mit den ausländischen Arten,
wohl
üher zehn
Genera aus Gymnostomum ausscheiden.
Doch
es
würde uns hier zu weit führen, wollten wir in
eine
nähere
Kritik dieses Gegenstandes eingehen;
wir
werden in unserm
Mcthodus
Gelegenheit haben,
auf
denselben zurückzukommen.
Wie
im
habitus,
so stimmen die
Physcomi-
(rien
auch hinsichtlich ihres Vegetationsverlaufes
und
ihrer
Lebensdauer vollkommen miteinander
iiberein: sie sind alle einjährig und ihre Ent-
wickelung
zerfällt in
zwei
Abschnitte, von denen
der eiste der Bildung der männlichen, der zweite
der Bildung der weiblichen ßlüthe entspricht. Die
männliche oder Antheridieii-Blüthe schliesst die
Hauptaxe der jungen Pflanze, die weibliche Blüthe
eine aus dieser hervorgehende Seitenaxe. In der
Regel
beschränkt sich die Pflanze auf die Bildung
einer einzigen Antheridien-Blüthe. und nur aus-
nahmsweise geschieht es, dass durch schnelles
Sprossen, seitlich vom Involukrum, mehrere
sol-
cher Blüthen übereinander zu stehen kommen,
namentlich ist diess bei Ph.
pyriforme
der Fall.
Fruchtsprossen entspringen nicht selten mehrere,
und in verschiedener Höhe, aus den Blattwin-
keln des Hauptstengels, so dass ein einziges
Pflänzchen oft 4 6 Früchte
trägt.
Der Um-
stand
, dass zuweilen ganze Rasen männlicher
Pflanzen angetroffen werden, bei denen die
weib-
lichen
Blüthen noch nicht zur Ausbildung
gekom-
men oder auch verkümmert sind, veranlasste die
unrichtige Ansicht, als wären die Pkyscomitrien
diöciäch.
Auch
geschieht es häufig, dass nur ein
abgerissener Ast der Pflanze der Untersuchung
unterworfen oder der wurzelnde
Fruchtast
r
die
ganze Pflanze genommen wird, so ging es
z.
B.
SCHWÄGRICHEN
mit Ph.
curvisetum
u. a.
wodurch
natürlich unrichtige Resultate erreicht
weiden
müssen.
Die
Antheridien-Blüthen bilden eine ausge-
spreitete Rosette von 5 6
Blättern,
die sich
von
den Stengelblättern hlos durch bedeuten-
dere Grösse unterscheiden, und nicht, wie bei
<1en
gewöhnlichen Scheibenblüthen, an
ihrer
Basis hohl und über dieser horizontal zurück-
gebogen
sind, auch kommen keine eigentliche
PHYSCOMITRIUM.
trouver une dizaine de genres bien distincts dans
les Gymnostomum, tel que
ceux-ci
figurent encore
dans
les
ouvrages
de
HEDWIG
et de
SCHWAGRI-
CHEN.
Mais ce n'est pas ici le lieu de dis-
cuter cette question et de la soumettre à une cri-
tique sévère,
d'autant
inoins que nous y reviendrons
dans notre Methodus.
Par leur faciès
autant
que par leur inodejde
végétation et leur durée, les
Physcomitrium
of-
frent la plus grande ressemblance
entre
eux. Tous
en effet sont annuels et leur développement se
fait en deux périodes, dont la première corres-
pond
à la formation de la fleur maie et la se-
conde
à la formation de la fleur femelle ou fructi-
fère.
La fleur mâle ou anthéridifère termine
l'axe principal de la jeune plante,
tandis
que la
fleur
femelle
se trouve sur le sommet des ra-
meaux qui se développent sur
celle-ci
et termi-
nent
ainsi les axes secondaires. La même plante
ne donne généralement naissance qu'à une seule
fleur anthéridifère et ce n'est que par exception
qu'il y a une innovation réitérée par suite de la-
quelle
on
voit
plusieurs de ces fleurs se succéder
sur la même tige ; le Ph.
pyriforme
offre
assez fré-
quemment l'exemple de cette anomalie. Quant
aux fleurs femelles elles se rencontrent souvent
au nombre de 4—6 et à différentes
hauteurs
de
la tige, de sorte que la même plante porte plu-
sieurs
fruits
à la
fois.
On trouve assez sou-
vent des touffes entières uniquement
composées
de
plantes mâles; dans ce cas les fleurs femelles
n'ont pas encore acquis leur développement nor-
mal ou bien elles ont avorté par suite d'étiolement.
C'est ce cas exceptionnel qui probablement a
donné
lieu à l'opinion qui supposait les Physco-
mitrium
dioïques. Il est vrai que très-souvent
on
ne
s'est
pas donné la peine d'examiner la
plante complette ou qu'on
s'est
trompé en pre-
nant
un rameau fertile
portant
à sa base des
radicelles pour la plante entière,
comme
ceci
est
arrivé p. ex. à
SCHWÂGRICHEN
pour le Ph.
curvi-
setum
e. a. On
conçoit
que des inexactitudes de
ce
genre doivent conduire à des conclusions fausses.
Les
fleurs anthéridifères forment une rosette
étalée de 5 à
G
feuilles qui ne différent des feuilles
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