Même si on était dans une période de paix les chevaliers s

Emile
Même si on était dans une période de paix les chevaliers
s’entraînaient. Dans un village qui se trouvait vers le nord de
la France des chevaliers. Le Chevalier Gorain était jeune, âgé
d’à peu près 19 ans. Un des plus robustes chevaliers, Gorain
savait manier au mieux son arme. Il avait reçu la meilleure
éducation militaire. Dans quelques instants notre chevalier
entrerait dans le terrain du tournoi. Gorain monta sur son
cheval noir, un cheval qui était son complice. Un écuyer lui
avait donné son armure, son heaume. Gorain plaçait son
heaume toujours avec une main. Il prit sa lance, Gorain avait
une lance plutôt courte mais très solide. Gorain avançait
doucement vers le terrain du tournoi. Il s’inclinait vers les
demoiselles dans les gradins couverts. Il salua le seigneur
puis redressa sa lance vers son adversaire. Les deux
chevaliers chargeaient l’un sur l’autre. Au moment de la
rencontre Gorain se baissa, on aurait pu dire que sa tête
touchait le cou de son cheval. La lance de son adversaire frôla
le heaume de notre chevalier. À un moment très précis quand
les deux chevaliers étaient côte à côte, notre chevalier réagit
intelligemment. À ce moment, de sa main droite dont il tenait
son écu, il poussa de toutes ses forces son adversaire. Le
chevalier ennemi fut projeté par-dessus son cheval. Jamais on
n’avait vu une action pareille, il vola dans les airs pour un
instant. Il vola de deux ou trois mètres, en perdant des parties
de son armure. En retombant méchamment dans un nuage de
poussière, il se blessa. Les spectateurs applaudirent Gorain
qui descendit de son cheval en tirant son épée de son fourreau.
L’adversaire, lui, resta un moment par terre à cause de sa
chute. Il avait perdu la moitié de son armure et beaucoup plus
que la moitié de ses forces. Dès que Gorain avançait ver lui, il
demanda grâce. Le public applaudit Gorain qui partit chez lui
pour se reposer.
Quand il se réveilla, il alla manger. Après, il
sortit dans la rue et ne vit ni fenêtre ouverte ni porte ouverte.
Les rues étaient vides, pas un seul animal ne rôdait. Il courut
à la cour du roi pour comprendre ce qui perturba le peuple.
Quand il arriva à la cour du roi et il le vit bouleversé. Arthur,
le roi, lui expliqua qu’un messager qui venait du château
voisin lui avait apporté une mauvaise nouvelle. Les Anglais
attaquaient le royaume franc ! Cela expliquait pourquoi tout le
monde était bouleversé. Le roi lui-même en était presque
malade. Gorain galopa dans la plaine sur son cheval noir
pour réfléchir. Il avait une habitude de toujours réfléchir sur
son cheval dans un endroit calme. On pensait qu’il demandait
l’avis de son cheval. Gorain passait beaucoup de temps à
penser. Surtout dans des cas comme celui-ci. Il prit sa
décision. Il était près à s’engager dans l’armée de son roi !
Les Anglais en avaient assez fait comme ça. Il repartit dans
son village où il alla annoncer sa décision au roi. Le roi, lui,
était content et fier d’avoir un chevalier comme celui-ci, voulant
s’engager dans son armé pour combattre les Anglais. Gorain
n’avait jamais combattu en bataille. Il avait déjà participé à
quelques tournois, il avait déjà vécu des aventures
dangereuses. Donc il n’avait pas peur de s’engager. Le roi
était content, donc il lui donna un rôle important.
Il lui avait confié une mission particulière : de tuer
le général anglais. Gorain devait à tout prix le tuer avant un
mois. Car après un mois, des renforts pouvaient arriver
aidant les ennemis. Donc il fallait à tout prix gagner la guerre
rapidement. Le roi expliqua à Gorain sa mission plus
précisément dans une salle du château. Gorain ,dès le
lendemain, commença à préparer ces affaires pour la guerre.
Il nourrit plusieurs fois son cheval pour lui donner des forces.
Il aiguisa son épée avec beaucoup de précautions, il nettoya
son écu et le renforçant en mettant du nouveau bois autour de
son écu. Il répara son armure. Puis il alla s’entraîner à la
quintaine. Une quintaine très bien faite était une machine que
seul les bons cavaliers réussissaient à franchir sans se faire
pousser par-dessus leur cheval. Lui, Gorain n’avait jamais
tenté de la franchir, mais il leva sa lance et chargea sur la
machine. Il frappa à toute vitesse la machine qui pivota
dangereusement mais il évita le poids astucieusement. Puis il
partit pour accomplir sa mission. Il partit au galop. Gorain
arriva au bout d’une journée auprès d’une petite auberge qui
lui avait l’air bien sympathique. Il passa la nuit dans cette
auberge, et, au dîner, il demanda au propriétaire où il pourrait
trouver le général anglais. Le propriétaire qui était gentil
montra à Gorain où se trouvait le camp des anglais. Pour se
trouver à ce camp, il fallait traverser une forêt dangereuse et
surmonter une montagne que peu avaient réussi à franchir.
Gorain dès le matin, paya le propriétaire puis s’en alla. Il
Emile
arriva à la forêt que l’on disait hantée. Il prit son épée en
main et avança. Tout à coup, il entendit un grognement
d’arrière lui, il se retourna puis il se fit pousser hors de son
cheval. Il prit un poignard et l’enfonça dans son agresseur.
Gorain se releva puis comprit qu’il s’était fait attaquer par un
loup sauvage. Heureusement Gorain n’avait rien. Il remonta
sur son cheval qui ne s’était aperçu de rien. Il avança dans la
forêt prudemment puis, par grand étonnement, il y entendit un
bruit plus au moins humain. Gorain se retourna brusquement
en sortant son épée. Il vit un petit homme tout maigre, d’une
laideur si épouvantable que l’on se demandait si cette créature
était un homme. Il approcha d’une manière très étrange, qui
pouvait se comparer à celle d’un singe. Il regarda Gorain puis
lui dit :
_ « Toi là, le chevalier qui ose s’aventurer dans cette forêt.
Ecoute-moi bien car cela pourrait t’aider si tu trouves un
lézard géant n’hésite pas à le tuer car si tu le tues, son corps
brûlera puis un collier apparaîtra. Tu devras le prendre, car ce
collier porte très bonne chance, et je pense que tu tomberas
dans des situations dangereuses. »
Gorain regarda la créature puis lui dit merci et
s’en alla. Il reprit son chemin et comprit pourquoi peu de
personne avaient réussi à traverser cette forêt. Il entendit des
bruits très forts, très sauvages. Il vit le fameux lézard. Le
lézard mesurait 10 mètres de long. Il paraissait plus lourd
que 50 hommes. Il observait avec des yeux composés de deux
rubis. Une peau caillouteuse le couvrait, il marchait avec une
mâchoire conçue de mille dents, tranchantes comme Excalibur.
Des griffes composées de poignards ornaient ses pattes.
Quand il respirait, on se serait cru au milieu d’une tempête.
Il balançait sa queue comme un bélier qui défonçait tout. Il
arrachait tout ce qui était sur son passage, il déracinait les
arbres les plus gros comme de l’herbe. Il se nourrissait
d’humain, de vache, et de cheval. Gorain baissa son casque et
sortit son épée et chargea vers le monstre. Le monstre projeta
sa gueule vers notre chevalier. Gorain se baissa et donna des
coups sur la peau de la bête. Gorain comprit que cela ne
servirait pas à grand chose, donc il chercha un moyen pour tuer
cette bête rapidement. Il prit des cailloux puis il les jeta de
toutes ses forces sur le monstre. Le monstre poussa un
hurlement. Donc Gorain recommença. Il vit un gros rocher
qui se situer au-dessus de la tête du monstre. Il courut vers la
bête pour lui enfoncer l’épée dans le ventre du reptile, il laissa
l’épée enfoncée. Il courut sur la petite bosse où se trouvait le
rocher, il poussa de toutes ses forces le rocher qui finit par
tomber. Le lézard recevra le rocher sur la tête et mourut
instantanément, puis il commença à prendre feu. Gorain se
reposa pendant que sa victime brûlait. A la fin, une lumière
apparut rapidement et un collier retomba aux pieds de Gorain.
Celui-ci le prit, l’enfila rapidement et partit. Il trouva une
vieille chapelle dont il fit un refuge. Il dormit une nuit. Tôt le
matin il partit vers la montagne. Comme il avait confiance en
ce collier qui devrait lui porter bonne chance, il ne se soucia
d’aucun danger. Quand il passa dans des endroits dangereux
mais il n’eut pas peur. Il arriva rapidement en haut de la
montagne, car les personnes qui montaient cette montagne
faisaient très attention. Gorain redescendit encore plus
rapidement. Son cheval descendit à une vitesse où il ne tenait
presque plus la route. Les cailloux roulaient, les sabots du
cheval dérapaient. Gorain vit le camp de tentes installées. Il
freina son cheval rapidement. Il attacha son cheval et
commença à faire ses affaires pour tuer ce général. Il sortit un
arc d’une précision extraordinaire. Pour accomplir sa mission
il pensa qu’il devrait mieux avoir un arc car c’est une arme de
distance et elle est silencieuse. Puis il prit un grand poignard,
il enleva son armure pour être plus rapide, léger, discret et
silencieux. Dès que le soir arriva, Gorain s’arma puis partit
en direction du camp ennemi. Il visa et décrocha une flèche
dans le cou du garde de la porte. L’homme mourut
silencieusement. Gorain courut vers le corps pour le cacher
dans les buissons les plus proches. Il entra dans le camp la
tête baissée, et à une vitesse rapide. Il repéra rapidement la
tente du général, la plus belle et la plus grande. Il s’allongea
sur le sol à l endroit le plus près de la tente et à l endroit le
moins éclairé. Il tua le garde du général en un coup de flèche,
un garde qui tournait autour de sa tente. Gorain posa son arc
et courut vers la tente. Il se mit debout et attendit que les
lumières s’éloignent. A ce moment-là, il entra, il fit un bond
sur le général en lui plantant son poignard dans la tête. Il
sortit de la tente discrètement en courant. Il reprit son arc au
passage, il attrapa une torche qui était plantée dans le sol.
Avec la torche, il mit feu à deux tentes, puis il courut en
allumant le plus de tentes possible. Il courut rejoindre son
cheval qui l’attendait. Depuis son cheval, il pouvait voir le
camp brûler. Sa mission était faite : il avait tué le général
mais en plus il avait mis le feu au camp. Il galopa rapidement
en haut de la montagne pour retrouver la chapelle qui l’avait
hébergé pour une nuit. Il dormit dans cette chapelle. Le
lendemain, il partit à travers la forêt pour rejoindre le château
du roi. Dans la forêt Gorain revit la petite créature qui
l’avait aidé. Il la remercia et continua son chemin. Quand il
vit le château le cheval galopa rapidement. Quand il était
devant la porte on l’ouvrit avec joie pour le revoir . Quand
Gorain rentra, il vit tout le monde qui l’attendait. Le roi
courut et le remercia. Pour célébrer sa victoire on fit un grand
buffet.
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