Mercredi
30 avril 21 heures
LES
PAPILLONS
QUI
TAPAIENT
DU
PIED
4
musiciens, 200 percussions et 2 saxophones
Joël
GRARE
: batterie, percussions ; Lê
Quan
NINH
:
percussions ;
François
CORNELOUP
: saxophone so-
prano ;
Daunik
LAZRO
: saxophone
alto.
«
Tu vas entendre, ô mieux
aimé
public,
une histoire
neuve et merveilleuse. Non pas l'histoire de la
lumière,
qui éblouit
les
ténèbres
qui
s'évanouissent
en
passant
par
les couleurs de
l'arc-en-ciel,
ni celle du donjon où diables
roulent
batteries, mais
l'histoire
des papillons qui tapaient
du
pied. Or,
écoute
une
fois
encore et m'entends bien... »
Joël Grare
Jeudi
V mai 17 heures
ST
NICOLAS
MON BON
PATRON
par
le Théâtre
â Coulisses de
Laon
Tout
commencera là...
Dans le berceau
familial...
Lit
cage... lit à barreaux...
Ciel
clair
de l'enfance, obscurci trop souvent par les
angoisses
lancinantes de
l'âge
adulte qui
vient.
Tout
a
commencé
là...
Jeanne
veut oublier...
Jeanne
veut s'oublier...
Saint-Nicolas,
prends-nous par la
main,
promène-nous
dans
l'enfance : de la cuisine
jonchée
de
personnages
en
papier, à
l'école
de l'insolence, des premiers
découpages
organisés...
à la
chaîne
de la manufacture.
A
bientôt,
Saint-Nicolas. Ma
mémoire
est comme une
grande maison. J'ai tellement
vécu
dans
la cave de cette
maison
que
j'ai oublié
avoir
joué
au grenier
étant
enfant.
Au
revoir
Saint-Nicolas.
Tout
est devenu trop moche
dans
la vie de
Jeanne,
car elle
s'est
soudain souvenue du
ciel
rouge sang de son enfance.
Adieu
Saint-Nicolas. Sois maudit, reprends ta hotte à
souvenirs, charge-la sur ta bourrique et
tire-toi..!
Vendredi 2 mai 21 heures
LA
MAISON
JAUNE
Texte
et mise en
scène
de
Joëlle
Fossier
avec
Sady
REBBOT
et
Michel
PAPINESCHI
Co-production
Théâtre
de La Grimace - Compagnie de Neptune
Théâtre
Singulier
« Vis-à-vis
de Gauguin et de Van
Gogh,
j'ai un net complexe
d'infé-
riorité
parce qu'ils ont su se perdre.
Gauguin
par son
exil,
Van Gogh
par sa
folie.
»
J.-P.
Sartre
Quand
le
Théâtre
rencontre la pein-
ture.
Une pièce
qui nous raconte
l'his-
toire
des rapports entre les deux
peintres, rapports d'abord chaleu-
reux,
puis tendus et finalement
tragiques,
jusqu'à
la
folie
de Van
Gogh.
« Grâce
à la magie de la
scène,
les
deux peintres
géniaux
retrouvent la
vie
et la parole. Leurs
interprètes,
Sady Rebbot et
Michel
Papineschi y
sont pour beaucoup.
Cela
mérite d'être
dit et surtout
d'être
vu. » VSD
«
La performance de
Michel
Papi-
neschi et de Sady Rebbot
n'est
pas
tant
de
dégager
le
climat
de drame
et d'isolement de ces deux peintres
maudits que de
délivrer
le
message
d'espoir que l'un et l'autre ont
laissé.
Leur
jeu est proche des
superbes
orchestrations de couleurs des deux
peintres. » Le
Matin
Samedi 3 mai 21 heures
J'EN
RIS
NON
C'EST
ROSSE
Soirée
Cabaret
avec
Roger
Marino
«
Il
dégouline
de talent comme de la « confiture
>>
des
Frères
Jacques
qui
est son petit
chef
d'œuvre.
»
«
Avec Raymond Devos son ami, il partage cette verve et cette
prolixité
où
les
sons
n'ont de
sens
que parce qu'ils sont
sens
dessus-dessous...
11
jongle
avec
les mots tels un saltimbanque,
multiplie
les tons et les
registres,
passe
de l'un à l'autre
avec
une
aisance
surprenante... »
«
Un
pilier
de cabaret, douze ans de Crazy Horse, le one-man show d'un
homme tenace. «
Aimons-le
», dit de lui Raymond Devos. »
Libération
«
La confiture qui
dégouline
et coule, coule sur les mains des
Frères
Jacues,
c'est
lui qui l'a
cuisinée,
mais il sait faire bien
d'autres
plats,
aigres-doux parfois,
réconfortants
aussi. » Le Nouvel Observateur
«
On
décolle
du
réel
pour la fantaisie pure. Un
délire.
» Le
Figaro
Réservation
fortement
recommandée.
Vendredi 2 mai 9 h 30- 10 h 45
14h - 15h
SORCIERES
par la Compagnie
VAGUE
ET
TERRE
mise en
scène
Bruno
SEBAG
Premier
prix
des Etats
Généraux
de la
Jeunesse
à
Issy-les-Moulineaux
(1985)
Trois
quarts
d'heures
d'aventures ensorcelantes, où
comédiens,
marionnettes,
cinéma
et
sons
rivalisent
d'inventions
et de gags.
Spectacle
proposé
pour les enfants des
écoles
primaires.
I
Dimanche 4 mai 17 heures
LE
MEDECIN
MALGRE
LUI
par le Groupe
Théâtre
de
Creil
Le
«
Médecin
»,
écrit après
« Dom Juan » et le « Misanthrope », ne
pouvait
être
seulement une farce. La richesse d'une
expérience
perce
sous
le canevas.
C'est
cette richesse que la troupe a
découverte
peu à peu
et
c'est
d'elle qu'elle a
voulu
donner une
idée.
Une
petite
pièce,
oui (c'est en partie pour cela qu'elle a été
choisie).
Mais
une
pièce
de
Molière
avec
qui
même
le petit et le
vite-fait
sont
passionnants, comme la troupe s'en est convaincue et comme elle
espère
vous en convaincre.
Christian
Jacquier