Voici le récit de ma campagne, je joue les grecs en M/D avec le mod mundus magnus. J’ai déjà bien entamé ma campagne avant de commencer ce récit mais voici une ébauche de ce qu’il s’est passé. Mes batailles furent mouvementées et l’anxiété (quand on se retrouve a 3 contre 1 par ex) faisait place au rire une fois l’ennemi en déroute. Chapitre 1 : Les débuts Tout commença en 270 avant JC, l'empire d'alexandre le grand s'était morcelé et les romains s'étaient fédérés, leur soif de conquête se faisait sentir. Les cités grecques indépendantes décidèrent de se rallier sous la tutelle d'un seul roi pour mieux se préparer aux conflits à venir. Ils dépêchèrent un émissaire chez leurs frères macédoniens, même si ceux-ci avaient encore du mal à digérer le fait que les cités de Sparte et Athènes avaient fait sécession, ils acceptèrent l’alliance à quelques conditions : un accès militaire mutuel ainsi que 2000 deniers à verser sur 1 an de la part des grecs. « Peu importe » dit le roi grec, 2000 deniers ce n’est rien comparé à ce que nous gagnerons et nous lutterons peut-être ensemble contre les romains. Un général commenta : « oui, nous au charbon et nos alliés aux fourneaux, ils ne savent faire que ça ! Ahaha ! » Ce traité passé le roi dit à son fils d’envoyer une armée capturer au plus vite la crête ainsi que Rhodes et toutes les villes situées à l’est de la mer égée. L’île de Rhodes disposant d’une merveille pour le commerce maritime il était primordial de mettre la main dessus avant les macédoniens ou les séleucides. Tout se passa pour le mieux, 5 villes furent conquises au total en l’espace de 5 ans. Le roi était hélas mort pendant cette période et son fils assez inexpérimenté mais pas sans sagesse, craignait une attaque d’un voisin, macédoine ou séleucide. Pendant cette période Sparte et Athènes servaient donc plus à lever des troupes qu’à faire grossir le trésor. Les grecs étaient alliés aux macédoniens, mais tout le monde savait qu’à long terme cette alliance ferait place à la guerre. En effet les terres voisines étaient très riches tout comme les terres grecques, un conflit sera donc la seule issue. 5 autres années passèrent sans encombres, le jeune roi visait alors l’empire séleucide, plusieurs cadeaux financiers ayant été offerts aux macédoniens pour les endormir et/ou privilégier la paix en vue de la guerre contre un royaume puissant. Les macédoniens surprenaient d’ailleurs les généraux grecs car ils avaient conquis tout le nord des balkans en très peu de temps et avec une facilité déconcertante. Les romains brutii avaient débarqué à l’ouest de la péninsule et développèrent la ville d’Ambracia d’une manière remarquable, cette dernière protégée par une légion au grand complet paraissait intouchable. Un émissaire y fut envoyé pour signer un accord commercial ce qui ne manqua pas de donner encore plus de travail aux comptables du royaume. Tout allait bien dans le meilleur des mondes lorsque le sénat traita les grecs de malhonnêtes et ceci allant déclara la guerre. Les factions romaines suivirent donc la voix du sénat. Peu importe, les romains sont faibles, bloquons leurs ports dans l’adriatique et nous serons tranquilles ! Lança le roi. Cette déclaration de guerre envers les grecs ne passa pas inaperçue dans le reste du monde et les gaulois qui détestaient les romains autant que les grecs feraient des alliés de choix, un ambassadeur fut donc envoyé sur leurs terres pour signer une alliance, les grecs ne pouvant pas envoyer de troupes les aider immédiatement, un soutien financier ferait l’affaire, un cadeau de 10 000 deniers tout de même. L’alliance avec les gaulois et les macédoniens nous donnera l’ascendant sur ces traîtres de romains, il est temps de se concentrer sur les séleucides – dit un général à son roi. Ces mots à peine prononcés un messager arriva essouflé, comme s’il avait fait 3 marathons. « Sire, un message pff pff de la plus haute pff pff importance ! » « Allez parle donc ! » cria un général. Le roi fit un signe de la main pour dire à tout le monde de garder son calme et écouter le messager : « Reprend ton souffle soldat, que se passe-t-il ? » « Sire notre port dans le détroit du bosphore vient d’être bloqué par une flotte macédonienne ! Et deux de leurs armées se dirigent vers Athènes et Sparte » La consternation fit vite place à la réjouissance quand le roi dit « Et bien au moins maintenant nous avons une bonne raison de leur faire la guerre ! Nos soldats sont nombreux, bien équipés, nos caisses sont pleines, nous allons les recevoir comme il faut ! » Chapitre 2 : La péninsule en guerre Toutes les villes Grecques situées en Asie se mirent à produire des troupes en vue d’une éventuelle attaque venant de l’est, autant prévenir que guérir. Une flotte d’une taille colossale était en cours de construction, les nouvelles trirèmes auraient raison des navires macédoniens et le désagrément causé faciliterait toute opération future. Les sièges de Sparte et d’Athènes débutèrent, pas moins de 1200 soldats macédoniens étaient stationnés devant chaque cité. La stratégie était simple, les laisser venir pour qu’ils s’embrochent sur les piques des hoplites tout en se faisant tirer dessus par les archers. Les troupes macédoniennes étaient mal disciplinées et mal équipées : « Ils ont pris leurs milices pour venir chez nous alors que nous avons de vrais soldats ! Même à 2 contre 1 nous gagnerons sans problèmes ! » rigolèrent les officiers sur leurs remparts de Sparte en voyant les macédoniens s’approcher. En effet l’armée ennemie était certes importante en nombre mais il fallait tenir compte du mur et des archers postés dessus. Il y’avait bien 2 équipes de balistes qui pilonnaient les murs mais elles tiraient en diagonale et étaient assez proches pour que les arches les atteignent. Il ne fallut pas longtemps pour que tous les servants balistaire ressemblent à des réserves de munitions tellement ils étaient percés de flèches. Ces machines réduites à néant il ne restait plus que 2 équipes d’échelles, 1 tour et 1 bélier, les archers avaient beau tirer des flèches incendiaires sur le bélier et la tour ces engins ne voulaient pas prendre feu. Une certaine angoisse parvint au général grec quand il se rendit compte qu’il n’avait pas assez d’hoplites pour défendre toutes les positions. « Tant pis, les archers défendront un point d’échelle et le mur attaqué par la tour, le reste des hoplites protégera le portail et la porte ! » Les archers postés devant la tour de siège virent arriver des pélastes en renfort, ces derniers étant plus doués ils pourraient repousser les assaillants sans trop de problèmes. La porte était défendue par 2 bataillons d’hoplites qui n’attendaient qu’une chose, que la porte soit enfoncée ! La bataille était gagnée d’avance, les faibles piquiers miliciens qui prirent d’assaut les murs que se soit avec une tour, des échelles ou bien par la porte n’avaient aucune chance après la destruction des balistes. La bataille d’Athènes fut à quelques détails identique, c'est-àdire un massacre. Lors du conseil de guerre qui se déroula après ces 2 glorieuses victoires le roi donna sa stratégie : « Malgré ces victoires il n’est toujours pas à l’ordre du jour de contre-attaquer les macédoniens, il faut les laisser venir se briser sur nos murs. Une fois leur offensive anéantie il sera temps de passer à l’invasion, en commençant par corinthe et en remontant ensuite vers le nord. Il ne faut pas oublier de capturer les îles dans la mer Egée également. (Des petites troupes suffiraient car il n’y a pas de garnison sur ces îles et la bataille navale étant gagnée elles ne recevront pas de renfort.) Tous les généraux n’étaient pas d’accord sur ce point. « Sire, si nous nous laissons attaquer sans riposter ils ne cesseront peut-être jamais de venir et nous ne pourrons sortir de chez nous ! » Le roi expliqua qu’il était improbable que les macédoniens disposent de force assez nombreuses, ils avancent au nord et doivent garder des troupes dans leurs villes du Sud, ils ne pourront pas suivre un tel rythme de production éternellement. Et il ne faut pas oublier les renforts qui arriveront bientôt des cités à l’Est. Mais cela ne rassura pas pour autant les généraux car une défaite majeure pourrait être fatale. Le roi rajouta alors : « Notre ville de Sparte nous fournira prochainement des guerriers d’élites, des hoplites armés juste d’une pique, d’un bouclier et d’un casque, pas d’armure ! Ils seront élevés dans les conditions les plus extrêmes et auront pour doctrine de protéger leurs camarades avant de penser à leur vie. Cela nous donnera des troupes soudées, très endurantes et cela combiné avec nos techniques martiales ils seront le fer de lance de notre armée. » Un général rétorqua : « Mais tous nos soldats ont déjà un bon entraînement avec nos meilleurs officiers et font des formations en montagne également. » dit un général. « Tu as raison mon ami, nos troupes sont déjà l’élite, ils n’ont pas peur de se battre pour leur terres et pour ma couronne. Mais la je vous parle de soldats, de vrais soldats, qui n’ont d’autre métier que de manier la lance et le glaive, des hommes voués à une seule chose, la guerre ! Après leur 1ere de bataille les survivants ennemis (s’il y’en a) parleront de guerriers habillés de rouge, des guerriers sans peur, sans remords dotés d’une dextérité hors du commun. La vision de leurs toges rouges sang dans nos rangs fera trembler nos ennemis lors de la bataille suivante. » Les assauts macédoniens se répétèrent mais à chaque fois les armées grecques étaient plus importantes et les batailles de plus en plus courtes. Ce qui devait arriver arriva, les macédoniens n’avait plus d’armées offensives. Des renforts de Rhodes et des villes Est étaient également arrivés pour permettre aux grecs de garder une solide ligne de défense tout en passant à l’attaque sur corinthe et les villes septentrionales. La conquête se passait pour le mieux lorsque les égyptiens décidèrent de rentrer en guerre contre la Grèce. Les dirigeants ne comprenaient pas pourquoi un tel revirement alors qu’une fois la guerre contre les macédoniens presque finie un pacte entre ces 2 nations aurait été à l’ordre du jour pour conquérir l’empire séleucide. Il s’agissait en réalité d’une cité égyptienne qui s’était rebellée, (les égyptiens étant d’une bonne puissance militaire mais économiquement instables), et qui avait prise pour pays souverain le royaume grec. Il faut dire que la réputation grecque, au niveau économique, culturel ainsi qu’au niveau de la compassion des généraux conquérants, était excellente. Flattés par la décision de ce village et en même temps amers car ils n’avaient rien fait explicitement pour avoir une telle situation sur les bras, les dirigeants grecs devaient donc se préparer à affronter les égyptiens. Même s’il est tout à fait normal que les égyptiens veulent reprendre leur cité il fut impossible de leur expliquer que les habitants de ce village s’étaient dits grecs sans aucun accord. L’ambassadeur grec n’était pas assez expérimenté et n’a pas pu démontrer que les grecs n’avaient rien avoir avec ce changement de camp de la part d’un petit village des côtes de la lybie. Rien ne fut donc entrepris lorsqu’une armée égyptienne arriva pour assiéger le village. D’une part parce que ces paysans avaient débuté un conflit majeur et qu’ils méritaient une punition, d’autre part parce qu’aucune armée grecque digne de ce nom ne pouvait arriver à temps, et en plein territoire égyptien ça aurait été trop risqué. « Il ne manquait plus que ça nom de Zeus ! » s’exclama le roi lorsqu’il apprit que des navires séleucides bloquaient le port de Rhodes et de Byzance. Mais la guerre contre cet empire n’est pas le pire, le pire est que ces traîtres sont alliés aux égyptiens et aux macédoniens ! Ainsi qu’aux Juliis et aux Brutiis ! Chapitre 3 : Seuls contre tous ! Voici la liste de mes ennemis, et la liste de la coalition, les alliés des julii sont les alliés des alliés des brutii, donc ce n’est qu’une question de temps avant que je me prenne les germains sur la tête. La guerre contre la macédoine battait son plein, les victoires et les conquêtes se suivaient, et se ressemblaient ☺. Le front s’est alors peu à peu stabilisé et l’ordre de constituer une armée, de vétérans bien équipés, pour aider les gaulois fut donné. Ces amis lointains recevaient de temps en temps un soutien financier mais cela était rendu difficile à cause du besoin de reconstituer une flotte mal menée par la coalition Egypte/Séleucides. L’envoi d’une armée était un choix risqué mais il valait mieux faire mal à l’ennemi sur ses terres au lieu de voir les gaulois peiner face aux juliis aidés par les germains. La stratégie était de capturer Patavium, bastion julii au nord de l’italie, de la garder et de développer une autre armée charger de raser un maximum de chose tout en se dirigeant vers l’ouest pour contrer l’avancée des germains. La guerre sera inévitable contre ce peuple cruel et sanguinaire, d’autant plus qu’il possède de nombreuses régions et une armée énorme. La tactique hoplites + légion d’archers suivis de cavaliers pour tuer les fuyards aura bien raison de quelques berzerkers non ? Voici le classement général des 5 premières factions, les germains étant 2e niveaux armée et territoires : Pendant ce temps il est prévu de conquérir enfin la turquie tout en réduisant les macédoniens et les romains qui bordent la côte Est de l’adriatique au silence. Ensuite il faudra sécuriser le Nord des balkans pour empêcher toute intrusion germanique. Une fois Antioche capturée la turquie sera aux mains des grecs, hors de question de s’aventurer plus loin à l’Est. Et par la même occasion bloquer une éventuelle invasion Egyptienne. Une alliance ainsi qu’un soutien financier à l’intention du Pont permettra peut-être à ce petit royaume de survivre face aux séleucides. Il ne restera plus qu’à envahir finalement l’Italie. Et pourquoi pas donner la Sicile aux carthaginois qui en bavent contre les espagnols, les numides et les Egyptiens. Entre temps les scythes m’ont déclaré la guerre car une de leur cité s’est convertie sans prévenir, je vais finir par avoir tous les peuples contre moi si ça continue, quelle idée de faire 15000 deniers de bénef par tours avec seulement 3 villes sur 18 qui sont en négatif. Et avec un ordre public moyen de 120% avec des impôts élevés presque partout. A Athènes pour dire, les impôts sont en « très élevés » et l’ordre est de 170%. Rhodes, quelle perle cette merveille tout de même ☺. Je ferais la suite avec des noms de villes et des screens de batailles. Va y’en avoir de jolis contre les séleucides et les égyptiens je vous le dis ☺ Chapitre 4 : A l’attaque ! Le siège de Naissus : La bataille fut rapide car une fois les murs percés les macédoniens furent massacrés par les 480 archers que comptait l’armée grecque, les spartiates étaient quant à eux chargés d’éliminer toute résistance dans les rues de la ville. Cette bataille était importante car la ville hébergeait un général en tournée d’inspection, on apprit plus tard qu’il ne pu pas partir à cause de la neige. La prochaine fois il consultera un oracle pour connaître la météo ou le bon moment pour ficher le camp avant que 1000 grecs débarquent. Un groupe de bandits fut repéré dans la province de Seutopolis le capitaine en garnison prit l’initiative de les intercepter avec sa cavalerie avant qu’ils ne causent trop de soucis : La bataille eut plus l’air d’un entraînement de cavalerie qu’une vraie bataille. Au même moment l’héritier du trône Athénaeus de Sparte lança un siège sur la ville de Sardis. La province était défendue par une armée entière séleucide mais elle préféra rester au chaud dans son fort après la mort suspecte de son général. La ville fut conquise sans combat, rien de surprenant à cela après les discours répétés d’Athénaeus aux habitants de Sardis qui voyaient la lâcheté de leur troupes, ces troupes qui ne venaient pas briser le siège. Une petite armée fut envoyée assiéger le fort par la suite et il fut lui aussi pris sans combats. Athénaeus était vraiment doué, anéantir une armée complète et capturer une ville sans combattre est très peu banal dans ces heures où le sang recouvre les campagnes. Il aura suffit d’un assassin, voila qui laissait penser à de bons présages pour le futur roi même s’il n’est pas un grand commandant ou gestionnaire le peuple l’aime et il est donc parfait pour prendre des villes moyennes sans exterminer la population. Sur la péninsule une armée fit route vers Ambracia contrôlée alors par les Brutii, seule ville romaine dans la région. Les romains étaient restés chez eux mais les flottes qui bloquaient les ports d’Italie faisaient état de troupes gigantesque se massant en dans les provinces Brutiis d’Italie. Il fallait agir au plus vite et assiéger la cité. Une armée romaine au grand complet protégeait les alentours de la ville et une garnison de taille respectable l’occupait. Les généraux grecs n’en avait rien à faire et lancèrent le siège. La ruse fonctionna à merveille, obligeant la légion externe à attaquer. Le général Nisos était fier que son plan ait fonctionné même si la bataille n’allait pas avoir lieu devant les murs de la ville. Le général romain Titus Brutus descendant des Brutiis était confiant en ses hommes, il avait autant d’hommes que les grecs sans compter les renforts venus de la ville. Mais il ignorait que la stratégie préférée des grecs était de provoquer l’ennemi pour qu’il attaque et ainsi perdre l’avantage du terrain. Le général Nisos fit grise mine lorsqu’il se rendit compte d’une chose : Il n’avait pas peur du nombre ou de la qualité des troupes adverses mais il était plus inquiet du terrain qui composait le champ de bataille. En effet il dut stopper en pleine forêt et il n’y avait qu’une petite clairière, seul endroit où ses archers pourraient tirer efficacement. Les romains arrivaient par l’Est et le Nord, une formation en coin était donc de rigueur mais les archers grecs n’avaient que très peu de place et un champ de tir réduit. Si les phalanges se brisent la bataille est perdue, se dit Nisos. Les archers devront alors fuir par la forêt et ils ne pourront plus tirer, ça sera un vrai massacre. Les cavaliers grecs devaient faire attention à ne pas tomber sur des princeps ou des triariis tout en cherchant a coincer le général ennemi entre eux et une phalange, il fallait aussi s’occuper des archers romains qui décimaient les spartiates déjà occupés à repousser hastatis et autres Equites. La clairière se transformait peu à peu en charnier, les cohortes romaines chargeaient, fuyaient, et chargeaient à nouveau. Les cavaliers grecs ainsi qu’un groupe de pélastes se sont sacrifiés en harcelant l’ennemi, gloire à eux qui ont dispersé l’ennemi. La fin de la bataille approchait. Ce moment fut clair pour tous lorsque le général Nisos ordonna à ses phalanges de relever les piques. Il était déjà trop tard pour les romains. Ils furent pourchassés dans toute la forêt par des archers à court de flèches et des hoplites fatigués mais motivés. La bataille était gagnée, mais beaucoup de grecs ont perdu la vie. Le siège de la ville pouvait alors continuer, les troupes romaines étant dispersées. Même si Titus Brutus a pu s’enfuir il n’est plus une menace et ne risque pas de recevoir de renforts. En Italie la campagne avec le nom de code ‘Sauver Obélix’ continua avec le siège de Mediolanum, la tactique étant toujours de provoquer l’ennemi. Cette fois l’ennemi arriva pour briser le siège de tous les cotés. L’armée dirigée par le capitaine Tyndarios était encerclée dès le début de la bataille. La bataille s’annonçait compliquée car les romains disposaient de troupes variées, archers, princeps, hastatis et triariis. Il fallut dans un 1er temps anéantir l’armée qui arrivait dans le dos des grecs, mais hélas le terrain était recouvert d’arbres, les arches furent alors inutiles pendant un bon moment. Les cavaliers grecs (dont un groupe de miliciens montés) foncèrent dans la forêt pour prendre les romains par le flanc. Quelle surprise eut Tyndarios quand il aperçut Decius le Renard marcher sur le flanc de ses troupes, il ordonna aux miliciens montés de tirer sur le général romain qui les chargea aussi sec avec ses gardes du corps. Tous les autres cavaliers grecs passèrent à l’attaque et prirent le Renard en tenaille, a 150 contre 20 les romains n’avaient aucune chance : Après 10 secondes de combat Decius était mort, ses troupes a pied n’ont même pas eut le temps d’intervenir. Les hastatis continuèrent donc leur route vers les hoplites. Les autres groupes romains se rassemblaient dans le dos des grecs et espéraient malgré la mort de leur seigneur obtenir la victoire. Le massacre des hastatis de Decius fut bref et sans trop de pertes, la vraie bataille allait pouvoir commencer. En voyant des cochons arriver les grecs eurent peu de temps pour les charger avant que les dresseurs romains ne leur mette le feu et les lancent sur les hoplites, les dresseurs romains pris de panique en voyant les cavaliers arriver à toute vitesse mirent le feu à leurs cochons bien avant d’être au contact des fantassins grecs. Les cavaliers n’avaient plus qu’à contourner le problème et charger les archers romains. Ces derniers se firent embrocher très brutalement car les triariis chargés de les défendre étaient bloqués par les cochons devenus complètement fous. Sans archers les romains avaient perdus ou presque, car il leur restait un groupe de chiens d’assaut qui prenait par le flanc gauche des grecs, les cavaliers se sacrifièrent en chargeant ces animaux car ils se sont fait attrapés par des Princeps non loin de là. Ca manque encore de screens mais c’est ma 1ere campagne en M/D, surtout le D pour les batailles, donc je fais plus gaffe à gagner qu’à faire des screens. C’est pour ça que le texte peut être long, j’essaye de détailler un minimum car par exemple le coup des cochons en feu qui mettent la pagaille dans leurs rangs c’est vraiment tordant.