Remerciements
Je souhaiterais avant tout remercier toutes les personnes qui, de près ou de loin, ont permis à
l’aboutissement de ce travail. Je pense donc en particulier à mon directeur de thèse Xavier
Roboam, et à mon co-encadrant Bruno Sareni.
Je remercie vivement Monsieur Daniel Matt Professeur des universités du Laboratoire
d’Electrotechnique de Montpellier et, Monsieur Chritophe Espanet maître de conférences du
Laboratoire d’Électronique Électrotechnique et Systèmes de Belfort, d’avoir accepté de
rapporter
cette thèse.
Je tiens à remercier tout particulièrement, Monsieur Stéphan Astier Professeur des Universités
à l'INP de Toulouse qui nous a fait l’honneur de précéder la soutenance et, Monsieur Frédéric
Gillon maître de conférences du Laboratoire d’Électrotechnique et d’Électronique de
Puissance de Lille d’avoir participé à ce jury.
Nos travaux ont été effectués au Laboratoire Laplace : merci donc à tout le personnel de
l’établissement (chercheurs, ingénieurs, techniciens, assistants, informaticiens, secrétaires,
directeurs, femmes de ménage, gardiens). Merci à tous les thésards avec qui, j’ai eu le plaisir
de partager mon quotidien, Markos, Marcus, Valentin, Mathieu Couder, François……………
Je tiens à remercier mon encadrant de DEA Monsieur Mouloud FELIACHI. Professeur à
l'Institut Universitaire de Technologie de Saint-Nazaire, qui m’a marqué par ces grandes
valeurs scientifiques et humaines.
De manière plus personnelle, mes pensées les plus profondes et intimes vont vers ma famille
: Ma femme toujours à mon écoute et parfois pour son plus grand désarroi, ennui et malheur,
car c’est bien la seule personne à qui malheureusement j’ose confier mes inquiétudes et sur
qui je reporte trop souvent mon stress, omniprésents durant ces trois années;
Ma mère (la voix de la sagesse et de l’amour) a qui je dois beaucoup, malgré, je sais que je
pourrais jamais te rendre ce que tu m’as donnée. Mais, comme, tu le dis " notre réussite c’est
ton bonheur".
Je dédie ce travail à ma petite nièce Maissa, à qui me tarde de lui tirer les joues.
« Tout ce que je sais, c'est que je ne sais rien » Platon