Évolution du sida et du VIH au Canada et aux États

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Évolution du sida et du VIH au Canada et aux États-Unis aux Temps
contemporains (1789-2000)
par Jennifer Bombardier et Valérie Robidas
On pourrait qualifier le sida de nouvelle infection transmise sexuellement. Puisque ça
découverte date de 1981 aux États-Unis. Cette maladie a fait des victimes partout dans le
monde, alors voyons sont historique pour en connaitre un peu plus.
Évolution de la découverte du virus
Les premiers cas de sida furent découverts aux États-Unis en 19811. Ils trouvèrent
plusieurs homosexuels avec les mêmes symptômes et aussi certains toxicomanes qui
s’injectaient de la drogue2. À l’époque, l’infection n’était pas nommée sida mais
syndrome d'immunodéficience acquise ou «gay syndrome» puisqu’au début, les
personnes infectés étaient des homosexuels3. C’est à partir de cette découverte que le
préjuger que le sida était une maladie d’homosexuel.
Deux équipes de chercheurs
travaillent à découvrir l’identité de ce nouveau virus. L’équipe américaine du professeur
Robert Gallo croyait que le virus pourrait être un dérivé du virus appelé HTLV-1.
L’équipe française du professeur Luc Montagnier découvrit un nouveau virus et il le
nomma LAV, c'est-à-dire virus de lymphadénopathie associée. L’équipe américaine
commence à produire des cultures du virus des gens contaminés et elle s’aperçoit que ce
n’était pas le HTLV-1 mais bien le HTLV-111. Le HTLV-111 est pratiquement le même
virus que le LAV4. En 1983, la revue américaine Science du mois de mai publie les
résultats des deux recherches. Les chercheurs constatèrent que le virus évolue
différemment puisqu’il accapare l’ADN de la cellule où il entre. Le virus sera nommé,
internationalement, le HIV ou VIH (virus d’immunodéficience humaine)5. «Durant la
même année, la collaboration avec le CDC à Atlanta permit aux chercheurs, via des
études sur le sérum menées auprès de patients américains et français, de renforcer
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HAWKES, Nigel, Sida, Tournai, édition Gamma, 1987, 32 pages, imprimé en Belgique
HAWKES, Nigel, Sida, Tournai, édition Gamma, 1987, 32 pages, imprimé en Belgique
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http://www.pasteur.fr/actu/presse/com/dossiers/Sida/decouverte.htm
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l'hypothèse du lien entre le virus et la maladie du sida, en démontrant une corrélation
entre la présence d'anticorps et celle du virus chez les malades»6. Le CDC est le premier à
démonter que le virus pourrait avoir été transmis par le chimpanzé. Le terme «sida»
désigne la forme évoluée du VIH7.
Lorsque le virus fut isolé, les chercheurs ont cherché à comprendre comment il évoluait.
Comme bien d’autres virus, il entre dans les cellules vivantes, il les maîtrise et il les
domine par la suite8. Le VIH provoque le sida en envahissant des cellules spéciales du
système immunitaire9. Quand les cellules sont atteintes par le virus du VIH, elles
produisent des anticorps, mais ils ne réussissent pas à l’éliminer10. Le système devient
donc déficient puisqu’il est dominé par le virus. Il ne peut plus se protéger contre les
autres maladies ou les autres virus. Ce sont ses infections qui causent les symptômes du
sida et non le VIH lui-même11.
L’origine de la maladie et sa transmission
L’origine de la maladie proviendrait d’Afrique, plus particulièrement du singe.
Des chercheurs auraient trouvés un virus semblable au VIH chez des singes d’Afrique. Ils
pensent ainsi que le virus aurait été transmit à l’homme au début du XXe siècle12. On sait
que la maladie existerait depuis 1950 en Afrique. Elle se serait propagée rapidement avec
la consommation de prostitution dans les grandes villes dans les années 70. Les
personnes, qui étaient en voyage ou voyage d’affaire, auraient rapportées le virus dans
leur pays. Ainsi, le virus se propage partout dans le monde dans les années 8013. Ceci est
la meilleure hypothèse concernant l’origine de la maladie.
Il y a plusieurs manières de contracter le sida. Le virus se retrouve dans le sang, le
sperme, le liquide vaginal et le lait maternel14. La transmission, par des rapports sexuels
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http://www.pasteur.fr/actu/presse/com/dossiers/Sida/decouverte.htm
http://sante.canoe.com/condition_info_details.asp?disease_id=1&rot=4
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LOMO MYAZHIOM, Aggée Célestin, VIH-Sida : la vie est en danger, J’accuse !, édition Syros, 2007,
150 pages, imprimé en France
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LOMO MYAZHIOM, Aggée Célestin, VIH-Sida : la vie est en danger, J’accuse !, édition Syros, 2007,
150 pages, imprimé en France
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intimes, est la forme de contamination la plus fréquente. Le sida peut toucher n’importe
qui, surtout les gens sexuellement actifs ayant de nombreux partenaires sexuels sans
utiliser de protection. Dans les années 80, les hémophiles, recevant transfusions
sanguines, étaient à risque puisqu’il n’y avait pas de test dépistant le sida. Il pouvait donc
recevoir du sang porteur du virus15. Les drogués, utilisant des seringues usagées, sont très
exposés à la contamination par le sang. Les nouveaux nés de mère séropositive n’ont que
cinq ans environ à vivre16. Avec les années, la maladie à pris de proportion de pandémie
ce qui oblige et encourage les chercheurs à trouver un remède miracle contre le sida. Au
Canada, en 2002, le nombre de cas d’infections au VIH, depuis la découverte, signalés
s’élevait à 51 00017. Par contre, ce ne sont pas tous les cas qui sont signalé et ce ne sont
pas toutes les personnes séropositives qui savent qu’elles le sont. Le nombre de nouveau
cas diminue avec les années. Au États-Unis, 250 000 personnes sont mortes du sida
depuis la découverte du virus et 1 millions de personne sont actuellement atteints de cette
maladie18.
Symptômes
Les symptômes du sida peuvent tarder à apparaître. Parfois, ils peuvent prendre de
quelques mois à des années avant d’être constatés par la personne porteuse. Le virus peut
endommager le cerveau en provoquant la démence, ceci peut provoquer des maux de tête,
de la fièvre et la perte de la force dans les muscles. Le muguet est une sorte de moisissure
qui forme des plaques blanches sur les dents, dans la bouche et même dans l’œsophage19.
Les sidéens souffrent souvent de maladies pulmonaires qui provoquent de la fièvre, de
l’essoufflement et une toux sèche. Les gens atteints du sida ont souvent une forte diarrhée
qui peut durée pendant quelques semaines, ils maigrissent ainsi très vite. Les ganglions
lymphatiques du cou, des aisselles, et de l’aine enflent et durcissent20. Les gens qui sont
atteints du sida sont épuisés par la fièvre et les sueurs nocturnes qui les empêchent de
dormir. Ils peuvent aussi avoir des infections à la levure soit dans la bouche ou dans le
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HAWKES, Nigel, Sida, Tournai, édition Gamma, 1987, 32 pages, imprimé en Belgique
HAWKES, Nigel, Sida, Tournai, édition Gamma, 1987, 32 pages, imprimé en Belgique
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http://www.pfizer.ca/french/your%20health/hiv/default.asp?s=1
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http://www.hcsp.fr/hcspi/docspdf/adsp/adsp-15/ad151012.pdf
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vagin. Ce qui n’a pas évolué à propos de la maladie est l’approche graduelle de la mort,
elle est caractérisée comme une lente descente en enfer.
Groupes sociaux atteints par la maladie
Depuis la découverte de la maladie en Amérique du nord, les proportions
d’infection par rapport au groupe sociaux n’ont pas vraiment changées, les rapports
sexuels n’ont protégé entre hommes sont le principal mode de transmission du VIH. Ils
sont les plus exposé au risque de contamination21. Ensuite, toujours depuis les années 80,
les rapports sexuels non protégés entre personne de sexe différent sont le deuxième cas
ou le taux de transmission du sida est le plus élevé. En dernier lieu, la transmission du
sida par la consommation de drogues injectables est la dernière façon la plus courante de
s’infecter en Amérique du nord. Il est certain que la consommation de la prostitution
mélangée à un ou des facteurs cités plus haut augmentent les possibilités d’être atteint par
cette maladie surtout si les rapports sexuels sont non protégés22.
De nos jours, il n’y a pas de loi sur la maladie. Les pays ont cependant une
obligation, ils doivent se soumettre régulièrement à l’Assemblée générale des rapports sur
les progrès réalisés. C’est la Déclaration d’engagement sur le VIH/sida émis en 200123.
Les gens de l’Amérique du Nord s’informe de plus en plus à connaître cette maladie. Ils
comprennent que la meilleure méthode de protections est en se protégeant lors de
rapports sexuels. Par contre, il est beaucoup plus facile de le dire que de le faire alors,
maintenant que le message est passé, il ne reste pus qu’a l’appliqué. La religion
chrétienne n’aide aucunement en restant avec leurs préjugés sur la maladie, elle croit à
tord que c’est une maladie d’homosexuel et qu’il est mal de se protégé lors de rapport
sexuels. Pour les enjeux, la maladie pris de proportion mondiale avec le temps. Les
compagnies pharmaceutiques font des tests sur les gens atteints du sida en Afrique. Il y a
un débat entre les pays à savoir s’il est bien ou on de faire ces tests sur ces gens. Pour ce
qui est de l’Amérique du nord, les gens sont de plus en plus familier avec le sujet et
commence à en tenir compte. Cette maladie à longtemps été un tabou, avec le temps elle
le devient de moins en moins, mais certaines personnes ne veulent pas évoluées.
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http://www.unaids.org/fr/CountryResponses/Regions/NAmerica_WCEurope.asp
http://www.unaids.org/fr/CountryResponses/Regions/NAmerica_WCEurope.asp
23
http://www.unaids.org/fr/KnowledgeCentre/HIVData/CountryProgress/Default.asp
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La situation de la prostitution au Canada
Enjeux
La traite des humains à des fins de prostitution est un enjeu majeur et il y a plusieurs
débats à savoir si on devrait ou non l’encadrer. D’un côté, certains le considèrent comme
un «travail du sexe» et de l’autre, comme une traite des humais comme l’esclavage. Ceux
qui le considèrent comme un travail du sexe veulent la disparition des articles 210 à 213
du code criminel canadien, qui concernent respectivement la tenue des «maisons de
débauche», le transport des personnes vers les «maisons de débauches», le proxénétisme
et le racolage dans les lieux publics. Ils exigent un encadrement à la place de ce métier.
Les personnes qui exigent un renforcement des lois sur la prostitution ne visent pas à
nuire aux prostitués mais bien aux proxénètes et aux trafiquants humains24.
Victimes et impact sur les deux sexes
97% des femmes prostitués des provinces de l’ouest du Canada ont étés violentées
par leur prostitueur, battues, victimes de viol collectif, torturées, enlevées, étranglées,
violées ou violées sous la menace d’une arme à feu etc. La plupart de ses actes se sont
terminés à l’hôpital pour les victimes. Seulement à Calgary, 82% des enfants prostitués
ont signalés avoir été victimes de violence, ils étaient nombreux à avoir craint la mort. De
1992 à 1998, il y a eu 86 meurtres de prostitués au Canada25. Le Canada est un pays
émetteur de prostitution car le nord-ouest des États-Unis fait l’objet «d’importation d’un
certain nombre» de jeunes de moins de 14 ans dans le but de vendre des services
sexuels26. Au Canada, il y a, actuellement, entre 73 000 et 113 000 travailleurs sexuels
dont 10 000 sont estimés à Montréal. La plupart des travailleuses du sexe ont quitté le
domicile familial dit invivables car elles vivaient de la violence sexuelle, physique et
psychologique. Les femmes sont plus susceptibles d’être victimes d’agressions sexuelles
violentes, soit 16% contre 9% et de viol, 38% contre 13%27.
24
POULIN, Richard, http://sisyphe.org/spip.php?article2337, mardi 27 juin 2006
POULIN, Richard, http://sisyphe.org/spip.php?article2337, mardi 27 juin 2006
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POULIN, Richard, http://sisyphe.org/sisypheinfo/spip.php?article60, mercredi 27 mars 2007
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POULIN, Richard, http://sisyphe.org/sisypheinfo/spip.php?article60, mercredi 27 mars 2007
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Problèmes
On croit souvent que la toxicomanie est reliée directement à la prostitution et c’est
la dépendance au crack qui pousse la lutte pour la survie des prostituées mais ce lien n’est
pas encore prouvé. On ne peut cependant pas nier la prostitution comme moyens de
pouvoir se procurer du crack. Ce phénomène est beaucoup moins présent dans les
agences privées d’escortes ou la prostitution privée car il est interdit ou fortement
déconseillé.
La santé des prostitués de rue est souvent plus fragile à cause de l’injection de
drogues dans leur sang. Ce problème est souvent relié à l’incapacité de se procurer un
logement convenable. Ces maladies vont de la simple malnutrition, des troubles du
sommeil, à la pneumonie, aux maladies de la peau et aux maladies mentales28.
Lois
La prostitution est légale au Canada mais actuellement, il est presque impossible
d’être prostitué sans enfreindre la loi. Tel qu’indiqué plus haut, il y a quatre lois dans le
code criminel encadrant la prostitution. Il y a tout d’abord l’article 210 qui rend illégaux
les «maisons de débauche», tout endroit qui sert à des fins de prostitution. Ceci est
problématique car tout endroit où un ou une prostituée vend son corps est considéré
comme maison de débauche et si celui veut pratiquer son métier à l’extérieur, il peut se
faire arrêter pour communication dans les lieux publics à des fins de prostitution. Leur
seule solution pour rester dans la «légalité» est le travail sur appel mais ceci implique la
perte du contrôle de leur environnement de travail. Le deuxième article encadrant la
postitution est l’article 211 qui interdit de mener ou diriger une personne vers une
«maison de débauche». Encore une fois, il est difficile pour une prostituée de ne pas
enfreindre la loi pour arriver à avoir des clients. L’article 212 rend illégaux le
«proxénétisme» et le fait de «vivre des produits de la prostitution» d’une autre personne.
Ces articles rendent difficiles les relations des prostitués car ceux qui sont habituellement
en leur compagnie et qui sont soutenus par ceux-ci sont coupables de «vivre des produits
de la prostitution». Le dernier article encadrant la prostitution est l’article 213 interdisant
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CMTE, http://cmte.parl.gc.ca/Content/HOC/committee/391/just/reports/rp2599932/justrp06/08-chap2f.htm#TOCLink_08_10, page consultée le 20 avril 2009
de communiquer dans un lieu public à des fins de prostitution, ce qui rend illégal aux
travailleurs sexuels de pratiquer dans un lieu public ou parler à un client. Plus de 90% des
accusations criminelles des prostituées sont fondés sur ce dernier article29.
La situation dans différents groupes sociaux
Depuis la colonisation de Canada, les Amérindiennes sont exploitées
sexuellement. On estime que les femmes autochtones sont les femmes les plus
dépossédées du monde. 75% des jeunes filles autochtones ont été abusées sexuellement
avant l’âge de 18 ans30. À Winnipeg, 70% des femmes prostituées sont autochtones,
toxicomanes et extrêmement pauvres comparativement aux prostitués blanches. Chez les
femmes prostituées, l’âge moyen de la première expérience de prostitution est de 14 à 18
ans. Les hommes, les travestis et les transgenres représentent 20% des prostitués dans la
rue au Canada. Les hommes vivent moins d’agressions que les femmes en travaillant
mais les travestis et les transgenres subissent de la violence dans les rues à cause de leur
double marginalisation. Ils n’y a pas de données au niveau national sur la prostitution des
jeunes mais on dénote qu’il y en a de plus en plus au Canada à chaque années31.
Les clients de la prostitution
La majorité des clients de la prostitution sont des hommes. Environ 10% à 15%
des hommes en Amérique du Nord sont clients de la prostitution et 15% à 20% d’entre
eux sont à la recherche d’affection et non de relation sexuelle. Ces hommes cherchent
plus à se faire toucher et à avoir une relation de camaraderie. L’âge des hommes qui
s’achètent de la prostitution varie entre 14 ans à 80 ans. Il n’y a pas de profil type
d’acheteur de prostitution car il y en a de tous genres, toutes races et toutes professions.
La plupart des hommes ont été mariés ou sont mariés et ils sont bons avec ces prostitués
29
RÉSEAU JURIDIQUE CANADIEN VIH/SIDA,
http://cybersolidaires.typepad.com/ameriques/2005/12/le_code_crimine.html, 13 décembre 2005
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PALMIERI, Joelle, http://www.mediaterre.org/genre/actu,20081203175045.html, 3 décembre 2008
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CMTE, http://cmte.parl.gc.ca/Content/HOC/committee/391/just/reports/rp2599932/justrp06/08-chap2f.htm#TOCLink_08_10, page consultée le 20 avril 2009
et s’occupent d’elles. On parle ici des prostitués privées et non celle qui travaillent dans
les rues32.
Les proxénètes
Un proxénète est une personne qui exploite un travailleur du sexe et qui vit de
l’argent qu’il récolte, c’est un terme large qui est l’équivalent d’un entremetteur dans les
affaires d’un travailleur sexuel. Entre 85% et 90% des prostitués en occident travaillent
pour un proxénète. Le proxénète n’a pas beaucoup d’influence sur la prostituée car la
dépendance à la drogue est plus souvent ce qui la pousse à se prostituer. Il ne la retient
que rarement contre son gré, on parle ici de la prostitution adulte et non de la prostitution
juvénile. Les chiffres recueillis pourraient être fautifs à cause de l’indépendance des
prostitués, on a tendance à croire que beaucoup moins de travailleuses du sexe ont un
proxénète que les données ci-haut33.
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CMTE, http://cmte.parl.gc.ca/Content/HOC/committee/391/just/reports/rp2599932/justrp06/08-chap2f.htm#TOCLink_08_10, page consultée le 20 avril 2009
33
CMTE, http://cmte.parl.gc.ca/Content/HOC/committee/391/just/reports/rp2599932/justrp06/08-chap2f.htm#TOCLink_08_10, page consultée le 20 avril 2009
Bibliographie
Manuscrits
→ COQUART, Élizabeth, HUET, Philippe, Le livre noir de la prostitution, Éditions
Albin Michel, imprimé à Saint-Amand-Montrond, avril 2000, 300 pages
→ GEADON, Yolande, La prostitution, un métier comme un autre ?, VIB Éditeur,
Imprimé à Québec, 13 février 2003, 294 pages
→ HAWKES, Nigel, Sida, Tournai, édition Gamma, 1987, 32 pages, imprimé en
Belgique
→ LEGARDINIER, Claudine, BOUHAMAMA, Saïd, Les clients de la prostitution :
L’enquête, Presse de la renaissance, imprimé à Saint-Amand-Montrond, février
2006, 273 pages
→ LOMO MYAZHIOM, Aggée Célestin, VIH-Sida : la vie est en danger, J’accuse !,
édition Syros, 2007, 150 pages, imprimé en France
Médiagraphie
→ CMTE,
http://cmte.parl.gc.ca/Content/HOC/committee/391/just/reports/rp2599932/justrp0
6/08-chap2-f.htm#TOCLink_08_10, page consultée le 20 avril 2009
→ Canoë Santé
http://sante.canoe.com/condition_info_details.asp?disease_id=1&rot=4
→ Institut pasteur
Http://www.pasteur.fr/actu/presse/com/dossiers/Sida/decouverte.htm, novembre
2006
→ Pfizer Canada inc.
http://www.pfizer.ca/french/your%20health/hiv/default.asp?s=, 2006
→ Santé Canada
http://www.hcsp.fr/hcspi/docspdf/adsp/adsp-15/ad151012.pdf, 08 juillet 2008
→ Rapport 2008 sur l’épidémie mondial de sida, ONU
http://www.unaids.org/fr/CountryResponses/Regions/NAmerica_WCEurope.asp
→ ONU
http://www.unaids.org/fr/KnowledgeCentre/HIVData/CountryProgress/Default.ap
→ PALMIERI, Joelle, http://www.mediaterre.org/genre/actu,20081203175045.html,
3 décembre 2008
→ POULIN, Richard, http://sisyphe.org/spip.php?article2337, mardi 27 juin 2006
→ POULIN, Richard, http://sisyphe.org/sisypheinfo/spip.php?article60, mercredi 27
mars 2007
→ RÉSEAU JURIDIQUE CANADIEN VIH/SIDA,
http://cybersolidaires.typepad.com/ameriques/2005/12/le_code_crimine.html, 13
décembre 2005
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