Celui qui sait la vérité et ne gueule pas la vérité se fait le complice des escrocs et des
faussaires » (Charles Péguy) «
AVANT-PROPOS
Si nous abordons le ts sensible et sulfureux sujet de lislam, nous constatons immédiatement que
les passions se déchnent. Parler de lislam ne laisse jamais indifférent, que lon soit pour ou que
l’on soit contre. Les tensions montent rapidement des deux côtés : un fanatisme trop souvent ignorant,
arrogant et intolérant chez les musulmans qui fendent aveugment leur idéologie ; une détestation
et un rejet de plus en plus perceptible chez ceux qui ne supportent plus lintrusion chez eux de cette
idéologie totalitaire liberticide, qui ne respecte rien ni personne. Un islam qui de plus en plus
souvent affiche ouvertement, dans ses différents pays d’accueil, sa volonconquérante. La question
de l’islam en France et plus généralement en Occident est devenue ces dernières années une
préoccupation et une inquiétude quotidienne majeure.
Lorsque l’on parle de l’islam, il faut cesser de raconter des histoires à dormir debout dignes des
Mille et Une Nuits. Même s’il est évident que les musulmans sont tous différents les uns des autres, il
est aussi indispensable de comprendre quil n’y a quun seul islam, celui qui respecte ce quaffirment
le Coran et les hadiths, reconnt Mahomet comme prophète et Allah comme divinité. Donc, pas
d’islam particulier pour lArabie saoudite, pas plus que pour le Maroc, pour la Turquie, ou pour
chaque pays musulman. Pas plus, d’ailleurs, quun impossible islam de France ou la pure fiction
d’un irréel, inenvisageable et trompeur islam modé ; tous ne sont que des islams-leurres dont
l’objectif est de déculpabiliser le véritable islam responsable de toutes les horreurs et de tous les
crimes commis quotidiennement en son nom depuis plus de quatorze siècles. Il n’y a quun seul,
unique et indivisible islam, un seul Coran, un seul Mahomet et un seul Allah, c’est cela quil faut
comprendre, c’est cela qu’il faut prendre en compte ; tout le reste nest que mensonges, enfumage et
poudre aux yeux.
Idéologiquement, l’islam ne peut qu’être fanatiquement contre tout ce qui nest pas lui-même. Tant
quil ny aura pas une forme complète du Coran, l’islam ne pourra jamais être modéré, ne pourra
jamais accepter la mocratie, la liberté, et ne pourra jamais évoluer et vivre en paix avec les non-
musulmans. On ne sort jamais indemne d’un enseignement qui sacralise la violence, la misogynie, la
discrimination, la haine des autres, surtout celle des juifs et des chrétiens, et l’élimination physique
de ceux qui refusent de se soumettre à sa domination. Un musulman, quil se dise ou se croie modéré
ou radical, sera toujours un musulman avant d’être quoi que ce soit d’autre. Un homme pollué par ses
croyances certitudes, un homme soumis, victime de la barbarie de son idéologie, un homme
potentiellement dangereux pour lui-même et son entourage s’il croit que le Coran est une révélation
divine et s’il le prend comme guide. Une idéologie dont il faut se méfier et quil faut fuir. Un danger
mortel pour lhumanité.
Lislam ne reconnt aucune frontière, aucun pays, aucune civilisation en dehors de celle tie sur
ses fondements belliqueux. Les musulmans ne reconnaissent et ne respectent aucune valeur, aucune
loi, aucune religion autre que celle qui les unit dans la Oumma-al-umma, l’utopique communaudes
croyants, la grande nation islamique supposée fédérer ses adeptes modérés et immodérés. L’islam
s’est donné comme vocation la conquête et la domination de l’humanité par tous les moyens, même
les plus inadmissibles, pour faire appliquer la prétendue loi d’Allah valable pour tous les hommes de
tous les temps. Une loi tentaculaire indissolublement liée à un système politico-religieux contraignant
qui vampirise les consciences, soumet chaque musulman par la crainte et l’obligation de répétitions
mécaniques de textes et de règles qui recouvrent tous les aspects de la vie y compris les mœurs, les
coutumes, les manières de se vêtir, manger, forniquer, déféquer, tout, absolument tout, jusquau plus
intime, qui doivent être appliqués sans se poser de question. Des rites souvent absurdes orienter le
siège des toilettes en fonction de La Mecque, allant même jusquà imposer un nombre impair de
galets à utiliser pour se torcher qui obligent les musulmans à se sentir le jouet permanent d’une
puissance supérieure, surveillés et fliqués par chaque membre de son groupe. Une idéologie qui non
seulement refuse aux musulmans toute liberté et tout choix individuels mais, s’affirmant d’origine
divine, cherche à imposer aux non-musulmans son orgueilleuse loi chaque jour plus décalée d’avec la
vraie vie. Dès quelle en a le pouvoir et la force, une autorité fone sur l’islam réduit toujours à
l’état de subordonnés, d’esclaves ou de dhimmis uniquement les juifs et les chrétiens en échange
d’un impôt qui leur donne le droit de vivre comme des êtres inférieurs, discriminés, humils, dans un
pays où lislam et la charia sont la règle – les non-musulmans, ou les élimine physiquement.
« Lislam, c’est lislamisme au repos, et l’islamisme, c’est lislam en mouvement. C’est une
seule et même affaire. Lun et lautre se clament d’un seul et même Coran » (Ferhat Mehenni,
président du Gouvernement provisoire kabyle, en exil à Paris).
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