Gabrielle Cluzel cite les divers journaux où elle écrit : Bd Voltaire (rédactrice
en chef), Radio-courtoisie et Monde et vie puis nous amène au sujet
principal qui sera traité ce soir : le féminisme et l’islam.
« Pour égratigner le féminisme il vaut mieux être une femme sinon c’est
mal perçu » nous dit-elle
« Le féminisme actuel est une imposture qui maltraite la femme en général,
et ignore totalement la condition de la femme dans l’islam, il est même
d’une extrême complaisance pour l’islam. »
« La femme est au cœur des coups de butoir que donne l’islam contre notre
culture, le burkini, le voile islamique, les mariages forcés, les rixes entre
patients et personnel hospitalier, les agressions pour tenues jugées
indécentes, les viols du Nouvel An en Allemagne …
Tout cela symbolisé par cette phrase extraite du livre de François
Hollande (un président ne devrait pas dire ça) « La femme voilée
d’aujourd’hui sera la Marianne de demain ».
« Cette phrase extraite de son contexte a été interprétée de toutes les
façons et n’est sans doute pas à prendre au pied de la lettre, néanmoins
quelle irresponsabilité face à l’ennemi islamiste faisant feu de tout bois de
cette phrase ».
« Le féminisme devrait être le rempart contre cet islam dévorant qui fait
vaciller notre perception de la femme, mais il est inopérant, mieux que ça il
en fait son lit »
« Le féminisme n’aime pas la femme car il veut la changer, or on sait que
celui qui aime ne cherche pas à changer l’autre, l’objet de son affection,
mais à l’aider à s’épanouir avec ses attributs mais ce n’est pas le fait du
féminisme qui cherche à nier l’identité de la femme et à la brouiller »
« Le féminisme ne sert pas la droite mais la gauche, le féminisme a toujours
couché avec la gauche et pour des raisons électoralistes a refusé de
dénoncer les dangers que courent les femmes avec l’islam »
La presse féminine n’a aucune grâce à ses yeux « Elle est un prêt-à-
penser servi comme un prêt-à-porter, et sert de véhicule pour la doxa de
gauche »