Avant-propos
Cette recherche a été façonnée par les échanges avec des professeurs et collègues dans
trois pays différents.
J’ai eu le plaisir d’être dirigée dans mon travail par Lea Laitinen, professeur émérite de
langue finnoise, et Eva Havu, maître de conférences de philologie française, à l’Université
de Helsinki. Nos réunions à trois furent toujours des moments d’inspiration et
d’encouragement qui m’ont portée à poursuivre ma recherche. Je suis reconnaissante à
Lea et à Eva de tous les conseils sages et des remarques perspicaces qu’elles m’ont
donnés. De plus, je remercie Lea pour ses mots rassurants pendant les derniers mois, très
denses, de ce travail. A Eva, je suis particulièrement reconnaissante de toutes les occasions
qu’elle m’a offertes pour présenter et faire connaître mon travail.
J’exprime ma gratitude à mes pré-rapporteurs, Laurent Gosselin, professeur en
sciences du langage à l’Université de Rouen, et Meri Larjavaara, professeur de langue
française à Åbo Akademi. Grâce à leurs commentaires très pertinents, j’ai pu clarifier et
approfondir mon travail sur plusieurs points.
Je remercie Jyrki Kalliokoski, professeur de langue finnoise et directeur du
département de finnois et des langues et littératures finno-ougriennes et nordiques à
l’Université de Helsinki, et Ilona Herlin, chercheure à l’Université de Helsinki, pour
m’avoir accueillie dans l’équipe du projet Alistus ja konteksti (‘Subordination et
contexte’). Ce projet a joué un rôle extrêmement important dans l’encadrement théorique
de mon étude. J’exprime ma reconnaissance à tous les membres de l’équipe. A Helsinki,
j’ai pu mener mes recherches dans de très bonnes conditions dans les locaux du
département de finnois et des langues et littératures finno-ougriennes et nordiques. Je
remercie vivement tout le personnel administratif et universitaire du département.
En 2007–2008, j’ai eu l’occasion de travailler à l’Université de Wisconsin-Madison,
aux Etats-Unis. Je remercie le personnel du département de Scandinavian Studies de
m’avoir accueillie, ainsi que Cecilia Ford, professeur d’anglais et de sociologie, et Monica
Macaulay, professeur de linguistique, de m’avoir acceptée à leurs cours et d’avoir
commenté mes travaux. L’année à Madison fut tout à fait décisive pour le contenu de cette
étude.
Depuis 2009, je travaille à l’Institut National des Langues et Civilisations Orientales, à
Paris. J’ai pu partager les dernières phases de cette recherche avec les étudiants et l’équipe
de la section finnoise. Je suis particulièrement reconnaissante à Outi Duvallon, maître de
conférences en linguistique finnoise, qui a fait un grand nombre de remarques et conseils
utiles sur une version antérieure du manuscript. Je remercie Jocelyn Parot d’avoir vérifié
le français de cette thèse.
Sans les bourses accordées par les fondations Koné, Jenny et Antti Wihuri, Erkki
Hannikainen et celle de Wiipurilainen osakunta, je n’aurais pas pu me concentrer sur ma
thèse à Helsinki comme à Paris. Les bourses de l’école doctorale Langnet m’ont permis de
présenter mon travail dans des séminaires et des colloques pertinents pour ma recherche.
La bourse de CIMO et de Fulbright Center a rendu possible l’année de travail aux Etats-
Unis. Merci à ces organismes d’avoir fait le choix de financer mon travail.