
Bulletin de la Société Astronomique du Valais Romand Page 9
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0,0001 ua).
11.1 – Argent en gage.
11.2 – Homme dont on parle.
11.3 – Lourd symbole.
12.1 – Une des neuf étoiles les plus brillantes d'un amas ou-
vert, sis dans la constellation du Taureau, qui portent le
nom du Titan Atlas et de son épouse Pléioné ainsi que ceux
de leur 7 filles, les Pléiades. Celle dont il est ici question
est homonyme de la fille du roi Œnopion que son père avait
promise à Orion, s'il débarrassait Chios de tous les fauves
qui s'attaquaient aux hommes et aux troupeaux. Promesse
non tenue au grand dam d'Orion.
12.2 – Constellation du ciel d'hiver, entourée au Nord par
le Lynx et la Girafe, à l'Est par les Gémaux, à l'Ouest par
Persée et au Sud par Orion et le Taureau. Son étoile princi-
pale est Capella. On y trouve aussi les amas ouverts M36,
M37 et M 38.
13.1 – Nostoc ou varech.
13.2 – Reconnaissance de paternité.
13.3 – Côte qui ne se monte pas.
14.1 – (deux mots) Si cette constellation parait bien mo-
deste, son étoile principale, Procyon, ne l'est pas du tout.
C'est la huitième étoile la plus brillante du ciel nocturne.
Elle est répertoriée comme sous-géante car elle vient de ter-
miner la fusion de son hydrogène dans sa région centrale et
elle commence à se dilater. En grec, Procyon signifie
"avant le chien", car elle se lève juste avant Sirius, qui fait
partie de la constellation du Grand Chien.
Vertical
1.1 – Installait un dispositif entre deux longues oreilles et
une queue.
1.2 – Certains y rêvent de fusion.
2.1 – Installée juste au Sud d'Orion, cette petite constella-
tion abrite, outre les étoiles Arneb et Nihal, l'amas globu-
laire M 79, découvert par Pierre Méchain en 1870. Deux
étoiles de magnitude 4,3 marquent les oreilles de l'animal
qui lui a donné son nom.
2.2 – "Le pied gauche du géant". C'est cette expression
arabe qui est à l'origine du nom donné à la supergéante
bleue, 55 mille fois plus lumineuse que le Soleil, qui mar-
que le coté Sud-Ouest du quadrilatère formant la constella-
tion d'Orion. Sa distance est trop élevée pour en permettre
une mesure précise par la méthode de la parallaxe. On l'es-
time à environ 800 al. L'étoile principale possède deux
compagnons de magnitude 10,4.
3.1 – Des passages particulièrement salés.
3.2 – Reste vert jusqu'à un âge avancé.
3.3 – Espionne dans l'hexagone.
4.1 – Eclusées.
4.2 – Travaille dans la norme.
4.3 – Gros gnon.
5.1 – L'œil du Taureau. Cette étoile géante rouge possède
un diamètre 38 fois plus grand que celui du Soleil dont elle
est éloignée de 65 al. Après avoir consommé tout l'hydro-
gène de sa partie centrale, elle brûle actuellement son hé-
lium. Sa localisation, à mi chemin entre Orion et les Pléia-
des, est facilitée par sa forte luminosité (magnitude 0,86).
5.2 – Instrument à touches.
6.1 – Va sûrement perdre son emploi.
6.2 – Prénom imperméable s'il est mis à l'envers.
6.3 – De drôles d'oiseaux lui préfèrent le rossignol.
7.1 – Constellation sise sur l'écliptique et traversée par le
Soleil du 14 mai au 22 juin. Voisine, entre autre, d'Orion,
des Gémeaux et du Cocher, elle se repère rapidement
grâce à son étoile principale, Aldébaran. Elle contient
plusieurs objets intéressants dont les Hyades et les Pléia-
des, amas ouverts bien connus. Citons aussi Messier 1, la
nébuleuse du Crabe, rémanent de la supernova de 1054.
7.2 – Réduit de moitié tout ce qui suit.
8.1 – Vider de son eau par le dessous.
8.2 – La hantise des poissons plats.
9.1 – Relative à un organe digestif.
9.2 – Du "laisser-aller" chez les intégristes.
9.3 – Jamais comme avant.
10.1 – C'est un sens, dans le bon sens.
10.2 – Etranger devenu fréquentable avec le temps.
11.1 – Augmente le diamètre.
11.2 – Pour Dimitri Ivanovitch, c'est le No 81.
11.3 – Pas cher du tout.
12.1 – Rivière congolaise remontant vers sa source.
12.2 – Nom donné, en raison de son aspect, à un amas
ouvert sis au cœur de M 42, la nébuleuse d'Orion et qui
illumine le gaz environnant. Au télescope, il est facile-
ment reconnaissable grâce à l'astérisme formé par ses
quatre étoiles principales.
13.1 – Restes à table.
13.2 – Sèche.
13.3 – Puce alors.
14.1 – Superbe amas ouvert situé dans le Taureau et clas-
sé, sous le numéro 45 dans le catalogue de Charles Mes-
sier. Il est facilement visible à l'œil nu. On distingue rapi-
dement 5 à 6 étoiles. Si le ciel est bien noir, ce qui, hélas,
n'est plus qu'un souvenir dans la plaine du Rhône, un œil
exercé peut en distinguer une dizaine. Au télescope, on
peut observer les traces de la nébuleuse d'origine qui se
révèle, dans toute sa splendeur sur les poses photographi-
ques. L'amas est relativement jeune, 100 millions d'an-
nées, et on estime que dans quelques centaines de mil-
lions d'années il aura disparu car sa masse, trop faible, ne
pourra pas empêcher la dispersion de ses étoiles. Asté-
rope, Mérope, Électre, Maïa, Taygète, Célaéno et Al-
cyone sont les sept sœurs qui ont donné leur nom à l'amas
et à ses principales étoiles.