Emile
arriva à la forêt que l’on disait hantée. Il prit son épée en
main et avança. Tout à coup, il entendit un grognement
d’arrière lui, il se retourna puis il se fit pousser hors de son
cheval. Il prit un poignard et l’enfonça dans son agresseur.
Gorain se releva puis comprit qu’il s’était fait attaquer par un
loup sauvage. Heureusement Gorain n’avait rien. Il remonta
sur son cheval qui ne s’était aperçu de rien. Il avança dans la
forêt prudemment puis, par grand étonnement, il y entendit un
bruit plus au moins humain. Gorain se retourna brusquement
en sortant son épée. Il vit un petit homme tout maigre, d’une
laideur si épouvantable que l’on se demandait si cette créature
était un homme. Il approcha d’une manière très étrange, qui
pouvait se comparer à celle d’un singe. Il regarda Gorain puis
lui dit :
_ « Toi là, le chevalier qui ose s’aventurer dans cette forêt.
Ecoute-moi bien car cela pourrait t’aider si tu trouves un
lézard géant n’hésite pas à le tuer car si tu le tues, son corps
brûlera puis un collier apparaîtra. Tu devras le prendre, car ce
collier porte très bonne chance, et je pense que tu tomberas
dans des situations dangereuses. »
Gorain regarda la créature puis lui dit merci et
s’en alla. Il reprit son chemin et comprit pourquoi peu de
personne avaient réussi à traverser cette forêt. Il entendit des
bruits très forts, très sauvages. Il vit le fameux lézard. Le
lézard mesurait 10 mètres de long. Il paraissait plus lourd
que 50 hommes. Il observait avec des yeux composés de deux
rubis. Une peau caillouteuse le couvrait, il marchait avec une
mâchoire conçue de mille dents, tranchantes comme Excalibur.
Des griffes composées de poignards ornaient ses pattes.
Quand il respirait, on se serait cru au milieu d’une tempête.
Il balançait sa queue comme un bélier qui défonçait tout. Il
arrachait tout ce qui était sur son passage, il déracinait les
arbres les plus gros comme de l’herbe. Il se nourrissait
d’humain, de vache, et de cheval. Gorain baissa son casque et
sortit son épée et chargea vers le monstre. Le monstre projeta
sa gueule vers notre chevalier. Gorain se baissa et donna des
coups sur la peau de la bête. Gorain comprit que cela ne
servirait pas à grand chose, donc il chercha un moyen pour tuer
cette bête rapidement. Il prit des cailloux puis il les jeta de
toutes ses forces sur le monstre. Le monstre poussa un
hurlement. Donc Gorain recommença. Il vit un gros rocher
qui se situer au-dessus de la tête du monstre. Il courut vers la
bête pour lui enfoncer l’épée dans le ventre du reptile, il laissa
l’épée enfoncée. Il courut sur la petite bosse où se trouvait le
rocher, il poussa de toutes ses forces le rocher qui finit par
tomber. Le lézard recevra le rocher sur la tête et mourut
instantanément, puis il commença à prendre feu. Gorain se
reposa pendant que sa victime brûlait. A la fin, une lumière
apparut rapidement et un collier retomba aux pieds de Gorain.
Celui-ci le prit, l’enfila rapidement et partit. Il trouva une
vieille chapelle dont il fit un refuge. Il dormit une nuit. Tôt le
matin il partit vers la montagne. Comme il avait confiance en
ce collier qui devrait lui porter bonne chance, il ne se soucia
d’aucun danger. Quand il passa dans des endroits dangereux
mais il n’eut pas peur. Il arriva rapidement en haut de la
montagne, car les personnes qui montaient cette montagne
faisaient très attention. Gorain redescendit encore plus
rapidement. Son cheval descendit à une vitesse où il ne tenait
presque plus la route. Les cailloux roulaient, les sabots du
cheval dérapaient. Gorain vit le camp de tentes installées. Il
freina son cheval rapidement. Il attacha son cheval et
commença à faire ses affaires pour tuer ce général. Il sortit un
arc d’une précision extraordinaire. Pour accomplir sa mission
il pensa qu’il devrait mieux avoir un arc car c’est une arme de
distance et elle est silencieuse. Puis il prit un grand poignard,
il enleva son armure pour être plus rapide, léger, discret et
silencieux. Dès que le soir arriva, Gorain s’arma puis partit
en direction du camp ennemi. Il visa et décrocha une flèche
dans le cou du garde de la porte. L’homme mourut
silencieusement. Gorain courut vers le corps pour le cacher
dans les buissons les plus proches. Il entra dans le camp la
tête baissée, et à une vitesse rapide. Il repéra rapidement la
tente du général, la plus belle et la plus grande. Il s’allongea
sur le sol à l endroit le plus près de la tente et à l endroit le
moins éclairé. Il tua le garde du général en un coup de flèche,
un garde qui tournait autour de sa tente. Gorain posa son arc
et courut vers la tente. Il se mit debout et attendit que les
lumières s’éloignent. A ce moment-là, il entra, il fit un bond
sur le général en lui plantant son poignard dans la tête. Il
sortit de la tente discrètement en courant. Il reprit son arc au
passage, il attrapa une torche qui était plantée dans le sol.
Avec la torche, il mit feu à deux tentes, puis il courut en
allumant le plus de tentes possible. Il courut rejoindre son
cheval qui l’attendait. Depuis son cheval, il pouvait voir le
camp brûler. Sa mission était faite : il avait tué le général
mais en plus il avait mis le feu au camp. Il galopa rapidement
en haut de la montagne pour retrouver la chapelle qui l’avait
hébergé pour une nuit. Il dormit dans cette chapelle. Le
lendemain, il partit à travers la forêt pour rejoindre le château
du roi. Dans la forêt Gorain revit la petite créature qui
l’avait aidé. Il la remercia et continua son chemin. Quand il
vit le château le cheval galopa rapidement. Quand il était
devant la porte on l’ouvrit avec joie pour le revoir . Quand
Gorain rentra, il vit tout le monde qui l’attendait. Le roi
courut et le remercia. Pour célébrer sa victoire on fit un grand
buffet.