Les feuilles bleutées gaufrées présentent un intérêt décoratif.
Ses eurs campanulées, bleu vif, rose en bouton, naissent de
juin jusqu’en septembre.
La cueillee irraisonnée, au début du XXème siècle entraîna sa
disparition . On doit le retour de cee plante à HUGUES LE CIEUX,
horticulteur. Il va retrouver quelques plants en NORMANDIE. Il
acclimatera cee petite richesse particulière chez lui dans le
bassin d’ARCACHON. Là, il va la reproduire en ayant deux objec-
tifs : la vente aux particuliers et surtout celle destinée à la
resauration.
Cee petite merveille dont la feuille exhale un parfum délicat
mais très caractéristique, produit son eet en cuisine, sur une
salade. On peut réaliser du beurre d’huître, voire l’utiliser à
l’apéritif et pourquoi pas avec du pain beurré.
Elle peut être mangée crue ou cuite ou conservée dans du vi-
naigre comme les salicornes. Sur les marchés aux plantes, elle
est souvent présente, on vous fait croquer un bout de feuille et
vous craquez pour la plante.
Je suis une plante, dont le goût iodé rappelle l’huître. Cee huître végétale fait un tabac
chez les restaurateurs dans la préparation de plats de poissons. Elle devient un excellent
palliatif pour les personnes rebutées par la consistance de l’huître.
: bacs, toits végétalisés ainsi que dans une rocaille.
: elle exige un sol ltrant, (50% de terre et 50% de sable). Elle re-
doute la pluie qui la fait pourrir à la base, voilà pourquoi il faut l’hiverner ou la conser-
ver sous un auvent à l’abri de la pluie. Les limaces semblent apprécier ce goût iodé.
?
C’est une petite ronce dont je n’ai pas le nom. Les oiseaux trouvent et mangent des fruits
dans votre voisinage. Les graines se retrouvent dans les entes. Visiblement les oiseaux
déposent ces semences sur votre pelouse. Elles germent et colonisent votre terrain. La
solution écologique, c’est de les arracher avec un outil tranchant.
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Bien sûr, vous l’épandez à la volée sur le jardin ou sur votre pelouse. Elle apportera de la
potasse à votre sol. Petit rappel : la cendre sèche écarte les limaces de vos plantes sen-
sibles si vous en meez autour.
.!
Si on se place du côté écologique, on va dire que c’est merveilleux. La biodiversité est
présente, en plus la pâqueree est décorative, mais à un moment eectivement on peut
se poser des questions par rapport à l’objectif de départ. Encore ici on ne parle pas de
pissenlits ou de plantains. Quand il n’y en n’a pas beaucoup, la solution est de couper.
Lorsque le travail est trop important, le scaricateur réduit les populations.
LE COIN CUISINE
(pour 6 pers).
DOSSIER DU MOIS : LA CLEMATITE
Nous avons suivi avec grand intérêt la conférence d’ARNAUD TRAVERS, spécialiste des
clématites le dimanche 20 Novembre à la société Nantaise des Horticulteurs.
En eet ces superbes plantes euries pour lesquelles nous nous posons beaucoup de
questions sur l'entretien, la taille et l'arrosage ne sont en rien compliquées pour Arnaud
TRAVERS : voici quelques informations :
: Les meilleures périodes sont le printemps et le début d'automne, au repos ou
en pleine végétation (il est bon de les choisir euries).
: plusieurs branches à la base, substrat ni trop sec ni gorgé d'eau, pas
de feuilles jaunes ou desséchées au printemps ou en été.
: planter de préférence les grandes eurs près de la maison et les petites
eurs éloignées pour mieux en proter, ces dernières graviront facilement des supports
très solides grillages ou grands arbres, palisser dès le bas de la plante, certaines se marie-
ront bien près d'hortensias ou rhododendrons sur lesquels elles poursuivront la orai-
son.
40 g de pistaches, 40 g d'abricots secs coupés en lamelles, 40 g de pruneaux coupés en
lamelles, 30 g d'amandes elées, le zeste d'un citron jaune haché, 1 cuillère à soupe de
liqueur d'orange (Cointreau), 4 œufs entiers, 100 g de sucre semoule, 100 g de poudre
d'amande, 40 g de fécule de pomme de terre , 1 pincée de sel n , 120 g de beurre fondu
chaud, du sucre glace (et prévoir une fève).
1) Mélanger dans un saladier 40 g de pistaches avec 40 g d'abricots secs, 40 g de pru-
neaux, le zeste du citron jaune et la liqueur d'orange. Couvrir et laisser macérer 30
minutes au réfrigérateur (cee préparation peut se réaliser la veille)
2) Foueer 4 œufs entiers avec 100 g de sucre semoule jusqu'à ce que le mélange blan-
chisse, incorporer ensuite successivement le sel n, 100 g de poudre d'amande, 40 g
de fécule de pomme de terre, puis le beurre fondu chaud. Incorporer les fruits secs.
3) Préchauer le four à 160°C, en position ventilée de préférence.
4) Beurrer 1 moule à manquer anti adhésif de 20 cm de diamètre environ (pas plus de 20
cm), placer au fond un cercle de papier sulfurisé de même diamètre, éparpiller 30 g
d'amandes elées, puis ajouter l'appareil aux fruits secs, dissimuler la fève, glisser
dans le four préchaué et compter 30 minutes de cuisson à 160°C.
Démouler la galee, la dresser sur un plat de service, la saupoudrer éventuellement de
sucre glace. La déguster tiède ou froide.