Courrier avril 2016

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N°71 avril 2016
Le Courrier de Sainte Clotilde
Sommaire :
Page1
Éditorial du Chef d’Etablissement
Éditorial du Chef d’Établissement
Discours prononcé le 6 février à la Chapelle du collège lors de la journée du
bicentenaire et des Portes Ouvertes
Page 2
Différents mais égaux, action solidaire des classes de 5ème
Alléluia, article Pastorale
Page 3
Sortie 3ème, Verdun 1916/2016
La semaine anglaise
Sortie théâtre des 4èmes 6, Les
Misérables
Trois anglais en cours au collège
Page 4
Echange Madrid-Paris
Voyage des 4èmes 4 à Lisbonne
Chère Mère Desfontaines,
Nous voulions vous exprimer la
joie de savoir que nous allons tous
vivre cette journée « Portes Ouvertes » comme d’habitude mais
avec vous et pour vous.
C’est aussi l’occasion pour moi de
vous dire les raisons pour lesquelles le collège va bien,
 Nous avons préservé la beauté,
 Nous veillons à transmettre des
savoirs et non pas que des
connaissances,
 Nous n’oublions pas que le modèle éducatif suscite le projet
de vie,
 Il existe encore de belles audaces,
 Nous sommes avec le tumulte
et même peut-être le virage du
monde,
 Nous cherchons le sens,
 Nous présentons Jésus Christ
aux enfants et nous l’avons toujours dans leur regard et leur
cœur.
Nous vous offrons tout cela aujourd’hui.
O. MUCIGNAT
Déjeuner sur l’herbe francoallemand au Château de Fontainebleau
Ballons en mousse de rigueur
Page 5
Les 4èmes 2 à la Cinémathèque, les
chemins qui mènent au cinéma
Le mot de l’APEL
Coté sport, les résultats des compétitions UGSEL
Page 6
Album photos du Bicentenaire et
des Porte Ouvertes
Page 7
L’Option cinéma comme espace
tiers
Culture, Richard III de Thomas Jolly ; Pour et contre !
Page 8
Atelier théâtre et opérette, Perles
rares
Théâtre en Option cambridge 6ème,
The Enchanted museum
Agenda
Infos diverses
Collège Sainte Clotilde - 103, rue de Reuilly - 75012 Paris
www.sainteclotilde;[email protected]
Alléluia
Différents mais égaux
S
exe, origine, grossesse,
situation de famille, apparence physique, état de santé,
handicap, orientation sexuelle,
âge, opinions politiques, appartenance réelle ou supposée à une religion ou à une
ethnie.... la liste des critères
de discrimination est longue.
Les élèves de 5ème ont pu le
constater lors de l’étude de
cette thématique dans leur
programme d’Enseignement
Moral et Civique. Cette liste
c’est aussi une manière de
réaliser que nous pouvons
tous être concernés un jour
car nous sommes tous différents. Différents mais égaux.
Après la présentation de différentes associations de lutte
contre les discriminations,
c’est pour les personnes handicapées que les 8 classes de
5ème ont souhaité s’investir. Depuis la loi handicap de
2005, la ville d’adapte de plus
en plus aux personnes handicapées, tout comme le collè-
ge : chemin PMR sur la cour,
signalisation dans les escaliers... Le Collège s’ouvre
aussi aux élèves qui ont besoin d’être davantage accompagnés que les autres. Les
Portes Ouvertes furent l’occasion pour les 5ème de s’engager dans une action solidaire. Merci à ceux, nombreux,
qui ont préparé des gâteaux ;
à ceux qui sont aussi venus
donner de leur temps et de
leur bonne humeur pour partager ces gâteaux. Entourés des
nombreuses affiches réalisées
en classe, ils ont pu présenter
le travail de l’association
L'ADAPT qui se bat contre les
préjugés envers les personnes handicapées et les accompagne dans leur insertion,
notamment professionnelle.
C’est à cette association que
revient la cagnotte, gagnée
grâce à la générosité des
élèves de Sainte Clotilde et à
celle de ses visiteurs.
C. FERRIER
Réalisée par Maïwenn Boulard, Lou Butat et Sidonie Rauturier
5eme6
Ève Bezault et Chloé Olivier, 5eme1
2
M. Claude Zerez, chrétien réfugié Syrien
I
l s’en est passé bien des choses
à la chapelle du collège depuis
« La folle nuit de l’aubergiste », le
jour de la sortie pour les vacances
de Noël !
Le 7 janvier, lors de la messe de
l’Epiphanie, 16 jeunes entraient en
catéchuménat, en faisant leur
première étape de baptême.
Le 19 janvier, tous les élèves de
3° ont eu la chance d’assister à la
représentation de la pièce de
théâtre « Pierre et Mohamed » qui
relate l’amitié entre Mgr Claverie,
évêque d’Oran et son chauffeur
Mohamed Bouchikhi, tous deux
assassinés le 1er aout 1996. Vu
l’actualité du moment, les élèves
ont apprécié ce thème, qui a engendré des discussions dans les
cours suivants.
Le 23 janvier, 80 confirmands se
lançaient avec enthousiasme dans
une journée de préparation à la
confirmation. La bonne humeur,
mais aussi l’intériorité et la prière
étaient au rendez-vous !
Puis, le 10 février, ce fut l’entrée
en Carême, avec la messe des
Cendres à St Eloi. Nos jeunes ont
donné du sens à leur « car-aime »
en le plaçant sous le regard de
Dieu qui nous aime mais aussi en
se tournant vers les autres. Les
« bols de riz » cette année furent
au profit de l’association ACAY
(Association compassion Asian
Youth), qui œuvre en France et
aux Philippines, principalement en
faveur de l’éducation et de la
réinsertion des jeunes adolescents
en prison.
Le 19 mars, après une après-midi
de réflexion sur le Mystère de la
Croix, près de 70 jeunes ont célébré en l’église St Eloi la messe
des Rameaux et de la Passion.
Et puis Pâques arriva, premier
dimanche après la première lune
de printemps, cette année le 27
mars. Fêter chaque année la
résurrection du Christ, c’est rappeler notre joie d’être chrétien. Et
elle fut immense notre joie, en
célébrant le 2 avril, à la fin de
l’octave de Pâques le baptême de
20 jeunes du collège ! Baptisés, ils
sont devenus Prêtres pour prier
pour le monde, Prophètes pour
témoigner de leur foi et Rois pour
être au service de leur prochain en
faisant preuve de charité !
Le 5 avril, nous avons eu la joie
d’accueillir M. Claude Zerez, chrétien réfugié Syrien, en France
depuis 2 ans. Il a donné un témoignage poignant et très fort, devant
tous les élèves du niveau 4°, sur
la réalité quotidienne de la vie en
Syrie et sur les enjeux géopolitiques de cette région. Nous avons
pu constater que les medias ne
nous montrent qu’une facette de la
réalité. Les élèves ont été très
marqués par le fait que M. Zerez
ait pu pardonner aux bourreaux de
sa fille, qui a été tuée à cause de
sa foi.
Baptisés, nous sommes la lumière
du monde. Ne restons pas cachés
mais rayonnons. Le plus important
c’est d’aimer, sans distinction de
peuple ou de religion. C’est ce que
nous a rappelé ce témoin de Syrie. Christ est ressuscité ! Alléluia !
LA PASTORALE
Verdun, 1916/2016
I
l y a 100 ans, la nation vivait et
respirait au rythme de cette ville
du nord-est de la France.
Aujourd’hui nous célébrons ce
triste passé.
A travers la visite de la butte de
Vauquois, de la citadelle de Verdun et de l’ossuaire de Douaumont, nos petits parisiens ont pu
se plonger dans l’atmosphère
qu’a été ce temps fort de la première guerre mondiale. Sur le site
extraordinaire de Vauquois, casque sur la tête, avec une simple
lampe de poche, les élèves ont
pu se mettre dans la peau des
soldats. Ils ont découvert ce
qu’avait été la guerre des mines.
Les pieds dans la boue, courbé à
plusieurs mètres sous terre, l’immersion fut totale. La pluie et le
vent ont pour beaucoup participé
à cette plongée dans l’histoire.
Mais ce ne fut qu’un aperçu, car
Verdun c’est plus de 300 jours
d’horreur, 306 000 tués et disparus, environ 406 000 blessés,
plus de 50 millions d’obus tirés.
Des chiffres qui révèlent l’absurdité de cette guerre. Tout cela pour
quelques mètres gagnés. Verdun,
c’est également la boue, les
corps démembrés, en décomposition, les rats, les poux, le manque de nourriture, le bruit et plus
que tout la peur omniprésente de
mourir.
Ainsi dans ce petit coin de Lorraine, des hommes se sont sacrifiés
pour l’amour de leur patrie. Deux
armées, deux pays se sont affrontés pour des jalousies, des
territoires, pour des querelles de
dirigeants, pour avoir le dernier
mot : pour rien.
C’est pourquoi il est essentiel que
nos élèves, vos enfants prennent
conscience de ce que l’homme a
pu faire par le passé. Prendre
conscience de la folie humaine,
prendre conscience de l’abomination qu’a été Verdun, prendre
conscience, pour agir en conséquence.
A nos ancêtres.
R. SORIN
Les Misérables
Adaptation de la Cie Chouchenko
« Tant qu’il existera, par le fait
des lois et des mœurs, une
damnation sociale ; tant que les
trois problèmes du siècle, la
dégradation de l’homme par le
prolétariat, la déchéance de la
femme par la faim, l’atrophie de
l’enfant par la nuit, ne seront
pas résolus ; des livres de la
nature de celui-ci pourront ne
pas être inutiles. » Préface des
Misérables de Victor Hugo.
Adapter au théâtre Les Misérables, œuvre colossale, fut une
vraie gageure, mais le metteur
en scène réussit à donner vie à
1800 pages, en 1h30. Bravo !
Rappelons que même si ce
roman a été mal accueilli par la
critique au XIXème siècle
(Lamartine le jugea très dangereux « non seulement parce qu’il
fait trop craindre aux heureux,
mais parce qu’il fait trop espérer
aux malheureux ») il connut en
revanche un succès populaire
considérable, durable, et sa
représentation sur les planches
nous donne un autre regard,
complémentaire, que le texte
que les élèves étudient. Parmi
ce que les élèves ont apprécié :
« L’audace est le mot pour désigner l’intrépidité de l’auteur » (Jules) ; « Une actrice
jouait à la fois le rôle de la femme Thénardier et de la narratrice » (Cyprien) ; « Gavroche m’a
fait rire » (Marie) ; « Contexte
historique et politique intéressant » (Milan).
Bref, Monsieur Hugo a encore
de beaux jours devant lui…
N. DUCHESNE
Trois garçons dans le vent
La semaine anglaise
L
a Semaine Anglaise des
6èmes aura lieu du mardi 19
au vendredi 21 mai avec au
programme un petit déjeuner
anglais traditionnel, des cours
dispensés tout au long de la
semaine en langue anglaise par
des professeurs du British
Dear pupils,
From March 29th to April 1st, I did
a work placement in your school.
I had a great time there, meeting
teachers and members of staff.
Mr Mucignat showed me around
the school and I discovered the
lovely playground you have. How
lucky you are!
The members of staff were so
nice and answered all my questions. I am also grateful for the
smiles and “bonjour Madame” I
got when I met some of you.
I wish you all the best for your
future and a great English week

Kind regards,
Council tant sur les cours LV1
qu’en EPS, en français, en mathématiques… selon l’emploi du
temps de chaque classe et une
représentation théâtrale Hansel
et Gretel jouée par une troupe
anglaise.
K. MATHIEU
S
i Paris se préparait à affronter Chelsea ce soir-là le 15
février, nous nous apprêtions à
recevoir trois jeunes anglais tout
droit sortis d’une école prestigieuse la « Reading Blue Coat
school » fondée en 1646 par
Richard Aldworth, dans le comté
anglais du Berkshire où uniformes et traditions sont toujours
de mise. La vie quotidienne y est
régie par un ensemble de rites
respectés à la lettre, souvent
impénétrables, comme « The
Traditional Chair-Hanging Ceremony ».
Zach, Jérome et Oliver souhaitaient faire un stage dans un
établissement parisien pour
parfaire leur français et leur
allemand pendant deux jours et
suivre un professeur car ils se
destinent, dans un avenir proche, à l’enseignement en Angleterre d’une de ces deux langues.
Ils ont rencontré un succès proche des Rolling Stones à Cuba
et se sont même confrontés sur
notre terrain de football aux
meilleurs joueurs du moment ….
Qui peut aujourd’hui soutenir
que les habitants de pays anglophones figurent parmi les mauvais élèves en matière de plurilinguisme (et de football ) ? Ces
trois garçons en sont l’exemple
contraire. Leur français de qualité, leur accent plutôt charmant
ont conquis de nombreux élèves. Pendant deux jours ils ont
enchainé cours, interviews,
photos, autographes et même
échangé quelques adresses et
applications sur leur téléphone.
Ils garderont de Sainte-Clotilde
un très bon souvenir, en revanche, resteront un peu amers en
raison de la défaite de leur club
face aux parisiens…
A. DEMOUGEOT
Sophie MET
3
Viva Madrid !
Déjeuner sur l’herbe
franco-allemand au
Château de Fontainebleau
N
Devant le Palacio Real
M
adrid est une ville magnifique,
avec ses places, ses musées,
ses monuments… Nous avons préféré le musée du Prado car les tableaux étaient extraordinaires. Chaque peinture avait une histoire intéressante, surtout celles de Goya ;
même ses peintures « noires » (qui
ne nous ont pas tellement plu).
Nous avons eu de la chance de
connaître la cuisine espagnole et le
fameux « chocolate con churros »,
miam, miam !
Nous avons découvert Tolède. Son
histoire, sa richesse culturelle et son
architecture superbe. La cathédrale
est immense et d’une grande beauté.
Les temps libres nous ont permis
d’acheter des souvenirs.
Les correspondants étaient très
gentils et très affectifs.
Ce voyage était parfait ! Merci mille
fois.
Ridita et Eloise 4e1
ous, classe de 4°7 et nos
correspondants allemands,
sommes allés le jeudi 10 mars
au château de Fontainebleau,
visite organisée par Mme Gilbert,
notre professeur d’allemand. Ce
château est riche d’histoire car
plusieurs cultures de plusieurs
rois et empereurs se mélangent.
Nous sommes partis à 9h du
collège pour une heure de route.
Arrivés sur place, nous avons
reçu des visio-guides (français
pour nous, allemand pour nos
correspondants).
Alors a commencé une longue
visite à travers les appartements
des rois qui se succédèrent dans
ce château. Chaque salle était
plus belle que les précédentes.
À la fin de la visite, nous avons
tous pique-niqué dans la grande
cour, au pied du célèbre escalier.
Nous avons eu ensuite deux
heures de liberté pendant lesquelles nous nous sommes
éparpillés dans le grand parc.
Certains flânaient dans les jardins au soleil tandis que d’autres
se défoulaient dans des activités
sportives organisées par notre
professeur principal, M. Markiewicz, au bord de l’eau.
Nous sommes rentrés fatigués
mais très contents de cette superbe journée.
Merci à Mme. Gilbert et à M.
Markiewicz pour cette sortie
exceptionnelle.
Elie de Labrusse, Emmy Robichon, Zélie Van Der Meer - 4°7
Voyage des 4°4 à Lisbonne
« …Obrigado les 4°4… »
L
e 11 Février 2016, Aéroport
CDG,Terminal 2D… Vol Easy Jet
à destination de Lisbonne... à la
découverte de la ville en compagnie
de Monsieur Sadi et Monsieur Bonnery.
Lisbonne (en portugais « Lisboa »)
est la capitale du Portugal et en est
la plus grande ville. Située à l’embouchure du Tage, nos élèves ont
eu la chance de découvrir cette
merveilleuse ville dont l’un des ponts
porte le nom d’un des plus célèbres
explorateurs de ce pays : Vasco de
Gama.
Notre séjour, sur le thème des
grands explorateurs du 16ème siècle,
a été l’objet de nombreuses visites,
tels que le château Saint Georges, la
Tour de Belem, le monastère des
Jeronimos tout près du Tage et du
lieu de départ des caravelles des
découvertes, le musée de la Marine,
l’Océanorium et des temps libres
tout près de la place du Commerce
en plein centre ville…
Les élèves ont pu découvrir la ville
de façon intense et rythmée car nous
avons privilégié les transports et la
marche. Ce voyage a permis de
créer des liens forts entre les élèves
ainsi qu’avec les accompagnateurs ;
une véritable cohésion s’est installée
dans la classe.
Ce séjour restera pour les 4ème4
comme un très bon souvenir de leur
année scolaire et aura été pour
nous accompagnateurs l’occasion de
découvrir nos élèves sous un autre
angle.. Les élèves ont été exemplaires dans leur comportement et ont
fait preuve de patience et de cordialité lors du voyage retour qui fut retardé de trois heures.
M. Sadi & FX. Bonnery
Devant le Château de Fontainebleau
Ballons en mousse de rigueur !
A
près un énième accident
survenu jeudi 10 mars lors
de la récréation de l’après-midi,
la direction de l’établissement a
pris la décision d’interdire l’usage
des ballons de foot en dur (cuir
ou simili, etc) dans l’enceinte du
collège. La pertinence d’un tel
usage et des risques qui en
résultent, ont longtemps fait
débat : ils figuraient d’ailleurs à
l’ordre du jour d’un Conseil d’Etablissement l’an dernier. Il est
certain qu’avec un parc aussi
vaste, on peut sans doute déplorer, malgré beaucoup de discussions et de concertations, de
Sur les hauteurs de Sintra
4
devoir dénaturer la pratique du
foot dans la cour, mais les élèves
les plus concernés n’ont pas fait
les efforts nécessaires. Nous
avons donc décidé de privilégier
l’intégrité physique des élèves
quitte à frustrer les sportifs. Le
dernier incident s’étant soldé par
une intervention du SAMU, il faut
savoir saisir les avertissements
qui vous sont lancés, quand bien
même l’élève blessé s’en est sorti
sans dommage après une nuit
d’hospitalisation.
Tout n’est cependant pas perdu,
car, lien de cause à effet ou pas,
privés de foot, nos élèves se
mettent à briller en athlétisme
(voir les résultats ci-contre). De
bon augure à 4 mois des JO de
Rio !!!
D. FOURNIER
Les chemins qui mènent au
cinéma…
Côté sport...
F
élicitations à nos petits champions qui ont participé aux compétitions UGSEL en badminton, athlétisme et tennis de table.
En tennis de table :
 Gabriel DUBREUIL et Mathieu ALLIZART se sont distingués en
se qualifiant pour la phase finale régionale.
 L’équipe benjamins garçons, composée de Gabriel DUBREUIL,
Owen LABUTHIE, Louis GRASSI, Julian GUERRERO et Thomas BERTHOMIER, s’est qualifiée pour le 3e tour régional.
En badminton :
 Sacha LAMISSE, Owen LABUTHIE, Adrien PHISEL et Yuma
RUYCKELYNK se sont qualifiés pour le championnat du comité
de Paris.
ème
 Yuma RUYCKELYNK a terminé 4
du championnat du comité
de Paris.
C
’est le 1er avril que nous
sommes partis avec les 4èmes 2 vers la Cinémathèque Française, superbe bâtiment sur le parc
de Bercy, conçu par Franck Gerhy
en 1993 et surnommé par son
créateur « la danseuse relevant
son tutu ». La classe de 4ème 2 a
découvert les débuts du cinématographe grâce à une visite commentée et animée d’extraits de
fi l ms d es frè res L u mi è re:
"L’arroseur arrosé", "L'arrivée d’un
train en gare de La Ciotat", "La
sortie de l’usine Lumière", et bien
sûr "le voyage de Gulliver à Lilliput
et chez les géants" de G. Méliès.
Nous découvrons que les films des
frères Lumière ne sont pas de
simples "documentaires" filmés au
hasard, d’une manière aléatoire
mais réalisés avec une mise en
scène préméditée. Quant à Méliès,
prestidigitateur et homme de spectacle, après avoir imité un temps
les frères Lumière, il inventera de
nombreuses techniques cinématographiques afin de perfectionner
les « pouvoirs magiques » du
cinéma (arrêt caméra, cachecontrecache, surimpressions…).
Ensuite la visite du musée et le
parcours « naissance du cinéma »
nous ont permis de mieux connaître les appareils antérieurs à l’invention du cinématographe, et les
étapes décisives qui aboutirent à
l’élaboration d’un appareil associant trois éléments déjà présents
séparément : la projection, la photographie et la synthèse du mouvement. Une matinée enrichissante qui donne à voir le cinéma autrement !
P. TOUZAN VIALLETON
Enfin en athlétisme :
 En catégorie benjamins garçons, Zakaria MEBREK est Champion départemental et vice-champion régional du triathlon (sprint
de 50 mètres, saut en longueur et lancer de poids).
e
 Malo LE GROUYER termine 3 sur 1 000 mètres.
 L’équipe de Sainte Clotilde (composée de Zakaria MEBRECK,
Noé MARTY, Aubin BOULY, Malo LE GROUYER et Arthur
LEPETIT) se classe 2e du département.
En catégorie Benjamines filles :
 Mélissa CATON est championne départementale du triathlon
(sprint de 50 mètres, saut en longueur et lancer de poids).
e
 Margot LACAS termine 1 sur 50 mètres en 7’76.
 L’équipe de Sainte Clotilde (composée de Mélissa CATON,
Margot LACAS, Lise CORBIN, Inès VALANDY et Daniela RODRIGUES) est championne départementale !
M. MANGIN & J. BARBARIN
Le mot de l’APEL
Chers Parents,
Depuis cette année, l’Apel est
membre de la commission Sûreté
du Collège Sainte Clotilde. Récemment nous avons pu ainsi
prendre connaissance des dernières évolutions en matière de
sûreté et de sécurité dans les
écoles et des établissements
scolaires. Par exemple, le collège
est tenu d’élaborer un Plan Particulier de Mise en Sureté. Les
travaux d'analyse des risques,
d'identification des moyens de
protection ainsi que la rédaction
du PPMS pour le collège st Clotilde ont été confiés à une entreprise spécialisée. Le collège a constitué une équipe chargée de mettre en place les recommandations
issues de ces travaux et du
PPMS. L’Apel soutient cette démarche collaborative et reste
attentive à tout ce qui concerne la
sécurité des élèves dans l’établissement.
Plus léger… En cette veille des
vacances de Printemps, les parents membres actifs de l’Apel se
mobilisent pour la préparation de
l’évènement festif de fin d’année :
la Kermesse. Elle aura lieu samedi 11 juin à partir de 12h. Chaque
année, nous mettons tout en
œuvre pour que ce moment soit
une belle réussite pour les enfants et leur famille. Nous vous
invitons à nous rejoindre, toutes
les bonnes volontés sont les
bienvenues pour préparer et/ou
pour participer à l’organisation de
cette journée en fonction de vos
disponibilités. Vous pouvez aussi
contribuer en offrant des lots pour
les jeux, des objets, des livres…
pour le stand brocante (à déposer
à l’accueil du collège)
Toutes les informations seront
disponibles sur le site de l’Apel.
Vous pouvez aussi nous contacter par mail.
Bien à vous,
Corinne BIBOLLET-JUSTE
Groupe athlétisme au championnat départemental
(Salle de Pantin)
L’équipe Badminton Benjamin au championnat départemental
5
Album photos du bicentenaire et des Portes Ouvertes, fév 2016
6
L’option cinéma comme
espace tiers
L
es élèves inscrits à l’option
cinéma sont à présent plongés dans la réalisation des
courts-métrages qu’ils devront
présenter et défendre face à un
jury de spécialistes triés sur le
volet dans le cadre de l’oral
d’Histoire des Arts. Inutile de
souligner que comme chaque
année, et telle une malédiction,
la majeure partie des équipes
de production accuse un retard
qui, sans être anormal, n’en est
pas moins source d’inquiétude
aussi bien pour les élèves que
pour leurs enseignants. Est-ce
ainsi à cause du stress engendré par des échéances toujours
plus proches au fil des séances
qu’un groupe d’élèves nous a
contraints, mercredi dernier, à
effectuer un temps de travail
non rémunéré en nous obligeant
à rester 15 minutes de plus, oh
scandale, le temps nécessaire à
la finalisation de la séquence
qu’ils avait passé l’après-midi à
peaufiner ? A y regarder de plus
près, l’excitation de nos cinéastes en herbe était moins à mettre sur le compte de la panique
que sur l’expression d’un désir
d’aller au bout de ce qui avait
été entrepris quelques heures
auparavant. Car c’est bien ici de
désir dont il s’agit, un désir qui
amène l’effort et donc la capacité de repousser la satisfaction
d’un plaisir immédiat. Le désir
d’apprendre et de bien faire, pas
pour contenter les enseignants
ou les parents, mais pour soi,
Parce que rien n’est écrit à
l’avance et que tout doit s’écrire
au fil des séances, l’option cinéma est le lieu propice à l’expression du désir. C’est donc un
espace du possible, de la
contingence et de la problématisation permanente. Tout à la
fois dans l’école et hors l’école,
il revêt le caractère d’un tiers
espace qui oblige sans interdire.
Dans l’école, il s’y inscrit bel et
bien puisque l’option cinéma
reste avant tout une discipline
scolaire avec des notes et un
examen final. Mais que ce soit
par les apports d’intervenants
extérieur, avec cette année
encore la conférence sur la
musique de film donnée par M.
C. Thivet, par les nombreuses
sorties à la cinémathèque, la
prochaine ayant pour but d’initier les élèves aux techniques
du montage virtuel et analogique , ou bien encore par la
possibilité donnée à chaque
équipe de tourner leurs films à
l’extérieur de l’établissement,
l’option cinéma se vit en dehors
de l’école et devient par làmême une discipline qui se
pense en dehors de la discipline. Tout à la fois dans et en
dehors du cadre, les élèves
mais aussi les enseignants en
construisent un nouveau ni trop
vaste (car les élèves s’y perdraient), ni trop étroit (car ils
s’y sentiraient prisonniers), tel
que l’affectionnait J.J Rousseau
pour son Emile.
On pourra rétorquer que cet
espace est rendu possible par le
caractère artistique de l’option
cinéma et donc par le fait que
c’est la créativité des élèves qui
est avant tout mobilisée. Soit,
mais n’y a-t-il pas aussi une part
de créativité dans les mathématiques, le français et toutes les
matières enseignées au collège ? A l’heure de la réforme du
collège, que l’on y adhère ou
que l’on s’y oppose, nous pouvons tenter de questionner cet
espace que représente la classe
et tout ce qui s’y passe, pour en
faire un espace tiers libre d’être
investit par les élèves… mais
aussi par les enseignants.
R. CHAURE
Le diabolique docteur Falk, Belgique, 1980, Jean-Jacques Rousseau
Le « Jolly » show
POUR ! C’est la suite exacte d’Henry
VI ; on y retrouve les personnages qui
ont survécu aux épisodes précédents
de l’effroyable Guerre des Deux Roses... La violence, les cris, la brutalité
de ce siècle de lutte pour le pouvoir ne
sont en rien estompés par la mise en
scène de Thomas Jolly dans les 2
pièces. La pièce commence avec un
monologue de Richard, qui s’apprête à
faire ce qu’il faut pour quitter « l’hiver
de (mon) déplaisir », et prendre la
place de son frère. Dès lors les étapes
sont organisées, par lui-même, en
quelques grandes scènes, sorte de
culminations et de résolutions dans la
propre existence de ce héros tordu
qui entend régler ses comptes, humilier, annihiler les autres. L’espace de la
scène, tout tendu de noir, est délibérément neutre,- hormis les marches du
trône qui apparaissent quand le roi est
présent- tour à tour prison, château,
grands appartements, rues, on ne sait,
tout est pareil car animé par Richard,
par sa présence réelle en scène presque constante, débordant d’une vitalité
diabolique que souligne son costumenoir ou blanc et rouge- et sa « bosse »
dissimulée sous des plumes ébouriffées d’ange/démon. Dans l’écriture
des scènes, le personnage central tire
la couverture à lui. Shakespeare la lui
offre. Au théâtre, c’est redoublé, je
pense, par le fait que Thomas Jolly
incarne, ce Richard Plantagenêt,
devenant Roi d’Angleterre : le metteur
en scène se met en scène comme
acteur ; dans le rôle d’un personnage
hypertrophié, qui se met déjà constamment en scène sous la plume de
Shakespeare. Le « triangle » acteurpersonnage-metteur en scène est
réduit ici à un « couple » de forces. Il
se passe quelque chose, mais quoi et
où ? Tout se concentre-t-il au milieu,
redoublé, entre les 2 forces ? Richard
vu par Shakespeare est déjà énorme
(hors norme), il n’a pas besoin d’une
touche supplémentaire.
Ce cumul explique peut- être 2 points
que j’ai trouvé inutiles : le clin d’œil à
notre temps avec la fête du couronnement de Richard, Thomas Jolly en
rock star, « I’m a monster, I’m a dog »
et…. repris en chœur par une partie de
la salle, cela faisait un Thomas Jolly
au cube. Trop. Je n’ai pas aimé les
appels à la salle, censée être remplie
par le « peuple » dans les scènes où il
est présent pour acclamer le pouvoir
royal... On montre un personnage
passionnant mais infâme, qui tue sans
hésitation pour arriver à ses fins et il
faudrait l’acclamer ? J’ai beaucoup
aimé le travail avec les faisceaux de
lumière, admirable, parfois sonorisés
avec leur petit sifflement bref, les
lumières deviennent tour à tour des
murs, des barrières, prenant la place
des mots, coupants et organisateurs,
bref, des puissances qui ,d’abord,
obéissent, puis échappent à Richard,
les seuls éléments à lui échapper, à
l’exception de Richmond qui va prendre sa place. J’ai admiré le respect du
texte presque sans coupure, la beauté
de la traduction de Déprats, un peu
retravaillée. Tous les autres acteurs
réussissent à exister malgré la surexposition de Richard, ils jouent, ils y
croient et on y croit.
Pour qui a vu Henry VI mis en scène
par Thomas Jolly, ce Richard III est la
suite passionnante du travail de ce
metteur en scène, car il le met dans
une situation ambigüe et intéressante,
par le cumul d’acteur et directeur de la
mise en scène.
Pour qui a déjà vu Richard III, celui-ci
vaut le coup, même si les critiques
sont parfois décevantes.
Pour qui ne l’a jamais vu, il est, naturellement, indispensable.
C. MARCUCCI
CONTRE ! Tout commence sur une
scène nue plongée dans le noir, pour
une pièce complexe et particulièrement sombre. Richard III retrace le
parcours d’un monstre, aussi bien
physique que moral, malingre boiteux
à l’ambition diabolique, capable de
tuer frères, femmes et enfants pour
atteindre le sommet du pouvoir. Le
jeune metteur en scène Thomas Jolly
incarne ce personnage diabolique,
affublé de cuir, plumes et paillettes,
gesticulant, se déhanchant tel Iggy
Pop (en moins sulfureux mais tout
aussi sexy) sur une scène qui ressemble davantage à un plateau de concert
rock qu’à une scène de théâtre. Le hic
est là ! Nous n’entendons plus vraiment Shakespeare mais nous voyons
d’abord et surtout les effets de lumière
et de strass qui composent cette mise
en scène. Les lumières y jouent un
rôle essentiel et si ces faisceaux nous
séduisent tout d’abord, leur systématisme nous écœure enfin. Certes les
barreaux de lumière qui enferment le
prince d’York relèvent de la trouvaille
esthétique, mais la pièce ne peut se
réduire, comme elle le fut, à la mise en
son et lumière d’un démon. Emblématique : la scène où Richard III sur son
trône galvanise la foule : son discours
se mue en chanson pop et l’acteur
incite le public (dans une salle pour la
circonstance éclairée) à entonner avec
lui le refrain d’une chanson rock. Le
jeune public, des adolescents pour la
plupart, entonne avec joie le refrain du
nouveau dictateur, enthousiasmé par
l’ambiance électrique et abandonnant
le temps d’un hymne toute conscience
politique… tandis que les plus mûrs
des spectateurs se regardent, gênés
de se trouver ainsi complices (pour ne
pas dire otages) de cette mascarade.
Nous retiendrons de cette mise en
scène des effets visuels de qualité
mais un propos dramaturgique réduit à
sa plus simple expression. L’épure du
début n’a pas tenu ses promesses.
D. ROSENTHAL
7
Perles rares
Personnage de Commedia
N
ous avons présenté lors des
Portes Ouvertes quelques
extraits de scènes de Beckett que
les élèves ont su s’approprier en
dépit de quelques obstacles dus
à l’aridité de la langue, ses ellipses et silences. Trois jeunes filles
notamment ont interprété les trois
petites vieilles de « Va et vient »
avec beaucoup de talent et de
concentration, faisant entendre
toute la force des non-dits de
trois femmes inséparables et qui
cependant ont consommé une
bonne partie de leur vie à se
médire les unes les autres. L’ensemble du groupe a su in fine
donner vie au langage cinglant et
drôle d’un auteur qui n’est pas
tant joué que cela sur une scène
de collège. Même défi pour les
4èmes latinistes qui ont mis en
voix et musique (violon, batterie
et piano) des textes d’auteurs
latins narrant leurs expériences
de tempêtes en méditerranée, ce
qui n’était pas sans évoquer
l’actualité. Enfin, pour la 1re année, le nouvel atelier opérette
party a fait entendre quelques
tubes de La Belle Hélène. Pour la
fin de l’année, l’atelier opérette et
la chorale feront entendre d’autres morceaux des actes 2 et 3.
En fin d’année scolaire, toujours,
l’atelier théâtre présentera quelques extraits d’une pièce jamais
jouée et probablement inconnue
du plus grand nombre, Le Pédant
joué, d’un auteur pourtant rendu
célébrissime par la pièce d’Edmond Rostand, Cyrano de Bergerac. L’homme a bel et bien vécu,
contemporain et ami de Molière, il
composa cette pièce dont la plus
célèbre réplique « mais qu’allait-il
faire dans cette galère ? » fut
réexploité par son ami Poquelin
dans Les Fourberies de Scapin.
Cette pièce jamais représentée
du vivant de son auteur et post
mortem verra donc le jour en
salle multimédia les 16 et 17 juin.
Pour préparer cette mise en
scène, nous travaillons actuellement sur les divers personnages
de la Commedia dell’arte avec le
comédien de la troupe du Théâtre
de la Ville, Jauris Casanova qui
est actuellement à l’affiche au
TDV dans Six personnages en
quête d’auteurs (que d’anciens
élèves de 4ème avaient été voir il y
a deux ans). Pour l’instant Jauris
invite les élèves à chercher quel
animal pourraient-ils le mieux
incarner, leur révélant que bien
souvent l’acteur de théâtre construit son rôle sur un animal qu’il
s’est composé et approprié. Si
vous étiez un animal… ?
D. ROSENTHAL
The enchanted museum
M
ission accomplie pour les
élèves de 6ème6 à option
cambridge ! Après un travail
d’écriture qui a donné naissance
à cette pièce, les élèves l’ont
donnée en représentation lors
des Portes Ouvertes début février. Ils ont évolué avec aisance, s’appropriant l’espace scéni-
LE 11 JUIN 2016 DE 12h à 17h30
que et … le rideau de théâtre en
arrière scène, d’où surgissaient
les protagonistes, laissant transparaître leur plaisir de jouer !
Félicitations à ces auteursacteurs pour leur double performance, en peu de temps !
C. MARCUCCI
Pont de l’Ascension
 Du mercredi 4 mai après la classe au lundi 9 mai au matin.
Pont de la Pentecôte
 Du vendredi 13 mai après la classe au mardi 17 mai au
matin.
Diplôme National du Brevet
 Le jeudi 23 juin et le vendredi 24 juin.
Oral HIDA en 3ème
 Le jeudi 26 mai pour les autres élèves et le mercredi 1er
juin pour l’Option Cinéma.
KET et PET
 Epreuves écrites, le samedi 4 juin.
 Epreuves orales, le jeudi 2 juin.
A vos agendas
Lundi 2 mai
Reprise des cours.
Du mercredi 4 mai après la
classe au lundi 9 mai au matin
Pont de l’Ascension.
Du lundi 9 au vendredi 13 mai
Semaine d’évaluation des acquis
4ème et Semaine d’évaluation
des acquis 5ème.
Jeudi 12 mai au jeudi 19 mai.
Séjour des élèves de 4ème 5 en
Suède.
Lundi 16 mai
Lundi de Pentecôte (jour férié).
A partir du 17 mai
Semaine anglaise pour les élèves
de 6ème.
Mercredi 18 mai au vendredi 20
mai
Retraite de préparation à la
Confirmation 5ème à Montligeon.
Du jeudi 19 mai au mardi 24
mai
Séjour des élèves de 4ème 7 à
Aix La Chapelle.
Vendredi 20 mai
19h00 : Veillée de prière des
5èmes confirmands à la chapelle.
Samedi 21 mai
10h30 : Messe de Confirmation
des 5èmes à St Eloi.
Jeudi 26 mai
Oral d’Histoire des Arts pour les
élèves de 3ème.
Mercredi 1er juin
Oral d’Histoire des Arts pour les
élèves de l’Option Cinéma.
Jeudi 2 juin
Début des conseils de classes.
Epreuves orales du KET et du
PET.
Vendredi 3 juin
12h05 : Messe de Sainte Clotilde.
Samedi 4 juin
Epreuves écrites du KET et du
PET.
Mercredi 8 juin
14h00- 19h00 : Retraite de la
Première Communion.
Samedi 11 juin
10h00 : Messe de la fête du
Collège, 1ère communion et
2ème étape de baptême (1ère
année).
12h30-17h30 : Fête du Collège.
Mardi 14 juin
Commission d’appel pour les
troisièmes l’après-midi. Pas de
cours à partir de 12h00.
Mercredi 15 juin
Commission d’appel pour les
secondes le matin. Pas de cours
ce jour.
Jeudi 16 juin
Représentations Atelier théâtre et
Belle Hélène.
Vendredi 17 juin
Représentations Atelier théâtre et
Belle Hélène.
Fin de l’année scolaire pour les
élèves de 3ème.
Du dimanche 19 au samedi 25
juin
Voyage à Villefort pour les élèves
de 5ème inscrits.
Jeudi 23 juin et Vendredi 24
juin
Diplôme National du Brevet.
Lundi 27 juin
Fermeture de l’établissement en
raison de la correction du brevet.
Mardi 28 juin
9h00 -16h30 : Journée pédagogique.
Mercredi 29 juin, Jeudi 30 juin
et vendredi 1 juillet
Ateliers pour les élèves de 6èmes, 5èmes, 4èmes inscrits et fin
de l’année scolaire le 1er juillet à
16h00.
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