Begründungen
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Le texte dit : « Emblématiques de Saint-Tropez, les sandales tropéziennes sont nées dans ce petit village
de pêcheurs en 1927. » C’est donc la petite ville de Saint-Tropez qui donne son nom aux sandales.
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Le texte dit : « Dominique Rondini a lancé un premier modèle de ces sandalettes en cuir en 1927. » C’est
donc en 1927 que la première paire a été fabriquée.
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Le texte dit : « Cela fait donc plus de 80 ans que la maison Rondini, la plus ancienne de Saint-Tropez,
fabrique les fameuses chaussures à lanières. » C’est donc Rondini qui est le nom de la plus vieille marque
de sandales.
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Le texte dit : « Des personnalités comme Colette ou Marlène Dietrich s’y chaussaient déjà ! » Ce sont
donc des personnalités comme Colette ou Marlène Dietrich qui ont donc rendu les chaussures si
célèbres à l’époque.
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Le texte dit : « Aujourd’hui encore, la production y est artisanale et chaque pièce est élaborée à la main. »
C’est donc à la main que les chaussures sont fabriquées.
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Le texte dit : « La boutique atelier propose toutes sortes de modèles dans différents cuirs (python,
chevreau...) et coloris. » La peau qui est utilisée pour la fabrication est donc le cuir (python, chevreau...).
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Le texte dit : « Aujourd’hui, cette marque est diffusée dans plus de 300 points de vente à travers le
monde, dont la plupart aux Etats-Unis. » C’est donc aux Etats-Unis que se trouve la majorité des
boutiques de la nouvelle marque.
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Le texte dit : « A Saint-Tropez, berceau de la production, seuls les ateliers Rondini et K.Jacques
fabriquent les véritables tropéziennes : des modèles uniques, dont chaque paire nécessite en moyenne
une heure de travail. » On met donc une heure de travail pour faire deux sandales.
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Le texte dit : « Mais attention, les imitations sont nombreuses ! Deux fois moins chères, elles sont aussi
beaucoup moins solides… » Il faut donc se méfier des imitations quand on achète des sandales.