Examinons à présent quelques unes de ces micro-critiques les plus artificiellement pauvre en
substance :
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Notons le nombre de pouces verts et de la volonté d'accentuer les pouces verts des cibles de
Maxime de Poitiers. La micro-critique en elle-même est d'une niaiserie sans précédant : « on rit et
on pleure » est en effet d'une banalité absolument effroyable. Voyons ensuite l'utilisation du
vocabulaire si banal et le pléonasme tellement irritant : « chronique » et « au sein d'une vie »
renvoyant à la fois à une répétition et à une certaine forme de contradiction. Enfin, l'expression
« une claque » ne pouvait que venir d'un bobo aimant les banalités aussi percluses de bonnes
volontés vaines. Notons qu'il ne s'agit que de la première micro-critique de l'habitant de Poitiers.
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Notez la disproportion entra la qualité de la micro-critique et le nombre de pouces verts. Cette fois
ci, l'individu natif de Poitiers tente d'amplifier sa pseudo-expérience cinématographique de bobo en
utilisant des hyperboles incroyablement stupides.(Cf. figure 2 pour voir la réaction d'une personne
normale face à cette tonne de bullshit.) L'utilisation du verbe « titiller » pour décrire comment les
sens et l'intellect endormi de l'individu poitevin ont été atteints est tellement impressionnant de
stupidité que l'équipe de recherche de Princeton étudiant ce phénomène a dû regarder la version de
10 heures de Nyan cat pour regagner un état normal.