IntroductIon
prÉsentation du secteur 2
Financer sa ForMation 3
La preMière annÉe coMMune des Études de santÉ (paces) 4
Les prÉparations aux concours 5
Les métIers de La san
aide-soiGnant/e 8
aMBuLancier/ère 10
auxiLiaire de puÉricuLture 12
diÉtÉticien/ne 14
erGotHÉrapeute 16
inFirMier/ère 18
ManipuLateur/trice d’ÉLectroradioLoGie MÉdicaLe 20
Masseur/euse-KinÉsitHÉrapeute 22
opticien/ne-Lunetier/ère 24
ortHopHoniste 26
ortHoptiste 28
ostÉopatHe 30
pÉdicure-podoLoGue 32
prÉparateur/trice en pHarMacie 34
protHÉsiste dentaire 36
saGe-FeMMe / MaÏeuticien 38
d’autres métIers à découvrIr 40
Les FormatIons en PaYs de La LoIre 43
adresses et LIens utILes 46
SOMMAIRE
Ministère de l’Éducation nationale
Ministère de l’Enseignement supérieur
et de la Recherche
Office national d’information sur
les enseignements et les professions
12 Mail Barthélémy Thimonnier
Lognes - 77437 Marne-la-Vallée Cedex 2
Publication de l’ONISEP
Directeur de la publication : George Asseraf
DÉLÉGATION RÉGIONALE ONISEP
32, rue du Fresche Blanc - BP 92217
44 322 Nantes cedex 3
Tél : 02 40 16 02 16 - Fax : 02 40 40 39 56
Directeur délégué : Xavier Vinet
Coordination : Véronique Mombruno
Rédaction : Véronique Mombruno,
Bénédicte Saint-Loubert Bié, Suzanne Ichihara
Relecture : Benoît Longeon
Maquette et mise en page : Jean-Marie Scal
Crédits photo intérieur et couverture :
Onisep
ISBN : 979-10-92385-23-6
Dépôt légal : avril 2015
Remerciements : Sylvie Rautureau
Service Formations sanitaires et sociales -
Conseil régional des Pays de la Loire
Reproduction, même partielle, interdite sans
accord préalable de l’ONISEP.
Plus d’un million et demi de personnes exercent une profession de santé en France.
LES MÉTIERS DE LA SANTÉ : PRÉSENTATION DU SECTEUR
Parmi les 200 métiers que compte le secteur, les profes-
sionnels du paramédical interviennent sur prescription
dans les soins aux patients, (aide-soignant, infirmier..),
l’assistance médico-technique (ambulancier, manipu-
lateur en électroradiologie...) ou la rééducation-appa-
reillage (masseur-kinésithérapeute, orthophoniste…),
en appui de l’équipe médicale (médecins, chirurgiens-
dentistes et sages-femmes) qui pose un diagnostic.
Ces professions de santé sont le plus souvent règle-
mentées, c’est-à-dire encadrées par le code de la
santé publique. Pour avoir le droit de réaliser certains
actes ou assurer des missions, il faut posséder les di-
plômes et certifications adéquates, diplômes d’État,
certificats de capacité notamment.
Des statuts et des modes d’exercice variés
Ces professionnels sont pour la plupart salariés à l’hô-
pital, en clinique et dans les centres de soins spécia-
lisés. La pratique libérale a régulièrement progressé
ces dix dernières années en exercice exclusif ou mixte
(par exemple, un médecin exerçant à la fois en cabi-
net de ville et en clinique). Elle est majoritaire chez les
masseurs-kinésithérapeutes, pédicures podologues
ou les orthophonistes.
Des professions en mouvement
La plupart des diplômes et titres du secteur mènent à
un métier précis. Cependant beaucoup de profession-
nels acquièrent des compétences communes. Avec
de l’expérience, il est possible de préparer un autre di-
plôme d’Etat, de se spécialiser (inrmière puéricultrice)
ou de se former aux fonctions d’animation et d’enca-
drement (cadre de santé). De nombreuses passerelles
(allégement d’épreuves de concours, admissions spé-
ciques, équivalences) favorisent la poursuite d’études
et les évolutions de carrière.
La réingénierie des formations s’inscrit dans ce contexte
de valorisation et diversication des parcours. Les pro-
fessions paramédicales intègrent progressivement l’es-
pace européen de l’enseignement supérieur (schéma
LMD) avec la mise en place de crédits (ECTS) validant
des matières ou des stages. Après la formation en soins
inrmiers, en 2013, les formations d’ergothérapeute et
d’orthoptiste sont reconnues au grade de licence (180
crédits). Le grade de master (300 crédits) est conféré
aux titulaires des diplômes d’Etat de sage-femme,
d’orthophoniste et d’inrmier anesthésiste.
La réingénierie des cursus de masseur-kinésithérapeute
et de manipulateur en électroradiologie médicale est
à l’étude.
Une demande de soins en augmentation
A l’horizon 2040, la région Pays de la Loire, devrait
compter, selon les prévisions de l’INSEE, 4,4 millions
d’habitants, soit une hausse de 27% par rapport à
2007 ! L’exigence de santé de proximité, la prise en
charge de pathologies chroniques ou les actions de
prévention mobilisent un nombre accru de profes-
sionnels. Les professions de santé ont connu pour la
plupart de fortes progressions en termes d’effectifs,
au cours des dernières décennies. Parallèlement,
leurs missions respectives et leur positionnement
dans la chaine de soins ont évolué. Avec le recul
du nombre de praticiens sur le territoire, le champ
d’intervention de certains paramédicaux s’est élargi
grâce à la délégation de certains actes médicaux.
C’est le cas des orthoptistes, des masseurs kinésithé-
rapeutes, des sages-femmes ou encore des manipu-
lateurs en radiologie.
Des besoins croissants dans les Pays de la Loire
D’ici 2020, le secteur devrait encore fortement recruter
pour répondre aux enjeux de santé, soins et accom-
pagnement de la population et compenser les dé-
parts à la retraite. Certains territoires ruraux manquent
de médecins et de professionnels paramédicaux.
Actuellement, les besoins les plus importants
concernent les métiers de soins d’hygiène et de
confort du patient et d’assistance médico-tech-
nique. Aides-soignants et ergothérapeutes sont
particulièrement recherchés. La prise en charge du
vieillissement et l’accompagnement de la dépen-
dance ouvrent également de belles perspectives
d’emploi. 1 900 emplois de personnel soignants à
pourvoir s’avéreraient nécessaires chaque année.
Des postes se développent au sein de structures
dédiées aux soins de suite et de réadaptation, aux
soins à domicile, à la prise en charge des personnes
âgées (maisons de retraite) et handicapées.
Des métiers pour toutes et pour tous
Le secteur recrute, même sans le bac pour les forma-
tions d’aide-soignant, d’ambulancier ou d’auxiliaire
de puériculture accessibles directement après la troi-
sième. Cependant, les études sont souvent très longues
avec un accès sur concours, plus ou moins sélectif selon
les formations. Par exemple, le cursus de maïeutique
(sage-femme) commence par la PACES, la 1re année
commune aux études de santé, à l’université.
Les métiers de la santé ne sont pas réservés aux
femmes même si elles sont surreprésentées dans cer-
taines spécialités.
Des témoignages vidéo sur Onisep TV http://oniseptv.onisep.fr
UNE TRÈS BONNE INSERTION PROFESSIONNELLE
DES DIPLÔMÉS
En 2013, dans les Pays de la Loire, 2 867 personnes ont été diplômées
dans la santé. Les taux de réussite au diplôme d’État sont élevés : seuls 8 %
ne sont pas diplômés.
Les taux d’insertion sur le marché de l’emploi sont excellents pour tous
les jeunes diplômés : plus de 90% trouvent un emploi à leur sortie de
formation.
Source : enquête insertion et parcours Formations sanitaires et sociales,
CARIF OREF, janvier 2015
LES MÉTIERS DE LA SANTÉ : FINANCER SA FORMATION 3
EN PRATIQUE : COMMENT FINANCER
SA FORMATION
Les coûts de scolarité varient d’une formation à
l’autre et sont parfois très élevés (plus de 7000 euros,
par année de formation, en ostéopathie ou en pé-
dicurie-podologie dans le privé). Des aides existent
selon le statut de la formation, de l’établissement ou
de l’étudiant.
Les aides de la région
Depuis 2004, les formations du domaine paramédi-
cal sont sous la responsabilité du Conseil Régional.
Celui-ci assure la gratuité totale des formations de
niveau V, aide-soignants, auxiliaires de puériculture
et ambulanciers.
Les élèves et leurs familles sont dispensés du paie-
ment du coût pédagogique et des coûts d’équipe-
ment (tenues).
Les étudiants admis en formation sanitaire et sociale
post-bac (inrmiers, masseurs kinésithérapeutes, er-
gothérapeutes, manipulateurs en électroradiologie
médicale, etc.) peuvent bénécier d’une prise en
charge totale ou partielle des coûts de formation.
La Région accorde également une bourse sur cri-
tères sociaux aux élèves et étudiants en formation
initiale en travail social, en formation paramédicale
ou de sages-femmes. Seuls sont concernés les élèves
et étudiants en formation dans un établissement de
formation dont la formation est agréée par la Région.
La demande de bourse s’effectue en ligne selon
un calendrier arrêté chaque rentrée par les services
régionaux.
Conditions et critères d’attribution :
www.paysdelaloire.fr/politiques-regionales/sanitaire-et-social/
Mél. : defp.bourses@paysdelaloire.fr
Les bourses de l’éducation nationale
Elles relèvent de la compétence du ministère char-
gé de l’éducation nationale et de l’enseignement
supérieur et sont attribuées aux élèves scolarisés en
lycée ou dans l’enseignement supérieur.
À noter : Les étudiants boursiers sont exonérés des frais
d’inscription universitaires.
Second degré : www.ac-nantes.fr/scolarite-et-vie-de-l-eleve/scolarite/
bourses-et-aides-financieres
Cursus post-bac : www.cnous.fr/bourses
QUE RECOUVRENT LES COÛTS DE SCOLARITÉ ?
Les droits d’inscriptions
Dans les établissements publics d’enseignement supérieur, ils sont fixés
par décret ministériel : 184 euros pour un cursus au grade de licence,
256 euros pour un diplôme d’Etat de sage-femme, 549 euros pour le
certificat de capacité d’orthophoniste, 342 euros pour le certificat de
capacité d’orthoptiste en 2014-2015.
N’oubliez pas ! L’inscription à un concours paramédical est payante (de 50
à 150 euros) !
Les frais de scolarité librement fixés par les établissements auxquels
peuvent s’ajouter des frais de tenues, de photocopies ou de matériel.
Les frais de Sécurité sociale obligatoires pour tout étudiant inscrit
dans un établissement de l’enseignement supérieur (213 euros en 2014-
2015)
Les frais pédagogiques liés aux actions d’accompagnement, d’évalua-
tion et de formation (possibilité de prise en charge par le Conseil régional
ou l’employeur selon statut du demandeur).
L’aide individuelle de formation des ligériens (AIFL)
Ce dispositif régional complémentaire s’adresse aux
demandeurs d’emploi :
•deplusde26ansadmisdansuninstitutdeformation
sanitaire et sociale autorisé ou agréé par la Région des
Pays de la Loire ;
•justifiantpouruneformationd’unan,de12moisd’acti-
vité dont 6 mois en continu ; pour une formation de deux
ans, de 24 mois d’activité dont 6 mois en continu.
INFO +
J’ai toujours voulu exercer une profession paramédicale mais j’ai eu le vrai déclic après ma ren-
contre avec une aide-soignante sourde également. Etre sourd et exercer une profession de santé,
c’était possible ! Pour le concours, j’ai bénéficié d’un tiers temps ainsi que de la présence d’un
interprète/interface lors de l’oral devant le jury. Dans les cours théoriques, j’étais suivi par deux
interfaces qui sont venues traduire ce que je ne peux entendre. Depuis que je suis diplômé, j’ai de
bonnes relations avec les résidents. Bien sûr il y a des difficultés rencontrées dans le travail, surtout
dans les transmissions orales entre soignants mais je suis bien intégré dans l’équipe. »
Jean-Noël, 23 ans,
aide-soignant sourd profond dans un établissement d’hébergement
pour personnes âgées dépendantes (EHPAD) de 80 résidents
LES MÉTIERS DE LA SANTÉ : la Première Année Commune des Etudes de Santé
Chaque année dans les Pays de la Loire, environ 3000 étu-
diants, futurs médecins, chirurgiens-dentistes, pharmaciens,
sages-femmes suivent d’abord une 1re année commune
aux études de santé, la PACES, préparée à l’université.
Tous les bacheliers ou titulaires d’un diplôme ou titre équiva-
lent peuvent s’y inscrire. Le bac S est toutefois recomman-
dé pour des études de santé à dominante scientique.
Certains des modules de formation sont communs à l’en-
semble des 4 lières (médecine, odontologie pharmacie,
maïeutique) ; d’autres sont spéciques.
Le rythme est soutenu et une sélection sévère intervient en
n de 1er semestre et de 2e semestre. Des réorientations sont
possibles dès la n du 1er semestre vers d’autres lières uni-
versitaires ou paramédicales.
Ceux qui ont franchi cette étape poursuivent dans la lière
de formation choisie en vue d’obtenir le diplôme d’État,
obligatoire pour exercer.
Les étudiants peuvent se présenter à un ou plusieurs
concours distincts correspondant à l’une des quatre lières.
Le nombre de places par lières (numerus clausus) est xé
annuellement pour chaque université par arrêté ministériel.
En fonction de leur rang de classement dit « rang utile », ils
accèdent ou non à la 2e année.
DES FORMATIONS RECRUTENT SUR CONCOURS, À L’ISSUE DE
LA PACES :
Les instituts de formation en masso-kinésithérapie, certains
instituts de formation d’ergothérapeute ou de manipula-
teurs.
Les candidats inscrits à la première année commune aux
études de santé (sous réserve de validation des unités
d’enseignement de la PACES) sont dispensés des épreuves
écrites d’admissibilité pour devenir inrmier.
POUR ENTRER EN PACES :
Pré-inscription de janvier à mars sur le site
www.admission-postbac.fr
Inscription administrative auprès de
la formation acceptée : calendrier variable
xé par les établissements.
Infos et conseils sur le site de l’académie de Nantes :
www.ac-nantes.fr (rubrique Orientation et insertion, Demander
une formation, Après bac)
UNIVERSITÉ DE NANTES
44042 NANTES Cedex 01
UFR d’odontologie
Place Alexis Ricordeau
Tél. : 02 40 41 29 21
www.odontologie.univ-nantes.fr
44035 NANTES Cedex 01
UFR de médecine et techniques médicales
1 rue Gaston Veil
Tél. : 02 40 41 28 28
www.medecine.univ-nantes.fr/09431259/0/fiche___pagelibre
44035 NANTES Cedex 01
UFR de sciences pharmaceutiques
9 rue Bias
Tél. : 02 53 48 00 99
www.pharmacie.univ-nantes.fr
La faculté des sciences de l’Université catholique
de l’Ouest - UCO d’Angers propose une année de mise
à niveau avant la PACES (formation payante)
UCO - Tél. : 02 41 81 66 17 - www.uco.fr
Intégrer des études de santé sans passer par la PACES ?
Dix universités françaises, dont celle d’Angers, se sont
portées candidates pour expérimenter une alternative à la
Paces. En effet, la loi ESR adoptée le 9 juillet 2013 ouvre
droit à expérimentation pour une période de six ans de
passerelles permettant d’intégrer des études de santé sans
être passé par la PACES, « après une ou trois années d’un
premier cycle universitaire adapté ». Objectif : diversifier le
recrutement des étudiants.
L’université d’Angers propose PluriPASS, un parcours de
formation qui remplace à partir de la rentrée 2015 l’ac-
tuelle PACES. Les étudiants de la Sarthe et de la Mayenne
peuvent suivre les cours de la licence PluriPASS à l’univer-
sité d’Angers ou en vidéo-transmission à l’université du
Maine Le Mans.
http://www.univ-angers.fr/fr/formation/pluripass.html
INFO +
NUMERUS CLAUSUS ?
Fixé annuellement par le gouvernement, le numerus clausus (nombre
fermé) fixe par région le nombre d’étudiants admis dans certains cur-
sus. Pour les études de santé, il est défini en fonction des besoins de
la population, de la répartition géographique des professionnels sur le
territoire et des capacités de formation des établissements. Il arrête
pour chaque université le nombre d’étudiants autorisés à poursuivre
en 2e année de médecine, odontologie, maïeutique et pharmacie à
l’issue des épreuves de classement.
Le système de numerus clausus ou de quotas d’entrée en formation
s’applique également aux études de kinésithérapie, soins infirmiers,
orthophonie, pédicurie podologie, ergothérapie, psychomotricité,
manipulation en électroradiologie.
BAC
ADMISSION
P
O
S
t
www.admission-postbac.fr
GUIDE DES ÉLÈVES DE TERMINALE 2015
LES MÉTIERS DE LA SANTÉ : LES PRÉPARATIONS AUX CONCOURS 5
LES PRÉPARATIONS AU CONCOURS
Première étape à franchir avant d’accéder aux écoles du
secteur paramédical : affronter les concours d’entrée et
leurs épreuves plus ou moins sélectives selon les formations
et les établissements. Une année préparatoire à l’issue de
la terminale peut donc être utile, notamment si vous n’avez
pas suivi un cursus scientique ou si vous souhaitez acquérir
ou mettre à jour les connaissances de base. Prépas en ly-
cée, prépas à l’université, prépas intégrées… les possibilités
sont variées mais les organismes privés représentent le gros
de l’offre avec des coûts parfois très élevés (jusqu’à 5000
euros) et peu de contrôle.
Les préparations aux concours proposent des stages courts
intensifs ou sur 1 an. Attention, elles ne garantissent pas la
réussite !
À noter : la quasi-totalité des préparations privées n’offre
pas le statut d’étudiant. Elles ne permettent donc pas l’af-
liation au régime étudiant de la Sécurité sociale et de bé-
nécier des bourses de l’enseignement supérieur octroyées
par l’éducation nationale.
Le CNED
Le CNED, établissement public prépare à distance à dif-
férents concours d’entrée en formations paramédicales :
inrmier, auxiliaire de puériculture, aide-soignant, ortho-
phoniste, cadre de santé... Il propose également une mise
à niveau pour les bacheliers non scientiques ainsi qu’une
préparation à la PACES.
www.cned.fr/vie-active/concours-ecoles-sante-social
LES FORMATIONS COMPLÉMENTAIRES PRÉPARATOIRES
AUX CONCOURS
Elles sont préparées en lycée, en général sur le modèle
d’une année scolaire, sur un rythme basé sur l’alternance.
Ces préparations répondent aux exigences des concours
paramédicaux, sous le contrôle pédagogique des autori-
tés académiques. Leur création ou leur fermeture est déci-
dée par le Recteur.
À noter : certaines formations peuvent être « suspendues »,
faute de d’un nombre insufsant de candidats. Renseignez
vous régulièrement auprès de l’établissement support de
la formation.
FC de niveau V (auxiliaire de puériculture
et aide-soignant)
44 REZÉ Lycée professionnel Louis-Jacques Goussier
Tél. : 02 40 32 44 00
44 SAINT-NAZAIRE Lycée professionnel Brossaud-Blancho
Tél. : 02 40 53 30 02
44 SAINT-NAZAIRE Lycée des métiers Sainte-Anne
Tél. : 02 40 17 12 00 - Coût de scolarité : 609 euros
49 ANGERS Lycée professionnel Simone Veil
Tél. : 02 41 66 80 31
49 BAUPRÉAU Lycée des Mauges
53 LAVAL Lycée polyvalent Haute Follis Tél. 02 43 26 17 17
72 LE MANS Lycée professionnel Funay-Hélène Boucher
Tél. : 02 43 50 12 30
72 LE MANS Lycée professionnel Joseph Roussel
Tél. : 02 43 76 93 00 - Coût de scolarité : 365 euros
85 LA ROCHE-SUR-YON IFOM Vendée
Tél. : 02 51 46 08 09 - Coût de scolarité : 1 880 euros alter-
nance sous statut scolaire
85 LUÇON Lycée polyvalent Atlantique
Tél. : 02 51 29 11 44
FC de niveau IV (niveau bac)
44 CLISSON Lycée C. Péguy
Tel. 02 40 54 48 00 - coût total de scolarité : 1 500 euros
en 2014-2015 (infirmier)
44 NANTES Lycée polyvalent Talensac Jeanne Bernard
Tél. : 02 51 72 95 10 - coût total de scolarité :
1 100 euros en 2014-2015 (infirmier)
44 NANTES Lycée J. Verne
Tél. 02 40 12 27 12 (ergothérapeute / manipulateur d’électroradiolo-
gie médicale / orthoptiste / pédicure podologue / psychomotricien)
44 NANTES Lycée La Colinière
Tél. 02 40 93 93 33 (infirmier)
44 REZÉ Lycée J. Perrin
Tél.02 40 32 44 00 (infirmier)
44 SAINT-NAZAIRE Lycée A. Briand
Tél. 02 40 00 25 25 (infirmier)
49 ANGERS Lycée U. Mongazon Tél. 02 41 66 41 33
coût total de scolarité : 1 084 euros en 2014-2015
Temps plein ou alt. sous statut scolaire (ergothérapeute /
infirmier / kinésithérapeute / manipulateur d’électroradiologie
médicale / orthoptiste / pédicure podologue)
49 BAUPRÉAU Lycée des Mauges (infirmier)
49 CHOLET Lycée Sainte Marie
Tél. 02 41 49 16 49 - coût total de scolarité : 873 euros en 2014-
2015 (infirmier)
LES MÉTIERS DE LA SANTÉ : LES PRÉPARATIONS AUX CONCOURS
enseignement public
(voie scolaire)
enseignement privé
(voie scolaire)
v enseignement privé hors contrat
(voie scolaire)
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