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Sorbus aria (L.) Crantz
Règne : Plantae
Embranchement : Spermatophyta
Sous-embranchement : Angiospermes
Classe : Eudicotylédones, Noyau des Eudicotylédones, Rosidées, Fabidées
Ordre : Rosales
Famille : Rosaceae
Genre : Sorbus
Espece (nom latin) : Sorbus aria (L.) Crantz
Espece (nom français) : Alisier blanc, alouchier
Photos
Morphologie
Morphologie générale Arbre de troisième grandeur ne dépassant pas 15 m de haut
Cime pyramidale
Écorce Lisse, finement écailleuse en vieillissant
Rameaux/Tiges Lisses, gris ou brun rougeâtre, tomenteux
Bourgeons Verdâtres et visqueux
Feuilles Elliptiques, cunéiformes de longueur variable ((5-)7-14 (-24) cm, doublement dentées,
couvertes d’un duvet feutré blanc sur les 2 faces
Pétiole tomenteux de 1 à 2 cm de long
Inflorescences Corymbe de 5 cm de diamètre
Fleurs Hermaphrodites, à symétrie radiaire
Calice à 5 sépales
Corolle à 5 pétales blanchâtres
15 à 20 étamines
3-4 carpelles ; ovaire infère
Fruits Ovoïdes, verts à rouge clair, ponctués de lenticelles brunes, chair farineuse
Enracinement potentiel //
Formule florale * S5 P5 A15-20 G(3-4)
Ecologie
Aire de distribution
naturelle Europe et Afrique du Nord
Distribution en Belgique Assez commune à rare
Amplitude trophique Basicline et calcicole et acidocline à neutrocline
Amplitude hydrique Xérophile
Tolérance à l'ombrage Héliophile, espèce thermophile
pH Acide ou basique à neutre
Position successionelle Pionnière
Biotope Forêts et fourrés, sur des sols secs, pourvus ou dépourvus de calcaire, rochers
Groupements végétaux Quercion pubescentis-petraeae, Berberidetalia, Carici Fagetum
Feuillaison Avril - mai
Floraison Mai (entomophile)
Dissémination des
graines Automne – hiver (endozoochorie)
Multiplication asexuée Rejette de souche
Propriétés médicinales Fruits utilisés contre la diarrhée et la toux
Étymologie
Remarques
Les exigences climatiques et édaphiques de Sorbus aria varient considérablement selon les régions. Étant donné l’étendue de
son aire d’origine, en plus de la sous-espèce tomentosa, localisée dans le Sud de la France, on peut présumer l’existence
d’autres écotypes et races locales. Certaines variétés d’alisiers blancs demandent des sols calcaires et croissent dans les
endroits les plus xériques. En Haute Belgique, Noirfalise (1984) définit cette espèce comme colonisant des sols à capacité en
eau réduite ; sa préférence va aux sols pauvres et acides, voire faiblement acides.
Le bois blanc rosé, veiné de brun est lourd, dense et homogène.
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