accompagnera les poissons gras, à faire cuire très modérément, de légumes peu caloriques comme brocoli, haricot
vert, ainsi l’apport énergétique rester équilibré.
Les huiles végétales et de poissons
Sont mono insaturées ou polyinsaturées, bonnes graisses pour les apports en omégas 3, 6, 9 et seront
consommées allègrement tout en gardant à l’esprit que ce sont toujours des graisses, même végétales, elles
apportent 9 calories pour 1 gramme. Donc à utiliser en quantité mesurée tout de même. Les graisses mono
insaturées et polyinsaturées doivent être apportées par l’alimentation.
Les graisses saturées
Les graisses animales sont saturées, elles proviennent des viandes, produits laitiers, huile de coco, huile de palme,
elles deviennent plus ou moins solides à température ambiante.
Attention ! Le cholestérol est une molécule indispensable à la vie. La preuve, notre foie fabrique lui-
même 2/3 du cholestérol, l’alimentation apporte seulement 1/3. Il amène souplesse, force et protection aux
membranes cellulaires. Il est aussi essentiel au fonctionnement des muscles, donc du cœur, il transporte les
vitamines liposolubles. Il est le précurseur d’hormones importantes comme le cortisol, la testostérone. Il permet la
synthèse des sels biliaires nécessaires à la digestion des graisses. Un équilibre s’effectue normalement entre le
cholestérol endogène et exogène. Le déséquilibre arrive lorsque les organes internes ne diminuent pas sa
fabrication alors que l’alimentation en apporte en surplus.
Consommés en excès, les acides gras saturés augmentent la cholestérolémie et le taux de LDL et de HDL. Tous
les acides gras saturés ne présentent cependant pas le même risque cardio-vasculaire.
Depuis plusieurs dizaines d’années, le cholestérol a été élu ennemi n°1 de nos artères par la médecine officielle. De
nombreux résultats d’études montrent aujourd’hui que le problème du cholestérol élevé est peut-être exagéré et ne
devrait pas être traité sur la population de façon uniforme.
En effet tout est matière de facteurs de risques. Si vous avez un risque cardiovasculaire accompagné d’autres
facteurs (obésité, sédentarité, tabagisme, hypertension, diabète), vous aurez intérêt à contrôler votre taux de
cholestérol. En revanche si votre risque cardiovasculaire est faible, si vous présentez peu ou pas d’autres facteurs
de risque et surtout si, dans votre famille, il y a plus de cancers que d’infarctus, vous devez réfléchir à deux fois
avant de prendre un traitement chimique pour faire baisser votre cholestérol. En remettant un tel traitement en
question, vous éviterez des effets secondaires graves dus à la prise de statines chimiques et vous conserverez un
bon état de vos membranes cellulaires, condition majeure pour ne pas fabriquer de cellules cancéreuses. (Michel
de Lorgeril).
Une remise en question au niveau alimentaire et de vie générale accompagnée de compléments alimentaires
naturels si nécessaire, seront les seules mesures à prendre dans bien des cas.
Enfin, la Chrono nutrition a pu démontrer qu'il est facile de baisser le taux de cholestérol en mangeant gras le
matin, carnivore à midi, fruits (en particulier les agrumes) au goûter et très léger le soir.