rencontrées au gré de mes pérégrinations
guyanaises. Merci à eux, ainsi qu’à Jérôme
Albre vers qui je me suis tourné pour ce
qui est des papillons.
J’ai eu l’occasion de faire plusieurs
recontres enrichissantes pendant les
missions de terrain ou dans les colloques.
Merci entre autres à Bruno Corbara, Guy
Beugnon, Jean-Paul Lachaud, Hervé
Jourdan et Alain Thomas.
La thèse a aussi été l’occasion de faire
mes premiers pas d’enseignant. Je remercie
toutes les nombreuses personnes avec qui
j’ai collaboré dans cette activité, en saluant
tout particulièrement Erick Campan,
Olivier Roux et Laurent Pelozuelo.
De nombreuses personnes ont en outre
contribué à ce travail par le biais de leur
amitié et de leur soutien moral.
Je remercie Julien « MC » Foucaud,
avec qui j’ai partagé pas mal de franches
rigolades et de discussions scientifiques
révolutionnaires sur pas moins de trois
continents.
Je remercie très chaleureusement tous
mes petits camarades du labo (ou affiliés)
qui forment une concentration assez
épatante de chouettes personnes. Clin d’œil
spécial à mes « vieux » collègues insulaires
de DEA qui ont mené leur thèse en même
temps que moi, Joséphine et Fabian. Merci
à Abel, Amélie, Bello, Borja, Charles,
Claire, Cristina, Darin, Elodie, Erwan-et-
Mona, Franck, Gabor, Jean, Joël, Juliette,
Mailyn, Manue, Mario, Maxime, Natalia,
Nadia, Pascal, Pierre-Jean, Sarah, Suzana,
Vincent, Wafa. Vous avez tous apporté
votre petite touche de couleur personnelle
à mes années de thèse, et je dois dire qu’à
l’heure de prendre un peu de recul, je
trouve le tableau vraiment réussi.
Je tiens à remercier spécialement
Mailyncita et Lily pour le soutien crucial et
quasi quotidien qu’elles m’ont apporté
dans les dernières semaines de rédaction, à
grandes louchées de « fuerza ! » et de
« courage ! ». Au-delà de ça, et puisque je
n’ai pas 50 pages devant moi, je leur
exprime simplement toute ma
reconnaissance et toute mon amitié, en leur
signalant au passage que c’est un vrai
bonheur de les connaître.
Je n’oublie pas non plus mes amis
originels, que je ne vois pas souvent mais
qui ont toujours autant d’importance et de
pouvoir réconfortant à mes yeux. Merci
Céline, Yann et Romain. Une pensée aussi
pour la cohorte des (ex-)Grenoblois(es) qui
ont pu suivre cette aventure doctorale par
petits épisodes très intermittents ; je pense
notamment à Agathe, à toute la bande des
Berliozards que je n’oublie pas malgré la
distance et le temps qui passe, ainsi qu’à
Julie.
Bien sûr, merci Kath. Tout ne tiendra
pas en quelques mots, mais je te remercie
simplement pour tout ce que tu m’as
apporté. Tu as réussi le tour de force de me
soutenir énergiquement et efficacement
depuis les antipodes. C’est dire toute
l’importance que tu peux avoir quand
18000km ne nous séparent pas. Je garde un
souvenir impérissable des virées hautes en
couleur dans lesquelles tu m’as embarqué
pour me sortir un peu de la thèse. J’espère
pouvoir te rendre bientôt la pareille !
Enfin, il se trouve que j’ai eu la chance
de naître dans une famille composée de
personnes formidables, qui m’ont toujours
invariablement soutenu. Je les remercie
toutes et tiens à leur témoigner tout mon
amour. Merci à mon Papa, qui est en fait le
premier à avoir inconsciemment initié cette
thèse, ce jour lointain où il m’a mis un
livre d’E.O. Wilson entre les mains. Mais
bien mieux que ça et que n’importe quelle
thèse, il m’a transmis une vision de la
nature profondément enrichissante. Merci à
mes grands-parents, à ma Maman, et à ma
Soeurette.
Je m’excuse auprès de ceux que
j’aurais pu oublier... et salue bien bas ceux
qui sont restés courageusement attentifs
jusqu’à cette ligne.