1. Destiné à l’extérieur, ce
luminaire @LED à structure
inox est orientable (5 positions)
et équipé de 12 leds (blanc
chaud/blanc/bleu). LEDsLIGHT
2. Numéro de rue solaire avec
batterie rechargeable chez
Nature et Découvertes. Grâce à
la lumière du jour, les chiffres
s’illuminent la nuit venue.
Technologie Ultimax autorisant
la charge par temps couvert.
Numérotation jusqu’à 999.
3. La nouvelle Directive
Européenne vise à
diminuer les émissions de CO2
dans l’éclairage domestique. Elle
marque la fin progressive des
ampoules à incandescence et
des produits d’éclairage trop
énergivores. En remplacement,
Osram offre aux consommateurs
un large éventail de solutions
d’ampoules écologiques,
économiques
4Delta Light remporte le IF
Product Design Award
2009 pour ce petit luminaire
cubique en aluminium brossé.
Orientable, le spot B-Side est
conçu sur base d’une lampe LED
économique et peut éclairer
n’importe quel endroit dans le
demi-hémisphère devant lui.
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disparaîtra, suivront en septembre
2010 les lampes de 75 watts et une
année plus tard, celles de 60 watts.
Le 1er septembre 2012 sonnera aussi
le glas des lampes de 25 et 40 watts.
La Commission européenne a estimé
que le passage aux lampes
économiques, qui consomment
jusqu’à 5 fois moins d’énergie,
représentera non seulement un
bénéfice en faveur de l’environnement
(avec une réduction des émissions de
CO2de 15 millions de tonnes par an)
mais aussi une économie annuelle de
40 térawatt-heures, soit la
consommation de 11 millions de
ménages. Chaque ménage pourra
économiser ainsi par an près de 50
euros sur sa facture d’énergie.
Certaines halogène (les moins
performantes), cesseront par ailleurs
d’être vendues le 1er septembre 2016.
Les lampes à économie d’énergie
Plusieurs appellations caractérisent
ces lampes qui voient leur utilisation
se généraliser : lampes basse
consommation (LBC), lampes
fluorescentes compactes ou lampes
fluocompactes.
Chères à l’achat (5 à 15 euros) mais
économiques à l’usage, elles
connaissent un essor certain, appuyé
par les instances publiques et les
associations environnementales qui
se chargent de promouvoir et de
recycler ces lampes qui consomment
4 à 5 fois moins et durent 6 à 10 fois
plus longtemps que les ampoules
classiques ou les halogènes.
A titre d’exemple, une LBC de 15 W
équivaut à une lampe classique de
60 W : un remplacement vous fera
une économie de 360 kWh pendant
toute sa durée de vie. Elles offrent
aussi une efficacité lumineuse
jusqu’à 5 fois
supérieure à celle de l’incandescence.
L’utilisation généralisée de ces
lampes permettrait d’agir à divers
niveaux: lutte contre le réchauffement
climatique par les économies
d’énergie engendrées, diminution du
budget de la facture d’électricité,
préservation des ressources grâce à
leur durée de vie accrue et baisse du
volume des déchets.
De gros efforts des fabricants ont été
entrepris pour les rendre attractives :
autrefois inesthétiques, elles offrent
aujourd’hui une grande diversité de
formes et s’adaptent à tous les
modèles de luminaires (même soquet
que les ampoules à incandescence)
excepté les halogènes ou les modèles
à variateurs. Leur temps de chauffe
s’est réduit (elles nécessitent
quelques dizaines de secondes avant
d’atteindre leur pleine luminosité) et
elles craignent moins les allumages
et extinctions fréquents.
Leur température de couleur
– généralement 2 700 kelvin (K) - et
un indice de rendu des couleurs élevé
permettent de retrouver les
ambiances lumineuses chaudes
(lumière jaune ou blanche) propres à
l’incandescence et une bonne
capacité à restituer les couleurs des
personnes et des objets éclairés.
Elles sont désormais toutes équipées
d’un ballast électronique intégré, pour
réaliser des économies supplémen-
taires (20 %) et allonger la durée de
vie de la lampe. Certaines peuvent
fonctionner en courant continu et
d’autres sont prévues pour des
milieux basse température (– 15° C),
sans baisse du flux lumineux.
On distingue notamment :
• les ampoules économiques
standards : les moins chères, elles se
présentent sous forme de petits
tubes pliés bien connus ( en U ou en