Le son [k] ! « que » Camarade, colis, culture On place un « c » devant a, o, u Claque, craqué, On met « c » devant une consonne Quille, quand, quel On écrit dans certains cas « qu » Képi, koala, … Certains mots s’écrivent avec un « k » Quelques mots : Koala, inquiet, comme, un coquetier, une crème, reculer, le climat, un camion, un cube, un camarade, courir, amical, lequel, kaki, une claque. « Leur » et « leurs » Règles Exemples « Leur » placé devant un nom est un déterminant Les chatons attendent leur mère. ! Nom possessif qui s’accorde avec le nom. Le chaton attend sa mère • • Leur peut être remplacé alors par son ou sa Ils attendent leurs parents. ! Leurs peut être remplacé par ses. il attend ses parents. « Leur » placé devant un verbe est un pronom La chatte leur donne son lait ! verbe personnel invariable qui peut être remplacé par La chatte lui donne son lait. « lui ». Les homonymes : cour, cours et court Règles ! « cour » : la cour de l’école. ! « cours » : c’est le verbe « courir » conjugué au présent et à la 1ère et 2ème personne du singulier. ! « court » : c’est le verbe « courir » conjugué au présent et à la 3ème personne du singulier. ! « court » : l’adjectif contraire de long. ! « court » : c’est le terrain de tennis Exemples Les animaux sont en liberté dans la cour de la ferme. Je cours un 100 mètres. Cet enfant court dans tous les sens. Ce pantalon est trop court pour toi ! Nous jouons sur le nouveau court de tennis. Le pluriel des noms 1. La plupart des noms terminés par « eau » ou « au » au singulier forment leur pluriel en ajoutant un « x » : Un bateau ! des bateaux ; un tuyau ! des tuyaux Deux mots en « au » prennent un « s » au pluriel : Des landaus, Des sarraus. Le chien de traîneau Tempest va, vient, il court vers ses camarades qui font craquer sous leurs mâchoires les morceaux de viande gelée. Chose singulière, Tempest n’essaie pas de leur ravir leur proie. Il tourne, inquiet, lève le mufle comme pour prendre le vent, remue tour à tour l’oreille droite et l’oreille gauche ; les dresse toutes deux puis revient vers moi et gémit. Soudain, il s’élance, va vers ses camarades qui achèvent de manger et leur mord les jarrets. Rouquette, « Le grand silence blanc »