2015/2016 Tutorat UE MCF – Correction n° 4 3 / 4
Cette séance est la propriété de l’Université de Montpellier.
QCM n°12 : A, D
A. Vrai. Lors de la mastication, la mandibule se déplace dans tous les sens de l’espace :
élévation/abaissement ; diduction = latéralité ; propulsion/rétropulsion. De plus, les cycles
masticatoires incluent des contacts dentaires nécessaires au broiement des aliments.
B. Faux. C’est un repère entre les faces mésiales des incisives centrales mandibulaires. Pendant le
cycle masticatoire, on suit le mouvement de la mandibule, il faut donc un repère mandibulaire et non
maxillaire.
C. Faux. C’est dans les plans frontal et sagittal.
D. Vrai. Pour éviter la douleur ou un contact gênant, la mandibule se décale. Le cycle masticatoire peut
être également influencé par nos habitudes alimentaires, notre personnalité, etc…
E. Faux. Selon Posselt, oui. Mais aujourd’hui, environ 80% des patients présentent un coté préférentiel
de mastication.
QCM n°13 : B, C, E
A. Faux. Dans le plan frontal, le point incisif se dirige bien vers le coté non travaillant mais dans le plan
sagittal, il part en arrière.
B. Vrai.
C. Vrai.
D. Faux. Le premier contact dentaire se fait par l’intermédiaire des versants cuspidiens. Suite à un
glissement de ces versants, on se retrouve en PIM. (Cf. schéma du dessous)
Remarque : PIM (position d’intercuspidie maximale) = OIM (occlusion d’intercuspidation maximale)
E. Vrai.
QCM n°14 : B, D, E
A. Faux. Elle est calculée par rapport à l’ensemble des muscles. Elle est estimée à 400kg.
B. Vrai.
C. Faux. La force maximale de morsure se situe au niveau molaire.
D. Vrai.
E. Vrai. Elle est maximale quand les dents ont le plus de contact entre elles. OIM = PIM !
QCM n°15 : A, B, C, E
A. Vrai. La première hypothèse émet une théorie : la mastication est un acte moteur donc dirigé par
notre cortex moteur. Des expériences de stimulation sur le cortex ont déclenché des mouvements de
type masticatoire. Ce qui montre qu’une part du cortex cérébral joue un rôle dans la mastication.
B. Vrai. Cette expérience montre que la première hypothèse n’est pas entièrement vérifiée et que la
mastication n’est pas dirigée par le cortex cérébral même si il joue un rôle.
C. Vrai. Le cortex moteur n’est pas à l’origine de la mastication (cf item B) donc on propose une
nouvelle hypothèse sur une origine reflexe dû à des influx sensitifs d’origine buccale.
D. Faux. On constate des contractions brèves contrairement aux contractions durant la mastication qui
elles sont longues et progressives. Donc la mastication n’est pas dirigée par un stimulus sensitif