Depuis, la diva Cantona voue une haine féroce à Deschamps, qu’il avait qualifié de « porteur d’eau »,
alors qu’il a un palmarès nettement supérieur à l’ancienne vedette de Manchester United.
La logique de Cantona est tout simplement celle de l’éradication du Gaulois. Finalement, l’équipe de
France dont il rêve, c’est l’équipe d’Algérie, qui, lors de la dernière Coupe du Monde, était constituée de
seize joueurs nés en France, ayant la double nationalité.
Il n’est pas inutile de revenir sur le parcours de ce jouer, capable de coups de génie et de folie, sur un
terrain de football.
Quand il quitte la France, pour rejoindre Leeds, en Angleterre, il est crâmé de partout. Il a mis la pagaille
dans tous les clubs où il est passé. Il a insulté le sélectionneur de l’époque, Henri Michel, le qualifiant de
« sac à merde », parce qu’il avait eu l’outrecuidance de ne pas sélectionner Sa Majesté. On voit à
travers ce petit résumé la haute idée de lui-même qu’a le personnage…
Mais quand il arrive en Angleterre, il ferme sa gueule, que cela soit à Leeds ou surtout à Manchester
United, où il éclate, devenant l’idole de toute une ville, voire de tout un pays. Il accepte là-bas des règles
qu’il refusait en France. Certes, il réussira à se faire suspendre près d’un an, pour avoir tenté de mettre
ses pieds dans la figure d’un supporter qui l’injuriait. Ce n’est pas cela qui le rend antipathique à mes
yeux…
Il y a du Benzema et du Ibrahimovic dans le joueur qu’était Eric Cantona. Du Benzema parce qu’il n’a
jamais reproduit, en équipe de France, ce qu’il était capable de faire en Angleterre. Du Ibrahimovic
parce que c’était un joueur génial, un vrai chef d’équipe, mais aussi un grande diva qui considérait qu’un
groupe devait se mettre à sa disposition. D’où sa non-sélection en 1998.
Est-il devenu un grand acteur ? Julien Cazarre, fantaisiste de Canal Plus, expliquait, sans tourner
autour du pot, que « le pire acteur d’Europe, c’est Cantona ». Mais le nom de la vedette de football sur
un générique, cela ne peut pas faire de mal aux recettes d’un film, même si un des acteurs s’avère un
tocard.
Epoux d’une actrice algérienne, Cantona, qui avait déjà deux enfants, Raphaël et Joséphine, en aura
deux autres, avec l’actrice algérienne Rachida Brakni. Ces enfants seront appelés Emir et Selma. Tout
est dit.
Bien évidemment, au lendemain des attentats de Charlie Hebdo, Cantona fera le coup du « Pas
d’amalgame » et de « Pas touche à l’islam, pas touche aux musulmans ». Il va même jusqu’à faire la
comparaison avec le cinéma de Saint-Michel, et réussit à parler davantage des intégristes catholiques
que des musulmans !
Plein aux as, il prétend quand même lutter contre les banques et le système, alors qu’il multiplie les
publicités juteuses pour ses économies. Cantona est l’incarnation du hors-sol mondialiste,
immigrationniste, sansfrontierisme, sanspapierisme, islamocollabo et de toutes les balivernes dont il
n’aura jamais, dans ses grands palaces, à assumer les conséquences.
En insultant aussi grossièrement Deschamps, il nous a confirmé qu’un raciste sommeillait en lui, et que,
comme toutes les élites mondialisées, il haïssait particulièrement la France et ses petits Blancs.
Peut-on dire que la France le lui rend bien, et que, rien que pour fermer le claquet de ce gros « sac-à-
merde », pour parler comme lui, on aimerait que le « porteur d’eau » Deschamps ramène la France un
titre de champion d’Europe.