ce tre an éâ

publicité
Théâtre
Durance
Scène conventionnée
Pôle régional
de développement culturel
Pôle transfrontalier
Château—Arnoux
Saint—Auban
Á l’attention des établissements du premier degré
et des structures d’accueil d’enfants
(crèches, IME, centres de jour…)
Voici le programme des représentations en journée 2017-2018.
Ces représentations sont accessibles au tarif de 3 € ou 5 €, selon les spectacles. Vous trouverez le
formulaire de réservation pour ces représentations à la fin de ce document, et sur notre site
www.theatredurance.fr, en téléchargement.
Merci de bien vouloir nous le retourner au plus tard le 30 septembre.
Parce que nous croyons que le Théâtre permet d’aiguiser la curiosité des plus jeunes,
d’éveiller leurs émotions et leur imaginaire, de leur apprendre à former un jugement et à
l’exprimer, de les aider à comprendre le monde dont ils seront un jour les acteurs, autant
d’objectifs que nous avons en commun, nous souhaitons construire cette démarche avec
vous.
C’est pourquoi nous poursuivons saison après saison le travail nécessaire pour vous aider à
préparer les représentations auxquelles vous assisterez et à poursuivre les échanges avec
les élèves autour des spectacles.
mer 18 oct - 10:00
jeu 19 oct - 10:00
jeu 19 oct - 14:00
jeu 11 jan - 10:00
jeu 11 jan - 14:00
ven 12 jan - 14:00
MUSIQUE
DANSE
5€
5€
1 Montreur
d’Ours
50 mn
L’équipe des relations avec les publics et Benoît Faure, professeur de lettres, sont là pour
vous accompagner et dialoguer avec vous sur les différents moyens d’intégrer ce moment
dans votre projet pédagogique, notamment dans le cadre du Parcours d’Education Artistique et Culturel inscrit dans les programmes. En faisant entrer en résonance la représentation et votre enseignement dans différentes disciplines, l’élève pourra construire sa
formation de spectateur.
L’HISTOIRE
PROBABLE DE LA
MUSIQUE
ELECTRONIQUE
PAR LE GRAMI
Kelemenis
& Cie
ROCK &
GOAL
45 min
CM
CE
mar 20 fév - 10:00
mar 20 fév - 14:30
THÉÂTRE
Des fiches détaillant des éléments d’approche, des idées de prolongements thématiques
ou de pistes de travail vous sont proposées pour chaque spectacle. Au fil de la saison,
de nouveaux documents seront disponibles sur notre site web pour vous aider à réinvestir dans vos classes les spectacles vus avec vos élèves (fiches pédagogiques, carnet de
jeux...).
3€
Artefact
D’UN
BATTEMENT
D’AILES
40 min
Assister à une représentation peut être une expérience nouvelle pour un certain nombre
d’entre eux. Aussi il nous semble important de préparer leur venue en leur donnant des
codes qui peuvent paraître évidents à des spectateurs avertis mais qui ne vont pas de soi
pour tous les élèves. Afin d’assurer les meilleures conditions d’écoute et de réception du
spectacle, nous remercions les professeurs et les chefs d’établissement, les accompagnateurs et responsables de structures, de prévoir une arrivée au Théâtre une demi-heure
avant le spectacle.
MS - GS - CP
mer 21 fév - 10:00
jeu 22 fév - 10:00
jeu 22 fév - 14:00
ven 23 fév - 10:00
ven 23 fév - 14:00
mer 04 avr - 10:00
jeu 05 avr - 10:00
jeu 05 avr - 14:00
ven 06 avr - 10:00
ven 06 avr - 14:00
THÉÂTRE
THÉÂTRE
3€
3€
Contact réservations et renseignements
Lisa Moneret
04 92 64 27 34
[email protected]
Contact service éducatif
Benoit Faure
[email protected]
Artefact
ENVOL
50 min
Cie
Marizibill
37 min
CE - CM
LA PETITE
CASSEROLE
D’ANATOLE
PS-MS-GS-CP
L’HISTOIRE PROBABLE DE LA MUSIQUE
ÉLECTRONIQUE PAR LE GRAMI
Quelques mots du GRAMI
1 Montreur d’Ours
Musique
L’évolution technologique de ces cinquante dernières années a
fait émerger un florilège de créations sonores que l’on retrouve
dans les ballades populaires, sur les ondes radios, dans les publicités ou les jeux vidéo. Mais quelle est l’origine de ce bouleversement ? Comment science et musique ont su cohabiter, se
nourrir mutuellement et faire émerger de nouvelles sonorités ?
Pour tenter une explication, trois scientifiques du G.R.A.M.I
(Groupe de Recherche et d’Analyse de la Musique et
des Instruments) ouvrent les portes de leur laboratoire.
Dans une conférence loufoque et documentée, ils partagent les
fruits de leurs recherches et nous dévoilent LHistoire probable
de la musique électronique. En fond de scène se dressent machines analogiques et écrans de contrôle qu’ils bidouillent et
manipulent : magnétophones, synthétiseurs modulaires, boîtes
à rythmes, câbles et fils électriques… Progressivement, la musique s’installe et laisse place au concert. Après Minifocus.
1 Montreur d’ours remonte le temps pour un voyage réjouissant
au cœur de la création électroacoustique.
de et avec Matthias Kristalsson, Daniel Gosselin et Gustav Maertens,
assistant conférencier Quentin Ogier, assistant son Sébastien Finck,
luminaires Pierrick Corbaz, architecture d’intérieur Adèle Ogier,
réalisations électroniques Julien Vadet, documentation Guillaume Medioni, graphisme Fred Fivaz, laborantines Raphaëlle Rabillon et Agathe Fontaine,
offre et demande Marik Wagner
Thèmes : Qu’est-ce que la musique ? Des notes ? Des
sons ? Des rythmes ? À partir de quel moment une combinaison de sons devient-elle de la musique ? La science
peut-elle amener à l’art ? L’histoire de la musique.
Prolongements possibles et activités en lien :
Expérimenter des combinaisons de sons avec divers objets
pour en faire émerger des musiques ; utiliser des logiciels
de création ou de transformation de sons ; combiner des
samples ; récoltes de sons pour créer des univers sonores
(la musique des objets de l’école, de la cour, de la rue ou
d’objets du quotidien)
CM
50 min
Séances en journée
5€
mer 18 oct - 10:00
jeu 19 oct - 10:00
jeu 19 oct - 14:00
SUR LE SPECTACLE
SUR LE TITRE DU SPECTACLE
C’est une conférence/concert sur l’histoire de la musique électronique. Les
thèmes abordés sont les éléments qui
ont fait naître et progresser ce type de
musique : l’électricité, l’électronique, les
compositeurs, les luthiers, les inventions...
Nous illustrerons ces explications par des
démonstrations sonores grâce à l’instrumentarium du GRAMI.
«L’histoire probable de la musique électronique» : probable
parce qu’on ne peut pas retracer toute la vérité sur ce sujet,
nous pouvons seulement aborder une petite partie de cet immense courant musical. Et puis ça nous permet de raconter
cette histoire à notre façon.
SUR LE DISPOSITIF ­SCÉNIQUE
Nous avons choisi de montrer une
partie de notre laboratoire, nous ne
pouvons pas tout emmener, ces instruments sont pour la plupart très
lourds, fragiles et avant tout conçus
pour rester dans une pièce, un studio
par exemple.
Nos trois énormes meubles sont
composés de synthétiseurs modulaires, magnétophones... sur une
table se trouvent différents synthétiseurs compacts, lecteurs de disques,
theremin, petophone, clavioline...
SUR LE TRAVAIL DE CRÉATION
On a eu envie un jour de partager notre
intérêt pour l’origine de la musique d’aujourd’hui, on a pensé aux jeunes qui
écoutent beaucoup de musique électronique, et puis on a pensé à tous ces compositeurs et compositions datant de 1950
à 1980 qui restent inconnus à ce jour. Il y
a des choses qui ont été créées au siècle
dernier et qui sont incroyables, et on a eu
l’envie de montrer au public, qu’a l’époque,
aucun instrument ne pouvait être de la
taille d’un téléphone, rien n’était mémorisé. Il nous semble intéressant de montrer
au public que tout était trés artisanal, que
pour créer un son, il fallait du temps, beaucoup de temps là où aujourd’hui la technologie nous permet de faire les choses
bien plus rapidement.
SUR LA NOTION DE « JEUNE PUBLIC »
SUR LES PERSONNAGES
Nous sommes trois chercheurs : Gustav
Maertens, Daniel Gosselin et Mathias Kristallson. Nous avons créé notre laboratoire
en 1998, nos recherches portent sur la synthèse sonore, nous nous intéressons à la
manière de fabriquer des sons à partir de
l’électricité et puis nous avons beaucoup
oeuvré pour la musique de films documentaires de sciences naturelles, animaliers ou
encore sur l’astronomie...
Au fond de nous, on souhaite donner envie aux enfants
de créer des sons, de jouer avec. Donner à comprendre
d’où vient le son, comment on peut le transformer, le
faire vivre. La musique électronique ne s’apprend pas a
l’école et fort heureusement. Tout le monde s’y est mis
de façon autodidacte. L’industrie des instruments électroniques est en plein boom, des milliers de machines
existent, ces instruments se miniaturisent, se trouvent
dans les applications des téléphones... Et puis bien sûr
démontrer que tout cela vient d’un enchaînement de
circonstances .
ROCK AND GOAL
Quelques mots de Michel Kelemenis
Kelemenis & Cie
Danse
Lizzie aime le base-ball et David le kung-fu. Elliott préfère
la gymnastique et Serena le tennis. Quelle que soit leur discipline, ces quatre sportifs vont devoir se disputer les trois
places du podium. Sur fond de musiques populaires, ils
s’engagent, corps et âme, en solo, en duo ou en duel. Leurs
gestes se libèrent peu à peu de la technicité et laissent place
à une chorégraphie inattendue, légère et colorée. Ensemble,
ils réinventent les codes pour jouer au Rock & Goal.
Dessinant avec fantaisie les personnages de sa nouvelle
fable, Michel Kelemenis se souvient avoir été gymnaste avant
de se réaliser dans le milieu de la danse. Il s’amuse de cette
anecdote pour concilier geste sportif et geste dansé. Il s’affranchit de toute référence et fait souffler sur scène un vent
de bonne humeur et de liberté avec cette ode à l’insouciance
et au plaisir de la danse.
conception générale, chorégraphie Michel Kelemenis, danseurs Luc Bénard, Mylène
Lamugnière, Laurent Le Gall et Lisa Vilret, conseil musical Olivier Clargé, montage
sonore Bastien Boni, création lumière Bertrand Blayo, costumes Philippe Combeau,
régie générale Nicolas Fernandez
Thèmes : Existe-t-il des sports pour les garçons et
des sports pour filles ? La danse est-elle un art ou
un sport ? Qu’est-ce qui rend le geste artistique ?
Qu’est-ce que la danse ?
Prolongements possibles et activités en lien :
Séquence sur les représentations sociales genrées et les
stéréotypes (dans les sports, les métiers, les activités quotidiennes, …) ; séquences d’expression corporelle : du geste
quotidien ou sportif au geste dansé, traduire des émotions
par le corps, répéter des gestes, s’approprier les gestes des
autres, en faire une chorégraphie
CE
45 min
Séances en Journée
5€
jeu 11 Jan - 10:00
jeu 11 Jan - 14:00
veu 12 Jan - 14:00
SUR LE SPECTACLE
SUR LE DISPOSITIF ­SCÉNIQUE
En appui sur le parcours d’un sportif qui
devient danseur, ROCK & GOAL trace une
métaphore de la réalisation de soi à travers
l’Art. Pour rendre le propos perceptible, le
système de référence des gestes évolue
progressivement du sport à la danse, pour
atteindre un point de libération du mouvement. Il suffit d’un geste à un danseur
pour évoquer un sport. Aussi l’énumération de toutes les pratiques abordées par
le spectacle est longue : la décomposition
d’un appel de basketteur au bas du panier, la spirale d’un lanceur de poids, le
dandiné d’un marcheur de vitesse… Mais
certains sports comme la boxe ou le rugby
inspirent aussi par la situation spatiale, les
rapports entre l’individu et le groupe. De
la même façon, se glissent des références
à la culture de la danse dans la diversité
des genres ou des œuvres : le ballet, les
danses de salon, la ronde de Matisse, le
port de bras du Spectre de la rose, la fluidité de Pina Bausch, une image subliminale de Carolyn Carlson…
Au-delà des références apparaissent des
notions que partagent le sport et la danse :
l’engagement, la fatigue, l’échec, le doute,
la solidarité, ou encore l’épanouissement
par une pratique corporelle et la joie de
la réussite.
Peu de choses suffisent à raconter beaucoup. Les rideaux affichent des
couleurs différentes pour évoquer des lieux différents, 3 petits plateaux
de hauteurs complémentaires reconfigurent l’espace, quelques accessoires sportifs précisent les sports mis en scène en même temps qu’ils
permettent de les détourner plus facilement. Les vêtements sont simples
et frais, sans connotation appuyée. La bande son, très riche, traverse différents genres musicaux, amenant ses citations du monde de la danse ou
de celui du sport, des musiques « pop ludique », mais aussi quelques sonorités d’instruments rares ou des écritures d’aujourd’hui.
SUR LE TRAVAIL DE CRÉATION
Ma rencontre avec la danse a eu lieu au Lycée, alors
qualifié de «pilote ». Je dois à l’insistance d’une
camarade de classe d’avoir suivi un premier atelier
durant lequel les savoirs acquis par la pratique de
la gymnastique, entre 9 et 17 ans, se sont trouvés
transposés quasi immédiatement, sereinement. J’ai
aussitôt ressenti que s’ouvrait un espace de liberté.
Je ne suis pas certain d’avoir aimé la gymnastique,
pratique choisie par mes parents, mais je lui rends
et leur rends tellement grâce de m’avoir préparé à
la danse.
Le spectacle ROCK & GOAL n’est pas vraiment
narratif. Chaque séquence s’organise à partir de la
notion du sport et le personnage central se décale,
souvent avec humour. Il fallait inventer des scènes
et des rythmes différents. Le plus particulier a été
de trouver, avec les danseurs, comment faire progressivement basculer le système de référence du
monde du sport à celui de la danse.
SUR LES PERSONNAGES
J’ai donné un nom à quatre personnages qui,
successivement, vont chacun danser un solo
évoquant un sport. Les enfants ne trouveront
pas les références sans l’aide des adultes qui
les accompagnent : David aime le Kung fu
(David Carradine) ; Serena (Williams) le tennis, Lizzie le base ball, et Elliott (en référence
au film Billy Elliott, l’enfant qui veut devenir
danseur) la gymnastique… Seul le personnage d’ Elliott est développé, qui va tantôt se
décaler par rapport à la pratique des sports,
rêver, imaginer, croiser, rencontrer, et enfin,
choisir la danse…
SUR LE TITRE DU SPECTACLE
Cela sonne un peu comme Football… Mais
pour nous le rock est danse et le goal n’est
pas un ballon mis dans le but : c’est l’objectif
de sa propre réalisation. Je voulais aussi dire
la joie, l’énergie, le partage, être ensemble…
SUR LA NOTION DE « JEUNE PUBLIC »
Je me suis simplement demandé comment la rencontre avec
l’Art de la danse pouvait être un support éducatif qui ne nécessite pas d’être érudit. Les enfants n’ont pas besoin d’explication pour rêver devant la danse. En revanche la mettre en
mot est particulièrement ardu, pour tous ! Aussi, créer des
fables autour de personnages malicieux et de sujets choisis
pour être à la croisée de tous les âges m’est apparu comme
une façon de m’adresser très directement aux adultes qui accompagnent les enfants. L’idée est de permettre à chacun de
trouver, de là où il se trouve, un point d’entrée pour se souvenir de séquences du spectacle. Je compte sur les grands pour
converser ensuite avec les petits. J’ai la conviction que le goût
se cultive sur le souvenir.
D’UN BATTEMENT D’AILES
Artefact
Quelques mots de Philippe Boronad
Théâtre
Dans un aéroport, une dame pas comme les autres fait la
rencontre d’un petit oiseau orphelin. Est-il tombé du nid ?
Tombé du lit ? Ou tombé de la vie ? Ensemble, ils partageront leurs miettes, leurs joies et puis leurs peines. Ils affronteront la peur aussi. Mais c’est sans compter sur les interventions inattendues du Chat-Poubelle qui deviendra très vite
leur ami.
Où part-on et pourquoi ? Et puis, qu’est-ce qu’on trimballe
avec soi ? Mais surtout, qu’est-ce que l’on va trouver là-bas ?
Certains s’arrachent à leur vie pour fuir les bombes, le chaos
ou la honte. Moineau fragile ou orphelin, quelque soit l’expérience migratoire, partir c’est se risquer à l’altérité et à l’incommensurabilité. Coincé dans un aéroport, en proie à la
solitude, au traumatisme et à la faim, il y a de quoi se perdre
soi-même. Après la peur, le recroquevillement, vient l’ouverture, la confiance faite au hasard qui se dresse face à soi :
l’autre. Cette rencontre déterminante nous fait cheminer en
nous-même.
conception et mise en scène Philippe Boronad, écriture Catherine Verlaguet,
jeu Michelle Cajolet-Couture, dessin et animation No Joke Studio,
création sonore Nicolas Déflache, gestion d’interfaces multimédia Nicolas Helle,
scénographie distribution en cours, création lumière Philippe Boronad,
Nicolas Helle, assistanat à la mise en scène Tiphaine Laubie,
administrateur de production Sébastien Rocheron
Thèmes : Migration : Les raisons de partir de chez
soi. Partir pour grandir, s’épanouir. Le risque du départ et du voyage. Ce que l’on emporte en partant.
Rencontrer l’Autre et découvrir sa différence. Les
peurs (d’être seul, de se perdre, de quitter sa maison, de ne pas y arriver, …) et les espoirs.
Prolongements possibles et activités en lien :
Expression orale : poursuivre la phrase « D’un battement
d’ailes, je pourrais… » ; séquence autour de l’Autre, en particulier de la thématique des migrants; séquence autour des
différentes peurs (avec plusieurs albums puis des temps
d’expression orale).
MS
GS
CP
durée prévisionnelle
40 min
3€
Séances en journée
mar 20 fév - 10:00
mar 20 fév - 14:30
SUR LE SPECTACLE
SUR LE TITRE DU SPECTACLE
C’est l’histoire d’un drôle de personnage en transit
dans un aéroport. C’est l’histoire de quelqu’un qui
a dû partir, on ne sait pas trop pourquoi, mais a
priori il n’avait pas vraiment le choix.
C’est quelqu’un qui aimerait aller quelque part
même s’il ne sait pas exactement où. Les thèmes
abordés sont les migrations, les peurs ataviques, le
rapport à autrui, la différence.
L’espoir. Prendre son envol, c’est devenir soi. C’est
surmonter les difficultés.
SUR LE DISPOSITIF ­SCÉNIQUE
Un élément
«tour de contrôle» qui
comprend un ascenseur virtuel. Trois
flight-case (boîte de transport de matériel technique et d’instruments), la
family
fly,
contenant
toute
sa
vie,
passée, présente et future. Son univers et sa
planète. Le premier se transforme en caisse à
savon magique et vaisseau extraordinaire. Le
second contient un bout de vie rescapé de
là-bas : une plante moche, certes, mais
vivante. Le troisième, doté d’une queue de chien,
SUR LES PERSONNAGES
Un drôle de personnage, pas plus
costaud pas moins fragile qu’un
petit oiseau migrateur, qui erre
dans un aéroport depuis... combien de temps déjà ?
Un environnement d’inconnus inquiétants (ombres insolites, molosses, un chat qui n’a rien à faire
là…). Au sein d’un rêve, un guide.
Et un public.
SUR LA NOTION DE « JEUNE PUBLIC »
SUR LE TRAVAIL DE CRÉATION
Processus de création : la mise en place d’un vocabulaire et d’une grammaire, un travail autour du
scénario et de l’image, d’un tissu sonore, d’un texte
matière et d’une écriture de plateau. Un travail basé
sur le langage du clown, caractérisé par la gestion
perpétuelle de l’accident, l’expérimentation d’une
physique des catastrophes et une poésie de l’absurde. L’envie est de raconter aux enfants l’errance
des migrants qui, en transit dans un pays qui n’est
pas le leur, en proie au traumatisme, au froid et à
la faim, peuvent parfois se perdre eux-mêmes. De
dire, à ces jeunes spectateurs, avec le plus de poésie possible, que le visage de ces gens ressemble
au leur. Et qu’à quelques mottes de terre près, cette
histoire est la leur.
J’ai fais le choix de travailler sur une pièce en direction du «jeune public» parce que cette histoire leur
était destinée.
De plus, cette double création jeune public 3/6 ans
et 7/11 ans (D’un battement d’ailes et Envol) correspond au second volet d’une recherche de cinq
ans sur l’enfermement dont la première forme a été
la création Braises de Catherine Verlaguet, en direction des publics adultes et adolescents. Le troisième
volet de ce cycle sera probablement déconseillé aux
moins de 18 ans. L’idée est donc de couvrir tous les
spectres de la vie.Pour moi, le terme de «Jeune public» ne veut pas dire grand-chose. Dans le principe, je crée des spectacles tout public pour petits
et grands enfants.
.
ENVOL
Quelques mots de Philippe Boronad
Artefact
Théâtre
Un drôle de personnage, pas plus costaud, pas moins fragile
qu’un petit oiseau migrateur, erre dans un aéroport depuis…
depuis combien de temps déjà ? Des hommes, là-bas, ont
volé le sol sous ses pieds. Dans cet espace de transit cerné
par des ombres insolites, des molosses inquiétants, un chat
qui n’a rien à faire là, un étrange Étranger tente de s’envoler…
Sur un texte de Catherine Verlaguet, Philippe Boronad trace
des lignes de fuite, fraie des chemins buissonniers, ouvre
de nouveaux espaces pour aborder avec force et pudeur la
question complexe des migrations d’aujourd’hui.
Entre jeu, technique 3D et création sonore immersive, le langage scénique hybride et poétique nous sollicite de toutes
parts. Au gré de cette composition délicate, l’imaginaire peu
à peu s’éveille... Pour s’adresser à l’humanité qui est en nous,
et ce dès le plus jeune âge.
conception et mise en scène Philippe Boronad, écriture Catherine Verlaguet,
jeu Michelle Cajolet-Couture, dessin et animation No Joke Studio,
création sonore Nicolas Déflache, gestion d’interfaces multimédia Nicolas Helle,
scénographie distribution en cours, création lumière Philippe Boronad,
Nicolas Helle, assistanat à la mise en scène Tiphaine Laubie,
administrateur de production Sébastien Rocheron
Thèmes : Migration : Les raisons de partir de chez
soi. Partir pour grandir, s’épanouir. Le risque du départ et du voyage. Ce que l’on emporte en partant.
Rencontrer l’Autre et découvrir sa différence. Les
peurs (d’être seul, de se perdre, de quitter sa maison, de ne pas y arriver, …) et les espoirs.
Prolongements possibles et activités en lien :
Séquence lecture / écriture / géographie : parcours de migrants (se documenter, en inventer); atelier d’expression /
jeu théâtral : la valise trouvée : inventer et raconter des souvenirs imaginaires et son parcours (en se mettant à la place
d’un migrant) à partir d’objets du quotidien contenus dans
une valise ; Questionner sa famille sur ses origines.
CE
CM
50 min
Séances en journée
3€
mer 21 fév - 10:00
jeu 22 fév - 10:00
jeu 22 fév - 14:00
ven 23 fév - 10:00
ven 23 fév - 14:00
SUR LE SPECTACLE
SUR LE TITRE DU SPECTACLE
C’est l’histoire d’un drôle de personnage en transit
dans un aéroport. C’est l’histoire de quelqu’un qui
a dû partir, on ne sait pas trop pourquoi, mais a
priori il n’avait pas vraiment le choix.
C’est quelqu’un qui aimerait aller quelque part
même s’il ne sait pas exactement où. Les thémes
abordés sont les migrations, les peurs ataviques, le
rapport à autrui, la différence.
L’espoir. Prendre son envol, c’est devenir soi. C’est
surmonter les difficultés.
SUR LE DISPOSITIF ­SCÉNIQUE
Un élément tour de contrôle qui comprend un ascenseur virtuel. Trois flight-case (boîte de transport de matériel technique et d’instruments), la
family
fly,
contenant
toute
sa
vie,
passée, présente et future. Son univers et sa
planète. Le premier se transforme en caisse à
savon magique et vaisseau extraordinaire. Le
second contient un bout de vie rescapé de
là-bas : une plante moche, certes, mais
vivante. Le troisième, doté d’une queue de chien,
renferme en son sein un étrange instrument.
SUR LES PERSONNAGES
Un drôle de personnage, pas plus
costaud pas moins fragile qu’un
petit oiseau migrateur, qui erre
dans un aéroport depuis... combien de temps déjà ?
Un environnement d’inconnus inquiétants (ombres insolites, molosses, un chat qui n’a rien à faire
là…). Au sein d’un rêve, un guide.
Et un public.
SUR LA NOTION DE « JEUNE PUBLIC »
SUR LE TRAVAIL DE CRÉATION
Processus de création : la mise en place d’un vocabulaire et d’une grammaire, un travail autour du
scénario et de l’image, d’un tissu sonore, d’un texte
matière et d’une écriture de plateau. Un travail basé
sur le langage du clown, caractérisé par la gestion
perpétuelle de l’accident, l’expérimentation d’une
physique des catastrophes et une poésie de l’absurde. L’envie est de raconter aux enfants l’errance
des migrants qui, en transit dans un pays qui n’est
pas le leur, en proie au traumatisme, au froid et à
la faim, peuvent parfois se perdre eux-mêmes. De
dire, à ces jeunes spectateurs, avec le plus de poésie possible, que le visage de ces gens ressemble
au leur. Et qu’à quelques mottes de terre près, cette
histoire est la leur.
J’ai fait le choix de travailler sur une pièce en direction du «jeune public» parce que cette histoire leur
était destinée.
De plus, cette double création jeune public 3/6 ans
et 7/11 ans (D’un battement d’ailes et Envol) correspond au second volet d’une recherche de cinq
ans sur l’enfermement dont la première forme a été
la création Braises de Catherine Verlaguet, en direction des publics adultes et adolescents. Le troisième
volet de ce cycle sera probablement déconseillé aux
moins de 18 ans. L’idée est donc de couvrir tous les
spectres de la vie.Pour moi, le terme de «Jeune public» ne veut pas dire grand-chose. Dans le principe, je crée des spectacles tout public pour petits
et grands enfants.
LA PETITE CASSEROLE D’ANATOLE
Cie Marizibill
Théâtre
Anatole est un petit bonhomme pas tout à fait comme les
autres. Le visage rond, le regard doux, il traîne toujours derrière lui sa petite casserole rouge. Elle est jolie, mais elle se
coince partout et l’empêche d’avancer. Lorsqu’il traverse la
ville, les gens le regardent en riant, tout le monde le fuit. Un
jour, il en a assez. Il décide de se cacher.
Adapté de l’album jeunesse d’Isabelle Carrier, ce spectacle
de marionnettes pour tout-petits nous invite à décaler notre
regard, à repenser notre manière d’être au monde, avec poésie et délicatesse. Anatole et sa casserole, c’est un peu chacun d’entre nous. Parce qu’au fond, on a tous une petite
casserole que l’on traîne et dont on aimerait se défaire. Alors
pourquoi ne pas l’apprivoiser et s’en faire une alliée ?
d’après l’album original d’Isabelle Carrier, adaptation et mise en scène
Cyrille Louge, interprétation et manipulation Anthony Diaz, Francesca Testi,
avec Dominique Cattani et Marjorie Currenti, conception des marionnettes et des
objets Francesca Testi, construction Francesca Testi, avec l’aide d’Anthony Diaz lumières Bastien Gérard, collaboration musicale Aldona Nowowiejska, collaboration
sonore Paul-Edouard Blanchard, construction du castelet Sandrine Lamblin, Éditions Bilboquet
Thèmes : Qu’est-ce qu’être « différent » ? Par rapport à quoi et à qui l’est-on ? Vivre avec ses différences. Etre différent, c’est être unique. Le regard
des autres sur les personnes différentes, notamment
porteuses de handicaps.
Prolongements possibles et activités en lien :
Séquence autour d’albums sur la différence (différences choisies ou subies) et la diversité, en élargissant sur le regard de
l’autre sur nos différences (moquerie, empathie, …); expression orale autour de l’expression « traîner une casserole » (ce
qui nous gêne, nous handicape, nous freine,…); atelier motricité : parcours avec une contrainte physique (objet attaché
au pied, les yeux bandés, à deux avec une partie du corps en
contact, avec des obstacles,… pour appréhender les difficultés à se déplacer de personnes porteuses de handicap.
PS
MS
GS
CP
37 min
3€
Séances en journée
mer 04 avr - 10:00
jeu 05 avr - 10:00
jeu 05 avr - 14:00
ven 06 avr - 10:00
ven 06 avr - 14:00
Quelques mots de Cyrille Louge
SUR LE SPECTACLE
SUR LE TITRE DU SPECTACLE
La petite casserole d’Anatole est adapté
de l’album d’Isabelle Carrier, et raconte le
parcours d’un petit garçon différent des
autres parce qu’il traîne une petite casserole. Elle lui empoisonne la vie et lui cause
du chagrin mais Anatole va peu à peu apprendre à l’apprivoiser. C’est une histoire
qui traite de la différence, bien sûr, mais
surtout du regard que l’on porte sur elle,
et sur soi-même quand on se sent « différent ». En regardant mieux, en regardant
différemment, on peut s’apercevoir que
ce qu’on voyait comme un défaut est aussi
parfois quelque chose que les autres n’ont
pas, qui nous rend unique, et ainsi qu’être
différent, c’est aussi être spécial.
Avec sa rime et la sensation d’harmonie qui s’en dégage, sa tendresse aussi, il est déjà une façon de regarder le monde. Il dit déjà
que cette petite casserole n’est pas seulement un problème, elle est
aussi une part d’Anatole, de son identité, de ce qui fait son charme
et sa valeur. J’ai dit qu’un défaut est souvent une qualité mal aimée,
et pour moi, ce titre, sans en avoir l’air, contient déjà cette promesse.
SUR LE DISPOSITIF ­SCÉNIQUE
C’est un castelet (l’équivalent de la scène,
mais pour les marionnettes) en trois parties rectangulaires, comme des tables :
une grande au milieu et une plus petite de
chaque côté, en hauteur. C’est donc ce qu’on
appelle de la « marionnette sur table ».
On ne s’en rend pas compte consciemment
pendant le spectacle, mais tous les personnages peuvent passer d’un niveau à un
autre, monter, descendre, apparaître et disparaître… Tous, sauf Anatole. Ce n’est que
vers la fin, quand sa casserole n’est plus un
« problème » et que le monde s’ouvre à lui,
qu’Anatole peut enfin aller partout.
SUR LA NOTION DE « JEUNE PUBLIC »
Je crois que l’empathie est une chose qui se travaille,
dès le plus jeune âge, et que le théâtre permet de cultiver l’empathie. C’est pourquoi il est primordial de travailler en direction du « jeune public ».
Je crois au « jeune public » en tant que catégorie de
spectateurs mais pas comme catégorie de spectacles.
À mon sens, il devrait y avoir des spectacles « tout public », c’est-à-dire accessibles à tous dès le plus jeune
âge, et des spectacles pour « adultes ». C’est pourquoi
j’ai l’habitude de dire qu’il devrait y avoir un âge « plancher » mais pas d’âge « plafond ». Créer un spectacle
en direction du « jeune public », c’est aussi s’adresser
aux adultes, à une part d’eux qui n’est en général plus
jamais sollicitée. C’est donc un défi particulièrement intéressant car il faut élaborer les niveaux de lecture qui
conviennent à tous les âges. Envisagés de cette manière, les spectacles « en direction du jeune public »
sont les plus difficiles à réaliser.
SUR LES PERSONNAGES
À part Anatole, dont nous avons déjà beaucoup parlé, il y a les autres enfants, avec qui
Anatole voudrait jouer, rire et danser, mais
qui ne l’acceptent pas. Il y a les gens qu’Anatole croise sur son chemin : une maman et
son enfant, un chien, un chat, un vieux monsieur en fauteuil roulant…
Certains ne sont pas dans l’album, comme
cet artiste chanteur et danseur qui rend visite
à Anatole dans ses rêves et à qui il voudrait
ressembler.
Et puis il y a une dame, la « dame extraordinaire », qui va guider Anatole et lui montrer
comment apprivoiser sa casserole.
Et puis à la fin il y a une surprise.
SUR LE TRAVAIL DE CRÉATION
Je voulais continuer à travailler sur le thème
de la différence, de la difficulté à s’accepter
soi-même. Mais je voulais aussi, après avoir
écrit les trois précédents spectacles, travailler
à partir de l’univers de quelqu’un d’autre. Et
j’ai eu la chance de trouver l’album d’Isabelle
Carrier. Je voulais faire un spectacle sans paroles, accessible à tous, et j’ai donc commencé par supprimer le texte. Puis j’ai beaucoup
rêvé à l’histoire d’Anatole. J’ai transformé
des images pour le papier en images pour la
scène, et rajouté des situations, des événements et des personnages pour développer
l’histoire. J’ai ensuite tout dessiné pour réaliser un story-board (c’est-à-dire les dessins
de ce qu’on verra plus tard sur scène quand
le spectacle sera fait). Francesca a imaginé
les personnages en marionnettes : la technique, les matériaux, la taille… On voulait rester proche de l’esthétique de l’album, mais les
dessins ne sont pas des marionnettes, donc là
aussi il a fallu adapter, et les personnages sont
devenus des marionnettes-sacs. Puis avec
Anthony et Francesca, nous avons travaillé
chaque scène à partir du story-board, essayé
des musiques, et d’autres idées sont venues en
jouant. Toutes les marionnettes et les objets
ont été construits au fur et à mesure des répétitions.
Formulaire de réservation
Premier degré
Expliquez-nous votre projet pour que nous puissions vous guider au mieux dans la programmation
(si nous devions réorienter votre choix) :
Formulaire de réservation à renvoyer à
Théâtre Durance
Les Lauzières
04160 Château-Arnoux - Saint-Auban
Indiquez-nous si nous devons prévoir un accueil spécifique (fauteuil roulant, béquilles, handicap,
etc) :
 avant le 30 septembre 2017
NB : Ce formulaire ne sera valide que si l’ensemble des champs sont renseignés
Souhaitez-vous échanger avec l’équipe artistique après le spectacle (bord de scène) ?
Oui
□
Non
□
Nom de la structure :
Prénom et nom du chef d’établissement / responsable :
Inscription
Renvoyez-nous ce formulaire complété.
Utilisez un formulaire par classe et par enseignant ou par groupe et par référent.
Attention, ce formulaire ne confirme pas votre commande (ne pas joindre de règlement).
Vos prénom et nom :
Confirmation de réservation
Après réception et examen des possibilités d’accueil de votre classe/groupe, nous vous enverrons
une confirmation précisant le spectacle et la séance retenue sous la forme d’un bon de commande
qui devra nous être retourné signé pour valider votre inscription et confirmer votre venue au
spectacle.
Ces représentations sont accessibles au tarif de 3 € ou 5 € par enfant
+ un accompagnateur gratuit
> pour 12 élèves pour les collèges et lycées
> pour 8 élèves pour les maternelles et primaires
> pour 4 élèves pour les IME
Règlement
La facture sera établie sur la base du bon de commande et vous sera adressée un mois avant la
représentation. Elle devra être réglée à votre convenance par chèque ou virement bancaire au plus
tard le jour du spectacle ou par mandat administratif au plus tard 30 jours après la représentation.
Code Postal :
A noter : Afin d’assurer les meilleures conditions d’écoute et de réception du spectacle, nous
remercions les professeurs et les chefs d’établissement, les accompagnateurs et responsables de
structures, de prévoir une arrivée au Théâtre une demi-heure avant le spectacle.
Classe :
Adresse de la structure :
Ville :
Adresse de facturation (si différente) :
Code Postal :
Ville :
Téléphone de la structure :
Courriel de la structure :
Si vous faites bus commun avec une autre classe, merci de nous indiquer
le nom de l’enseignant avec lequel vous souhaitez partager la séance :
Pour vous contacter en cas de besoin :
Courriel :
Contact Lisa Moneret
Service Relations avec les publics
04 92 64 27 34 /
[email protected]
Tranche d’âge :
Téléphone mobile :
Formulaire de réservation
Premier degré
Nombre de spectacle(s) que vous souhaitez voir dans votre parcours : . . . . . . . . .
Nous vous inscrirons sur l'une des séances du spectacle choisi en fonction des places disponibles.
Les niveaux mentionnés seront les niveaux privilégiés pour la répartition des classes sur les spectacles.
Merci de nous signaler les séances sur lesquelles il vous sera IMPOSSIBLE de vous rendre :
Spectacles choisis
(numérotez par ordre de priorité)
CM
5€
L’HISTOIRE PROBABLE DE
LA MUSIQUE
ELECTRONIQUE PAR LE
GRAMI
Compagnie
Genre
1 Montreur d’Ours
Musique
ROCK & GOAL
Kelemenis & cie
Danse
MS
GS
CP
3€
D'UN BATTEMENT D'AILES
Artefact
Théâtre
PS-MS
GS-CP
3€
ENVOL
LA PETITE CASSEROLE
D’ANATOLE
Nombre
d'adultes
Nombre
total
50 min
jeu 19/10 - 10:00
jeu 19/10 – 14:00
5€
3€
Nombre d'élèves
mer 18/10 - 10:00
CE
CE-CM
Durée
Si une date de
séance est
IMPOSSIBLE pour
vous, merci de la
cocher
Artefact
Cie Marizibill
Théâtre
Théâtre
45 min
45 min
jeu 11/01 - 10:00
jeu 11/01 – 14:00
ven 12/01 – 14:00
mar 20/02 - 10:00
(approx.)
mar 20/02 – 14:30
50 min
mer 21/02 - 10:00
jeu 22/02 - 10:00
jeu 22/02 – 14:00
ven 23/02 - 10:00
ven 23/02 – 14:00
37 min
mer 04/04 - 10:00
jeu 05/04 - 10:00
jeu 05/04 – 14:00
ven 06/04 - 10:00
ven 06/04 – 14:00
Téléchargement