QCM 1 - Free

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Cours UE2 Prs B. Bloch, G Simonet, J Cambar
QCM 1-2 : Biosynthèses, transports moléculaires et métabolismes
dans la cellule
On considère une cellule qui synthétise plusieurs récepteurs membranaires parmi lesquels le
récepteur membranaire des LDL et des récepteurs à des neurotransmetteurs. Cette cellule
produit par ailleurs une hormone peptidique à partir d’un précurseur protéique de haut poids
moléculaire.
QCM 1:
A.
Dans cette cellule, en présence de LDL, le récepteur des LDL est endocyté dans
des vésicules recouvertes de clathrine pour permettre la dégradation
intracytoplasmique des molécules de LDL
B.
Dans cette cellule, la synthèse du précurseur de l’hormone peptidique est assurée
par le réticulum endoplasmique granuleux. Ce précurseur comporte un peptide
signal qui est clivé dans l’appareil de Golgi
C.
Dans cette cellule, le protéasome a pour fonction la dégradation de protéines à pH
7 dans des vésicules intracytoplasmiques, après identification par des molécules
d’ubiquitine
D.
Les glycoprotéines du glycocalyx (cell coat) sont apportées par des vésicules de
transport et ont plusieurs fonctions : de structure, de récepteur et de transporteur
E.
Dans cette cellule, les récepteurs synthétisés transitent par l’appareil de Golgi
pour être déposés à la membrane plasmique par des grains de sécrétion
Cours UE2 Prs B. Bloch, G Simonet, J Cambar
QCM 1-2 (suite) :
On considère une cellule qui synthétise plusieurs récepteurs membranaires parmi lesquels le
récepteur membranaire des LDL et des récepteurs à des neurotransmetteurs. Cette cellule
produit par ailleurs une hormone peptidique à partir d’un précurseur protéique de haut poids
moléculaire.
QCM 2
A. Dans cette cellule, il existe des phénomènes d’exocytose qui permettent le recyclage
des récepteurs du LDL à la membrane plasmique après dégradation des LDL
B. Dans cette cellule, il existe des hétérolysosomes
C. Dans cette cellule, les vésicules porteuses de T-SNARES sont impliquées dans la
sécrétion régulée de l’hormone peptidique par exocytose
D. Dans cette cellule, les récepteurs aux neurotransmetteurs peuvent être des protéines
transmembranaires pouvant jouer un rôle de ionophore couplées à une protéine G
E. Dans cette cellule, les molécules destinées à participer à la constitution du cell coat
suivent le même cheminement intracytoplasmique que l’hormone synthétisée et sont
déversées par exocytose à l’extérieur de la cellule
Cours UE2 "Chromatine et Chromosomes" (E. CHEVRET)
QCM 3 : La chromatine
A.
Est répartie de manière aléatoire au sein de l’espace nucléaire
B.
Est constituée d’ADN et de protéines
C.
S’associe à 2 types d’histones
D.
Possède des portions d’ADN réprimées
E.
Lorsqu’elle est toujours condensée, se nomme euchromatine
Cours UE2 "Noyau" (D. CAPPELLEN) et "Chromatine et Chromosomes" (E. CHEVRET)
QCM 4 : Le noyau et son activité
A.
La taille et l’état de condensation du noyau reflètent l’activité de la cellule
B.
La membrane externe de l’enveloppe nucléaire est en continuité avec le réticulum
endoplasmique lisse et peut porter des ribosomes sur sa face externe
C.
Au niveau des pores nucléaires, toutes les molécules sont prises en charge par un
mécanisme de transport actif et transportées à travers le canal central
D.
En télophase, la mise en place des nucléoles témoigne de la reprise des activités
transcriptionnelles du noyau
E.
L’euchromatine contient des gènes pouvant être transcrits
Cours UE2 "Noyau" (D. CAPPELLEN) et "Chromatine et Chromosomes" (E. CHEVRET)
QCM 5 : L’enveloppe nucléaire au cours de la mitose
A.
La formation de l ’ enveloppe nucléaire est due aux propriétés des filaments
intermédiaires qui sont capables, d ’ une part, de former un réseau avec des
membranes et, d’autre part, de s’associer à la chromatine
B.
Au cours de la mitose, la dispersion de l’enveloppe nucléaire et sa reconstitution sont
liées à des modifications de la phosphorylation des lamines nucléaires
C.
En prométaphase, la dispersion de l’enveloppe nucléaire permet l’arrimage des
chromosomes aux microtubules du fuseau mitotique
D.
A la fin de la mitose, l’enveloppe nucléaire se reconstitue autour de chaque lot
chromosomique
E.
Au moment de la cytodiérèse, un anneau contractile se met en place au niveau de la
membrane nucléaire
Cours UE2 "Mitochondries et Peroxysomes" (D. CAPPELLEN)
QCM 6 : Les mitochondries
A.
Possèdent leur propre génome, l’ADN mitochondrial, qui est de type procaryotique,
dépourvu d’introns
B.
Produisent de l’ATP par phosphorylation oxydative par une enzyme appelée ADP
kinase au niveau de leur membrane interne
C.
Contiennent des lipides et des protéines spécifiques dans leur membrane interne ;
les proportions lipides/protéines y sont équivalentes à celles de la membrane externe
D.
Sont d’origine maternelle, et, de ce fait, les maladies des fonctions mitochondriales
sont toujours transmises par la mère
E.
Présentent, au niveau de leurs membranes, des complexes transporteurs afin
d’importer des protéines d’origine cytosolique
Cours UE2 "Mitochondries et Peroxysomes" (D. CAPPELLEN)
QCM 7 : Les peroxysomes
A.
Les peroxysomes ressemblent morphologiquement aux pré-lysosomes, mais sont
caractérisés par leur contenu enzymatique très différent
B.
Les peroxysomes comportent des protéines spécifiques, les peroxines, qui agissent
à des étapes particulières de leur formation: import de protéines membranaires,
synthèse de protéines de la matrice
C.
Les peroxysomes contiennent dans leur matrice des oxydases et des catalases
D.
Les peroxysomes jouent un rôle important dans le catabolisme et la biosynthèse de
certains lipides
E.
Des déficits de la fonction peroxysomale peuvent
dysfonctionnements neurologiques, rénaux et hépatiques
entraîner
de
graves
Cours UE2 « le cycle cellulaire » (JB. CORCUFF)
QCM 8 : A propos du cycle cellulaire
A.
Le cycle cellulaire dépend de mécanismes qui contrôlent ses étapes de manière à
ce qu’elle se déroulent dans un ordre particulier
B.
Le cycle cellulaire est organisé en étapes successives : M1, G1, M2, S, G2
C.
Les points de contrôle du cycle cellulaire dépendent de signaux « positifs » activant
l’avancée dans le cycle
D.
Les cycles de multiplication cellulaire sont sous la commande exclusive de facteurs
intracellulaires
E.
A la sortie de la phase S, une cellule en déficit énergétique peut entrer en phase G0
Cours UE2 « le cycle cellulaire » (JB. CORCUFF)
QCM 9 : A propos du contrôle moléculaire du cycle cellulaire
A.
Le contrôle du cycle cellulaire repose sur des protéine-kinases spécifiques, les
cyclines
B.
Les cyclines S lient une kinase dépendante des cyclines (CDK) à la phase S et sont
nécessaires à l’initiation de réplication de l’ADN
C.
Les CDK sont activées en 2 étapes : liaison à une cycline puis phosphorylation
D.
Les CDK sont inactivées par une déphosphorylation et un changement de
conformation
E.
Les variations de concentrations intracellulaires des cyclines dépendent de l’équilibre
entre la dégradation et la traduction protéique
Cours UE2 « La différentiation cellulaire » (JB. CORCUFF)
QCM 10 : A propos de la différenciation cellulaire
A.
Les cellules souches peuvent avoir des divisions symétriques ou asymétriques
B.
Les cellules somatiques sont toutes les cellules d’un individu autres que les cellules
germinales
C.
La différentiation cellulaire par exemple en neurone ou cellule épithéliale se fait par
élimination contrôlée de gènes
D.
Dans un type cellulaire donné, un même facteur de différentiation, peut activer
l’expression de gènes cibles et inhiber l’expression d’autres gènes
E.
Un même facteur peut activer l’expression de gènes cibles différents en fonction de
la présence de co-facteurs différents
Cours UE2 « La motilité cellulaire » (JB. CORCUFF)
QCM 11 : A propos de la motilité cellulaire
A.
La motilité cellulaire est l’aptitude d’une cellule à effectuer des mouvements
spontanés sans consommation d’énergie
B.
La plupart des cellules des eucaryotes pluricellulaires se déplacent grâce à un
mouvement ciliaire
C.
La motilité cellulaire est un élément clef de la cicatrisation et de la défense
d’organismes adultes
D.
La chimiotaxie est un mécanisme par lequel des chimiokines d’origine extracellulaire
influencent la migration cellulaire
E.
Le déplacement des cellules eucaryotes peut se faire en fonction de la perception
d’un gradient de facteur chimiotactique par des récepteurs de surface
Cours UE2 « La motilité cellulaire » (JB. CORCUFF)
QCM 12 : La migration cellulaire est un phénomène qui
permet aux cellules d'un organisme de contribuer :
A.
à développer l'embryon
B.
à assurer la défense vis à vis des agressions bactériennes
C.
à la contraction cardiaque
D.
au fonctionnement harmonieux du système nerveux périphérique
E.
au déplacement des spermatozoïdes
Cours UE2 « La motilité cellulaire » (JB. CORCUFF)
QCM 13 : A propos des processus de polymérisation et
dépolymérisation de l'actine
A.
La profiline favorise la polymérisation
B.
La cofiline aide directement à la polymérisation
C.
Seules les molécules d'actine-ADP peuvent entrer en phase de nucléation avant de
se polymériser
D.
La thymosine aide directement à la polymérisation
E.
L’actine se comporte comme un récepteur aux chimiokines
Cours UE2 « L’apoptose cellulaire » (JB. CORCUFF)
QCM 14: A propos de l’apoptose
A.
C’est un processus pathologique qui entraine la nécrose des cellules attaquées par
des agents externes
B.
Les voies de signalisation impliquées mettent en jeu des phosphorylations, des
interactions protéines/protéines et des dégradations protéiques par le protéasome
C.
Les caspases sont des protéines kinases phosphorylant les acides aspartiques
cellulaires
D.
L’apoptose dite extrinsèque fait intervenir un récepteur dit de mort cellulaire avec un
domaine DD (Death Domain)
E.
L’apoptose dite intrinsèque fait intervenir l’inactivation de la protéine Bcl-2
Cours UE2 « L’apoptose cellulaire » (JB. CORCUFF)
QCM 15 : A propos de l’apoptose
A.
Des cellules apoptotiques peuvent être détectées grâce à des marqueurs
fluorescents de l’ADN
B.
Des cellules apoptotiques isolées peuvent être détectées grâce à un passage dans
un Tunnel illuminé par des ultra-violets
C.
Des cellules apoptotiques peuvent être détectées grâce à des techniques de
cytométrie de flux
D.
Des cellules apoptotiques peuvent être détectées grâce à l’étude de la fragmentation
des ARN cellulaires
E.
Des cellules apoptotiques peuvent être détectées grâce à la fixation sélective de
l’annexine V sur les phosphatidyl-sérines membranaires
Cours UE2 (J-B CORCUFF)
QCM 16 : Lors de la transition G2/M du cycle cellulaire
A. Il existe un contrôle de la qualité de l’ADN répliqué.
B. Le complexe cycline M – CDK active les topoisomérases
A. Le complexe cycline M – CDK permet le désassemblage du réticulum
B. Le complexe cycline M – CDK est éliminé par exocytose contrôlée juste avant la
métaphase
C. Les cellules entrent en apoptose si le réticulum se fragmente au point de contrôle G2/M
Cours UE2 "Chromatine et Chromosomes" (E. CHEVRET) et "Cycle cellulaire" (J.B. CORCUFF)
QCM 17 et 18 : Chromatine, chromosomes et cycle cellulaire
Le schéma ci-dessous vous permettra de répondre aux QCMs 19 et 20
Le schéma indique la quantité d’ADN contenue dans une cellule au cours
du cycle cellulaire.
Quantité d’ADN
C
4C
B
A
2C
Temps
Cours UE2 "Chromatine et Chromosomes" (E. CHEVRET) et "Cycle cellulaire" (J.B. CORCUFF)
QCM 17 : Chromatine, chromosomes et cycle cellulaire
Quantité d’ADN
C
4C
B
A
2C
Temps
A.
Sur le schéma, la phase dénommée A indique la phase G1 du cycle cellulaire au
cours de laquelle la quantité d’ADN contenue dans une cellule diploïde est de 2C
B.
Une cellule diploïde en phase A renferme 2n chromosomes
C.
Au cours de la phase B, le nombre de chromosomes contenu dans la cellule double
D.
Les mécanismes qui se déroulent au cours de la phase B permettent de doubler le
nombre de chromatides
E.
En début de phase C, la cellule est tétraploïde
Cours UE2 "Chromatine et Chromosomes" (E. CHEVRET) et "Cycle cellulaire" (J.B. CORCUFF)
QCM 18 : Chromatine, chromosomes et cycle cellulaire
Quantité d’ADN
C
4C
B
A
2C
Temps
A.
La phase A correspond à la période de dégradation des CDK préliminaire à la mitose
B.
La phase B correspond à la période de synthèse des cyclines G1
C.
Au cours de la phase B, les histones produites transitent par la réticulum
endoplasmique
D.
En phase B, le centrosome se duplique
E.
La phase C permet de répartir n chromosomes dans chaque cellule fille
Cours UE2 (D CAPPELLEN, J-B CORCUFF)
QCM 19 : Chimiotaxie et déplacement cellulaire
Les polynucléaires neutrophiles, cellules du système de défense immunitaire
recrutés sur le lieu d ’ une infection, sont capables de phagocyter les
microorganismes. Le recrutement initié par des molécules libérées par les
microorganismes peut s’amplifier par la sécrétion de chimiokines libérées par
les polynucléaires eux-mêmes.
A. Les polynucléaires sont susceptibles de migrer vers les zones inflammatoires par
attraction chimiotactique
B. Un signal chimiotactique est le plus souvent perçu par un récepteur cytoplasmique
C. Un signal chimiotactique perceptible par des polynucléaires entrainera la disparition de
la membrane nucléaire
D. La migration des polynucléaires en réponse aux chimiokines est liée à la dissociation
des polymères de lamine
E. Les mitochondries localisées au niveau des striations basales de la membrane des
polynucléaires fournissent l’énergie nécessaire à leur déplacement
Cours UE2 (D CAPPELLEN, J-B CORCUFF)
QCM 20 : Chimiotaxie et déplacement cellulaire
Les polynucléaires neutrophiles, cellules du système de défense immunitaire
recrutés sur le lieu d ’ une infection, sont capables de phagocyter les
microorganismes. Le recrutement initié par des molécules libérées par les
microorganismes peut s’amplifier par la sécrétion de chimiokines libérées par
les polynucléaires eux-mêmes.
A. Les chimiokines modifient la production de seconds messagers intracellulaires
B. Les chimiokines entrainent l’expression de sélectines à la surface des polynucléaires
pour permettre leur immobilisation sur la paroi vasculaire
C. La séquestration membranaire de la profiline empêche la polymérisation d’actine
D. Les chimiokines entrainent la dissociation des hémi-desmosomes des polynucléaires
neutrophiles, permettant ainsi leur migration
E. Les chimiokines entrainent le battement de cils localisés à la membrane plasmique des
polynucléaires neutrophiles, permettant ainsi leur mobilité
Cours UE2 « Le Cytosquelette » et « La motilité cellulaire » (D CAPPELLEN, J-B CORCUFF)
QCM 21 : Cytosquelette et migration cellulaire
Des cellules épithéliales expriment de manière endogène le récepteur tyrosine kinase ERBB2 normal
(ERBB2n+). Ces cellules ont été génétiquement modifiées pour invalider l’expression de ce récepteur (ERBB2n-)
ou pour exprimer des formes mutées (ERBB2 muté) déficientes pour 5 tyrosines cytoplasmiques (Tyr Ø) ou ne
conservant qu’une seule de ces tyrosines (Tyr A, B, C, D ou E). Ces cellules normales ou génétiquement
modifiées ont alors été traitées ou non par un ligand, l’Héréguline (HRG), et analysées pour leurs capacités
migratoires (le graphique montre le nombre de cellules migrant/mm2, en présence et en absence d’Héréguline).
Nombre de cellules migrant /mm2
70
60
50
40
30
20
10
0
Absence de ligand
+ Héréguline (HRG)
+ n- rØ rA rB rC rD rE
n
2 B2 Ty Ty Ty Ty Ty Ty
B
B RB
ER E
ERBB2 muté
Pour les cellules étudiées dans cet exemple:
A. La liaison d’un ligand à des récepteurs à activité tyrosine kinase entraine la dimérisation des récepteurs
B. La liaison du ligand active la fonction tyrosine kinase de ce type de récepteurs
C. La liaison d’un ligand à des récepteurs à activité tyrosine kinase entraine leur phosphorylation
D. La stimulation de la migration cellulaire par l’Héréguline nécessite l’expression du récepteur ERBB2. Cette
réponse est en grande partie dépendante de certains des sites de phosphorylation
E. Les sites de phosphorylation Tyr C et Tyr D de ERBB2 sont les moins importants pour la migration cellulaire
induite par l’Héréguline
Cours UE2 « Le Cytosquelette » et « La motilité cellulaire » (D CAPPELLEN, J-B CORCUFF)
QCM 22 : Cytosquelette et migration cellulaire
Des cellules épithéliales ont été traitées (+) ou non (-) par différents ligands et/ou inhibiteurs pharmacologiques.
Ces cellules ont alors été analysées pour la phosphorylation (P-) de certaines protéines (1) et leurs capacités
migratoires (2).
Ligand:
HRG
80
70
60
50
40
30
20
10
0
(Héréguline)
M
P-
(2) Migration cellulaire
Cellules migrant/mm2
(unités arbitraires)
Phosphrylation
(1) Phosphorylation des protéines
- + - + - +
K
AP
P-
P
KB
P-
8
p3
Inhibiteur :
Ligand:
80
70
60
50
40
30
20
10
0
.
.
ib hib PK KB p38
h
A
P .
n
n
- i - i . M ib. hib
b
h
hi in in
in
-
+ HRG
Pour les cellules étudiées dans cet exemple:
A. Les voies de signalisation des protéines kinases MAPK, PKB et p38 sont stimulées par l’Héréguline
B. La migration cellulaire est stimulée par l’Héréguline. Cette stimulation est totalement dépendante de chacune
des voies de signalisation MAPK, PKB et p38
C. La migration induite par l’Héréguline est liée à l’activation d’une voie de signalisation intracellulaire unique:
l’activation de MAPK.
D. Une des étapes clefs du déclenchement de la migration cellulaire est la phosphorylation des lamines
E. La migration cellulaire peut impliquer des remodelages des filaments d’actine (lamellipodes) et des
microtubules
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