SOMMAIRE - Sauvons nos palmiers

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N°65 - mardi 31 mars 2015
SOMMAIRE
Ravageurs...................................................................................................................................... 2
Cochenilles ............................................................................................................................................. 2
Criocère du lys, Crioceris lilii .................................................................................................................... 3
Papillon palmivore, Paysandisia archon .................................................................................................. 3
Processionnaire du pin, Thaumetopoea pityocampa ................................................................................ 3
Psylle de l’eleagnus, Cacopsylla fulguralis................................................................................................ 4
Pucerons divers ...................................................................................................................................... 4
Pyrale du buis, Cydalima perspectalis ...................................................................................................... 4
Tigre du platane, Corythucha ciliata ........................................................................................................ 5
Maladies........................................................................................................................................ 5
Chancre coloré du platane, Ceratocystis platani ...................................................................................... 5
Maladie des taches noires et oïdium du rosier, Marssonina rosae et Podosphaera pannosa ..................... 6
Oïdium perforant sur laurier cerise, Sphaerotheca pannosa ..................................................................... 6
Taches foliaires du laurier rose, Ascochyta heteromorpha........................................................................ 6
Rappel : la maladie de Pierce, Xylella fastidiosa ....................................................................................... 7
Plantes envahissantes .................................................................................................................... 8
Le séneçon du Cap, Senecio inaequidens ................................................................................................. 8
REPRODUCTION DE CE BULLETIN AUTORISEE SEULEMENT DANS SON INTEGRALITE – REPRODUCTION PARTIELLE INTERDITE
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Ravageurs
Cochenilles
Actuellement de nombreux dégâts de cochenilles sont signalés sur diverses plantes.
On enregistre notamment des attaques de cochenille australienne Icerya purchasi sur citronniers à SixFours, Vallauris et La Seyne sur Mer. Celles-ci sont variables et peuvent être importantes. La coccinelle Rodalia
cardinalis est connue pour être un prédateur efficace contre cette cochenille. Elle agit à différents stades : les
jeunes larves de la coccinelle mangent les œufs de la cochenille, les larves matures et les adultes de la
coccinelle se nourrissent des larves et adultes de la cochenille.
Sont également signalés des dégâts faibles à modérés de cochenille du cyprès Carulaspis juniperi dans
le secteur de La Turbie, Vallauris et Antibes. Cette cochenille à bouclier se développe sur les conifères de la
famille des Cupressacées. La femelle présente un bouclier mesurant 1 à 1.5mm de diamètre, circulaire,
blanchâtre avec une tache jaune. Le mâle mesure de 0.5 à 1 mm de long il est généralement blanc. La larve est
jaunâtre à vert-clair. Les fortes attaques entrainent une dépréciation esthétique notable en décolorant le
feuillage et en donnant aux pousses un aspect terne et chétif. A cette saison les individus présents sur les
cyprès sont les femelles hivernantes. Elles sont fécondées et attendent le mois de mai pour pondre. Elles sont
la proie des oiseaux insectivores pendant tout l’hiver.
Photo 1 : Carulaspis juniperi mâle (D V Alford)
Photo 2 : Carulaspis juniperi femelle (D V Alford)
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Criocère du lys, Crioceris lilii
Des dégâts d’importance faible provoqués par le criocère du lys, Crioceris lilii sont rapportés sur la
commune d’Avignon.
Ce petit coléoptère de la famille des Chrysomelidae est rouge à tous les stades de son développement. Il
mesure de 7 à 8 mm et est inféodé à la famille des Liliacées. Les larves se nourrissent des feuilles et des
bourgeons floraux qu’elles grignotent. Les dégâts peuvent être considérables en cas de fortes attaques.
L’élimination mécanique (à la main) des adultes reste la meilleure façon d’éviter la prolifération de ce
ravageur. Les larves étant cachées sous les tas d’excréments, il convient de bien nettoyer les plantes
attaquées.
Photo 3 : Criocère du lys (A. Petzold)
Papillon palmivore, Paysandisia archon
Des dégâts de papillon palmivore Paysandisia archon sont observés actuellement sur le secteur de
Toulon notamment. A cette saison les symptômes observés sont la conséquence de l’activité trophique des
chenilles qui se nourrissent à l’intérieur du stipe du palmier (bouchons de sciure, perforations de palmes). Elles
vont continuer à se nourrir jusqu’à atteindre le dernier stade larvaire où elles se constitueront un cocon. Les
premières émergences d’adultes se dérouleront dans le courant du mois de mai.
Processionnaire du pin, Thaumetopoea pityocampa
Des processions sont signalées actuellement sur le secteur de Martigues et Vitrolles dans les Bouches du
Rhône et Avignon et Rustrel en Vaucluse.
Rappel du BSV précédent :
« la vigilance doit être maintenue à son optimum face au risque important d’urtication. En effet lors
de leur déplacement en files, les chenilles projettent des poils fortement urticants. Il est ainsi recommandé
d’éviter tout contact et de protéger les populations sensibles et les animaux domestiques.
Des solutions de gestion peuvent être mises en place très vite avant les départs en procession, comme
par exemple faire enlever les nids d’hivers et installer des pièges à chenilles appelés Eco-pièges. On peut aussi
installer des nichoirs à mésanges qui sont des prédateurs naturels très efficaces, par contre plus tôt, en
automne afin de laisser le temps aux oiseaux de s’installer et d’effectuer leur repérage. »
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Psylle de l’eleagnus, Cacopsylla fulguralis
Des attaques importantes de psylle de l’eleagnus Cacopsylla fulguralis sont observées dans le Var
dans le secteur de La Seyne sur Mer. Ce psylle mesure de 2 à 2.5 mm, il est brun-clair avec les ailes antérieures
marquées de brun-foncé sur lesquelles on distingue au repos 2 tâches claires : un triangle et un losange. La
larve est jaune-vert avec des taches brun-foncé. On les trouve essentiellement à la face inférieure des feuilles.
Ce psylle produit de grandes quantités de miellat sur lequel se développe de la fumagine. Il entraîne
des réductions de croissance, un jaunissement et une chute prématurée des feuilles pouvant aller dans les cas
extrêmes jusqu’à un dépérissement de la plante attaquée. Il ne s’attaque qu’aux eleagnus.
La bibliographie recense plusieurs espèces de régulateurs naturels de ce psylle. Le syrphe Meliscavea
auricollis, prédateur de psylle a un impact modéré sur les populations de psylle de l’eleagnus. La coccinelle
Harmonia axyridis et la punaise Anthocoris nemorum semblent être les plus voraces et les meilleurs
régulateurs pour cette espèce (Ferre et Beaujean, 2013).
Pucerons divers
On signale actuellement des attaques de divers pucerons à un niveau plutôt faible : puceron vert du
rosier, puceron noir sur pittosporum et d’autres pucerons sur bambou Phyllostachys aurea ; respectivement à
La Turbie, Menton et Saint Laurent du Var.
Couper les jeunes pousses atteintes et favoriser la présence des auxiliaires indigènes dans les parcelles
où les pucerons sont présents, permet dès à présent de limiter le développement des populations de
ravageurs.
Pyrale du buis, Cydalima perspectalis
Des chenilles de pyrale du buis sont observées dans de nombreux secteurs du littoral varois et des
Bouches du Rhône jusque dans le Vaucluse avec cependant une gradation dans leur stade de développement.
Les chenilles mesurent environ 2 à 3 cm sur le littoral alors que dans le Vaucluse elles atteignent plutôt 1 à 2
cm. Les premiers vols d’adultes n’ont pas encore commencé.
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Tigre du platane, Corythucha ciliata
Dans le Var, les platanes sont au stade phénologique éclatement des bourgeons voire 1 feuille étalée.
Le stade est propice au début des migrations de tigre du platane. Cependant, les tigres sont encore présents
en grande quantité sous les rhytidomes des troncs et charpentières et donc à la portée de leurs ennemis
naturels.
En Vaucluse, les platanes sont au stade bourgeons gonflés voire éclatement des bourgeons.
On trouve à cette saison plusieurs prédateurs de tigres sous les rhytidomes : araignées,
pseudoscorpions…
Photo 4 : Chernes sp (x10), carnassier prédateur présent sous rhytidomes trouvé à proximité de restes
de tigres du platane
Maladies
Chancre coloré du platane, Ceratocystis platani
Une nouvelle commune contaminée par le chancre coloré du platane a été recensée en Vaucluse en
ce début d’année, il s’agit de la commune de Travaillan, cela porte à 50 le nombre de communes contaminées
dans ce département.
Carte 1 : communes contaminées
par le chancre coloré du platane en Vaucluse
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Maladie des taches noires et oïdium du rosier, Marssonina rosae et Podosphaera
pannosa
On signale des dégâts d’oïdium et de maladie des taches noires sur rosier ayant une importance faible
à modérée dans les Alpes-Maritimes. Les conditions climatiques de la semaine dernière étaient favorables au
développement des maladies des rosiers. Dans le Var et les Bouches du Rhône, la présence de vent prévue
semaine 14 va limiter les risques de dissémination.
Oïdium perforant sur laurier cerise, Sphaerotheca pannosa
Des dégâts d’oïdium perforant sur laurier cerise sont observés dans les Alpes-Maritimes dans le
secteur de Mouans-Sartoux.
Cette maladie est très courante. Elle apparaît actuellement et est présente durant toute la durée de
végétation. Les dommages sont surtout importants au moment de la floraison.
L’extrémité des rameaux ralentit sa croissance et se courbe et peut se nécroser complètement. Dans le
courant de l’été, des plaques blanches duveteuses apparaissent sur les feuilles, les tissus se nécrosent laissant
aux feuilles un aspect- criblé caractéristique.
La germination des spores est très rapide lorsque le taux d’humidité est situé aux alentours de 99%,
elle devient nulle en dessous de 75%.
La suppression des premières branches attaquées limite les risques de dissémination de la maladie.
Quelques méthodes culturales permettent de prévenir le développement de l’oïdium : une bonne
gestion de la fertilisation, une taille régulière permettant de favoriser la circulation de l’air dans le cœur de la
haie, un arrosage localisé au pied des arbres.
Taches foliaires du laurier rose, Ascochyta heteromorpha
Des symptômes de la maladie Ascochyta heteromorpha sur laurier rose sont observés dans le secteur
de La Roquette sur Siagne, Mougins, Valbonne et La Colle sur Loup et plus particulièrement aux endroits où les
lauriers se trouvent en zone confinée, très humide ou très arrosée.
Cette maladie se manifeste par l’apparition de taches nécrotiques brun clair entourées d’un anneau
pourpre sur les feuilles. Elle peut considérablement affaiblir les plantes atteintes. Elle se transmet par la pluie
ou les arrosages et les outils de coupe.
Prophylaxie : l’élimination des premières parties atteintes et l’arrêt des arrosages par aspersion
limitent le risque de développement de la maladie. Il est primordial de désinfecter convenablement le matériel
de taille utilisé pour l’élagage des lauriers roses.
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Rappel : la maladie de Pierce, Xylella fastidiosa
La bactérie Xylella fastidiosa est nuisible à de nombreux végétaux. C’est un organisme réglementé en
Europe. Elle a été détectée fin 2013 en Italie dans la région des Pouilles. La bactérie a provoqué des
dessèchements sur feuilles et un déclin rapide de lauriers roses, oliviers et chênes.
Le vecteur de cette bactérie serait le cercope Phileanus spumarius très commun et parfois cité dans le
BSV ZNA, il n’était jusque là pas considéré comme très nuisible. Cependant l’élimination de cet insecte par tous
moyens ne semble pas être la solution pour endiguer le risque de dissémination de la bactérie. Par ailleurs
d’autres insectes pourraient être vecteurs (tout insecte piqueur-suceur potentiellement).
Seul l’arrachage et la destruction des plantes contaminées permettent de lutter contre cette
bactérie.
Les symptômes observables sont les suivants :
- brûlures foliaires sur laurier rose
- dessèchement des rameaux de manière aléatoire dans le houppier suivi de la mort de la plante sur
olivier, amandier, chêne, orme, platane
- les chloroses foliaires et la production de fruits de petites tailles sur oranger
- les défauts de lignification et la persistance des pétioles après chute des feuilles sur la vigne
- le port tombant et la réduction des entrenoeuds sur pêcher.
Les symptômes peuvent être confondus avec des problèmes de stress hydrique ou des phytotoxicités
dues à un excès de salinité ou un excès de bore, mais dans ce cas là les symptômes sont plus visibles sur les
feuilles âgées.
Vous pouvez consulter la note nationale d’alerte qui décrit les symptômes ici :
http://draaf.paca.agriculture.gouv.fr/IMG/pdf/Note_nationale_Xylella_fasidiosa_V6_cle0de2a7.pdf
Photo 5 : dégâts dus à X fastidiosa sur laurier rose
Photo 6 : feuilles de laurier rose atteint de X fastidiosa
Photo 7 : dégâts dus à Ascochyta heteromorpha
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Pour l’olivier les symptômes sont décrits ici : http://afidol.org/fichiers/pierce.pdf
À ce jour aucune présence de la bactérie en France n'a été relevée. Seuls des plants de caféier
porteurs de la bactérie ont été interceptés avant leur entrée dans le pays.
L'UE a commandité une expertise auprès de l'EFSA (Autorité Européenne pour la Sécurité des Aliments) qui a
été publiée en janvier 2015 : http://www.efsa.europa.eu/fr/press/news/150106.htm
Les climats méditerranéen, tropical et sub-tropical sont les climats les plus favorables à la maladie. En
hiver deux jours consécutifs avec des minima de température à -12°C ou 3 jours consécutifs avec des minima
de température à -9.4°C excluraient le risque de maintien de la maladie. Cependant on trouve des sousespèces de cette bactérie aux USA et au Canada dans des zones climatiques assez froides.
Une décision d'exécution de l'Union Européenne (13/02/2014, notifiée sous le numéro C(2014) 726)
interdit le transport de matériel végétal en provenance de la Province de Lecce, à l'exclusion des plantes
réputées indemnes (article 1 et annexes 1 et 2 de la décision exécution).
Cependant, nous vous recommandons la plus grande vigilance d’une part quand à l’origine de votre
matériel végétal quel qu'il soit et surtout s'il provient de la Province de Lecce.
En cas de doute prévenez rapidement le Service Régional de l’Alimentation de la Direction Régionale
de l’Alimentation de l’Agriculture et de la Forêt (DRAAF-SRAL) ou la Fédération Régionale de Défense contre
les Organismes Nuisibles (FREDON) de votre région.
Plantes envahissantes
Le séneçon du Cap, Senecio inaequidens
Un observateur nous signale avoir observé des plants de séneçon du Cap en pleine rue à Avignon
récemment.
Le séneçon du Cap est une plante herbacée vivace de la famille des Asteracées. Elle mesure 40 à 80 cm
de haut en moyenne. Les feuilles sont épaisses, simples, étroites avec des dents courtes et irrégulières. Les
fleurs sont regroupées en capitules de 18 à 25 mm de diamètre de couleur jaune pâle, elles fleurissent d’avril à
janvier. Les fruits sont des akènes plumeux de 2 mm. La plante produit plus de 10 000 graines par an. La
pollinisation se fait par les insectes et les akènes sont disséminés par le vent.
Le Séneçon du Cap a été introduit en Europe par le biais des laines de moutons importés d’Afrique du
Sud au 19ème et 20ème siècle qui contenaient des graines. En France les premiers foyers ont été repérés à Calais
et dans le Tarn en 1937 et la propagation s’est intensifiée dans les années 1970.
Le séneçon du Cap est peu exigeant, il s’adapte à tous les types de pH et aux sols secs comme
hydromorphes. Il accepte également les sols salés. Il s’installe de préférence en situation ensoleillée, résiste au
gel et à la sécheresse. Cette plante n’est pas proposée dans le commerce.
Il forme des peuplements denses qui diminuent la diversité biologique. Connu comme adventice dans
les vignobles, il dégrade la qualité des pâtures dans les prairies. Très dynamique il s’installe rapidement dans
une zone et entraîne ainsi des applications d’herbicides importantes.
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Moyens de contrôle : sur des zones faiblement envahies il est possible d’arracher manuellement les
pieds avant fructification. Une fois qu’il est bien installé, le fauchage avant fructification permet de limiter son
développement à condition de répéter ces actions plusieurs années de suite à chaque fois que de nouveaux
plants apparaissent. Le puceron Aphis jacobaeae (habituellement observé sur Senecio jacobaea, plante
endémique) s’installe sur le séneçon du Cap et l’affaiblit. Une fois n’est pas coutume, on conseillera donc de
favoriser le développement des populations de ce puceron !
Photo 8 : capitule (Sarah Brunel AME CBNMED) photo de gauche
Photo 9 : envahissement de la réserve des Nohèdes, 66 (Alain Mangeot) photo du milieu
Photo 10 : attaque de puceron (Alain Mangeot) photo de droite
LES OBSERVATIONS CONTENUES DANS CE BULLETIN SONT REALISEES PAR DE NOMBREUX PARTENAIRES : CONSEILLERS, PAYSAGISTES,
AGENTS DE COLLECTIVITES… SI VOUS SOUHAITEZ DEVENIR
OBSERVATEUR, CONTACTEZ-NOUS :
ANNE ROBERTI : 04 94 35 22 84
LE BULLETIN DE SANTE DU VEGETAL PEUT VOUS ETRE ENVOYE GRATUITEMENT PAR MAIL.
SI VOUS SOUHAITEZ VOUS ABONNER, POUR RECEVOIR DIRECTEMENT LE BSV PAR MAIL, CONTACTEZ-NOUS (VOIR CI-DESSUS).
LES OBSERVATIONS CONTENUES DANS CE BULLETIN ONT ETE REALISEES PAR LES PARTENAIRES SUIVANTS :
FREDON PACA, FDGDON 84, FDGDON 13, AGROBIO TECH, SARL BIBIANO, COMMUNES DU LAVANDOU, SAINTE-MAXIME, NICE, FOS SUR MER,
VITROLLES, ANNE GIVRY ESPACE PAYSAGE, ATRIUM PAYSAGE, BOTANIC, GILLES MARTIN, LYCEE AGRICOLE D’HYERES, INRA-UNITE
EXPERIMENTALE ENTOMOLOGIE ET FORET MEDITERRANEENNE, COOPERATIVE TERRES D’AZUR, KOPPERT, CHAMBRES D’AGRICULTURE DU VAR
ET DES ALPES-MARITIMES.
COMITE DE REDACTION DE CE BULLETIN :
Anne ROBERTI, Myriam MORETO, Claire LAFON, Carol MINIGGIO, Carole FELIS
N.B. Ce Bulletin est produit à partir d’observations ponctuelles réalisées sur un réseau de parcelles. S’il
donne une tendance de la situation sanitaire, celle-ci ne peut pas être transposée telle quelle à chacune des
parcelles. La Chambre régionale d’Agriculture et l’ensemble des partenaires du BSV dégagent toute
responsabilité quant aux décisions prises pour la protection des cultures. La protection des cultures se
décide sur la base des observations que chacun réalise sur ses parcelles et s’appuie, le cas échéant, sur les
préconisations issues de bulletins techniques.
Action pilotée par le ministère chargé de l’agriculture, avec l’appui financier de l’Office national de l’eau et
des milieux aquatiques, par les crédits issus de la redevance pour pollutions diffuses attribués au
financement du plan Ecophyto.
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