Sobres et graphiques Phormium, Yucca, Cordyline… [La Plante du Mois] COLOUR YOUR LIFE – JUILLET-AOUT P h or m i um – L' e s s e nt i e l e n u n r e ga r d Le Saviez-Vous ? A la fois antiseptique, condiment, cordage, le lin de Nouvelle Zélande, ou Phormium, a joué un grand rôle dans la culture et l'économie de Nouvelle-Zélande. De nos jours, il est toujours utilisé par les Maoris pour la fabrication de leurs vanneries artisanales. On raffole de … Sa silhouette graphique Son feuillage persistant aux longues et souples lanières colorées De son côté « je suis beau sans beaucoup de soin » ! Son excellente santé et rusticité Idéales pour … Donner du relief et de l’exotisme à un décor de terrasse ou de balcon Structurer toute l’année un massif de vivaces Donner du corps à une composition de graminées Ajouter une touche d’originalité à une petite haie variée ou une potée estivale Animer un jardin sans arrosage L es Pl ant es Am i e s Autres plantes graphiques : acers, agapanthes, bambous, euphorbes, fougères… Fleurs exotiques : arums, abutilons, cannas, sauges… Fleurs légères : gauras, lavandes, verveines de Buenos Aires… Graminées Il aime Il craint Le soleil ou une ombre légère Un sol fertile Un sol parfaitement drainé en hiver L’humidité hivernale Les courants d’air froid Les froids prolongés sous les -8°C Le Conseil en plus Soignez le drainage en pot comme en pleine terre : c’est le secret de leur rusticité et de leur longévité. [Jardins&Couleurs] P r om e n a de da n s u n j a r di n gr a p hi q u e … Le Saviez-Vous ? A la fois antiseptique, condiment, cordage, le lin de Nouvelle Zélande, ou Phormium, a joué un grand rôle dans la culture et l'économie de Nouvelle-Zélande. De nos jours, il est toujours utilisé par les Maoris pour la fabrication de leurs vanneries artisanales. La tendance se confirme : le phormium s’invite partout ! Le phormium est sur le podium des plantes en vogue ces dernières années. L’offre et la demande vont crescendo : cette vivace architecturale est sortie des massifs de bords de mer où on la croyait cantonnée. La gamme s’est enrichie, des travaux d’hybridation ont permis la naissance de variétés diversement colorées aux silhouettes plus compactes compatibles avec les espaces réduits. Cultivé en pot ou en bac, le phormium fait une entrée remarquée sur les balcons, les terrasses et dans les jardins citadins. C’est la « plante chouchou » des paysagistes inspirés ! Cette plante d’origine néozélandaise offre des atouts majeurs dans le décor végétal. Ils résident principalement dans la beauté de sa silhouette graphique et de son feuillage persistant. Attractif toute l’année, le phormium peut jouer les vedettes dans les compositions de la belle saison comme dans celles de l’automne et de l’hiver. Les plantes compagnes peuvent changer et même disparaître car le phormium sait assurer le spectacle en solo attirant le regard par l’élégance et l’originalité de ses longues lanières souples aux coloris surprenants allant du vert olive au noir métallisé en passant par des panachés de crème, de rouge ou d’orange de toute beauté. Au bout de quelques années de culture, il nous offre un atout bonus et fleurit en été sous la forme de hautes hampes florales aux panicules rouge sombre ou jaune clair suivis de capsules décoratives. Le phormium s’intègre avec bonheur aussi bien dans un décor contemporain épuré et minimaliste que dans des scènes aux accents plus naturels, mêlé aux graminées, ces autres favorites du jardinier moderne. Ses teintes chaleureuses et sa présence exotique s’accordent bien à la saison estivale où l’envie de voyage est présente dans tous les esprits. Sous des airs exotiques trompeurs, le phormium est une plante qui se montre bien plus rustique qu’on ne le croit. Il suffit de choisir la variété adaptée et de respecter quelques règles lors de la plantation. Rapidement, il se passe d’entretien et pousse rapidement insensible aux maladies, aux parasites, à la pollution, aux courants d’air et à la canicule estivale. CONTACT PRESSE : Jocelyne Kerjouan – 01 42 12 02 17 – [email protected] Page 2 [Jardins&Couleurs] Comment l’utiliser au jardin , les conseils du coach paysagiste Le phormium est le type même de la plante qui assure le décor toute seule, supportant sans broncher embruns, pollutions et autres courants d’air. Il s’accorde bien avec les éléments minéraux (graviers, pavés, galets…), mais aussi avec le bois sous toutes ses formes (lames, planchers, palissades), l’osier, le bambou, sombres ou clairs… La valorisation est mutuelle avec des contenants aux lignes modernes, aux coloris sobres ou vifs pouvant être assortis avec la teinte des feuilles. Sa silhouette érigée et touffue forme un beau contraste avec les pots hauts et élancés à la mode depuis quelques années. Le graphisme de ses touffes permet des jeux de forme avec d’autres éléments de décoration comme des obélisques, des pergolas… en bois brut ou coloré de manière à s’harmoniser ou contraster avec le feuillage. Le phormium est aussi très à l’aise avec les autres végétaux. Aux quatre saisons, il offre relief et ampleur aux massifs de vivaces et de petits arbustes. Par son côté très tendance et naturel, il s’associe comme une évidence avec les graminées dans un massif plantureux ou dans un jardin plus minéral et épuré comme le jardin de graviers ou le jardin sec (pour un entretien réduit). Son aspect très graphique peut être exacerbé par la proximité d’autres plantes dotées du même potentiel comme les bambous, les cordylines, les yuccas conférant au décor une ambiance design et contemporaine. On peut choisir d’intégrer les grands phormiums dans une petite haie touffue et dense, ne dépassant pas les 2 m, compatible avec les règles de copropriété. Une haie originale et très pratique qui ne représente pas un casse-tête de tailles répétées pour être belle ! La mise en valeur des touffes de phormium peut se faire grâce à des couvre-sols persistants ou avec des paillis vivement colorés disposés en un tour de main. Côté association colorée : il y a deux options, les harmonies avec des feuillages de teintes similaires mais de texture différente ou les contrastes de couleurs. Soyez à la page ! Les phormiums, surtout les variétés panachées ou sombres se marient bien avec les décors aux teintes chaudes, de nouveau en vogue. Cela amplifie leur exotisme naturel. On peut d’ailleurs prendre le parti de l’accentuer encore en les associant à d’autres exotiques comme les palmiers, toujours difficiles à marier, rappelant les bords de mer d’ici ou d’ailleurs. Si la période faste du phormium est l’été, il est aussi possible de faire des focus sur d’autres saisons notamment l’automne car il se marie bien, par ses coloris, aux compositions de la rentrée sous le signe d’un « été indien ». Les meilleures plantes compagnes des phormiums Laissez-vous guider par vos coups de cœur pour les associations, car elles sont nombreuses et faciles à réussir. Voici nos préférées : CONTACT PRESSE : Jocelyne Kerjouan – 01 42 12 02 17 – [email protected] Page 3 [Jardins&Couleurs] Les plantes graphiques : acers, agapanthes, agave, boules ou pyramides de buis, Fatsia japonica, yucca, bambous, grandes graminées, fougères, fougère arborescente, hostas, euphorbes persistantes... Les feuillages colorés : vivaces modernes comme les heuchères, petits sédums, vignes ornementales… Les exotiques : sauges arbustives, abutilon, bananier, canna, arum…. Des plantes pleines de légèreté : abélia, grands gauras blancs ou roses, fenouil pourpre ou vert, lavandes… Des plantes avec qui on ne les attend pas : mariage audacieux du classique et du moderne : au pied d’une glycine, d’un rosier grimpant (phormium utile car masque les bases souvent disgracieuses des rosiers grimpants !). Les couvre-sols : conifère rampants, thyms, romarin, origan doré, petites graminées colorées : fétuques, hakonechloa. Des vivaces d’automne : grands sédums, anémones du Japon, grands asters buissonnants. Des belles écorces pour les décors d’hiver : cornus, rubus, saules. Les Conseils clés pour jardinier pressé Phormiums sont des plantes très peu exigeantes ? Selon que vous les élèverez en bac ou au jardin, voici les conseils les plus importants : E n P l e i n e Te r r e : 1. 2. 3. 4. Soleil à gogo, sol parfaitement drainé (avec graviers) 1ère année : arroser régulièrement et pailler Protéger l’hiver avec un voile Les années suivantes : le phormium se débrouille ! En pot : 1. 2. 3. 4. Dans un grand pot, avec une bonne couche de drainage, terreau + sable Arroser régulièrement et fertiliser chaque mois toute la belle saison Protéger le pot contre le gel Rempoter tous les 2 ans Pas à pas, la feuille de route du jardinier exigeant De bons débuts Hormis en climat doux où il est possible de les planter aussi en automne, préférez une installation printanière afin que les plantes aient bien repris avant l’hiver. Choisissez une exposition baignée de soleil ou légèrement tamisée pour la mise en valeur de certains coloris sombres ou à plusieurs teintes. En région très ensoleillée, évitez le plein soleil aux panachés qui craignent les brûlures. CONTACT PRESSE : Jocelyne Kerjouan – 01 42 12 02 17 – [email protected] Page 4 [Jardins&Couleurs] Le phormium apprécie un sol fertile, parfaitement bien drainé. C’est ce dernier point qui conditionne la rusticité. En effet, plus que le froid, c’est l’humidité hivernale aux racines qui peut condamner le phormium. Astuce : surélevez la souche sur une petite butte en sol compact ou humide en hiver ou installez-le près d’un arbre aux racines gourmandes en eau (pas dessous pour éviter l’ombrage !). Si votre sujet en conteneur présente un chignon de racines serré, incisez autour de la motte sur toute la hauteur et démêlez les racines. N’oubliez le trempage avant plantation. Drainez le fond du trou, qui doit faire deux fois la motte, avec des petits cailloux et mélangez la terre avec du sable grossier et un peu de terreau si elle est compacte. Ensuite Le premier été, accompagnez la reprise par des arrosages fréquents et un paillage au pied particulièrement des variétés naines plus sensibles à la sécheresse. En fin d’automne, complétez le paillage pour protéger la souche du gel car les phormiums nouvellement plantés supportent mal des températures descendant sous les -5°C. Une fois bien installés, les phormiums supportent des hivers même rigoureux surtout les P. tenax qui peuvent repartir de la souche au printemps suivant. Certains hybrides (notamment ceux de cookianum) se montrent plus gélifs. En région froide, protégez-les en les plantant contre un mur bien exposé, en emballant le feuillage avec deux épaisseurs de voile d’hivernage ou cultivez-les en pot. A partir de la 2e année : plus rien à faire hormis un petit nettoyage des feuilles sèches et l’apport d’un bon compost pour encourager la végétation au début du printemps! Mises en garde : observez vos phormiums à plusieurs couleurs. Certaines feuilles unies, vertes ou bronze, peuvent se développer. Supprimez-les dès leur apparition afin qu’elles ne prennent pas le dessus. Le bon truc : les phormiums sont très peu sensibles aux parasites et aux maladies. Cependant, les jeunes plants peuvent parfois subir des attaques de cochenilles farineuses, reconnaissables à leur aspect cotonneux. Celles-ci ralentissent la pousse et peuvent décolorer les feuilles. Traitez avec un produit anti-cochenille ‘bio’ du commerce à base d’huile de colza ou fabriquez un mélange maison avec une cuillère à café de savon noir, une cuillère à soupe d’alcool à 70° ou ménager et 250 mL d’eau tiède. Cette solution va rendre perméable le bouclier cotonneux des cochenilles et les tuer en quelques jours. Renouvelez deux ou trois fois à 15 jours d’intervalle. Culture en bac Les variétés naines ou intermédiaires de phormium se prêtent bien à ce type de culture. Choisissez un contenant d’au moins 40 à 50 cm de diamètre pour les plus grands et 25 cm pour les nains. Soignez le drainage : trou au fond du pot, couche de billes d’argile. Choisissez un terreau de qualité et allégez-le avec 1/3 de sable grossier. Tassez avec la main le substrat autour des racines et terminez par un arrosage copieux. Arrosez régulièrement au cours de l’été et fertilisez une fois par mois de mai à septembre. Protégez le pot en hiver en le rentrant de décembre à mars dans une pièce éclairée, non chauffée mais hors-gel en hiver. Entourez le pot qui reste dehors avec plusieurs épaisseurs de voile d’hivernage. Evitez les excès d’eau (lieu protégé des précipitations, pas de soucoupe, arrosage parcimonieux hors période de gel). Rempotez tous les 2-3 ans. Surfacez au printemps si vous ne rempotez pas. CONTACT PRESSE : Jocelyne Kerjouan – 01 42 12 02 17 – [email protected] Page 5 [Jardins&Couleurs] L e s p h or m i u m s m i s e n s c è ne Les scènes décrites sont déclinables en pleine terre comme en potées sur une terrasse ou un balcon (soignez la beauté des contenants, « le phormium le vaut bien ».) P h o r m i um et gr a mi n é e s … 1 phormium pourpre, chocolat ou bronze + 5 pots de Pennisetum villosum. Cette scène toute simple, un peu sauvage d’un phormium pourpre émergeant d’une masse de Pennisetum villosum aux gros épis crème créera forcément la surprise et l’admiration pour un entretien annuel se résumant à la pose d’un paillis d’ardoises concassées et la suppression des feuillages secs en fin d’hiver ! J e u x d e f e u i l l a g e s p o u r a m bi a n c e z e n 1 phormium panaché de crème (bi ou tricolore) + 2 boules de buis + un ou deux pots de bambous à cannes noires (ou jaunes) + 1 Fatsia japonica (ou un Acer japonica) + 3 godets d’heuchères (ou hostas à grosses feuilles). Cette composition est à son aise à mi-ombre d’une palissade ou d’un rideau de bambous. Noyez la base du phormium dans le feuillage des heuchères. Placez-le sur fond de feuillage du Fatsia et des buis. Ajoutez une ou deux lanternes en acier noir pour peaufiner l’ambiance. P o t é e p o u r e n f a nt s 1 phormium nain + 1 pot rouge sombre, orange foncé ou bleu vif + 1 godet d’origan doré + 1 sachet de graines de capucines jaune pâle ou pourpre. Un enfant sera ravi de jouer les jardiniers en herbe en composant une potée toute simple belle pendant des années jouant avec les couleurs du phormium, du pot et de l’origan coloré. Les graines de capucines, inratables à semer viennent étoffer le phormium le premier été et dégoulinent du pot en quelques semaines pour le plus grand plaisir de tous. J a r d i n s a n s a rr o s ag e (de préférence en pleine terre, en pot difficile de se passer des arrosages) 1 (ou 2) phormium + 1 pot d’Euphorbe characias + 1 pot d’agapanthe bleue + 3 touffes de lavande + 3 godets de sauge officinale pourpre + 3 godets de fétuques bleues (ou stipas) + graviers blancs ou paillis d’ardoise. Installez cette mise en scène au printemps ou en début d’été dans un sol parfaitement désherbé et allégé avec du sable grossier et du gravier si la terre est compacte. Adaptez la taille du phormium et celle de l’agapanthe, choisissez des sujets compacts si l’espace est réduit. Placez l’euphorbe en arrière plan. Disséminez les aromatiques et les petites graminées au premier plan. Paillez l’ensemble avec une bonne épaisseur de graviers pour conserver au sol sa fraîcheur et évitez la pousse des mauvaises herbes. V o ya g e , vo ya g e … 2 ou 3 phormiums (pourpre, panaché de jaune…) + 2 sauges arbustive à fleurs rouges + 1 petit bananier ornemental (Musa basjoo) + 1 vigne panachée + 1 canna + un abutilon. Les phormiums permettent de voyager à bon compte, il suffit de leur associer des feuillages et des fleurs exotiques qui abondent en été. Leur feuillage servira d’écrin à toutes ces couleurs. En automne, CONTACT PRESSE : Jocelyne Kerjouan – 01 42 12 02 17 – [email protected] Page 6 [Jardins&Couleurs] les gélives ayant pris leurs quartiers d’hiver à l’intérieur, les phormiums continueront d’assurer le spectacle en d’autres compagnies (bruyères, chrysanthèmes, cyclamens). P or t r a i t s de f a m i l l e En, Nouvelle Zélande on trouve deux espèces naturelles de Phormium : - P. tenax qui mesure entre 2 et 3 m de haut, présent sur tout le territoire - P. cookianum, un habitué des zones côtières, plus petit culminant autour de 1,5 m en tous sens (hookeri en est une sous-espèce). La majorité des variétés du commerce sont des hybrides de ces espèces. Leur taille va de 30 cm à 1,80 m pour les plus grands. Le feuillage des phormiums est constitué de longues et souples feuilles persistantes, à nervures parallèles. Ces dernières sont vertes avec des nuances de bronze chez P.tenax. Les cultivars déclinent une palette de couleurs très diversifiée : jaune, crème, rose, rouge, bronze, chocolat, pourpre très foncé presque noir. Les feuillages peuvent être unies mais aussi bicolores ou tricolores. La floraison des P. tenax est rouge foncé tandis que celle des P.cookianum est jaune vert. Dans de bonnes conditions, elle intervient après quelques années de culture. Le phormium n’a rien de commun avec le lin hormis ses feuilles fibreuses utilisées par les Maoris pour la confection de vêtements et de cordages. Le nectar des fleurs sert à l’élaboration d’un miel tandis que le jus des racines fait office de désinfectant. P h o r m i um , C o r d yl i n e , D r a c a e n a ? Il est facile de les distinguer : le phormium ne forme pas de tronc au contraire des deux autres genres. Ses feuilles partent de la base, elles sont repliées en V, on dit qu’elles sont carénées. Les grands Phormiums Pour la pleine terre : taille >2m. Le plus grand, Phormium tenax : touffe spectaculaire de feuilles rigides, vert foncé à revers bleuté. Floraison estivale rouge acajou sur de hautes hampes vigoureuses. Fructification sous forme de capsules décorative jusqu’en hiver. H : 4 m. E : 2 m. Version pourpre, Phormium tenax Purpureum : belle touffe de feuilles effilées pourpre teintées de nuances cuivrées. Floraison estivale en épis rouge foncé portés par des hampes pourpre bleuté. H : 2,5 à 3 m. E : 1 m. Version bicolore, Phormium tenax ‘Variegata’ : feuilles raides panachées de vert et de jaune crème. Fleurs estivales rouge sombre. H : 3 m. E : 2 m. Les Phormiums intermédiaires Pour la pleine terre et les grands bacs : 1,2 m <taille < 2 m. Le plein soleil fait ressortir leurs magnifiques coloris: Phormium tenax ‘Apricot Queen’ (appelé aussi ‘Copper Beauty’): feuillage abricot rayé de vert avec un fin liseré rouge sur les bords. H : 1 à 2 m. E : 1 m. Autres choix possibles : Phormium tenax ‘Yellow Wave’ : feuilles jaunes rayées de vert, bande dorée au centre. Phormium ‘Sundowner’ : larges feuilles vert bronze à bords rose foncé. CONTACT PRESSE : Jocelyne Kerjouan – 01 42 12 02 17 – [email protected] Page 7 [Jardins&Couleurs] Feuillage panaché tout en souplesse : Phormium cookianum ssp hookeri ‘Cream Delight' : touffe de larges feuilles retombantes vertes rayées de jaune crème sur toute la longueur. H : 1,5 à 2 m. E : 2 m. Autre choix possible : Phormium cookianum 'Tricolor' feuillage vert panaché vert clair marge blanche. Nos chouchous, rois des décors modernes par leur beauté sombre : Phormium ‘Black Velvet’: touffe graphique et érigée, feuillage souple pourpre très foncé à reflets noir métallisé. H : 1,20 à 1,5 m et E : 1 m. Phormium cookianum ‘Black Ader’ : silhouette érigée, longues feuilles noires aux reflets bordeaux. H et E: 1,5 m..Sans oublier la nouveauté 'Dark Avocado®' au feuillage effilé comme laqué de noir. H et E : 80 à 150 cm. Autre choix possible : Phormium ‘Platt’s Black’a des feuilles lancéolées effilées noires formant une grande touffe dressée. Rareté à adopter d’urgence ! Phormium 'Alison Blackman' : grande touffe dressée. Feuillage aux nuances abricotées, large bande centrale vert olive bordure jaune crème et fin liseré rouge. H et E : 1,5 m. Les petits phormiums Pour les espaces citadins en pleine terre ou en pot : 30 cm <taille < 1,2 m. Un feuillage bronze tout en finesse : Phormium tenax ‘Tom Thumb’ : feuilles vert olive bordées de bronze. H et E : 60 cm. Noir à gogo avec Phormium tenax ‘Back in Black’ : feuillage étroit pourpre très foncé, jeunes pousses presque noires. H : 1m et E : 80 cm. Le plus beau tricolore : Phormium tenax 'Jester' : feuilles effilées à bande centrale rouge et bronze et à bordures vertes. H et E : 60 à 80 cm. Et enfin le plus beau bicolore Phormium 'Duet' : feuillage vert brillant marginé de blanc crème. Croissance lente. H et E : 60 à 80 cm. Pour illustrer vos articles et dossiers, contactez-nous … [email protected] CONTACT PRESSE : Jocelyne Kerjouan – 01 42 12 02 17 – [email protected] Page 8