Les quelques raison pour lesquelles MaxLaMenace_89 est un crétin débile Sévissant sur Vodkaster, MaxLaMenace_89 de son pseudo révèle avec une certaine baufitude que son prénom est Maxime. Le jeune homme de 24 ans, natif de Poitiers possède une photographie de profil hideuse. Elle combine en effet un filtre instagram et un sourire de débile chronique. Examinons donc cette fameuse photographie sur la figure 1. L'effet du filtre imite celui d'un tag : cela visa à faire paraître le personnage cool mais en substance, cela n'est rien d'autre qu'une tentative désespérée de masquer la réalité d'un bobo en mal d'existentialisme. Penchons nous sur le personnage en lui-même : il s'agit d'un portrait en assez grande taille dénotant l'égocentrisme de l'individu natif de Poitiers. Son large sourire de façade visant à attirer la sympathie contraste avec ses larges cernes révélatrices d'une personnalité de maniaque à tendances insomniaques. Figure 1: une photo de profil rélévatrice d'une personnalité vide Maxime de Poitiers jouit d'un niveau d'ambassadeur de 80 alors que la qualité de ses micro-critiques ne dépasse pas la qualité littéraire des tweets de Paris Hilton. L'explication de ce niveau est à trouver dans l'hyperactivité en termes de commentaires, d'une photo de profil exceptionnellement hideuse, d'un grand nombre d'abonnements et d'abonnés qui se sont sentis obligés après un harcèlement de pouces verts d'ajouter Maxime de Poitiers dans leur abonnement et de lui rendre la pareille. Examinons à présent quelques unes de ces micro-critiques les plus artificiellement pauvre en substance : ● Notons le nombre de pouces verts et de la volonté d'accentuer les pouces verts des cibles de Maxime de Poitiers. La micro-critique en elle-même est d'une niaiserie sans précédant : « on rit et on pleure » est en effet d'une banalité absolument effroyable. Voyons ensuite l'utilisation du vocabulaire si banal et le pléonasme tellement irritant : « chronique » et « au sein d'une vie » renvoyant à la fois à une répétition et à une certaine forme de contradiction. Enfin, l'expression « une claque » ne pouvait que venir d'un bobo aimant les banalités aussi percluses de bonnes volontés vaines. Notons qu'il ne s'agit que de la première micro-critique de l'habitant de Poitiers. ● Notez la disproportion entra la qualité de la micro-critique et le nombre de pouces verts. Cette fois ci, l'individu natif de Poitiers tente d'amplifier sa pseudo-expérience cinématographique de bobo en utilisant des hyperboles incroyablement stupides.(Cf. figure 2 pour voir la réaction d'une personne normale face à cette tonne de bullshit.) L'utilisation du verbe « titiller » pour décrire comment les sens et l'intellect endormi de l'individu poitevin ont été atteints est tellement impressionnant de stupidité que l'équipe de recherche de Princeton étudiant ce phénomène a dû regarder la version de 10 heures de Nyan cat pour regagner un état normal. Figure 2: réaction d'une personne normale face aux MC de Maxime de Poitiers ● Parmi les micro-critiques faisant preuve d'ironie et de jeux de mots, celle-ci est loin d'être la pire mais permet de voir que lorsque l'on tend une perche à un bauf, il ne cours pas, il voltige. Examinons à présent quelques redondances de vocabulaire de l'individu du Poitou-Charentes : ● Lessiver Figure 3: Après avoir vu Le Parrain, Maxime de Poitiers ne se doutait pas de la lessive qui l'attendait ● Titiller "J'ai cru voir un gros bauf", l'hisoire de toute une existence ● Déclaration Figure 4: Grand fan de France Gall depuis sa plus tendre enfance, le personnage natif de Poitiers ne cesse de fredonner Ma déclaration quand il fait sa lessive