5
Remerciements
Ce manuscrit conclut trois ans (et quelques mois) de travail, je tiens en ces quelques
lignes à exprimer ma reconnaissance à tous ceux qui de près ou de loin y ont contribué.
J’exprime en premier lieu ma gratitude à Frédéric Parol. Pour cette direction de thèse,
il a encadré ce travail, m’a guidé et fait confiance en me laissant une grande liberté d’action.
En tant que co-directeur de thèse, je remercie également Gérard Brogniez, en particulier pour
son “coaching” de fin de thèse.
Je remercie la Délégation Générale pour l’Armement qui a financé cette étude ainsi
que mon interlocuteur en son sein Yvonick Hurtaud.
Pour avoir accepté de rapporter ce travail bien que les délais soient tendus, j’assure ma
reconnaissance à Bernard Guillemet et Jacques Pelon. Ce dernier a joué le rôle de président de
jury et aurait par ailleurs déjà gagné sa place dans ces lignes pour la mise à disposition et la
hotline des données LEANDRE. Que soient remerciés les autres jurés Claudia Strubenrauch
et Laurent C.-Labonnote. Outre ce rôle académique, ce dernier m’aura particulièrement aidé
en répondant à nombre de mes questions relatives au code IHM ou à la mise en œuvre d’une
méthode d’estimation optimale.
Nombreux sont ceux à avoir au fil de ma thèse apporté leur contribution scientifique
voire leurs secours. Je tiens ainsi à remercier Philippe François qui a géré la base de données
aéroportées et qui a accordé ainsi qu’Anne-Claire Anselme bien du temps pour rechercher les
divers problèmes rencontrés lors de la prise en main des données POLDER. Relativement à la
simulation du rayonnement diffusé je remercie Bernard Bonnel et Lucile Duforet. Sans quitter
le littoral, je remercie Philippe Dubuisson pour les informations relatives au calcul de
l’absorption gazeuse. Les simulations exploitent les propriétés optiques de particules de glace
aussi je remercie Anthony Baran qui a accepté de communiquer celles des bullet-rosettes.
Concernant le lidar, je suis reconnaissant à Cyrille Flamant de m’avoir entretenu de
l’exploitation de ses mesures. Une estimation rapide de la phase a été un point clef de cette
étude aussi, que Jérôme Riédi soit remercié des informations distillées en ce sens. En fin de
documents, les résultats sont comparés à leurs homologues émanant de mesures in-situ, or
ceux-ci n’ont été possibles que par la participation d’Olivier Jourdan. A croire que tout ceci
ne faisait que froler la perfection, ils ont été plusieurs à bien vouloir relire ce document.
Aussi, en complement d’autres déjà sus-nommés, je remercie Celine Cornet. D’autres ont ici
été omis, je m’en désole mais ne les remercie pas moins.