AVANT-PROPOS
Si nous abordons le très sensible et sulfureux sujet de l’islam, nous constatons immédiatement que
les passions se déchaînent. Parler de l’islam ne laisse jamais indifférent, que l’on soit pour ou que
l’on soit contre. Les tensions montent rapidement des deux côtés : un fanatisme trop souvent ignorant,
arrogant et intolérant chez les musulmans qui défendent aveuglément leur idéologie ; une détestation
et un rejet de plus en plus perceptible chez ceux qui ne supportent plus l’intrusion chez eux de cette
idéologie totalitaire liberticide, qui ne respecte rien ni personne. Un islam qui de plus en plus
souvent affiche ouvertement, dans ses différents pays d’accueil, sa volonté conquérante. La question
de l’islam en France et plus généralement en Occident est devenue ces dernières années une
préoccupation et une inquiétude quotidienne majeure.
Lorsque l’on parle de l’islam, il faut cesser de raconter des histoires à dormir debout dignes des
Mille et Une Nuits. Même s’il est évident que les musulmans sont tous différents les uns des autres, il
est aussi indispensable de comprendre qu’il n’y a qu’un seul islam, celui qui respecte ce qu’affirment
le Coran et les hadiths, reconnaît Mahomet comme prophète et Allah comme divinité. Donc, pas
d’islam particulier pour l’Arabie saoudite, pas plus que pour le Maroc, pour la Turquie, ou pour
chaque pays musulman. Pas plus, d’ailleurs, qu’un impossible islam de France ou la pure fiction
d’un irréel, inenvisageable et trompeur islam modéré ; tous ne sont que des islams-leurres dont
l’objectif est de déculpabiliser le véritable islam responsable de toutes les horreurs et de tous les
crimes commis quotidiennement en son nom depuis plus de quatorze siècles. Il n’y a qu’un seul,
unique et indivisible islam, un seul Coran, un seul Mahomet et un seul Allah, c’est cela qu’il faut
comprendre, c’est cela qu’il faut prendre en compte ; tout le reste n’est que mensonges, enfumage et
poudre aux yeux.
Idéologiquement, l’islam ne peut qu’être fanatiquement contre tout ce qui n’est pas lui-même. Tant
qu’il n’y aura pas une réforme complète du Coran, l’islam ne pourra jamais être modéré, ne pourra
jamais accepter la démocratie, la liberté, et ne pourra jamais évoluer et vivre en paix avec les non-
musulmans. On ne sort jamais indemne d’un enseignement qui sacralise la violence, la misogynie, la
discrimination, la haine des autres, surtout celle des juifs et des chrétiens, et l’élimination physique
de ceux qui refusent de se soumettre à sa domination. Un musulman, qu’il se dise ou se croie modéré
ou radical, sera toujours un musulman avant d’être quoi que ce soit d’autre. Un homme pollué par ses
croyances certitudes, un homme soumis, victime de la barbarie de son idéologie, un homme
potentiellement dangereux pour lui-même et son entourage s’il croit que le Coran est une révélation
divine et s’il le prend comme guide. Une idéologie dont il faut se méfier et qu’il faut fuir. Un danger
mortel pour l’humanité.
L’islam ne reconnaît aucune frontière, aucun pays, aucune civilisation en dehors de celle bâtie sur
ses fondements belliqueux. Les musulmans ne reconnaissent et ne respectent aucune valeur, aucune
loi, aucune religion autre que celle qui les unit dans la Oumma-al-umma, l’utopique communauté des
croyants, la grande nation islamique supposée fédérer ses adeptes modérés et immodérés. L’islam
s’est donné comme vocation la conquête et la domination de l’humanité par tous les moyens, même
les plus inadmissibles, pour faire appliquer la prétendue loi d’Allah valable pour tous les hommes de
tous les temps. Une loi tentaculaire indissolublement liée à un système politico-religieux contraignant
qui vampirise les consciences, soumet chaque musulman par la crainte et l’obligation de répétitions
mécaniques de textes et de règles qui recouvrent tous les aspects de la vie y compris les mœurs, les