FEMOSTON®
Conti
(SOLVAY PHARMA)
1. DÉNOMINATION DU MÉDICAMENT
FEMOSTON CONTI 1 mg / 5 mg comprimés pelliculés
2. COMPOSITION QUALITATIVE ET QUANTITATIVE
Chaque comprimé pelliculé contient 1 mg d'oestradiol comme oestradiol hemihydrate et 5 mg de dydrogestérone.
Pour les excipients, cf. section: "Liste des excipients".
3. FORME PHARMACEUTIQUE
Comprimé pelliculé.
Les comprimés pelliculés 1/5 mg sont de couleur rose saumon, ronds, biconvexes, avec linscription "S" d'un côté et379 de l'autre.
4. DONNÉES CLINIQUES
4.1 Indications thérapeutiques
• Traitement hormonal substitutif (THS) pour le soulagement des symptômes de carence en œstrogènes chez les femmes étant
ménopausées depuis plus de 12 mois.
• Prévention de l'ostéoporose chez les femmes ménopausées présentant un risque élevé de fractures et qui ne tolèrent pas d'autres
médicaments approuvés pour la prévention de l'ostéoporose ou pour qui ces médicaments sont contre-indiqués.
(voir aussi section: "Mises en garde sciales et précautions particulières d'emploi")
L’expérience de ces indications thérapeutiques chez les femmes âgées de plus de 65 ans est limitée.
4.2 Posologie et mode d'administration
Femoston Conti est un THS continu combiné.
Le dosage est de 1 comprimé par jour. La prise de Femoston Conti doit être continue, sans interruption entre les boîtes.
Femoston Conti peut être pris avec ou sans nourriture.
Démarrage de Femoston Conti :
Les femmes ayant une ménopause naturelle doivent commencer le traitement à base de Femoston Conti 12 mois aps leurs dernières
règles naturelles et peuvent commencer le traitement à un jour de choix. Pour une ménopause provoquée chirurgicalement, le traitement
peutmarrer immédiatement.
Les femmes qui ne prennent pas de préparation de TSH ou qui passent d’une autre pparation de THS continu combiné au Femoston
Conti : le traitement peut démarrer à un jour au choix.
Les femmes qui passent dun autre type de pparation de THS (cyclique, continu séquentiel) au Femoston Conti doivent le faire à la
fin de la phase œstroprogestative, sans art de la prise du médicament.
En cas d’oubli de prise d’une dose, il faut la prendre au plus vite possible. Si plus de 12 heures sont passées, il est recomman de
continuer avec la dose suivante sans la prise du comprimé oublié.
Un oubli peut augmenter la probabilité de spottings et de saignements.
Pour l’initiation et la poursuite du traitement des sympmes de la ménopause, la plus petite dose efficace doit être utilie pendant la
durée la plus courte possible (voir aussi section: "Mises en garde sciales et précautions particulières d'emploi").
4.3 Contre-indications
• Cancer du sein connu ou suspecté ou antédent de cancer du sein ;
• Tumeurs malignes œstrogénopendantes (cancer de lendomètre, par exemple) connues ou suspectées ;
• Saignement vaginal détiologie inconnue ;
• Hyperplasie de lendomètre non traitée ;
• Accident thromboembolique veineux idiopathique ancien ou en cours (thrombose veineuse profonde, embolie pulmonaire) ;
• Maladie thromboembolique artérielle en évolution ou récente (angine de poitrine, infarctus du myocarde, par exemple) ;
• Affection hépatique aiguë ou antédents d’affection hépatique, aussi longtemps que les tests de la fonction hépatique restent
anormaux ;
• Hypersensibilité connue aux substances actives ou à un des excipients ;
• Porphyrie.
4.4 Mises en garde sciales et précautions particulières d’emploi
Pour le traitement des symptômes post-ménopausiques, le THS ne doit être initié que lorsque les symptômes altèrent la qualité de la
vie. Dans tous les cas, une évaluation attentive des risques et des bénéfices doit être réalie au moins annuellement et le THS ne sera
maintenu que si le bénéfice est surieur au risque.
Examen médical/Suivi
• Avant linstauration ou la reprise d’un THS, une anamnèse personnelle et familiale complète doit être effectuée. Des examens
physiques (en particulier pelvien et mammaire) doivent être réalis en tenant compte des contre-indications et des précautions
d’emploi. Au cours du traitement, il est également recommandé de proder à un examen médical périodique dont la fréquence et la
nature seront adaptées à chaque patiente. Les femmes seront informées des anomalies mammaires devant être signalées à leur médecin
ou infirmière (voir la sectionCancer du sein ci-dessous). Des contrôles réguliers, y compris une mammographie, adaptés aux
nécessités cliniques individuelles, doivent être réalis selon les pratiques de dépistage actuelles.
Conditions nécessitant une surveillance
• Si l’un des états suivants est psent, est survenu précédemment et/ou sest aggravé lors d’une grossesse ou dun traitement hormonal
anrieur, la patiente doit être étroitement surveillée. Il convient de prendre en compte que ces états sont susceptibles de récidiver ou
de s’aggraver au cours du traitement par Femoston Conti, en particulier :
- léiomyome (fibrome utérin) ou endométriose
- antédents thromboemboliques ou présence de facteurs de risque (voir ci-dessous)
- facteurs de risque de tumeurs œstrogénopendantes, (p.ex. cancer du sein chez un parent de premier degré)
- hypertension
- affections hépatiques (par ex. adénome hépatique)
- diabète sucré avec ou sans complications vasculaires
- lithiase biliaire
- migraines ou céphalées (vères)
- lupus érythémateux disminé
- antédent dhyperplasie endométriale (voir ci-dessous)
- épilepsie
- asthme
- otosclérose.
Motifs d’interruption immédiate du traitement
Le traitement doit être interrompu en cas de découverte dune contre-indication et dans les cas suivants
- ictère ou détérioration de la fonction hépatique
- augmentation significative de la pression artérielle
- nouvel épisode de phalées de type migraineux
- grossesse.
Hyperplasie de l’endomètre
• Le risque dhyperplasie de lendomètre et de carcinome est augmen quand les œstrogènes sont administrés seuls pendant de
longues périodes (voir section: "Effets indésirables"). Lassociation dun progestatif pendant au moins 12 jours par cycle chez les
femmes non hystérectomies réduit nettement ce risque.
• Des saignements de rupture et des spottings peuvent survenir durant les premiers mois de traitement. S’ils apparaissent après un
certain temps de traitement ou persistent après larrêt du traitement, il faut en rechercher la cause, ce qui peut nécessiter une biopsie de
lendomètre pour exclure une malignité.
Cancer du sein
Une étude randomie contrôlée versus placebo, l’étude Womens Health Initiative (WHI), ainsi que des études épimiologiques,
dont la Million Women Study (MWS), ont mont un risque accru de cancer du sein chez les femmes traies par des œstrogènes, des
associations œstroprogestatives ou par la tibolone dans le cadre d’un THS pris pendant plusieurs années (voir section: "Effets
insirables").
Pour tous les THS, un risque accru devient apparent après quelques années d’utilisation et augmente avec la durée de la prise; ce
risque revient cependant à son niveau de base au cours des années (5 ans au maximum) qui suivent lart du traitement.
La MWS a montré que le risque relatif de cancer du sein lié à la prise d’œstrogènes équins conjugués (EEC) et destradiol (E2)
augmentait lorsquun progestatif était ajouté, que ce soit de manière quentielle ou continue, et ceci, indépendamment du type de
progestatif. Aucune donnée n’indique quil existe une différence de risque entre les différentes voies d’administration.
Dans létude WHI, l’utilisation dun traitement combiné continu associant les œstrogènes équins conjugués et lacétate de
médroxyprogestérone (EEC + AMP) a montré une légère augmentation de la taille des cancers du sein et de la fréquence des
métastases au niveau des ganglions lymphatiques régionaux par rapport au placebo.
Le THS, en particulier le traitement œstroprogestatif combiné, augmente la densi des images mammographiques, ce qui peut affecter
négativement la détection radiologique du cancer du sein.
Maladie thromboembolique veineuse
Le THS est associé à une augmentation du risque relatif de velopper un épisode thromboembolique veineux (TEV), c’est-à-dire une
thrombose veineuse profonde ou une embolie pulmonaire. Une étude randomisée contrôlée et plusieurs études épimiologiques ont
montré un risque deux à trois fois surieur chez les femmes traitées par rapport aux femmes non traitées. Pour les femmes non
traies, on estime que le nombre d’accidents thromboemboliques veineux survenant sur une riode de 5 ans est denviron 3 pour
1000 femmes âgées de 50 à 59 ans et de 8 pour 1000 femmes âgées de 60 à 69 ans. Chez les femmes en bonne santé traitées depuis
5 ans, on estime que le nombre de cas supplémentaires de TEV sur une riode de 5 ans sera de 2 à 6 (meilleure estimation : 4) pour
1000 patientes âgées de 50 à 59 ans et entre 5 et 15 (meilleure estimation : 9) pour 1000 patientes âgées de 60 à 69 ans. Lapparition
d’un TEV est plus probable lors de la première année de THS.
• Les facteurs de risque de TEV généralement reconnus sont un andent personnel ou familial, une obési sévère (IMC > 30
kg/m²), un lupus érythémateux disminé (LED). Il n’y a pas de consensus sur le le éventuel des varices dans la survenue dune
thrombose veineuse.
• Les patientes qui ont un antécédent de TEV ou une thrombophilie présentent un risque accru de TEV. Le THS peut accrtre ce
risque. Un antécédent personnel ou familial de TEV grave ou des antédents d’avortements spontanés récidivants doivent être
investigués pour exclure une pdisposition à une thrombophilie. Jusqu’à lévaluation minutieuse des facteurs thrombophiliques ou
linitiation dun traitement anticoagulant, le THS doit être consiré comme une contre-indication chez ces patientes. Les femmes
sous traitement anticoagulant doivent bénéficier d’une attention particulière quant au rapport néfice/risque du THS.
• Le risque de TEV peut être temporairement augmenté lors d’une immobilisation prolongée, dun traumatisme majeur ou d’une
intervention chirurgicale majeure. Comme pour tout patient en post-opératoire, une attention scrupuleuse doit être appore aux
mesures prophylactiques de pvention de TEV post-opératoire. Lorsquune immobilisation prolongée fait suite à une intervention
chirurgicale élective, en particulier une chirurgie abdominale ou orthopédique des membres inférieurs, il y a lieu, dans la mesure du
possible, denvisager d’arrêter temporairement le THS quatre à six semaines avant lintervention et de ne le reprendre que lorsque la
patiente est à nouveau complètement mobile.
• Si une TEV se produit aps le début du traitement, celui-ci doit être interrompu. Les patientes doivent être informées de la nécessité
de contacter immédiatement leur médecin dès la survenue dun éventuel symptôme thromboembolique (cest-à-dire gonflement
douloureux d’une jambe, douleur soudaine dans la poitrine, dyspnée).
Maladie des artères coronaires
Les études randomisées contrôlées nont pas montré de bénéfice cardiovasculaire avec un traitement combiné continu associant
œstrogènes conjugués et latate de médroxyprogestérone (AMP). Deux études cliniques importantes (WHI et HERS c.-à-d. la
Heart and Estrogen/progestin Replacement Study) ont mont une possibilité de risque accru de morbidi cardiovasculaire pendant la
première année de traitement et aucun bénéfice cardiovasculaire global. Concernant les autres THS, on ne dispose actuellement que de
données limitées issues détudes randomies contrôlées évaluant les effets en termes de morbidité et de mortalité cardiovasculaires. Il
nest s lors pas certain que ces données s’appliquent aux autres THS.
Accident vasculaire cérébral (AVC)
Une large étude clinique randomie tude WHI) a révélé, en objectif secondaire, une augmentation du risque dAVC ischémique
chez les femmes en bonne santé au cours dun traitement combiné continu associant œstrogènes conjugués et AMP. Pour les femmes
non traitées, le nombre estimé d’AVC survenant sur une riode de 5 ans est d’environ 3 cas pour 1000 femmes âgées de 50 à 59 ans
et de 11 cas pour 1000 femmes âgées de 60 à 69 ans. Pour les femmes traitées par l’association œstrogènes conjugués et MPA
pendant 5 ans, on estime que le nombre de cas supplémentaires se situera entre 0 et 3 (meilleure estimation = 1) pour 1000 femmes
âgées de 50 à 59 ans et entre 1 et 9 (meilleure estimation = 4) pour 1000 femmes de 60 à 69 ans. Il nest pas certain que cette
augmentation du risque sapplique aux autres THS.
Cancer de lovaire
L’utilisation à long terme (au moins 5 - 10 ans) dun THS composé d’œstrogènes seuls chez les femmes hystérectomies a été
associée à un risque accru de cancer de lovaire dans certaines études épimiologiques. On ignore si lutilisation à long terme d’un
traitement hormonal substitutif combiné entrne un risque différent de celui des œstrogènes seuls.
Autres conditions
• Les œstrogènes peuvent induire une rétention de liquide et, par conséquent, les patientes atteintes d’un dysfonctionnement cardiaque
ou rénal seront étroitement surveillées. Les patientes atteintes d’insuffisance rénale terminale doivent être étroitement surveillées car les
taux circulants des composants actifs de Femoston Conti sont susceptibles d’augmenter.
• Les femmes ayant une hypertriglycérimie pré-existante doivent être étroitement surveillées lors d’un traitement œstrogénique seul
ou d’un traitement hormonal substitutif, en raison de lobservation sous œstrogénothérapie de rares cas daugmentation importante des
triglycérides plasmatiques pouvant être responsables de pancatites.
• Les œstrogènes augmentent la « thyroid binding globulin » (TBG) pouvant conduire à une augmentation des taux circulants totaux
d’hormone thyroïdienne, mesurés selon la technique de PBI (protein-bound iodine), de T4 (colonne ou radio-immunoessai) ou de T3
(radio-immunoessai). La capture de T3 par les résines est diminuée, démontrant l’augmentation de TBG. Les concentrations de T3 et
T4 libres ne sont pas modifiées. Le taux dautres protéines peut augmenter par exemple la protéine porteuse du cortisol (CBG), la
protéine porteuse des hormones sexuelles (SHBG) pouvant conduire à une augmentation des taux circulants respectifs de
corticostéroïdes et de stérdes sexuels.
Les concentrations en hormone active libre ou biologique sont inchangées. D’autres protéines plasmatiques peuvent être augmentées
(angiotensinogène/substrat de la rénine, alpha-1-antitrypsine, céruloplasmine).
• Il n’existe pas de preuve concluante quant à lamélioration des fonctions cognitives. Létude WHI tend à démontrer une augmentation
du risque de mence probable chez les femmes commençant, après 65 ans, un traitement combiné continu à base d’œstrogènes
conjugués et d’atate de médroxyprogestérone. On ignore si ces observations s’appliquent aussi aux femmes postménopaues plus
jeunes ou aux autres THS.
• Ce médicament contient du lactose monohydraté.
Les patients présentant des problèmes héditaires rares d’intolérance au galactose, d’une déficience de la Lapp lactase ou dune
malabsorption du glucose-galactose ne devraient pas prendre ce médicament.
4.5 Interactions avec d’autres médicaments et autres formes d’interaction
• Le métabolisme des œstrogènes et des progestatifs peut être augmen par lutilisation simultanée d’inducteurs enzymatiques,
notamment les enzymes du cytochrome P450, comme les anticonvulsivants (comme le phénobarbital, la phénytne, la carbamazépine)
ou les anti-infectieux (comme la rifampicine, la rifabutine, la névirapine, l’éfavirenz).
• Le ritonavir et le nelfinavir, bien que connus comme des inhibiteurs enzymatiques puissants, se comportent comme des inducteurs
quand ils sont utilis de fon concomitante avec des hormones stérdiennes.
• Les préparations de phytothérapie contenant du millepertuis (Hypericum perforatum) peuvent stimuler le métabolisme des œstrogènes
et des progestatifs.
• Cliniquement, une augmentation du métabolisme des œstrogènes et des progestatifs peut conduire à une diminution de leffet et à des
modifications du profil de saignement utérin.
4.6 Grossesse et allaitement
Grossesse
Femoston Conti nest pas indiqué pendant la grossesse. Si une grossesse survient durant le traitement par Femoston Conti, ce dernier
doit être ar immédiatement.
En clinique, les données disponibles sur un nombre présumé important de femmes exposées pendant la grossesse n'indiquent aucun
effet défavorable de la dydrogestérone sur le fœtus.
A ce jour, les résultats de la majorité des études épimiologiques nont pas montré d’effet tératogène ou fœtotoxique lié à une
exposition accidentelle du fœtus à des œstroprogestatifs combinés.
Allaitement
Femoston Conti nest pas indiqué pendant l’allaitement.
4.7 Effets sur laptitude à conduire des véhicules et à utiliser des machines
Le Femoston Conti n'a aucun effet sur laptitude à conduire des véhicules et à utiliser des machines.
4.8 Effets insirables
Les effets insirables suivants ont é rapportés dans les essais cliniques et en cours de lexpérience post-marketing :
Système d’organes
MedDRA
Effets indésirables
fréquents >1/100 ;
< 1/10
Effets indésirables peu
fréquents > 1/1.000 ;
<1/100
Effets
indésirables
rares:
> 1/10.000 ;
< 1/1.000
Effets indésirables
très rares:
< 1/10.000, y
compris cas isolés
Infections et
infestations
Syndrome semblable à la
cystite, candidose vaginale
Tumeurs bénignes,
malignes et non
pcies
Augmentation de la taille
du léiomyome
Affections Anémie hémolytique
hématologiques et du
système lymphatique
Affections
psychiatriques
Dépression,
changements dans la
libido, nervosité
Affections du
système nerveux
phalées, migraine Vertiges Chorée
Affections oculaires Intolérance aux
lentilles de
contact,
accentuation de
la courbure de la
cornée
Affections
cardiaques
Infarctus du
myocarde
Affections
vasculaires
Hypertension, maladie
périphérique vasculaire,
varices, thrombo-embolie
veineuse
Accident vasculaire
cérébral
Système d’organes
MedDRA
Effets indésirables
fréquents >1/100 ;
< 1/10
Effets indésirables peu
fréquents > 1/1.000 ;
<1/100
Effets
indésirables
rares:
> 1/10.000 ;
< 1/1.000
Effets indésirables
très rares:
< 1/10.000, y
compris cas isolés
Affections gastro-
intestinales
Nausées, douleurs
abdominales, gonflement
Dyspepsie Vomissements
Affections
hépatobiliaires
Maladie de la vésicule
biliaire
Perturbations
des fonctions
hépatiques
parfois
accompagnées
d’icre, d
asthénie
ou malaise et de
douleurs
abdominales
Affections de la peau
et du tissus sous-
cutané
Réactions cutanées
allergiques (par ex.
éruption, urticaire, prurit)
Chloasma ou
mélasma qui peut
persister lorsque la
prise du médicament
est interrompue,
érythème
polymorphe,
érythème noueux,
purpura vasculaire,
angioeme
Affections musculo-
squelettiques et
systémiques
Crampes dans les jambes Mal au dos
Affections des
organes de
reproduction et du
sein
Mastalgie, sensibili des
seins à la palpation, des
saignements de rupture et
spotting, douleurs
pelviennes
Changement de lérosion
cervicale et du degré de
sécrétion cervicale,
dysménorrhée,
ménorragie, métrorragie
Gonflement des
seins,
symptômes de
type
pmenstruel
Affections
congénitales,
familiales et
génétiques
Aggravation de la
porphyrie
Troubles généraux et
anomalies au site
d’administration
Asthénie Œdèmeriphérique
Investigations Augmentation/
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