137BdG.POMPIDOU|GAP
04 92 52 52 52
www.theatre-la-passerelle.eu
ET IL ME MANGEA...
THÉÂTRE DÈS 8 ANS
Photo Vélo théâtre
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SAISON
2011I 2012
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LUN 6, MAR 7 FEV À9:30 &14:30
Cie Vélo Théâtre
Dossier pédagogique
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Et il me mangea…
Compagnie Vélo Théâtre
Durée : 1 heure
Mise en scène
Francesca Bettini
De et avec
Charlot Lemoine, Tania Castaing, José Lopez
Coproduction : Théâtre Durance
SÉANCES SCOLAIRES :
THÉÂTRE LA PASSERELLE
137 boulevard Georges Pompidou
05010 Gap cedex
Lundi 6 février 9h30 et 14h30
Mardi 7 février 9h30 et 14h30
Contacts : Valérie Bérest
04 92 52 52 58
3
SOMMAIRE
I - Le spectacle p. 3
II – Les thématiques p. 4
III – Les personnages p. 6
IV – L’écriture du spectacle : pour des spectateurs actifs p. 7
V – Le théâtre d’objets p. 8
VI – Des pistes de travail p. 9
VII – L’équipe du spectacle p. 12
4
I – LE SPECTACLE
« Il était une fois un loup. Et pour une fois, c’est lui le héros de l’histoire. »
Le Loup, rôdeur sanguinaire et amoureux fou, se remémore sa jeunesse et ses aventures relatées dans
de nombreux contes.
Il remplit l’espace de son souffle haletant et soudain des cris déchirants s’échappent de sa poitrine. Le
Loup sanguinaire pourrait-il être une victime ? Victime de tous ces contes dans lesquels il tient le
mauvais rôle ?
Et il me mangea est l’occasion de découvrir, sous la pelure du féroce carnassier, un cœur qui bat et une
poésie à fleur de griffe… Car le loup peut rêver en regardant les étoiles ou tomber amoureux… Peut-
être de cette grand-mère à la voix d’enfant fragile qui égrène elle aussi ses souvenirs, telle le Petit
Chaperon rouge qui aurait vieilli.
Mais alors, qui a mangé qui ?
Dans cette maison, qui protège la grand-mère, les odeurs de galettes se mêlent à celles de la peur.
Mais le lapin veille, passant seul d’un monde à l’autre par des portes interdites ; il épie, manipule…
Oui cela aurait pu être un conte comme vous pensez en connaître tant, mais quelqu'un sait-il ce qu'il
s'est véritablement passé ?...
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II – LES THÉMATIQUES
LE CONTE ET SA SYMBOLIQUE
De tous temps, les contes ont habité nos imaginaires, que ce soit lorsque nous étions enfant ou à l’âge
adulte.
Les personnages qui peuplent les contes et dont les aventures nous sont relatées font aujourd’hui partie
notre mémoire collective : le Petit Chaperon rouge, Blanche Neige, la Petite Sirène, Jack et son haricot
magique, Alice ou le Petit Poucet nous sont familiers. Nous avons écouté leur histoire, puis nous l’avons
lue et regardée sur différents écrans.
Ces contes ont une valeur éducative : ils parlent de la vie et de la mort, de l’amour et de la sexualité, de
la soif de pouvoir, des relations des parents avec leurs enfants, des différentes quêtes…, mettent en
avant des qualités tels le courage, l’ingéniosité…, et font également office d’avertissement sur les
dangers potentiels que l’on peut rencontrer tout au long de sa vie.
Le risque lorsque l’on représente sur scène des personnages si familiers est de décevoir le spectateur :
l’image du personnage ne correspond pas à celle que le public s’est construite en son fort intérieur, au
fil des multiples versions contées et regardées d’autant que ces dernières sont souvent
« édulcorées ».
D’où l’importance de guider les enfants à réapprendre, redécouvrir, dépasser le sens premier des
contes pour leur dévoiler la teneur symbolique de ce patrimoine que nous avons en commun.
Dans ce spectacle, il est question du Petit Chaperon rouge, du Loup et du Lapin d’Alice au pays des
merveilles.
> Le Petit Chaperon rouge aborde la découverte de la sexualité. Vous trouverez une analyse de ce
conte dans le dossier pédagogique du spectacle Faim de Loup programmé l’année dernière. Vous
pouvez le télécharger sur le site du théâtre :
http://www.theatre-la-passerelle.eu/spectacle/faim_de_loup#
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