
Bulletin de la Société Astronomique du Valais Romand                                            Page 9 
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pris grand soin de clairement séparer ses recherches de ses 
croyances. C'est, curieusement, un des plus farouches adver-
saire de l'idée, Fred Hoyle, qui va lui donner, par dérision, le 
nom de "Big Bang" sous lequel cette nouvelle vision de l'uni-
vers va se répandre dans les années 50 avec les travaux de Ga-
mov et s'imposer dès 1964 après la découverte (fortuite) du 
rayonnement fossile par Penzias et Wilson.    
9.2 – Faire du tort par derrière.   10.1 – Cessas de tergiverser. 
10.2 – Ville japonaise sur l'île de Kyûshû, 460 000 habitants. 
10.3 – Quand il veut bien pousser à l'endroit, il donne du bois 
dur et lourd. 
11.1 – Quand ils sont sales, ils sont insupportables. 
11.2 – Précède la parade. 
12.1 – Matière scolaire abrégée et renversée 
12.2 – (deux mots) Mathématicien, physicien et astronome 
néerlandais 1872-1934). Son activité s'exerça principalement 
à l'université ainsi qu'à l'observatoire de Leyde. Il fut l'un des 
premiers à évoquer, en 1917, la possibilité d'un univers en ex-
pansion, sur la base des travaux de la relativité générale 
d'Einstein. En 1932 dans un article corédigé avec Einstein, il 
émet l'hypothèse la présence de matière sombre dans l'univers.   
13.1 – Lit tous les jours son canard à l'envers.  
13.2 – Département picard. 
14.1 – Mots anglais couramment utilisé pour désigner le déca-
lage vers le rouge des raies spectrales relevées sur les objets 
astronomiques qui s'éloignent de la position de l'observateur. 
Cette propriété, découverte par Slipher dès 1912 fut utilisée 
par Hubble et Humason pour mesurer le déplacement des ga-
laxies.  
 
Verticalement 
1.1 – Liquide, s'il est noir. 
1.2 – Branche de l'astrophysique qui étudie l'Univers en tant 
que système physique. Avant le 19e siècle, l'univers connu 
était réduit au seul système solaire évoluant, selon les lois de 
la mécanique Newtonienne, devant un "décor" d'étoiles fixes. 
En 1838, Bessel détermine la première distance d'étoile. Com-
mence alors un patient travail de répartition spatiale des étoi-
les de notre galaxie.  Dans le premier quart du 20e siècle, les 
théories relativistes (Einstein) et quantiques (Planck, Bohr...) 
apportent un nouvel éclairage à la compréhension du monde. 
Les découvertes s'enchaînent. Dès 1925, Hubble prouve la na-
ture extragalactique de certaines nébuleuses. Il découvre aussi 
que l'univers est en expansion. En 1931, Lemaître jette les 
base de ce qui deviendra la théorie du Big-Bang. Zwicky dé-
couvre la matière noire en 1933. Les travaux des astrophysi-
ciens rejoignent ceux des spécialistes de la physique des parti-
cules. Bethe, décrit en 1935 un des processus qui est à la 
source de l'énergie stellaire. On prend conscience que l'univers 
a une histoire.  
2.1 – Produite 
2.2 – Sigle d'une organisation européenne qui a conçu, entre 
autres, le VLT. 
2.3 – Plus dans son lit. 
3.1 – N'éclaire qu'une ligne. 
3.2 – Astronome américain (1891-1972). Il débuta une bril-
lante carrière d'astronome comme ... conducteur de mulet pour 
transporter le matériel nécessaire à la construction de l'obser-
vatoire du Mont-Wilson. Puis il y obtint un poste de concierge 
en 1917, mais se fit rapidement engager comme assistant de 
nuit. À force de travail et d’observations assidues, il accumule 
les compétences si bien qu’il est nommé astronome en 
1919. Observateur méticuleux, spécialisé en spectrogra-
phie, il devient l'assistant de Edwin Hubble. Il prend une 
part importante aux  mesures des distances et des décala-
ges spectraux de galaxies, grâces auxquelles Hubble pour-
ra établir sa loi de l'expansion de l'univers. 
4.1 – S'agitassent bruyamment.  5.1 – Mari d'Héra. 
5.2 –  Plusieurs leu.  5.3 –  Parfois surdimensionné. 
6.1 – Ânes renversés     6.2 – Classé 35ème par Dmitri. 
7.1 – (deux mots) Modèle cosmologique utilisé par les 
scientifiques pour décrire l'origine et l'évolution de l'uni-
vers. Proposée en 1927 déjà par le chanoine belge Georges 
Lemaître, l'idée est reprise par lui-même en 1931 (après la 
découverte de la loi de Hubble) sous le nom de "hypothèse 
de l'atome primitif".  Mais la théorie passera à la postérité 
sous une toute autre dénomination, lâchée en 1950 lors 
d'une émission radiophonique par l'astronome britannique 
Fred Hoyle, farouche défenseur d'un univers stationnaire, 
dans le but de tourner en dérision, l'univers imaginé par 
Lemaître et repris par Gamow. 
7.2 – Noyau de cerise.   7.3 – Département de Micheline  
8.1 – Oui plus ouï.   8.2 – On peut le trouver sanglant. 
8.3 – Physicien américain d'origine allemande (1906-
2005). Il est le premier à proposer, en 1939, un ensemble 
de réaction, le cycle CNO (carbone-azote-oxygène), qui 
explique comment les étoiles peuvent produire leur éner-
gie en transformant leur hydrogène en hélium. Cette dé-
couverte lui vaudra le prix Nobel 1967. 
9.1 – Évolue sur les planches.    9.2 – Whisky de seigle.  
9.3 – Sans gêne.    10.1 – Début de synergie 
10.2 – Cosmologiste et astronome britannique (1915-
2011). C'est lui qui inventa, en 1950, le mot Big Bang 
pour dénigrer et railler le modèle d'expansion de l'univers 
auquel il ne croyait pas. Mais, comble de l'ironie, l'expres-
sion plût tellement, qu'elle fut largement adoptée pour dé-
signer la théorie une fois celle-ci admise par la communau-
té scientifique.  
10.3 – Titane.   11.1 – Sabotage mythologique.  
11.2 – Long temps   11.3 – Personnel. 
12.1 – (deux mots) Expression utilisée par Georges Lemaî-
tre pour désigner, en 1931, sa théorie d'un univers en ex-
pansion à partir d'une concentration originale de matière 
chaude et dense. 
13.1 – Prendre son courage à deux pieds.     
13.2 – Réclame un acquittement.   
13.3 – Réserve de pots cassés. 
13.4 – Voit le Soleil avant nous  
14.1 – (deux mots) Expression communément utilisée pour 
désigner la composante non visible de l'univers détectée 
dès 1933 par Fritz Zwicky, puis oubliée et remise d'actua-
lité, dans les années 70 par Véra Rubin.