flux financier - Paris Val de Seine

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Sommaire
• Présentation séminaire 1-13
• Economie élémentaire 15-43
– Illustrations 45- 56
– Entrepreneuriat management 58-74
– Compta nationale 76-80
• Les outils comptables pour la gestion (séance
2)
• L’analyse financière
• Le Business Plan
1
Eric Laubé
• Architecte DPLG
• Doctorat d’urbanisme
•
Économiste de la construction
• Directeur Immobilier fondation humanitaire
• enseignant ENSAPVS
Chères consœurs et chers confrères
architectes, bienvenu dans votre parcours
HMO
.
Séminaire obligatoire Gestion
d’agence
Stratégie, économie, finances,
développement, fonctionnement
et organisation.
Leitmotiv ?
Savoir pour Gérer !
Car…
Gérer c’est prévoir !
Cours et TD
1. Economie élémentaire
2. Les outils comptables pour la
gestion
3. L’Analyse financière
4. Le Business Plan
Synthèse sur les points importants du
séminaire.
Economie élémentaire
vision micro et macro
La production dans l’entreprise.
L’entreprise et ses tiers (rôles et flux)
Les indicateurs économiques
Notion de valeur ajoutée (VA) et de répartition des
richesses produites.
Notion d’E.B.E. (Excédent Brut d’Exploitation) ou
rémunération brute du capital.
Les résultats et leurs signification
Les chiffres clés (France): État - Filière BTP et
Architectes
Management
Organisation des agences
d’architectures. Typologies. Étude
comparative.
L’entreprise d’Architecture en France, en
Europe et dans le monde.
Sociologie de la profession - Evolution
Les outils comptables pour la
gestion
Introduction aux notions comptables
élémentaires. Initiation à la lecture des
tableaux comptables. Bilan, Compte de
Résultats et Annexe.
Les tableaux de bords de gestion de
l’entreprise d’architecture.
L’Analyse Financière (A.F.)
.
Introduction à l’AF.
Analyse des agences d’architectures
françaises.
Conclusions sur les modes
d’exercices.
Le Business Plan (B.P.)
Notion de BP. Le rédactionnel. Les annexes financières.
Spécificité des projets liés aux structures de maîtrise
d’œuvre de conception.
Établissement d’un BP type.
Accès au BP en ligne ou libre de droits ou à faible coût.
Modalités de validation
•
Présence aux séances.
• Contrôle des connaissances à chaque début de
séance.
• Rendus hebdomadaires par courriel.
• Participation active et pertinence en séance.
• 4 séances de 4h
Informations diverses
Où trouver ces documents
1. Carnet métier – Thèmes TD de MSP
2. Informations diverses sur la profession
3. Tableau de bord
4. Classeurs des cours, TD, MSP et
Séminaires
5. Supports de cours d’autres intervenants
http:\\www.adig.org\COURS\HMO
14
Economie élémentaire
Production dans l’Entreprise
15
Produire
QUOI : Biens et Services
BUT : Satisfaire des besoins humains
16
Les facteurs de production
Le CAPITAL qui est noté K :
est le 1er facteur de production.
Le TRAVAIL qui est noté T :
est le 2nd facteur de production.
17
Le capital (K)
Capital :
en économie, le terme capital peut désigner divers
éléments :
capital économique : actif qui procure un revenu.
capital technique : le facteur de production constitué
de biens de production.
capital financier : les capitaux qui permettent à
l’entreprise de financer son activité.
18
Comment produire ?
L’activité de production nécessite
des biens à utiliser ou à transformer par le
travail.
Ces biens se nomment :
Le CAPITAL TECHNIQUE
19
Capital Circulant et Fixe
Certains biens ne sont utilisés que durant un seul cycle
de production et incorporés dans le produit final
commercialisé.
Ces biens se nomment :
CAPITAL CIRCULANT ou Consommations
Intermédiaires (emballage)
D’autres biens servent durant plusieurs cycles
de production : (mobilier de bureau)
Ils forment ce qu’on appelle le CAPITAL FIXE
20
Vue de synthèse
21
Le Travail
Le Capital Technique comprend le K fixe et le K
circulant.
Le K est indispensable à la production.
MAIS les machines ne sont pas autosuffisantes !
L’activité humaine est nécessaire à leur fonctionnement.
22
Liens entre facteurs de production
Pas de production possible sans K :
On ne produit pas à main nue !
Pas de production sans T :
Les outils, machines, robots ne fonctionnent
pas seuls !
Ils sont : conçus, testés, montés, pilotés,
surveillés, maintenus par des hommes !
23
Combinaison Productive
Etude de la façon de mixer T et K
24
Substituabilité
Les facteurs de production sont substituables :
Le remplacement de 5 ouvriers en peinture par un
robot peintre.
Le K se substitue au T !
25
Complémentarité
Les facteurs de production sont complémentaires.
Quand une entreprise intensifie un facteur de
production elle intensifie l’autre aussi.
Une entreprise de logistique qui investit (K) pour
acheter de nouveaux camions embauche (T) aussi
de nouveaux chauffeurs!
26
Intensité capitaliste
Les économistes observent sur une longue
période une substitution progressive du T
par du K.
On parle de production qui devient plus
capitalistique.
La hausse du niveau de vie des travailleurs
pousse progressivement les entreprises à
remplacer T par K afin de faire baisser les
charges de production.
27
Valeur Ajoutée et Répartition
Une entreprise crée des richesses par son
activité de production.
Comment valoriser ces richesses?
Quels seront les bénéficiaires de ces richesses?
28
Exemple
Un ébéniste produit des meubles pour un montant
facturé de 45k€.
C’est son chiffre d’affaires (CA).
Pour produire les meubles il consomme :
Des planches, clous, colle et de la laque.
Cette consommation intermédiaire (CI) est
estimée à partir des achats auprès de ses
fournisseurs pour un montant de 15k€
29
Exemple suite
La valeur ajoutée créée est calculée de la façon
suivante :
VA = CA – CI
La valeur ajoutée est la différence entre le chiffre
d’affaires et les consommations intermédiaires
utilisées à produire.
C’est la richesse réelle d’une entreprise créée par ses
propres moyens de production.
30
Calcul complet de la Valeur Ajoutée
• On fait également appel au K fixe pour produire !
Un calcul plus juste serait donc de considérer que
le K fixe est utilisé sur une période de vie
moyenne, période de dépréciation du bien.
• Répartir ces investissements par amortissement
linéaire sur cette période.
• Cet amortissement du K fixe noté Amort Kf
rentrerait dans le calcul de la façon suivante :
• VA = CA -CI -Amort Kf
31
Amortissement d’un bien de
production
Amortissement économique : perte de
valeur subie au cours d'une période donnée
par un bien de production durable du fait de
l'usure ou de l'obsolescence.
Amortissement comptable : constatation
d’une charge fictive (dotation) calculée par le
plan d’amortissement du bien encadré par la
fiscalité.
32
Amortissement
L’amortissement est bien connu des
entreprises pour des raisons fiscales
(dotation aux amortissements et plans
d’amortissements)
Les économistes ne peuvent disposer des
données de bilans pour calculer cette
valeur d’amortissement.
C’est pourquoi « Amort Kf » est négligé par
les économistes.
33
Valeur Ajoutée Brute
La VA calculée par les économistes est donc
une VA brute puisqu’elle ne tient pas
compte des Amortissements.
VA Brute = CA - CI
VA Nette = CA - CI - Amort Kf
34
Secteurs Marchand et non Marchand
Le secteur non Marchand produit des
services non vendus.
Les administrations en sont un exemple.
La richesse produite par le secteur non
Marchand est considérée, par les
économistes, comme égale aux coûts
nécessaires à leurs productions !
35
Richesse produite
En secteur Marchand :
Le PIB (Produit Intérieur Brut) d’un pays est
la somme de toutes les Valeurs Ajoutées
Brutes des Entreprises Nationales + la TVA
correspondante + les droits de douane
perçus.
PIB Marchand : VA brute + TVA + Droits
Douane
36
Richesse Produite
En secteur non Marchand
Le coût du secteur non Marchand est
essentiellement composé du Traitement
des fonctionnaires.
PIB non Marchand = COUTS - CI
37
Richesse globale
PIB Global : PIB Marchand + PIB non Marchand
Le Produit Intérieur est Brut car les
amortissements ne sont pas intégrés dans le
calcul.
Le PNB = PIB + Prod nationaux à l’étranger Prod des étrangers sur le sol national
38
Partage de la VA
La VA Brute se répartie entre les acteurs qui
ont contribués par le K ou par le T.
Acteurs de K : Actionnaires et Banquiers.
Acteurs de T : les Salariés.
A ces acteurs on ajoute l’Etat via l’impôt sur la
production.
39
Rémunération du Travail
Le T est rémunéré par les salaires.
Les coûts salariaux comprennent les salaires et
les prélèvements des Organismes Sociaux.
40
EBE Excédent Brut d’Exploitation
La rémunération des acteurs de K est calculée
de la façon suivante :
EBE : VA Brute - Coûts Salariaux
C’est le profit brut du K.
Les Investisseurs de l’Entreprise se partagent
l’EBE
Le Taux de Marge = EBE / VA brute.
C’est un ratio important de rentabilité du K.
41
Partage de l’EBE
Les Banquiers sont rémunérés via les
revenus financiers que sont les intérêts.
L’ÉTAT prélève un impôt calculé sur la
production.
D’autres impôts suivront sur le Revenu et la
Consommation.
Les actionnaires (associés) sont rémunérés
via les DIVIDENDES.
42
Acteurs économiques
En résumé :
3 acteurs se partagent la VA :
• Les Travailleurs
• Les Capitalistes
• L’Etat
43
-
44
-
45
-
46
_
47
48
49
50
51
52
Les flux économiques générés par l’entreprise
A - les partenaires de l’entreprise
FLUX PHYSIQUE (BIEN OU
SERVICE)
FLUX FINANCIER
53
B - Notion de flux
L’activité de l’entreprise et ses relations avec ses
partenaires créent des échanges d’informations, de biens
et d’argent circulant à l’intérieur et à l’extérieur de
l’entreprise. Ces mouvements génèrent des flux.
■ Les flux d’informations concernent des transferts de
données :
> flux d’information interne : note de service au
personnel
flux d’information externe : réception d’une commande
■ Les flux économiques concernent les transferts d’un
bien ou service :
> flux économique interne : transfert d’une matière
première de l’entrepôt à l’atelier de production
> flux économique externe : achat de matière première
à un fournisseur
Un flux économique est donc une quantité de biens, de services,
de valeurs en mouvement entre deux acteurs économiques
54
Analyse des flux économiques en terme
d’emplois / ressources
Tout flux a un point de départ (origine ) et un point d’arrivée (destination)
Origine-Destination
> Les flux économiques sont valorisés. L’unité de mesure est l’unité monétaire (franc ou euro)
> le flux économique se traduit par l’existence d’une ressource et d’un emploi :
o L’origine du flux implique une ressource
La ressource représente les moyens nécessaires qui ont permis la réalisation de l’opération
économique
GRACE A QUOI ?
o La destination du flux implique un emploi
L’emploi représente l’utilisation qu’est faite de la ressource affectée à l’opération économique
POUR FAIRE QUOI ?
55
Classification des flux
On distingue les flux physiques (en bleu sur schéma du point A) et les flux financiers (en rouge)
> Les flux physiques (ou flux réels)
Ils correspondent à des mouvements de biens ou de
services.
D’entrée (emplois)
externes
de sortie (ressource)
Flux physiques
internes
> Les flux financiers (ou flux monétaires)
Les paiements effectués entre l'entreprise et ses partenaires constituent des flux financiers. Ils correspondent à des
mouvements de monnaie ou d’engagement d’argent.
Les flux monétaires peuvent être classés en :
■ flux financiers contrepartie des flux physiques externes
■ flux financiers de
financement
> Les flux externes concernent deux agents économiques. L’équilibre des obligations des partenaires fait donc apparaître deux flux
externes. Exemple :
>> obligation du vendeur : livrer la chose vendue (ressource du flux physique)
>> obligation de l’acheteur : payer le prix de la chose (ressource du flux financier)
> Les flux internes ne concernent qu’un seul agent économique. Ils se passent à l’intérieur de l’entreprise. Il n’y a donc qu’un seul flux.
56
Exemple : transfert d’une machine de l’atelier A vers l’atelier B
• -
57
Entreprenariat
Management/Gestion
Introduction
58
Entreprendre
Nécessite :
• De l’esprit d’initiative
• De la capacité à prendre des risques
• De la maitrise de conduite de projet
• De la capacité de mobilisation de partenaires
extérieurs
59
Etymologie
Management
Ce terme vient du mot français « ménagement »,
emprunté par les Anglais, puis réintroduit en
français sous une forme peu modifiée.
« art de conduire, de diriger, de manier »
« action de bien régler, bien disposer ».
Mot voisin : ménage !
60
Définition
Le management :
concept voisin de celui de gestion d’entreprise, est
l'ensemble des techniques visant à optimiser l'usage
des ressources d'une organisation (entreprise,
administration ou même association) en vue de la
réalisation d'un objectif.
Il est parfois pris au sens plus étroit d'organisation ou
d'organisation du travail.
61
Important
Le management, c'est l'art du possible.
Politique et Management sont synonymes.
Dans ce contexte, le Management est aussi la
manière de réconcilier le Présent au Futur, de
résoudre les problèmes quotidiens tout en
prévoyant les problèmes à venir.
Gérer c’est prévoir
62
Compétences Connaissances
1. Stratégie de développement (marché,
localisation, activité, marketing, commercial)
2. Mode juridique d’exercice
3.
Animation, dynamisation de la RH
4. Gestion d’une entreprise (administration,
finances, comptabilité, social, fiscal)
5. Organisation et Système Qualité
63
Compétences humaines
•
•
•
•
•
•
•
•
Développeur, défricheur, goût du risque (calculé)
Ambition, communication et charisme.
Attachement à la qualité de la relation client.
Engagement personnel et valorisation de la ressource humaine
(collaborateurs interne ou externe)
Sait dire non.
Sait aussi se remettre en cause et admettre ses erreurs.
Ecoute, délégation, mode de contrôle léger et précis.
Met en place des relations franche, sincère et transparente
64
Architecte
Maîtrise d’Œuvre de Conception : c’est son rôle
professionnel et contractuel.
Juridiquement : Profession agissant en exercice
majoritairement libéral.
La tendance des exploitations montre un
basculement progressif vers l’exercice en société
d’architecture.
Vieillissement de la profession
Féminisation des études et de la profession.
8
65
Ses rôles et missions
•
•
•
•
•
•
•
•
Concepteur en architecture et aménagement
Ingénieur
Constructeur
Gestionnaire de projets
Experts (en immobilier, pathologie et désordres)
Conseil en immobilier (valorisation, évaluation)
Conseil en étude de faisabilité immobilière.
Nombreuses autres missions (service aux
entreprises)
66
Chef d’entreprise
Un Architecte, en mode libéral ou en société, est un
chef d’entreprise, un entrepreneur.
Il doit conduire son agence, son entreprise
d’architecture.
Il dispose de tableau de bord économiques et
financiers précis à cette fin.
Il est redevable vis à vis des tiers de ses obligations
dues à son rôle économique.
les tiers : banque, maîtrise d’ouvrage, fournisseurs,
sous-traitants, salariés, associés, partenaires
professionnels.
67
Structure des entreprises vision
fonctionnelle
Les entreprises se structurent autour de ses grandes fonctions.
• Direction Générale
• Direction de la Stratégie et du Développement
• Direction Juridique et Fiscale
• Direction Administrative et Financière
• Direction des Ressources Humaines et de la Formation
• Direction Commerciale et Marketing
• Direction du Système d’Information et de la Communication
• Direction de la Recherche et du Développement
•
Direction de la Production
68
Vue fonctionnelle de l’entreprise
69
Mode d’exercice
Répartition des modes d’exercices de l’architecte :
1.
2.
3.
4.
5.
6.
7.
Architectes libéraux développant une clientèle propre.
Architectes libéraux sous-traitants d’un ou plusieurs autres
architectes ou entreprise.
Architectes associé et/ou gérant d’une entreprise
d’architecture (société).
Architectes salariés dans les agences d’architecture.
Architectes salariés dans d’autres entreprises.
Architectes salariés en Intérim.
Architectes fonctionnaires ou cadres territoriaux.
70
Modes d’exercice
71
Savoir manager
La compréhension des phénomènes liés au rôle
économique de l’entreprise, permet de se positionner correctement sur
les aspects suivants :
1. Créer son entreprise.
2. Conduire une entreprise.
3. Reprendre une entreprise.
4. Sélectionner une entreprise dans le cadre d’un appel d’offres ou
de la recherche d’un partenariat professionnel.
5. Sélectionner une entreprise pour travailler en salarié, dans une
perspective de carrière professionnelle ascendante.
72
Être architecte
Etre architecte c’est comprendre et inscrire sa
production dans une perspective économique
globale :
« Le projet d’architecture a une vocation économique
pour son maître d’ouvrage! »
Être architecte c’est comprendre que son exploitation,
son exercice professionnel, répond aux exigences
économiques de l’entreprise!
73
Points abordés
L’Organisation contre le Chaos !
1.
Nature et répartition des agences (France)
2. Entreprises typologies et Classification.
3. Les structures organisationnelles & la gestion des ressources
humaines
4. Organisation des agences et Qualité & MPRO
5. Organisation et planification de la production
6. Mécanismes et Stratégies de Développement.
7. La lecture normalisée de l’activité d’une entreprise :
« la comptabilité et l’analyse financière ».
8. Mise en place des outils de pilotage, de prévision et de
simulation.
74
75
PIB 1949-2010 en M € courants
Année
PIB
Année
PIB
Année
PIB
1949
13,033
1970
124,45
1991
1 070,00
1950
15,305
1971
138,8
1992
1 107,80
1951
19,29
1972
155,22
1993
1 114,70
1952
22,466
1973
178,24
1994
1 154,70
1953
23,307
1974
207,37
1995
1 194,60
1954
24,741
1975
233,39
1996
1 227,30
1955
26,596
1976
270,02
1997
1 267,40
1956
29,304
1977
304,24
1998
1 323,70
1957
33,104
1978
345,24
1999
1 368,00
1958
38,29
1979
393,55
2000
1 441,40
1959
41,723
1980
445,23
2001
1 497,20
1960
46,325
1981
500,75
2002
1 548,60
1961
50,218
1982
574,45
2003
1 594,80
1962
56,275
1983
636,62
2004
1 660,20
1963
63,159
1984
693,09
2005
1 726,10
1964
70,041
1985
743,89
2006
1 806,40
1965
75,673
1986
802,36
2007
1 895,30
1966
82,045
1987
845,17
2008
1 948,50
1967
88,75
1988
911,19
2009
1 907,10
1968
96,733
1989
980,53
2010 1 946,0a
1969
111,25
1990
1 033,00
76
1.101 Le produit intérieur brut et ses
composantes à prix courants Milliards
d'euros
Intitulés
2004
2005
2006
2007
2008
2009
2010
Source : Comptes nationaux - Base 2005, Insee_
Ressources
Produit intérieur brut
Importations
Total
1 655,60
1
1
1
1
1
1
718,00 798,10 886,80 933,20 889,20 932,80
426,1 463,8 504,7 535,9 561,7 475,2 537,5
2 081,70
2
2
2
2
2
2
181,80 302,80 422,70 494,90 364,40 470,30
Emplois
Dépenses de consommation finale
Ménages
Administrations publiques
1 330,70
1
1
1
1
1
1
385,80 441,80 501,60 549,60 562,60 604,10
906,6 946,1 986,6
1
1
1
1
030,50 063,70 057,80 084,80
393,4 408,1 421,7 435,7 449,9
467 479,9
dont dépenses individualisables
252,2
262,9
272,2
282,4
292,6
302,7
311
dont dépenses collectives
141,2
145,3
149,6
153,2
157,3
164,3
168,9
30,8
31,6
33,4
35,5
36
37,8
39,4
309,2
332,3
360,4
394,6
411,9
373
373,3
159,8
169,7
182
203,2
214
187,5
193,2
12,6
12,3
15
14,3
16
13,6
12,3
Institutions sans but lucratif au
service des ménages
Formation brute de capital fixe
Sociétés et entreprises
individuelles non financières
Sociétés et entreprises
individuelles financières
77
Évaluation des recettes perçues par l’État
en 2010 en millions d’euros
recette fiscales nettes
254 380
Impôt sur le revenu
Impôt sur les sociétés
Taxe intérieure sur les produits pétroliers
Taxe sur la valeur ajoutée
Autres contributions fiscales
Recettes non fiscales
13,74%
5,70%
49,73%
11,60%
16 052
Dividende et recettes assimilées
Produits du domaine de l'État
Produits de la vente de biens et services
Remboursements et intérêts des prêts,
avances et autres immobilisations financières
Amendes, sanctions pénalités et frais de poursuites
Divers
42,79%
6 868
1 849
1 154
886
11,52%
7,19%
5,52%
0,00%
11,75%
1 886
3 409
Prélèvements sur les recettes de l’État
Au profit des collectivités territoriales
Au profit des Communautés européennes
19,24%
48 936
34 940
14 498
126 504
29 502
21,24%
- 104 033
-
85 880
18 153
78
Crédits de paiement ouverts par mission en 2010 en millions €
Missions du budget général
412 158
Actions extérieures de l’État
Administration générale et territoriale de l’État
Agriculture, pêche, alimentation, forêts et affaires rurales
2 611
2 581
4 044
0,63%
Aide publique au développement
Anciens combattants, mémoire et liens avec la nation
3 491
3 428
0,85%
Conseil et contrôle de l’État
Culture
Défense
Direction de l’action du Gouvernement
Écologie, développement et aménagement durables
571
2 922
37 088
548
13 630
0,14%
Économie
Engagements financiers de l’État (intérêts de la dette)
8 556
44 653
Enseignement scolaire
Gestion des finances publiques et des ressources
humaines
Immigration, asile et intégration
Justice
Médias
Outre-mer
Plans de relance de l’économie
Politique des territoires
Pouvoirs publics
Provisions
Recherche et enseignement supérieur
Régimes sociaux et de retraite
Relations avec les collectivités territoriales
Remboursements et dégrèvements
Santé
Sécurité
Sécurité civile
Solidarité, insertion et égalité des chances
Sport, jeunesse et vie associative
61 301
11 505
14,87%
556
6 819
1 129
2 023
4 102
369
1 018
58
46 539
5 727
2 624
93 104
1 185
16 356
452
12 230
848
0,13%
0,63%
0,98%
0,83%
0,71%
9,00%
0,13%
3,31%
2,08%
10,83%
2,79%
1,65%
0,27%
0,49%
1,00%
0,09%
0,25%
0,01 %
11,29%
1,39%
0,64%
22,59%
0,29%
3,97%
0,11%
2,97%
0,21%
Remarque : ce total
ci-dessus
correspond aux
crédits de paiement
ouverts en loi de
finances. Pour
obtenir les charges
nettes et calculer le
solde du budget de
l'État, il faut
79
soustraire les
Tableau de l’équilibre budgétaire de l’État en 2010 en millions d’euros
Budget général
- 152
745
Ressources
Recettes fiscales nettes
254 380
Recettes fiscales brutes 347 394
Remboursements et dégrèvements - 93 014
Recettes non fiscales
Recettes résultant de fonds de concours
Prélèvements au profit des collectivités
16 052
3 122
- 104 033
territoriales et des Communautés européennes
Total ressources
169 521
Charges
Dépenses relatives aux missions
412 158
Dépenses correspondant aux fonds de concours
3 122
Remboursements et dégrèvements
- 93 014
Total charges
Soldes du budget général = ressources - charges
322 266
Budgets annexes
1
Ressources (y compris sur fonds de concours) : 2148
Dépenses (y compris sur fonds de concours) : 2147
Comptes spéciaux
3 779
.
Ressources
Ressources affectées
Remboursements des prêts et avances
59 891
76 623
Notes :
Ce budget comprend les
investissements du grand
emprunt
Ce budget est actualisé de la loi
de finances rectificative pour
2010 du 7 mai 2010 (pour l’aide à
la Grèce)4
Les crédits autorisés par la loi de
finances sont constitués
d'autorisations d'engagement
(AE) et de crédits de paiement
(CP). Les informations
présentées ici ne portent que sur
les CP, qui constituent la limite
supérieure des dépenses pouvant
être ordonnancées ou payées, au
cours de l'année 2010, pour80la
couverture des engagements
Bibliographie
• Microéconomie, Pindick Robert et Rubinfield
Daniel, Pearson éducation, environ 750 pages
• Macroéconomie, Blanchard Olivier, Cohen
Daniel, Paris, Pearson, 643 pages
Vous pouvez trouver une édition datant de qq
années de ces deux ouvrages très utilisés par
les étudiants en économie , suffisante pour une
introduction.
81
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