré de planification puisque la tâche est sur le point d’être accomplie.
On considère que le développement de la motricité globale et de la motricité fine sont
des évènements majeurs dans le développement de l’enfant. Dans les cas les plus
extrêmes, au fur et à mesure que l’enfant grandit, il se peut qu’on lui installe des
appareils orthopédiques afin de l’aider à marcher. Les appareils orthopédiques
peuvent être installés aux pieds et aux chevilles, ainsi qu’à la jambe si un support
supplémentaire est nécessaire. De plus, on peut recommander la chirurgie dans le
but de soulager la tension dans les tendons des muscles entourant les articulations
ankylosées afin de favoriser la flexibilité.
Téléchargement