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« Il faut extraire de la loi le délai de rapatriement comme étant une infraction aux règles
de changes car les incidents de paiement existent de par le monde. »
Le président de l’Anexal plaidera, par conséquent, la nécessité de rassurer l’exportateur.
M. Ali Bey Nasri dira également ce besoin, « d’aller vers les pré-requis à commencer par la
dépénalisation de l’acte d’exporter. » Dans le même ordre d’idées, il a déploré le retard
enregistré dans l'installation du Conseil national consultatif de la promotion de
l'exportation et les blocages résultant de la réglementation encadrant le régime douanier
de l'admission temporaire ainsi que l'obligation de solliciter un accord préalable de la
Banque d'Algérie.
M. Abderrahmane Benkhalfa, expert, a abordé le thème inhérent au « développement des
instruments de financement adaptés pour accompagner les entreprises exportatrices »
pour dire l’importance « de l’aspect financier de l’acte d’exporter qui reste essentiel » étant
donné que le premier risque frontal pour l’exportateur réside dans le risque », a-t-il
souligné. « Aussi, le préfinancement doit être financé, sur une période courte ou
moyenne », de même qu’il faille « mobiliser les créances nées sur l’étranger ».
Au registre des propositions, l’intervenant a également suggéré que « les banques
s’organisent pour offrir à leurs clients l’origine du contrat de crédit à moyen terme », et
que les crédits de prospection soient couverts par les banques. » M. Abderrahmane
Benkhalfa a insisté, par la même occasion, sur l’intérêt à ce que « la relation
banque/Cagex soit huilée », dans le sens que la « banque doit relayer la Cagex par des
crédits de trésorerie ». La gestion et la couverture du risque lié au change est lautre
aspect sur lequel insistera l’intervenant. En définitive, la banque doit « accompagner,
l’exportateur, l’écouter, l’orienter, l’informer et le conseiller », indiquera M. Abderrahmane
Benkhalfa qui dira la nécessité de réviser la loi pénalisant le manquement au rapatriement
des produits de l’exportation.
L’intervention du directeur général de la Compagnie algérienne d'assurance et de garantie
des exportations (Cagex), M. Djilali Takiret, ne sortira pas de ce contexte puisqu’il a
mentionné les contraintes qui découragent les opérateurs économiques à aller vers les
marchés internationaux, notamment celles résultant de la législation des changes qui
malgré l’existence d’une assurance qui garantit le rapatriement des fonds à la faveur de
l’ordonnance 96-06, sera suivie d’une autre ordonnance n°96-22, laquelle sanctionne
l’exportateur qui ne rapatrie pas ses fonds dans les délais, de peines de prisons,
d’amendes lourdes et d’interdiction d’export. Une véritable contradiction entre deux
ordonnances est relevée à ce niveau par ce responsable.
4
Optimiser l’offre exportable
La conclusion tirée des analyses et constats présentés lors de la conférence nationale sur
le commerce extérieur est que l’Algérie ne s’est pas dotée d’une vision stratégie à l’export,
un facteur supplémentaire qui concourt à la vulnérabilité et à la fragilité des équilibres
macro-économiques du pays étant mono-exportateur et à économie essentiellement
dominée par les hydrocarbures.
Le constat ressort que toutes les mesures prises jusque-là pour contribuer à la
diversification et la promotion de notre économie hors hydrocarbures n’ont pas eu les
effets escomptés.
Les experts réunis à cette conférence, qui devra mettre en place les rudiments d’une réelle
politique d’exportation, ont été unanimes à dire la nécessité d’identifier, comme première
action, les filières à fort potentiel à l’export à même de cibler les projets d’investissements
à engager, en priorité, et en définitive, optimiser l’offre exportable, en quantité et en
qualité, les normes étant une exigence première pour placer les produits nationaux sur les
marchés extérieurs, notamment dans l’UE qui reste intransigeante sur ce point.
Les experts ont également souligné l’importance de la gouvernance économique,
l’amélioration de la compétitivité des entreprises à travers la mise à niveau et le
développement humain.
Aussi, les propositions sont allées vers l’introduction de mesures de facilitation au profit
des entreprises projetées dans l’exportation. La législation n’a pas été en reste puisqu’elle
fera l’objet de propositions de révision à tous les niveaux d’intervention (banques,
douanes, administration) pour faciliter les opérations d’export.
A ce titre, le rôle des banques a été particulièrement évoqué tant elles constituent
l’interface entre l’exportateur et le marché extérieur, et un acteur accompagnateur
indispensable pour l’aboutissement des actions d’exportation. Des préoccupations que le
ministre s’est engagé à prendre en charge en annonçant que la nouvelle stratégie du
commerce extérieur devra tirer son ancrage de la cohérence entre les politiques
sectorielles et celle du commerce extérieur. Aussi, les conventions de coopération et
d’assistance signées avec le CCI, IAMM et l’UE (P3A) et prochainement avec le PNUD
devraient concourir à améliorer le volet technique inhérent à l’acte d’exporter.
D. Akila
5
L'intégration régionale, une des pistes pour diversifier les exportations
algériennes
Des représentants d'organisations internationale et régionale spécialisées ont considéré,
hier à Alger, que la diversification des exportations algériennes doit passer par l'intégration
régionale maghrébine, arabe et africaine.
Intervenant à la Conférence nationale sur le commerce extérieur, un représentant du
Programme des Nations unies pour le développement (PNUD), Khalifa Tounakti, a estimé
que l’intégration de l’Algérie dans ces trois zones régionales, où les échanges
commerciaux du pays restent très réduits, représente un atout pour développer le
potentiel économique non exploitable de l’Algérie. Pour cet expert, cette option permet de
contourner le problème de la difficulté d’exportation vers le marché européen qui est, a-t-
il avoué, "exigeant" et "très concurrentiel".
Néanmoins, a relevé le représentant de cette agence de l'ONU, le succès de cette vision
est tributaire non seulement du développement des infrastructures et structures
logistiques mais aussi de l’engagement de "profondes réformes" permettant de fructifier
les avantages compétitifs du pays.
Il a aussi préconisé de promouvoir la coopération économique à travers la conclusion
d’accords bilatéraux régionaux favorisant notamment l’exportation.
De son côté, l’expert de la Banque africaine du développement (BAD), Hervé Lohoues, a
noté que la diversification du commerce extérieur, qui constitue une priorité pour l’Algérie,
est en ligne avec la stratégie de cette banque du continent tracée pour la période 2013-
2022. Cette stratégie, a-t-il expliqué, mise sur l’intégration économique africaine comme
un véritable levier de développement pour les pays de la région grâce au potentiel de
leurs complémentarités. Selon lui, cette intégration peut permettre à l’Algérie de jouer un
rôle d’intermédiaire entre l’Afrique et l’Europe grâce à sa position géographique
stratégique.
A rappeler que la nécessité de s’orienter vers le marché africain a été implicitement
évoquée par le ministre des Affaires étrangères, Ramtane Lamamra, qui avait plaidé,
lundi, lors de son intervention à cette conférence, pour un redéploiement du commerce
extérieur de l’Algérie vers les pays émergents et en voie de développement pour pouvoir
"réaliser le potentiel propre de l’Algérie".
D’autres intervenants ont plaidé, hier, pour le développement des instruments de
financement adaptés pour accompagner les entreprises exportatrices en introduisant de
nouveaux produits financiers destinés à accompagner l'activité d'exportation. Ils ont
également appelé à l'installation des guichets à l’exportation au niveau des banques et
établissements financiers pour accompagner les exportateurs.
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