À la une
Édito
Sommaire
5...................................................................... Observer encore
par Michel Pruvost
8..................................Les filtres interférentiels en astronomie
par Stéphane Razemon
14..............................................................La technologie LED
par Jean-Pierre Auger
22.....Lumière artificielle et effets sur les rythmes biologiques
par Carine Souplet
26..L’impact de la pollution lumineuse chez les populations d’oiseaux
par Émeline Taubert
31.............................................................................. La galerie
Le ciel du planétarium du Palais de la
Découverte
Auteur : Simon Lericque
Date : 21/11/2015
Lieu : Paris (75)
Matériel : APN Canon EOS 7D et
objectif Peleng 8mm
GROUPEMENT D’ASTRONOMES
AMATEURS COURRIEROIS
Adresse postale
GAAC - Simon Lericque
12 lotissement des Flandres
62128 WANCOURT
Internet
Site : http://www.astrogaac.fr
Les auteurs de ce numéro
Séphane Razemon- Membre du CARL
Émeline Taubert - Membre du GAAC
Jean-Pierre Auger - Membre du GAAC
Michel Pruvost - Membre du GAAC
Site : http://cielaucrayon.pagesperso-orange.fr/
Carine Souplet - Membre du GAAC
L’équipe de conception
Simon Lericque : rédac’ chef tyrannique
Arnaud Agache : relecture et diffusion
Catherine Ulicska : relecture et bonnes idées
Fabienne Clauss : relecture et bonnes idées
Émeline Taubert : relecture et bonnes idées
Olivier Moreau : conseiller scientifique
2015 était estampillée ‘‘Année mondiale de la lumière’’. Cet
‘‘événement’’ était source d’appréhension pour nous autres
astronomes... Certes nous étudions la lumière provenant du Soleil,
des étoiles, des galaxies, bref du ciel, mais nous fuyons celle que
nous créons, artificielle, pour éclairer la Terre mais aussi et souvent,
pour la projeter vers le ciel. Pas de chance, c’est cette deuxième
‘‘lumière’’ qui a souvent été mise à l’honneur toute l’année durant.
Cette pollution lumineuse sera le fil rouge de ce numéro spécial,
comme un état des lieux de ce qu’elle engendre comme conséquences
négatives sur les astronomes, mais pas que... Aujourd’hui en
centre-ville, il n’y a guère plus que dans les planétariums (voir la
photographie de couverture réalisée au Palais de la Découverte) où
l’on puisse voir des milliers d’étoiles. Pourtant, il ne faudrait cesser
d’observer le ciel et de sensibiliser ceux qui ne sont pas encore
conscient de la disparition de ce patrimoine universel. C’est aussi
un peu l’objectif de ce numéro 32 de la porte des étoiles... Bonne
lecture étoilée !
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