LA NR Cohn-Bendit ou la haine de l’Algérie P. 2 L A NOUVELLE R É P U B L I Q U E WWW .lnr-dz.com Après Lutte antiterroriste Android Market sur Google et iPhone, Ligue La NR lance l’application iPad Quotidien d’information indépendant - n° 4551 - Jeudi 7 février 2013 - Prix : 10 DA Tunisie : les intégristes passent à l’acte D. R. p. 2 L’EDITO DE SOFIANE IDJISSA Apprendre à rétablir l’ordre public sans victimes La France vient de parler de son ennemi intérieur. Elle en parle depuis son intervention au Mali. Le ministre de l’Intérieur français lie les menaces intérieures à l’existence de quartiers à vie précaire, chômage et échecs scolaires. Ceci constitue une certaine avancée par rapport à la vision exclusivement sécuritaire du Président sortant. Ce type de vision est partagé par l’Algérie quand celle-ci parle des insécurités globales qui nécessitent une lutte également globale. Toutes les polices du monde se retrouvent sur leurs missions. «Quand on interpelle, il faudrait un peu de brutalité, sinon, elles n’auront aucune autorité. Des polices démocratiques et des polices non démocratiques ? Lorsqu’une police est lâchée sur l’opposition, on dit qu’elle travaille pour le pouvoir et non pour l’Etat. Lorsqu’une police est lâchée sur des organisations sociales, on dit que c’est le pouvoir qui est en échec, car il n’a pas su convaincre. Ce n’est pas la police qui constitue un élément de solution, et ce n’est pas la répression qui peut être une alternative au dialogue et à la médiation. Madame la ministre française de l’Intérieur avait dit que la police française pouvait coopérer avec la police tuni- sienne en une sorte de formation à la gestion et au rétablissement de l’ordre public. Elle n’avait jamais pensé que la police française allait apprendre à la police tunisienne à réprimer les populations. Tout le monde avait omis de rapporter les paroles de Madame la ministre. Elle s’était étonnée du fait qu’on peut perdre la vie quand on sort juste pour s’exprimer par des manifestations pacifiques. A ce niveau, elle avait et elle a toujours raison. Perdre sa vie lors d’une manifestation pacifique ? S. I. actuel Le chiffre du jour La NR 4551 – Jeudi 7 février 2013 9 morts et 46 blessés dans des accidents de la route mardi. 2 pnud agriculture travaux publics aujourd’hui OIT L’Algérie est le pays ayant enregistré la plus forte baisse du chômage dans le monde arabe. Sial 2013 Présentation de l’expérience de pain à base de farine de pomme de terre. Syndicat Création d’une nouvelle organisation syndicale relevant du Snapap. 18e édition de la Conférence de l’Association des Lions Clubs d’Afrique à Oran. Lutte antiterroriste REPÈRE Cohn-Bendit ou la haine de l'Algérie TUNISIE , Adepte du «qui tue qui» Le militant patriote Chokri Belaïd assassiné dans les années 1990, le Franco-Germanique antialgérien Cohn-Bendit a encore une fois ouvert son «bec» pour critiquer l'Algérie. Selon ce député européen, l'Algérie exerce «le double jeu» avec les groupes islamistes armés. Avant qu'il ne reçoive la réponse des Algériens, Cohn-Bendit s'est fait très petit devant les autres députés européens et ce, après avoir été remis à sa place par le président français. Dans son discours, François Hollande a tiré à boulets rouges sur le député des Verts et sur ceux qui, aveuglés par la haine, osent apporter des critiques contre l'Algérie. Dans l'enceinte de Parlement européen et devant les députés et des milliers de téléspectateurs, François Hollande a déclaré : «J'ai entendu tout à l'heure évoquer l'Algérie. Je veux ici dire combien l’Algérie a souffert pendant des années et des années du terrorisme, et que s’il y a un pays qui ici est la victime de la barbarie c’est bien l’Algérie», a ajouté le président français. Dans son discours, François Hollande a évoqué l'attentat d'In-Amenas, indiquant le rôle joué par les forces de sécurité algériennes qui ont réussi à libérer les otages. «Je n’ai pas discuté de ce qui a été fait par les Algériens, sur leur territoire, pour éradiquer les terroristes qui retenaient en otages 600 personnes !» a-t-il ajouté. «Nous aurons besoin de l’Algérie dans cette région du monde pour lutter contre le terrorisme, pour favoriser une politique de développement, pour le dialogue politique y compris avec les Touareg.» Mis à part ce que rapportent les médias, que saviez vous du terrorisme islamiste, M. Cohn-Bendit ? A la place des Algériens, n'importe quelle nation au monde, et vous en premier, aurait brandi le drapeau blanc devant ces hordes sauvages. Ce n'est pas le cas pour l'Algérie qui n'a pas abdiqué devant ces sanguinaires et a réussi à maintenir debout la République. Grâce à son peuple et ses forces de sécurité, l'Algérie est restée debout au moment où M. CohnBendit et ses acolytes l’ont donné pour morte. M. CohnBendit et ses amis doivent également savoir que ce n'est pas l'Algérie qui a donné l'hospitalité à des milliers de criminels qui ont fui l'Algérie, l'Afghanistan et autres pays. L'Algérie n'a pas financé les or- Le lobby de la haine et la bêtise. (Photo > D. R.) Le secrétaire général du parti des Patriotes démocratiques assassiné à Tunis La démocratie frappée au cœur Quatre balles assassines ont mis fin à la vie d’une figure de l’opposition, Chokri Belaid, secrétaire général du parti des Patriotes démocratiques. Selon des témoignages, les tueurs ont guetté leur victime à la sortie de son domicile, avant d’ouvrir le feu sur lui. Évacué vers les urgences, il décéda quelques minutes après des suites de ces blessures. Des Tunisiens accusent directement le parti islamique Ennahda et son bras armé «Les gardes de la révolution». Les proches de M. Belaid ont rapidement accusé les islamistes au pouvoir du crime, même si les dirigeants d’Ennahda ont également dénoncé «un acte de terrorisme». Après ce drame, le président tunisien Moncef Marzouki a annulé sa participation au sommet de l’Organisation de la coopération islamique au Caire pour rentrer en urgence à Tunis. Des milliers de manifestants se sont réunis devant le ministère de l’Intérieur à Tunis et la foule continuait de grossir en fin de matinée pour dénoncer le meurtre de Chokri Belaïd. Les manifestants scandaient des slogans contre le parti islamiste Ennahda, qui dirige le gouvernement tunisien, et chantaient l’hymne national face au ministère, situé sur l’avenue Habib Bourguiba, haut lieu de la révolte de 2011. «Mon frère a été assassiné, je suis plus que désespéré», a indiqué à l’AFP le frère du défunt, Abdelmajid Belaid. Il a immédiatement accusé Ennahda d’être responsable du meurtre. «J’accuse Rached Ghannouchi d’avoir fait assassiner mon frère», a-t-il déclaré, sans plus d’explication pour étayer cette accusation. Selon l’épouse de l’opposant, s’exprimant sur la radio Mosaïque, il a été touché par plusieurs balles alors qu’il sortait de chez lui. Chokri Belaïd, 48 ans, critique acerbe du gouvernement actuel, avait rejoint cette année une coalition de partis de gauche, le Front populaire, qui se pose en alternative au pouvoir en place. Devant l’hôpital du quartier Ennasr de Tunis, où la dépouille de Belaid se trouve, une foule s’est réunie hurlant sa colère et accusant Ennahda ; «Le peuple veut une nouvelle révolution», «Ghannouchi sale chien», criait notamment le père de la victime, en larmes. Hamma Hammami, le chef du Front populaire et proche de Belaïd, a dénoncé un «crime politique». «Il a été commis par des partis politiques qui veulent enfoncer le pays dans le meurtre et l’anarchie. Tout le gouvernement et tout le pouvoir assume la responsabilité de ce crime odieux car les menaces contre Chokri et d’autres ne datent pas d’aujourd’hui», a-t-il déclaré. La Tunisie a vu se multiplier les violences sociales et politiques ces derniers mois. Plusieurs partis d’opposition et des syndicalistes ont accusé des milices pro-islamistes, la Ligue de protection de la révolution, d’orchestrer des heurts ou des attaques contre les opposants ou leurs bureaux. Les partisans de ce mouvement sont accusés notamment d’avoir tué en octobre un dirigeant régional du parti d’opposition Nidaa Tounès à Tataouine (sud). Par ailleurs, la Tunisie est plongée dans une impasse politique, faute d’un compromis sur la future Constitution qui bloque l’organisation de nouvelles élections. Moncef R. ganisations terroristes, elle n'a payé de rançon et n'a entamé aucun dialogue avec les sanguinaires. Le seul principe des Algériens est celui de combattre le terrorisme, elle l'a fait sans l'aide de personne et continue aujourd'hui de le faire. Cohn-Bendit aurait certainement oublié que le terrorisme aveugle que lui même et certains de ses amis ont soutenu par le «qui tue qui» a fait plus de 200 000 morts. Il faut être vraiment aveugle et sourd à la fois pour ne pas voir que l'Algérie n'a jamais cédé au terrorisme. Depuis les années 1990, l'Algérie a combattu seule ces groupes armés, financés et aidés par ceux qui rêvent de voir l'Algérie devenant un Afghanistan bis. Il est plus que sûr que M. Cohn-Bendit et ceux qui partagent ses idées ont du mal à digérer que le terrorisme a été vaincu en Algérie. Ces mêmes personnes auraient certainement fait leur «deuil» lorsqu'elles ont su que l'Algérie a été le seul pays de la région à faire exception au «printemps arabe». Sachez, M. Cohn-Bendit, que les Algériens sont prêts à donner dix fois plus pour éradiquer le terrorisme et pour que l’emblème national flotte à jamais dans les cimes. M. Cohn-Bendit, vous devrez tout d'abord vous «purifier» à chaque fois où vous devez évoquer l'Algérie. La caravane passe... Monc ef R édha Voir sur Internet www.lnr-dz.com Alors qu’il sortait de chez lui, le patriote tunisien le défunt Chokri Belaïd a été la cible d’un assassinat, hier matin. Un triste évènement qui vient de secouer le pays qui depuis le départ forcé de son ex-président Zine El Abiddine, puis la venue de la Troïka à la tête de l’Etat conduite par le mouvement Ennahda de Ghennouchi, le pays n’arrive pas à décoller. L’assassinat du militant Chokri Belaid intervient dans une conjoncture marquée par des tensions politiques, entre l’opposition et la Troïka, qui, depuis les élections de juillet dernier, n’a pas été en mesure de répondre aux aspirations à l’origine des évènements qu’a vécus la Tunisie. Une situation qui depuis quelques semaines bouleverse la Troïka, critiquée par l’opposition, et dont le remaniement ministériel du gouvernement de Jebali n’est qu’une «pièce théâtrale montée par le mouvement Ennahda pour gagner du temps». Une déclaration du défunt militant Chokri Belaid lors des travaux du premier congrès constitutif de l’Organisation des femmes citoyennes et démocrates tenue au lendemain du discours du 26 janvier du chef du gouvernement, Hamadi Jebali. Le fervent défenseur des principes républicains a eu aussi à souligner à cette occasion qu’il «compatissait avec Jebali en priant Dieu de le délivrer de l’emprise de Rached Ghennouchi». Cela étant, si depuis la tenue des élections en Tunisie, des groupes islamistes extrémistes ont manifesté leur action violente contre des intellectuels ainsi que l’agression du local de la plus ancienne organisation syndicale du pays, il n’en demeure pas moins que la Troïka n’a pas été en mesure d’être ferme en direction de ces violences. Situation qui ne peut être profitable qu’aux forces visant à freiner l’élan des forces vives du pays dont le défunt Chokri est une des ses figures. Par l’assassinat de celui qui longtemps a milité pour le progrès e la démocratie dans son pays, c’est ce projet qui a été la cible hier matin, au seuil de la maison du martyr Chokri Belaïd. En vain, à la vue des vives réactions des Tunisiennes et Tunisiens ainsi que la classe politique condamnant fermement l’assassinat. Réaction portant aussi des appels à la vigilance pour faire échec aux objectifs escomptés par ce lâche assassinat. Kar ima Bennour actuel DGSN Séminaire régional à Constantine Développer la communication au profit de la sécurité Développer les performances des services de communication, de l’information et des relations publiques au profit de la sécurité et du travail de proximité est l’un des objectifs d’un séminaire régional organisé hier à Constantine par la direction générale de la Sûreté nationale. Cette rencontre de grande envergure a été présidée par le commissaire divisionnaire Djilali Boudalia, responsable de la communication centrale à la DGSN et le commissaire divisionnaire Mohamed Belaïfa, inspecteur régional à l’Est en présence des chefs de bureaux de communication et des relations publiques et les chefs des cellules d’écoute et des ressources humaines des sûretés de wilayas de l’est et du sud-est du pays. Cette rencontre s’inscrit, entre autres, dans le cadre du perfectionnement professionnel et du développement des performances du personnel de la Sûreté nationale chargé de l’information, de la communication et des relations publiques. Ces services ont à charge des missions de prévention contre la criminalité et la délinquance ainsi que d’éclairer et sensibiliser l’opinion publique sur le devoir de tous de lutter contre toutes les formes d’insécurité et la nécessité de connaître et d’assister l’activité des services de police. Un travail de proximité a été mis en avant par le commandement central de cette institution dans le but de soigner l’image de l’institution, améliorer les relations des différents services avec la presse nationale et aussi inciter les citoyens à coopérer pour préserver leur sécurité et celle de leur pays. Ladite démarche s’inscrit, selon les organisateurs de la rencontre, dans une politique globale initiée par le DGSN, le général-major Abdelghani Hamel, versant dans le développement de la communication interne et externe de l’institution et le développement du travail de proximité dans toutes les missions de police. Intervenant à l’ouverture des travaux de la rencontre, le commissaire divisionnaire Boudalia a assuré que la direction générale a mobilisé tous les moyens humains et matériels au profit des préoccupations des citoyens en termes de sécurité tout en l’encourageant à coopérer et consolider ses relations avec les services de police. Outre le débat autour du développement des différents services de l’information, de communication et des relations publiques, la rencontre de Constantine a, également, marqué un break pour l’évaluation des activités desdits services à l’est et au sud-est au cours de l’année écoulée, et ce, afin de relever les points positifs et négatifs dans l’objectif de tirer des enseignements et perfectionner les différents services. Pour rappel, une série de rencontres pour la promotion de la communication et du travail de proximité, se tiennent régulièrement dans différentes régions du pays, à commencer par une rencontre nationale tenue à Alger l’année dernière, suivie de deux rencontres régionales dont l’une à l’est et l’autre à l’ouest. En ce début d’année, la DGSN a commencé ses rencontres par celle d’hier à Constantine et qui sera suivie dans les prochaines semaines par une autre à Oran et une troisième à Blida. R adia Z. La NR 4551 - Jeudi 7 février 2013 3 Institut pour le développement durable en Afrique Konrad Osterwalder : «Nous avons choisi l’Algérie pour sa stabilité» Konrad Osterwalder. (Photo > D. R.) ,Le choix de l’Al- gérie pour la réalisation de l’institut pour le développement durable en Afrique, affilié à l’université des Nation unies, est lié à un ensemble de critères dont une stabilité sociale et politique». C’est ce qu’a été affirmé hier par le recteur de l’université des Nations unies, Konrad Osterwalder, lors d’une conférence de presse tenue conjointement avec le président du Conseil national économique et social (Cnes), Mohamed Seghir Babès. Outre cette stabilité, M. Osterwalder a indiqué que le choix a été motivé par la place importante qu’occupe l’Algérie dans le monde arabe et dans le continent permettant le renforcement de la présence africaine au sein des Nations unies, et aussi par «le succès de la réforme de son système éducatif ainsi que le développement de son enseignement supérieur». Il a, également, avancé que des progrès réalisés par l'Algérie en matière d'utilisation et d'analyse des indicateurs du développement humain ont encouragé son institution à la réalisation de son institut à Alger. Le recteur a, par ailleurs, assuré que le financement d’une telle infrastructure sera partagé entre le pays hôte (l’Algérie), des fondations et des associations en attendant l’alimentation d’un fonds propre à l’institut sur une période de dix ans avant d’atteindre une autonomie financière. M. Osterwalder a, de même, assuré que son université ne pourra accepter un financement de la part des Nations unies afin d’éviter de porter atteinte à son indépendance. Pour sa part, le président du Cnes, a affirmé que l'Algérie accorde un intérêt particulier au projet de réalisation de l'institut pour le développement durable en Afrique (UNU-Irrada), et qu’elle ne ménagerait aucun effort pour mettre tous les moyens nécessaires à la réalisation de ce projet d’une grande importance pour l’Algérie, l’Afrique et les pays en voie de développement ou en crise. M. Babès a indiqué que l’institut démarrera officiellement en avril prochain avec la désignation à sa tête d’un directeur fondateur et aura un siège au niveau de l’une des universités d’Alger en attendant la construction du nouvel institut. Il a tenu à préciser que cette nouvelle institution domicilié dans une université algérienne dépendra directement de l’université des Nations unies. Radia Zerr ouki BRÈVE POUR UNE VISITE DE QUATRE JOURS Le commandant de la Gendarmerie turque en l’Algérie Reçu hier par son homologue le général-major Ahmed Bousteila, le commandant de la Gendarmerie turque, le général d’armée, Bekir Kalyoncu, effectue une visite de quatre jours en Algérie. Selon la cellule de communication du commandement de la Gendarmerie nationale, le chef de la Gendarmerie turque est arrivé à Alger à la tête d’une importante délégation pour une visite «de travail et d’amitié qui s'inscrit dans le cadre du renforcement des relations et de la coopération dans plusieurs domaines», souligne notre source. Et d’expliquer que cette visite s’inscrit, également, dans le cadre d’échange d’expérience en matière de sécurité publique et de lutte contre la criminalité organisée et vise à consolider et promouvoir les relations bilatérales entre les deux institutions notamment dans le domaine de la formation et l’échange d’expériences professionnelles. Pour ce qui est du programme de la visite, le premier jour a été marqué par des entretiens entre les chefs de la gendarmerie des deux pays et des contacts entre les différents services des deux institutions, et ce, en présence de hauts cadres de la Gendarmerie nationale algérienne. A partir d’aujourd’hui, la délégation turque entamera des visites à des structures de formation et différentes structures opérationnelles et spécialisées de la Gendarmerie nationale. R . Z. Terrorisme Une caserne militaire attaquée et deux personnes enlevées ,Les forces de sécurité sont en alerte dans les wilayas de Khenchela et de Tébessa après l’attaque terroriste contre une caserne militaire et l'enlèvement de deux personnes par un groupe armé. Les forces armées aériennes survolent la région alors qu'un vaste opération de ratissage a été déclenché pour retrouver les éléments des groupes terroristes. Selon des sources qui restent à confirmer, les terroristes se sont scindé en trois groupes. Le premier groupe a dressé un faux barrage par lequel il a enlevé l’approvisionneur de l'ANP et son chauffeur. Au même moment, un autre groupe a attaqué la caserne militaire. Les assaillants dont le nombre n'a pas été déterminé ont échangé des coups de feu avec les éléments de l'ar- mée à l'intérieur de la caserne. Nous ne savons pas si les terroristes ont voulu donner l'assaut sur la caserne ou, ont-ils ouvert le feu uniquement pour occuper les militaires pendant que l'opération de l’enlèvement se poursuivait? Les mêmes sources ajoutent qu'un troisième groupe a été chargé de placer des engins explosifs pour retarder l'intervention des forces de sécurité. Toujours et selon des informations qui restent à confirmer, les éléments du groupe terroriste portaient des tenues militaires et étaient fortement armés et auraient utilisé des RPG7. Des militaires auraient été blessés par l'explosion des bombes déposées par les criminels. Les mêmes sources ajoutent que les blessés ont été évacués sur l'hôpital mili- taire de Constantine. La riposte des forces de sécurité aurait fait plusieurs morts et blessés dans les rangs des assaillants, ont ajouté les mêmes sources. Pour l'instant seul un terroriste a été officiellement abattu par les forces de sécurité, une arme de marque «Kalachnikov» et un RPJ7 ont été récupérés. En raison de la vigilance des citoyens et surtout des efforts et du savoir faire des forces de sécurité, la wilaya de Khenchela a été dans les années «chaudes» non seulement un havre de paix mais une région interdite pour le terrorisme. Même les endroits et les grottes utilisées par les Moudjahidine au cours de la guerre de Libération étaient identifiés et sécurisés par les forces de sécurité pour ne pas permettre aux groupes terroristes de se servir. Les quelques criminels qui se sont infiltrés à partir des frontières des wilayas limitrophes ont été anéantis. Malheureusement, ces dernières années, la situation a changé et on constate de temps à autre que des attentats terroristes soient commis par des groupes de criminels. Ces groupes armés se sont même permis d'enlever au mois de juillet 2012 un garde-communal âgé de 47 ans, père de trois enfants exerçant dans la localité d'El-Amera dans la commune de Chachar, à 50 km de Khenchela. Ces mêmes éléments ont également assassiné un repenti en son domicile au mois d'août 2012, au douar Ras El-Ma, situé dans la commune des Ouled Rechache,wilaya de Khenchela. Au cours de cette attaque, les terroristes qui ont fait éruption dans le domicile du repenti ont blessé la femme de ce dernier. Enfin, pour l'instant nous n'avons pas pu confirmer officiellement l’attaque terroriste et l'enlèvement des deux personnes dans la région de Boudoukhane (Khenchela). Nos efforts déployés pour en savoir plus à ce sujet sont restés vains. Les responsables au niveau du groupement de gendarmerie de Khenchela avec qui nous avons pris attache n'ont pas souhaité s'exprimer à ce sujet. «Nous ne sommes pas habilités à vous donner des informations à ce sujet», nous a-t-il répondu au secrétariat. Nous y reviendrons dans l’une de nos prochaines éditions. Moncef Rédha actuel TI PA SA Pêche et ressources halieutiques Le ministre inaugure un centre conchylicole à Bou-Ismaïl Dans le cadre du développement du secteur de la pêche, Ahmed Ferroukhi, ministre de la Pêche et des Ressources halieutiques, a inauguré, hier, un centre conchylicole situé dans la coquette ville de Bou-Ismaïl en présence de M. Ayadi Mustapha, wali de Tipasa. Cette infrastructure dont l’importance est à souligner répond tout d’abord à la feuille de route initiée par le secteur en vue d’améliorer les rendements en matière d’aquaculture et en même temps donner l’opportunité aux investisseurs de se rapprocher de ce centre qui tend à l’encadrement et à la vulgarisation de l’aquaculture. Cet ensemble est rattaché au Centre national de recherche et de développement de la pêche et de l’aquaculture (CNRDPA). La superficie en mer pour l’élevage des moules est de l’ordre de 5 hectares tandis que le bâti qui abrite le centre fait 2 000 m2 de superficie. S’agissant des objectifs, cette infrastructure répond essentiellement à des objectifs de recherche et de développement dans les domaines des élevages de bivalves en mer ouverte. Pour ce qui est de sa mission : il y a des essais et démonstration des techniques d’élevage en mer, de développer les sujets de recherche dans le domaine de la conchyliculture. Par ailleurs, ce Centre intervient dans le cadre de l’appui aux investisseurs et aux professionnels du secteur. Le Centre, organisant aussi des stages pratiques en direction des étudiants, est composé d’un compartiment administratif, d’un compartiment de recherche, d’un laboratoire physico chimique, laboratoire histologie, la microbiologie ainsi que des chambres froides. Il y a lieu de rappeler que le Centre est chargé de contribuer à l’élaboration et à la réalisation des programmes nationaux de recherche scientifique des domaines de la pêche et l’aquaculture ainsi que de réaliser des études nécessaires à l’évaluation des ressources halieutiques et des capacités nationales en matières de pêche et d’aquaculture. Il a pour mission aussi d’entreprendre des actions pilotes liées au développement de l’aquaculture des viviers des madragues et autres établissements d’élevage et de pêche. Il doit en outre de proposer la conformité avec la réglementation, en vigueur à l’autorité de tutelle dans le strict respect des modalités de définition des zones de pêche. Son action lui permet d’effectuer des études a caractère économique et social par rapport avec la pêche et l’aquaculture et à l’organisation, le développement et les conditions de vie et de travail dans le secteur. Lors d’un point de presse rapide les journalistes présents ont attiré le ministre sur la pollution de la côte de Tipasa en insistant sur l’apport du ministère pour éradiquer ce fléau qui menace la faune marine. Dans une courte réponse, M. Ferroukhi a déclaré «Mon département s’attèle pour confectionner un programme d’action national qui aura pour objectif de résoudre cette problématique et de sanctionner le cas échéant les pollueurs.» M o h a m e d E l - Ouahed La NR 4551 - Jeudi 7 février 2013 4 Pour réduire le recours au gasoil Naftal veut développer l'utilisation de carburants propres ,La Société nationale de commercialisation et de distribution des produits pétroliers (Naftal) a engagé plusieurs actions visant à promouvoir l'utilisation des carburants propres, notamment le GPL et le GNC et réduire la consommation de gasoil dans le secteur des transports. Ces actions portent sur le développement du GPL (gaz de pétrole liquéfié) et du GNC (gaz naturel comprimé) comme carburants ainsi que l'élargissement du réseau national de stations services offrant aux utilisateurs ces carburants alternatifs, a indiqué mardi le PDG de Naftal, Saïd Akretche. Ainsi, il existe actuellement plus d'un millier de points de vente de GPL carburant répartis sur le réseau national de stations-service gérées par Naftal, avec un rayon moyen entre stations de moins de 50 km dans lenord et moins de 100 km dans le sud ainsi qu'une capacité globale de plus de 16 000 mètres cubes. De même, Naftal s'est lancé dans un nouveau programme portant sur la mise en place de points de vente exclusivement dédiés au GPL-C. Un premier point situé à Aïn Sefra dans la wilaya de Naâma Le GPL, l’alternative au gasoil. (Photo > D. R.) est déjà opérationnel, a affirmé M. Akretche, ajoutant que d'autres espaces similaires sont en cours de réalisation dans les différentes régions du pays. Naftal encourage les gérants privés de stationsservice pour commercialiser le GPL-C au niveau de leurs stations particulièrement à travers la prise en charge par cette société des travaux de montage d'équipements et d'installations de distribution de ce carburant et le partage de bénéfices entre les deux parties. Actuelle- ment, Naftal, filiale de Sonatrach, dispose d'environ 200 ateliers et centres de conversion de véhicules en GPL-C, alors que le parc de véhicules roulant en GPL-C compte près de 250 000 engins pour une consommation annuelle moyenne de quelque 350 000 tonnes métriques. S'agissant, en outre, de l'encouragement de l'utilisation du GNC par les engins de transports en commun, Naftal vient de lancer des actions pilotes ciblant les espaces urbains. Il s'agit, entre autres, de l'installation de deux centres de remplissage au niveau de la station Sissane à Rouïba (est d'Alger) et à l'aéroport international d'Alger. Une troisième station de remplissage est en cours de réalisation au niveau du parc de l'Etusa (Etablissement de transport urbain et suburbain d'Alger) à la place du 1er -Mai (Alger) parallèlement à la conversion d'une centaine de bus de cette entreprise, selon M. Akretche. Dans le même sens, un autre projet pilote est en cours de mise en œuvre par des cadres de Naftal et porte sur la construction, au niveau de sites de l'entreprise, de centres de conversion de camions en GNC. L'utilisation du GPL comme carburant moteur est une technologie qui a fait ses preuves au niveau mondial depuis plus de 40 ans. Le parc de véhicules roulant au GPL-C, qui comprenait 7 millions d’unités en 2000, est passé à plus de 15 millions aujourd’hui avec un accroissement annuel de l’ordre de 1,5 million de véhicules, selon des chiffres récents. Début des années 1980 a permis la maîtrise de cette technologie par les opérateurs nationaux et a notamment démontré que ce type de carburation ne représente aucune contrainte liée à la sécurité du fait qu'aucun incident notable n’a été enregistré depuis. Par ailleurs, et sur le plan environnemental, tous les essais menés par les laboratoires spécialisés ont montré que le GPL-C est un carburant beaucoup plus écologique que l’essence et le gasoil. Contrairement aux carburants classiques distribués actuellement en Algérie, la qualité environnementale du GPL-C lui permet d'être utilisé dans les moteurs de dernière génération répondant aux normes internationales de protection de l'environnement. Salima S . Chute des prix des viandes blanches et du mouton vif Pourvu que les frontières restent hermétiques , Sur les étals des boucheries de viandes blanches dans les marchés de l’intérieur du pays, le prix du poulet affiché est de 140 DA de moins que d’habitude. Il vient de reculer de 380 DA à 240 DA soit plus de 33%. Aux marchés à bestiaux, les prix des moutons vifs sur pied reculent eux aussi entre 5 000 et 6 000 DA. Si pour la volaille les raisons sont connues et étaient attendues, elles se résument d’abord à l’offre qui est beaucoup plus importante que celle attendue dépassant largement la demande qui connaît généralement un pic en cette période cultuelle du Mawlid Ennabawi où les plats sont préparés à base de viandes blanches. Il s’avère que tous les aviculteurs professionnels et conjoncturels ont eu confiance en les mesures anticipatives prises par l’Etat en juin et juillet 2012 suite à la crise mondiale dans la production de l’aliment de bétail. Ces mesures consistaient en un soutien sous plusieurs formes, notamment l’exonération des droits de douanes sur les prix des principales céréales entrant dans la composition des aliments de bétail. La confiance, acquise, a induit que toutes les batteries d’élevage de poulet de chair soient mobilisées et rentabilisées. Ainsi à la wilaya de Djelfa pour exemple, la production s’est multipliée par trois elle a atteint les 44 130 quintaux chez les aviculteurs déclarés dépassant largement les 13 830 quintaux en 2012. Ce n’est pas la seule raison qui explique cet important recul ; l’offre étant plus importante que la demande parce que le poulet en grossissant devient plus vorace et consomme plus d’aliments, ceci d’une part, p et d’autre part la majorité des poulaillers non re- censés ou vivriers soit artisanaux ou familiaux produisent autant si non plus de poulet que ceux qui sont déclarés se trouvant en zones montagneuses enneigées actuellement. Le froid persistant peut être catastrophique pour ces cheptels. D’où la nécessité pour les aviculteurs de se séparer de cette «charge» à n’importe quel prix et au moindre coût, l’essentiel c’est de sauver les meubles. Néanmoins, le prix actuel leur est bénéfique si la crise ne perdure pas. Les frontières étant devenues hermétiques suite aux problèmes sécuritaires ou la faiblesse des états voisins qui n’arrivent plus à maîtriser les groupes terroristes agissant sur leurs territoires et qui risquent de nous causer des préjudices. Les contrebandiers transfrontaliers se voient ces jours-ci obligés de faire profil bas et de rentrer en dormance en attendant des jours meilleurs. Cette situation a eu des répercussions positives sur le marché intérieur notamment celui du mouton qui ne fait plus du saute-frontière. Sur les marchés à bestiaux, la bourse du mouton a sensiblement chuté. Les prix ont sensiblement reculé de 5 000 DA voire 6 500 DA par tête sur pied. En définitif, les prix qui étaient appliqués et imposés aux consommateurs ne sont que le résultat de la spéculation et du llaxisme affiché par l’Etat dans le domaine du contrôle. Les frontières hermétiques ont un double effet, la préservation des richesses nationales avec une meilleur maitrise de la situation et surtout le retour à la normalité des prix des aliments de première nécessité et stratégiques. Pourvu que les frontières restent hermétiquement fermées. Djil ali Harf ouche échos La NR 4551 - Jeudi 7 février 2013 5 Maghnia INFOS EXPRESS AÏN TÉMOUCHENT Les postulants au logement menacent de descendre à Alger Une cinquantaine de citoyens souscripteurs au logement social participatif (LSP) dans la ville d’Aïn Témouchent s’est attroupée hier devant le porte principale du siège de la wilaya afin de soumettre leur préoccupation au premier responsable de la wilaya. Selon eux, le promoteur détenteur du projet de 70 logements de l’année 2008 a accepté les apports personnels de 100 postulants au lieu de 70 et refuse de publier la liste des bénéficiaires. Ils ont remis à la presse leur pétition signée par 59 postulants qui lui ont versé la somme demandée. «Nous avons demandé maintes fois au promoteur des éclaircissements, en vain. Allez y vous plaindre, nous avons aussi saisi le wali, mais kif kif. Alors, nous avons décidé de descendre sur Alger pour solutionner notre cas. C’est honteux de voir ce genre d’agissement contraire à la morale», déplorent ces protestataires en colère. Les éléments de la sûreté de wilaya d'Aïn Témouchent étaient sur les lieux et leur ont refusé l’accès, ce que les souscripteurs mécontents n’ont pas apprécié. «Nous ne savons plus chez qui nous plaindre ? Où sont les responsables et les élus censés défendre et servir les citoyens ?» se demandent-ils. Après avoir passé plus d’une heure d’attente, les protestataires se sont dispersés sans pour autant atteindre leur objectif. Ces pétitionnaires ont adressé également des lettres aux ministères concernés. S . Djelloul TISSEMSILT Arrestation de quatre personnes pour création de lieu de débauche... Quatre personnes, dont une femme, ont été présentées devant le parquet près le tribunal de Theniet El Had et placées sous mandat de dépôt pour création de lieu de débauche et prostitution, pratique d'actes sexuels illicites et en état d’ébriété, a indiqué l’officier chargé de la cellule de communication de la sûreté de wilaya. C'est à la suite d'une plainte déposée par les habitants de la cité à Laâyoune,que les éléments de la police judiciaire de la sûreté urbaine ont déclenché une enquête qui s'est soldée par l'arrestation d’un homme âgé de 40 ans et d’une femme âgée de 20 ans en flagrant délit. Le propriétaire du logement, un proxénète âgé de 53 ans, était avec une autre personne, la quarantaine, dans une Renault Mégane devant la porte du domicile en question en état d’ébriété et consommant du kif. Les policiers ont trouvé en possession des mis en cause des vidéos à caractère érotique, une quantité de boissons alcoolisées ainsi que des armes blanches prohibées. ... et de voleurs de téléphones portables Les éléments de la police judiciaire de la sûreté de wilaya de Tissemsilt ont mis fin aux néfastes agissements deux voleurs de téléphones portables qui sévissaient à travers les quartiers de la ville. Les policiers ont réussi à mettre hors d’état de nuire ces deux délinquants qui ont volé à leur victime un téléphone portable après l’avoir menacée avec une arme blanche. Les mis en cause ont, en outre, été appréhendés et le portable volé a été récupéré. A l’issue de cette arrestation et après avoir été entendu par les policiers et le parquet, les deux malfaiteurs ont été placés sous mandat de dépôt. Abed Meghit Le fils d'un élu placé sous mandat de dépôt pour escroquerie Tiaret : saisie de 30 000 DA en faux billets et arrestation de deux personnes A peine deux mois depuis l'installation de la nouvelle Assemblée populaire communale, voilà qu'un scandale vient d'éclater au grand jour, suite à la mise sous mandat de dépôt du fils d'un élu pour escroquerie. , Le mis en cause avait promis à un citoyen d'intervenir pour lui auprès de son père, un élu, pour délocaliser l’assiette de terrain pour un projet de construction d'une niche pour transformateur électrique qui devait être construite sur le terrain appartenant à la victime. Ce dernier avait convenu avec le fils de l'élu d'un montant de 50.000 DA pour cette intervention. Mais la transaction n'est pas allée à son terme, la victime ayant avisé les services de sécurité qui ont pris soin de photocopier les billets de banque qui devaient être remis au fils de l'élu et lui La brigade d’investigation et de recherche de la Sûreté de wilaya de Mostaganem a arrêté, dernièrement à Tiaret, deux individus et saisi 30.000 DA en faux billets de 2000 DA, a-t-on appris mardi auprès de ce corps de sécurité. (Photo > D. R.) tendre une souricière sur le lieu même du rendez-vous entre les deux personnes. Le concerné a été arrêté en flagrant délit et présenté devant le magistrat instructeur près le tribunal de Maghnia qui a ordonné sa mise sous mandat de dépôt pour escroquerie. Tipasa : mise en service du 4e centre d'enfouissement technique intercommunal Mohamed Hichem Intempéries Plusieurs routes coupées à la circulation dans certaines wilayas Plusieurs routes ont été coupées à la circulation dans certaines wilayas suite aux intempéries qui affectent différentes régions du pays, a indiqué mardi la Gendarmerie nationale dans un communiqué. A Bouira, un amoncellement de neige a provoqué la suspension de la circulation au niveau de la RN 15 reliant cette wilaya à Tizi-Ouzou au col de Tirourda, commune d’Aghbalou, ainsi qu’au niveau de la RN30 reliant Bouira à Tizi-Ouzou, au lieu-dit Tizi-N’Koulen, commune de Saharidj. Dans la même wilaya, l’amoncellement de neige a également provoqué la suspension de la circulation au niveau de la RN 33 reliant Bouira à Tizi Ouzou et à Tikjda, commune d’El-Asnam, et à la RN33 bis, reliant Bouira à Tizi Ouzou à hauteur du village Alouane, dans la commune de Haïzer. Oran : découverte d’un sac contenant 6 kg de kif sur une plage LE C OCKTA I L DE Chérif Abdedaïm De nouvelles ailes pour un criminel Décidément, l’année 2013 s’annonce sous de mauvais auspices pour la paix. Les virus qui ont contaminé un peu partout les sphères décisionnelles mondiales continuent de se propager. A l’image d’un Netanyahu qui a été reconduit pour un nouveau mandat, allié en cela avec une frange extrémiste et dure, et ce, dans la volonté de poursuivre l’extension du territoire sioniste en Palestine et peut-être avec les centristes pour légitimer encore plus sa légitimité. S’il a vu se réduire sa marge, c’est par l’irruption des affaires sociales intérieures derrière notamment le mouvement des indignés. C’est la crise aussi en Israël pour les pauvres. Cela dit, il a entamé sa nouvelle investiture par une agression d’un pays souverain, en l’occurrence la Syrie, sans bien sûr perdre de vue le dossier iranien qui est devenu l’un de ses pires cauchemars. Eternelles menaces La mafia sioniste veut absolument châtier l’Iran de sa liberté de parole à l’ONU et ailleurs pour dénoncer les énormités shoanesques. Dans ce sens, voyant l’inefficacité des mesures économiques, le régime sioniste maintient toujours l’alternative militaire ouverte et pourrait mordre à tout moment tel qu’il l’a fait en Syrie. «L'éventualité des actions militaires contre l'Iran s'explique par son refus de réagir à des mesures politiques et économiques à son encontre», a déclaré Shimon Peres dans son discours au forum de Davos. Attention, police de la Pensée ! Après la judiciarisation de Facebook en France, voilà le lobby sioniste qui obtient de Twitter l’identification des auteurs de tweets racistes, antisémites... Il reste maintenant à définir, d’une part, cette corde raciale et Un quatrième centre d’enfouissement technique (CET) intercommunal sera prochainement mis en service au profit de onze localités de la zone est de la wilaya de Tipasa, a indiqué le directeur général du CET de Sidi Rached. (Photo > D. R.) antisémite généralement discordante par rapport à la nature réelle de ces deux concepts et, d’autre part, qui va décider de ce qui est raciste ou antisémite. Quand on entend des propos comme «sale arabe», on vous dira que ce n’est ni raciste ni antisémite. Mais lorsqu’on dénonce le lobby juif, la mafia juive sioniste, le sionisme…, là, la justice française considère cela comme comme antisémite. Bien entendu, l’objectif primordial de ce lobby est de judiciariser Twitter à l’instar de Facebook pour éliminer toute tentative de dénonciation du pouvoir de cette mafia sioniste. La preuve par deux Deux exemples édifiant quant aux pratiques mafieuses du lobby sioniste qui fait ce qu’il veut où il veut parce qu’il sait trouver des membres de sa communauté d’appartenance, juive, ou alliés soumis, pour lui apporter un appui décisif ici ou là. Souvenons-nous de l’affaire DSK qui s’est terminée par le versement d’une belle somme d’argent à l’amiable à la victime et le tour est joué. DSK ? Non coupable car non jugé ! Tout est possible lorsqu’on a de l’argent et des relations. Second cas, l’affaire Cassez. Voilà une femme reconnue coupable de kidnapping et de séquestration avec son petit ami juif Israël Vallarta et dont toute la puissance médiatique et politique française va entrer en action pour la soustraire à la justice d’un pays souverain, en l’occurrence le Mexique. Elle va y parvenir par l’intermédiaire d’un vice de procédure qui fait les beaux jours des avocats marrons pour faire sortir leur client des «griffes» très émoussées de la justice surtout lorsqu’on a la chance d’appartenir de près ou de loin à la communauté «élue»… C. A. Les éléments de la Gendarmerie nationale de la commune d’El Ançor (Oran) ont découvert, lundi dernier, un sac contenant 6 kg de kif traité sur une plage du littoral ouest de la wilaya, a-t-on appris mardi auprès de ce corps de sécurité. Cette quantité de drogue a été rejetée par les vagues, selon la même source qui a ajouté qu’une enquête a été ouverte. (Photo > D. R.) El-Tarf : 2 morts et 3 blessés graves dans un accident de la route Deux personnes ont péri et trois autres ont été grièvement blessées dans un accident de la circulation survenu mardi sur la route nationale 84 reliant Annaba à El Tarf, près du lieu-dit Kantouli, non loin de Drean, a-t-on appris auprès des services de la Protection civile. (Photo > D. R.) dossier La NR 4551 – Jeudi 7 février 2013 6 PME-PMI 95,73% des entreprises privées sont familiales , Durant le mois d’octobre 2010, Mustapha Mékidèche, économiste, expert international et vice-président du Cnes, lors de l’invitation par le bureau de wilaya de Constantine de la Confédération algérienne du patronat (CAP), avait estimé que «le secteur privé algérien a toutes les chances d’émerger durablement, pour peu qu’il ait de l’ambition et accepte un changement de statut pour dépasser le niveau embryonnaire de l’entreprise familiale». En 2013, ce vœu est toujours d’actualité, comme quoi les conseils d’experts ont toutes les peines à se matérialiser dans un pays plus soucieux de préserver ses réflexes traditionnels, plutôt que s’atteler à s’impliquer dans l’innovation, et le progrès entrepreneurial indispensable aux confrontations concurrentielles, en prévision de l’ouverture du marché algérien en 2017 aux marchandises en provenance d’Europe, dans le cadre des accords conclus avec la Commission européenne. Le conférencier avait, se souvient-on, analysé les mêmes pesanteurs qui entravent aujourd’hui le décollage de l’entreprise algérienne et continuent de contrarier son émergence, y compris lorsqu’il avait abordé les caractéristiques de la structure statutaire des entreprises privées qui sont à 95,73% des affaires familiales, notamment des Sarl, ne pouvant de ce fait en- n La mise en place d’un ensemble de PME, un enjeu majeur. (Photo > D. R.) visager des fusions, des acquisitions et des regroupements qui demeurent une perspective incontournable pour asseoir des fondements solides à la compétitivité de l’économie, et à la production de biens hors hydrocarbures». L’économiste qualifia à l’époque «d’enjeu majeur, la mise en place d’un ensemble de PME nombreuses et compétitives, dotées d’une élite de managers et de champions qui seraient invités à dialoguer avec l’ensemble des partenaires pour assainir l’environnement économique et créer les conditions d’une émergence plus forte, à la faveur d’un rythme d’investissement public élevé, avec 286 milliards de dollars pour le plan quinquennal 2010-2014, dont 50% sont orientés pour améliorer le capital humain, garant du développement durable, notamment avec la prise en charge complète par les institutions étatiques d’ écoles de formation d’élites dans tous les domaines. Le conférencier qui opposa son pessimisme à l’optimisme de rigueur qu’affiche souvent le discours officiel avait noté que «pour certaines filières, le bout du tunnel est quasiment atteint», citant à titre d’exemple les progrès enregistrés par la céréaliculture qui avait à l’époque plafonnée sa production à 60 millions de quintaux en 2009, ensuite en citant les 150 000 tonnes de la plasturgie, avec les performances du secteur de la transformation des produits agricoles. M. Mékidèche avait relevé, lors de sa conférence, le centralisme décisionnel de l’Etat dans les affaires économiques et les revers consécutifs à la crise économique mondiale qui seraient susceptibles de déstabiliser nos entreprises, les planifications de leur mise à niveau en appelant à ce que le secteur investisse dans plus d’innovation, et plus particulièrement dans l’économie du savoir, la maîtrise des nouvelles technologies, tout en optant résolument pour la protection de la production nationale, face à ce qu’il avait qualifié d’économie de comptoir. Trois ans plus tard, le conférencier pourrait reprendre le même sujet et le développer sans changer une seule de ses observations sur l’état de notre environnement économique, car les recommandations de l’expert loin d’avoir diminué le nombre impressionnant de PME-PMI de type familial, les ont vu a contrario proliférer. A m ar K. Fiscalité Le Draw Back désormais en vigueur En dépit de mesures pour simplifier les procédures fiscales et de la lutte contre la fraude fiscale initiée depuis toujours par les autorités financières, sans grande réussite d’ailleurs, puisque nous relevons que la majorité des commerçants travaillent interminablement, et en toute impunité, sans facture, en amont comme en aval, voilà qu’un responsable de la Direction générale des impôts vient d’indiquer, lundi 5 février 2013 à partir de Constantine, que la loi de finances 2013 prévoit des économiques mesures d’encouragement de l’activité économique, de simplification et d’harmonisation des procédures fiscales, de renforcement des garanties des contribuables et de lutte contre la fraude fiscale. Cette dépêche de l’APS, commentant une journée d’information consacrée à la vulgarisation des mesures contenues dans la loi de finances 2013, a été l’occasion pour Brahim Benali, directeur de la communication et des relations publiques, de mettre en exergue le remplacement de la prise en charge par le budget de l’Etat des droits de douanes et de la taxe sur la valeur ajoutée sur le sucre brut et les huiles alimentaires brutes, par une exonération, lorsque leur assujettissement entraîne un dépassement des prix plafonds fixés par voie réglementaire. Le conférencier qui s’adressait devant un parterre d’opérateurs, d’investisseurs et d’industriels publics et privés de la wilaya de Constantine, réunis par la chambre de commerce et d’industrie Rhumel, a notamment souligné les particularités de cette loi de finances 2013 qui encourage particulièrement l’activité économique par la facilitation des procédures d’exportation par l’institution du régime douanier, le Draw Back. Le Draw Back est un régime douanier économique qui permet aux opérateurs d’obtenir, lors de l’exportation de la marchandise, un remboursement total ou partiel des droits de taxes acquittés à l’importation, sur les marchandises exportées ou consommées au cours de leur production. La modification sur l’exonération des actes portant concession des biens immobiliers relevant du do- maine privé de l’Etat, établis par l’administration des domaines dans le cadre de la régularisation du patrimoine immobilier détenu en jouissance par les EPE et les EPIC, et le relèvement de 500 millions de dinars à 1,5 milliard de dinars du seuil relatif aux investissements éligibles au bénéfice des avantages du régime général accordés par décision du conseil national d’investissement. M. Benali a souligné, dans cet ordre d’idées, l’apport, pour l’encouragement de l’activité économique nationale, de la mesure de l’exclusion des opérateurs étrangers partenaires avec les sociétés nationales, de l’obligation de réinvestissement de la part des bénéfices correspondant aux exonérations ou réductions accordées, lorsque les avantages consentis ont été injectés dans le prix des biens et services en cause. De son côté, Samir Chebila, sous-directeur chargé de la législation fiscale à la Direction générale des impôts, a apporté des éclaircissements relatifs aux mesures de renforcement des garanties des contribuables ainsi que celles en rapport avec la lutte contre la fraude fiscale. L’institution d’une avance de 50% en matière de remboursement des crédits de TVA (taxe sur la valeur ajoutée) accordée aux entreprises de bonne conduite et moralité et l’institution de la procédure de remise conditionnelle permettant à l’administration fiscale d’accorder, sur la demande du contribuable et par voie contractuelle, une atténuation d’amendes fiscales ou de majorations d’impôts, ont également été débattues lors de cette réunion. A. K. La NR 4551— Jeudi 7 février 2013 dossier 7 Industrie et services Focus Envols industriels avez-vous dit ? Démocratie sélective U , Partant du constat que beaucoup de projets buttent sur divers écueils, et qu’énormément d’Algériens fortunés n’ont aucune notion des connaissances techniques en marketing, de l’engineering indispensable au ficelage des dossiers pour créer une entreprise, le projet de création en Algérie de 200 000 PME-PMI semble compromis par un manque de visibilité criarde en matière de sciences économiques, de textes de loi, d’amendements, autrement dit, d’assistance par les bureaux d’étude spécialisés privés, ou par les institutions publiques chargées de la promotion, ou de la facilitation aux accès à l’investissement, sinon aux assiettes foncières. Un terrain difficilement défrichable en l’absence de statistiques sur les projets mort-nés. Faire fructifier son argent en Algérie, aujourd hui, en dehors des circuits de l’import-import ou des services, participer à l’éradication du chômage, contribuer à la croissance, à l’élévation du PIB, et à la préservation de nos réserves de change relèverait de la cession au machiavélisme étatique, de ses connaissances en matière de management d’école. Comment attirer les investissements dans un maquis de contraintes qui ont pour nom la corruption et les ambiguïtés juridiques ? L’excellent décollage d’un avion dépend avant tout de bonnes exigences d’atterrissage, telles sont les conditions indispensables à l’envol de notre tissu industriel. Dans notre dernière édition traitant des difficultés que rencontrent nos PME-PMI du 31 décembre, La Nouvelle République a obtenu pour notre lectorat, à travers l’interview de M. Elias Abdelmajid, expert en économie, la possibilité de visionner un panoramique comportant les difficultés que rencontrent les promoteurs économiques en Algérie, les limites des programmes de mise à niveau, et de suivies de Meda 1 et 2 financés par l’Union européenne, ensuite, quels étaient les avantages, et les inconvénients de l’entreprise familiale caractérisant l’écrasante majorité des PME-PMI en activités, en même temps, que les difficultés d’accès aux crédits, à la possession de la bonne information par le chef d’entreprise sur les marchés ciblés, et les autres entreprises concurrentes, avec ce que cela suppose comme connaissances de types techniques, de disponibilité en équipements adéquats, et surtout de statistiques fiables pour entamer les études de faisabilité, tout en évitant les faiblesses à ne pas pouvoir fabriquer, ensuite, rendre un service non conforme aux normes internationales. A toutes ces clauses, nous avions dans notre approche dans ce dossier volumineux, et combien complexe des PME/PMI, mis en exergue le déficit managérial, les écueils relatifs à l’accès au foncier industriel, l’absence de formation liée aux objectifs de performance attendues, les freins bureaucratiques, l’engineering financier défaillant au point qu’il oublie quelle est sa fonction première, consistant à injecter de l’argent pour faire tourner l’économie. L’ensemble de ces dispositifs, pour répondre aux attentes politiques, en termes de croissance économique et de développement humain, implique la création d’un environnement économique hospitalier pour les opérateurs et les investisseurs, ainsi que le pouvoir, surtout en période transitoire pour un tissu industriel naissant, de mener une politique protectionniste de la production locale, face aux menaces concurrentielles extérieures, inhérentes à la mondialisation des marchés et des économies. La prise en compte de toutes ces aptitudes évitant la résultante de faiblesses, liées à la production et à la productivité, ne suffisent pourtant pas à garantir des récoltes de bons chiffres d’affaires sans l’apport d’une bonne communication entre les institutions chargées de la circulation de l’information, du traitement des données statistiques sur l’état réel du capital de l’ensemble des entreprises en activité, dans le même temps que de quantifier les possibilités du pouvoir d’achat des ménages, subséquemment, contrôler les leviers maîtrisant l’inflation qu’il faudra bien combiner avec les allègements des paramètres d’imposition fiscale, pour mieux perpétrer l’adhésion des investisseurs à la dynamique économique voulue par les autorités. Malgré toutes ces mesures préventives à la réussite des plans de restructuration, ou de création d’un nouveau tissu économique, relatif aux PME-PMI, qu’elles soient publiques, sinon privées, de types industrielles ou marchandes, rien de probant ne pourrait être réalisé sans un mécanisme juridique adapté aux compétitivités industrielles, voire de défis perpétuels, que sont tenus de relever nos chefs d’entreprise; ce qui nous ramène à prendre les mesures financières d’accompagnement, par la facilitation des accès au crédit, par la facilitation des procédures administratives, sans oublier l’approvisionnement continu en matières premières. L’idéal serait pour le pays de se doter d’une banque privée ouverte à l’actionnariat privé et institutionnel. Cette banque pourrait fonctionner sous forme d’un statut mixte avec une participation au capital du fonds d’investissement de l’Etat (FNI), ou du fonds de compétitivité industrielle, conformément aux vœux des représentations patronales algériennes. Visiblement, dans cette problématique de relance de notre tissu industriel et marchand, c’est au politique de reconsidérer son approche managériale pour la dynamisation de ces secteurs. C’est au politique d’acquiescer face aux potentialités des détenteurs de capitaux. L’économique doit guider le poli- tique, c’est cela le patriotisme économique, autrement nous allons nous orienter tout droit vers le dirigisme ayant caractérisé la politique industrielle algérienne en vogue dans les années soixante et quatre vingt. Le dirigisme économique, s’il n’obéit pas à des règles strictes en matière de planifications stratégiques sur le long terme, et de contrôles rigoureux de la gestion est voué aux échecs, surtout dans les pays où la corruption brise toutes les velléités d’un bon traitement des dossiers, et d’une bonne conduite des projets; en dehors des lourdeurs administratives, des tracasseries bureaucratiques, du favoritisme, du clientélisme, et des contre performances maquillées en prouesses par les statisticiens maisons, ce sont autant de chômeurs à comptabiliser, en plus des plans protectionnistes, qui seront mis en œuvre pour maintenir en équilibre la stabilité sociale. L’Etat devrait mettre en place simplement une bonne gouvernance juridique, une équitable politique de recouvrement des recettes fiscales, tout en assurant un programme d’enseignement qualitatif des ressources humaines. Pour l’instant les politiques économiques de l’Algérie sont loin de répondre aux attentes des potentialités nationales, à cela une cause est incontournable, celle d’un étatisme qui ne tient pas compte des doléances des pourvoyeurs de fonds dormants, qui a de plus en plus tendance à s’échanger sur le marché parallèle des devises pour aller ailleurs, où il fait bon à investir sans trop de prises de risques. Amar Khelifi ne observation est sûre : c’est qu’il n’y a pas de démocratie en économie. Lorsque, j’entends parler les défenseurs de l’ordre démocratique revendiquant auprès de ceux qui veulent bien les croire que la démocratie est un modèle de développement basé sur le capitalisme, et qu’il n’y a pas de modèle meilleur que le leur, surtout pas le communisme beaucoup trop centralisateur, dans le même temps qu’absolutiste, je ne puis m’empêcher de sourire avec des pointes tragicomiques en me remémorant que durant la deuxième moitié du siècle dernier les partisans du maccarthysme avaient durant les années 54 organisé des chasses aux sorcières pour démarquer d’éventuels sympathisants aux thèses socialistes. Des enquêtes étaient ouvertes à l’encontre de personnalités dans les sphères médiatiques, y compris au sein du gouvernement et de l’armée pour les étiqueter d’espions à la solde de l’étranger. Nous savons que c’est grâce au plan Marshall et aux ressources des colonies indiennes, et africaines que l’Europe a bâti sa fortune; sans aller plus dans les détails en matière de respect des droits de l’Homme, et de l’environnement, il conviendrait aujourd’hui de s’interroger sur l’emballement de certains hommes politiques occidentaux à vouloir que leur modèle de développement soit copié par d’autres peuples, eux qui ont des économies en récession avec peu de perspectives de relance. Avant de donner des leçons aux autres, les politiciens occidentaux et leurs relais devraient nous expliquer le phénomène de la remontée des thèses fascistes de l’extrême droite renaissante partout en Europe, comment ils feront pour payer les anciennes dettes en recourant au service de nouvelles dettes jusqu’à arriver à une situation d’asphyxie comparable à celle du Japon qui culmine avec une dette égale à 229% du PIB loin devant la Grèce avec ses 120% dans une conjoncture où les recettes à l’exportation sont en chute. Le capitalisme sauvage est devenu toxique. Le capitalisme chinois sur fond de Toile communiste, et reposant sur un confortable matelas en devises étrangères prête de l’argent à l’Occident, pour mieux faire tourner ses usines en charge de noyer les marchés extérieurs en produits chinois. La Chine communiste deviendra demain sans aucun doute la 1ère puissance économique mondiale. Les Occidentaux le savent. La morale de cette chronique, c’est de constater que ni en Chine, ni aux Etats-Unis, ni au sein de la zone euro, il n’existe de démocratisation de l’économie au sens intrinsèque du mot, sauf quand il faut payer les dettes contractées par le système capitaliste. A. K. régions L a N R 4 5 5 1— J e u d i 7 f é v r i e r 2 0 1 3 8 Pour contester la décision de révocation de leur directeur à Tlemcen INFOS EXPRESS Bordj Bou-Arréridj Saisie de 1,154 kg de kif Les employés du centre psychopédagogique en grève , L'ensemble du personnel Agissant sur la base de renseignements, les services de la PJ de la sûreté de wilaya de Bordj Bou-Arréridj ont réussi à mettre la main sur quatre trafiquants de drogue, dans deux affaires. Au quartier 350 logements, dans un salon de coiffure, deux individus répondant aux initiales de B.A, 32 ans, coiffeur de profession et B.M, 25 ans, en possession de 796,6 g de kif traité dissimulés sous le fauxplafond du local. Par ailleurs, les mêmes services ont saisi, aux environs de 21h00, à la sortie ouest de la ville de Bordj Bou-Arrèridj, 357,9 g de kif traité, cachés à l’intérieur d’une Renault5. Les deux occupants de la voiture L.A, 46 ans et F.A, 33 ans, ont été arrêtés. Les quatre mis en cause ont été placés sous mandat de dépôt par le juge d’instruction près le tribunal de Bordj BouArrèridj pour trafic de drogue. S.- K. B . exerçant au centre psychopédagogique des inadaptés mentaux de l'association Dar El-Ihssane de Aïn Defla (commune de Chetouane) dans la wilaya de Tlemcen, observe une gréve illimitée qu'il a entamée il y a près d'une semaine afin de soutenir le directeur du centre, M. Châabane Mohammed, menacé de licenciement, paralysant ainsi la prise en charge d'une cinquantaine d'enfants inadaptés mentaux. Pour rappel, ce centre a été fondé par le mécène Hadj Bensefia Houari en 2003. Les revendications des employés de ce centre portent sur la réintégration immédiate du directeur dans son poste, la révalorisation des salaires, la gestion des carrières professionnelles, l'attribution de la prime de transport, la rémunération des heures supplémentaires, la formation et le recyclage des salariés, la pause réglementaire, le recrutement d'aides éducateurs, la création des œuvres sociales, la composition de la commission paritaire, l'équipement des ateliers professionnels d'apprentissage, le respect des textes et réglements relatifs aux associations et aux travailleurs, sur l'hygiène, la sécurité et la médecine du travail. Les grévistes estiment que le conflit oppose les employés du centre au président de l'association. C'est ce dernier qui est à l'origine de ce conflit qui perdure depuis la rentrée scolaire 2012. << Du rififi au centre. (Photo > D. R.) Cette révocation sans motif du directeur du centre nous semble injustifiée, car c'est un responsable intègre, compétent et sérieux qui entretient de très bonnes relations aussi bien avec le personnel du centre qu'avec les parents d'élèves qui lui vouent un très grand respect», déclarent les grévistes. Devant cette situation, les parents d'élèves ont décidé de tenir une assemblée générale extraordinaire qui aura lieu au centre d'Abou Tachfine pour débattre de ce problème. A noter que ce centre acceuille 50 enfants et adolescentes (inadaptés mentaux) dont l'âge varie entre cinq ans et demi et Relizane La ville étouffe ,Relizane se noie de plus en plus de la densité et des tracasseries de la circulation qui, d'ailleurs, préoccupe responsables et citoyens d'une ville qui a connu un bond démographique important, depuis 1984 lorsqu'elle a pris le rang de chef-lieu de wilaya. Le nombre de voitures en circulation attire spontanément le visiteur qui vient pour lae première fois à Relizane, où il est quasi-impossible de circuler aux heures de pointe ou de trouver une place de stationnement. L'exode rural et le boom démographique en sont les causes de cette situation. L'ancien plan de transport élaboré en 2005 s'est avéré en contradiction avec les nouvelles données du chef-lieu de wilaya, en , plein essor sur tous les plans. Sa réactualisation s'impose donc de facto par des réaménagements de routes pour une bonne fluidité de la circulation dans les grandes artères et, notamment, le centre-ville. Par ailleurs, le phénomène des charrettes des commerçants ambulants aggrave la situation et dérange énormément toute la circulation. Un arrêté d'interdiction de circuler à l'intérieur du tissu urbain serait plus que treize ans. Ces élèves sont pris en charge en demi-pension par ce provoquant des fois des accidents corporels. Faudrai-il rappeler l'adage «un délit non puni devient un droit absolu». L’urgence est signalée et le message lancé. N.- Malik Mohamed Hichem Tissemsilt Des malfaiteurs impliqués dans un cambriolage arrêtés ,Les éléments de la police judiciaire de la sûreté urbaine de Tissemsilt a procédé au démantèlement d'une bande de malfaiteurs, impliqués dans le cambriolage d'un grossiste, implanté à Hai Derb à Tissemsilt. L'enquête a été déclenchée sur la base d'une plainte déposée par le propriétaire du magasin. Les mis en cause ont emporté avec eux trois sacs de café,un sac de légumes secs, un carton de raisin sec, un téléviseur plasma, un récepteur numérique et une somme d’argent estimée à 10 000 dinars. Suite à une minutieuse investigation, les éléments de la police judiciaire de la 3e sûreté urbaine de Tissemsilt ont réussi à mettre la main sur deux voleurs âgés respectivement de 23 et 30 ans. La totalité des objets volés ont été récupérés dans le domicile d’un voleur dans la même localité. Déférés devant le procureur de la République près le tribu- BRÈVE louable de la part des autorités locales. Quant aux trottoirs, ils sont squattés par les commerçants ambulants et illicites, obligeant les piétons à marcher sur la route, encombrant en plus la circulation et centre. Médéa : un immeuble menacé d’effondrement Une pétition signée par les locataires de la cité des 24 logements à Ouzera a été adressée aux autorités locales, où il est fait état d’un immeuble qui présente des risques d’effondrement. «Malgré ce nal de Tissemsilt, les deux malfrats ont été placés sous mandat de dépôt. Le troisième complice âgé de 21 ans demeure toujours en fuite. Abed Meghit Voir sur Internet www.lnr-dz.com signal de détresse, rien n’est fait pour le moment», nous renseigne un locataire. Imaginons un seul instant, quelles seraient les conséquences si cet immeuble venait à s’effondrer ? Elles seraient certainement dramatiques sans parler des autres dommages collatéraux qui en résulteraient. Une seule question se pose. Qu’attendent les autorités concernées ? Hamid Sahnoun La NR 4551 — Jeudi 7 février 2013 régions 9 Oran : une délégation de la Protection civile tunisienne en visite Kamel Abbès, wali de Boumerdès «Réprimer c'est reconnaître l'échec du service public» , Le wali de Boumerdès, Kamel Abbès, a tenu une réunion avec son exécutif élargie aux élus APW et P/APC avec, à l’ordre du jour, la réhabilitation du service public et l'amélioration des relations citoyensadministration, l'évaluation des actions liées à l'hygiène du milieu, les décharges publiques et les constructions illicites. Dans son allocution d'orientation, le chef de l'exécutif de Boumerdès a invité l'assistance à revoir plusieurs mesures concernant l'allégement des documents exigés aux citoyens. Il a exprimé le besoin d'actions, de moyens humains et matériels. Mais, au préalable, il a invité les responsables à effectuer un diagnostic sans complaisance pour déceler les dysfonctionnements du service public à tous les niveaux où le citoyen est concerné (APC, daïra, wilaya, Sonelgaz, ADE...). Pour ce faire, il a recommandé de repenser la gestion du personnel administratif à travers une restructuration des services et des formations adéquates et de répertorier les tâches par fonction et par agent. Quant aux moyens matériels, ils devraient être listés, même si une première évaluation fait état de matériels roulants en excédent par rapport au nombre de chauffeurs, par exemple. La maintenance doit reprendre également ses droits au même titre que l'outillage nécessaires aux différents travaux. Le wali n'a pas manqué également de Une délégation de la Protection civile tunisienne, conduite par le directeur général de l’Office national de la protection civile tunisien, le général Chokri Benziane, a entamé, mardi en fin d’après-midi, une visite de deux jours dans la wilaya d’Oran. (Photo > D. R. ) Biskra : des stages sur la culture des droits de l’Homme prévus à travers le pays Un diagnostic sans complaisance pour déceler les dysfonctionnements du service public. (Photo > D. R.) rendre hommage aux employés recrutés dans le cadre de l'emploi de jeunes qui «fournissent le gros du travail au niveau du service de l'état civil alors que certains responsables sont défaillants». Relevant le travail des services du commerce ou de l'habitat qui se targuent d'avoir pénalisé ou ester des commerçants ou des indus occupants, M. Kamel Abbès corrigera le sens de ce contrôle : «La multiplication de la répression à travers les PV ou les démolitions des constructions illicites est un aveu d'échec du service public». Il a invité les responsables à agir en amont grâce à la prévention qui évite l'existence même des constructions illicites ou de commerces irrespectueux. Le respect de la loi redevient, ainsi, la norme. Il est vrai que l'informel a depuis longtemps remplacé le légal presque à tous les niveaux. Le premier magistrat de la wilaya a ensuite invité l'inspecteur général de l'admi- nistration, le DAL puis le DRAG à faire chacun un exposé en ce qui concerne son champ de responsabilités. L'inspecteur général a rappelé d'abord les instructions ministérielles relatives à l'hygiène et au service public ainsi qu'à l'amélioration des relations citoyens-administration. Recensant les différentes opérations concernées (hygiène, parcs, matériels, décharges, espaces verts, cimetière, éclairage public, embellissement...), il annoncera que 637 agents communaux seront recrutés avant le 15 février prochain et 236 engins seront répartis. De plus, les APC seront destinataires d'enveloppes financières pour les besoins de certaines opérations. Ainsi, des interventions ont été déjà menées au niveau de 13 communes au cours desquelles 127 millions de tonnes de déchets ont été ramassés. Mais l'amer constat est que la situation revient à sa dégradation après seulement quelques jours de net- toyage. C'est pourquoi associer les comités de quartier et la société civile dans son ensemble est devenu un impératif pour la réussite des opérations d'hygiène public. Bien plus, dans certains cas, il faut être à l'écoute de la population pour les solutions proposées. Le manque de contrôle et de suivi est également une autre raison avancée par l'inspecteur général. Ce dernier estime qu'il faut multiplier les opérations, les contrôles et la répression. Enfin, il a annoncé que désormais est faite obligation aux APC d'offrir aux citoyens des salles d'attente, une identification des employés et des responsables par des badges et autres écriteaux, de recevoir les citoyens tous les lundis et mercredis, d'alléger les dossiers et de contrôler l'état civil. D'autres mesure ont été aussi prises par le DAL et le DRAG. Nous y reviendrons prochainement. Sadek Des stages seront organisés à travers le pays par la Commission nationale consultative de promotion et de protection des droits de l’homme pour diffuser la culture des droits de l’Homme, a indiqué, mardi à Biskra, le délégué régional pour le Sud-est de cette institution. (Photo > D. R. ) Constantine : installation des nouveaux accélérateurs du centre anticancer La mise en place des trois accélérateurs récemment acquis par le centre anticancer du Centre hospitalo-universitaire de Constantine vient d’être entamée, a indiqué, mardi, le directeur de la Santé et de la population, M. Azzouz Assassi. (Photo > D. R. ) Aïn Defla : 1 mort et 1 blessé dans le dérapage d’un véhicule Tlemcen Une femme arrêtée en possession de 1 000 bouteilles de spiritueux Lors d'un barrage de routine dressé au niveau de la localité d’Aïn El Hadjar, sur l'autoroute estouest, les éléments de la brigade de gendarmerie de Hennaya ont interpellé deux individus, un homme et une femme, qui étaient à bord d'un véhicule de type Peugeot 404. Lors du contrôle des documents du véhicule et ceux des deux personnes, la femme, voulant tromper la vigilance des gendarmes, s'est fait passée pour l'épouse du conducteur du véhicule, une déclaration qui a donné des soupçons aux gendarmes vu la différence d'âge entre les deux personnes. Lors de la fouille du véhicule, les gendarmes ont découvert sous les sièges arrière 1 000 bouteilles de boissons alcoolisées destinées à être commercialisées à Aïn Témouchent, selon la déclaration de la femme, qui avoua qu'elle utilisait son compagnon pour le transport de la marchandise. Présentés devant le magistrat instructeur près le tribunal de Remchi, les deux mis en cause ont été placés sous mandat de dépôt en attendant leur comparution. Mohamed Hichem Une personne a trouvé la mort et une autre a été grièvement blessée mardi sur le CW 158 menant de Djendel à Aïn Lechiekh (Aïn Defla) suite à un accident de la circulation, a-t-on appris auprès de la direction locale de la Protection civile. L’accident, qui a eu lieu au lieu-dit Haouch Ferroukhi, a été causé par le dérapage du véhicule des deux victimes. (Photo > D. R. ) monde La NR 4551 – Jeudi 7 février 2013 10 OCI OCI Le sommet islamique s’ouvre au Caire, dominé par la Syrie et le Mali , Le sommet des dirigeants du monde islamique qui devrait être dominé par la Syrie, en proie depuis bientôt deux ans à un conflit meurtrier, et l’intervention militaire française au Mali, s’est ouvert au Caire. Le sommet doit appeler à «un dialogue sérieux entre l’opposition syrienne et des représentants du gouvernement syrien prêts à un changement politique et non impliqués (…) dans la répression» de la révolte en Syrie, selon un projet de résolution dont l’AFP a obtenu une copie. Le projet, élaboré par les ministres des Affaires étrangères de 56 membres de l’Organisation de la conférence islamique (OCI), réunis lundi et mardi au Caire, ajoute que ce dialogue devrait déboucher sur «une transition réalisant les aspirations du peuple syrien à des réformes démocratiques et à un changement» de régime. Tout en soulignant l’importance de respecter «l’intégrité territoriale et la souveraineté de la Syrie», le projet de résolution fait valoir que «le gouvernement syrien est le principal responsable de la poursuite des violences», qui ont fait plus 60 000 morts en moins de deux ans dans le pays. Dans leur résolution, les ministres n’ont pas mentionné le sort du président syrien Bachar al-Assad, dont le départ est réclamé avec insistance par l’opposition et des pays arabes, comme l’Arabie saoudite et le Qatar. Mais la présence du président iranien Mahmoud Ahmadinejad, un solide allié du régime syrien résolument opposé à l’idée de faire du départ d’Assad une condition préalable à un règlement, est de nature à compliquer les débats durant le sommet, présidé par le chef de l’Etat égyptien Mohamed Morsi. D’autant que le Conseil national syrien (CNS), principale composante de l’opposition, a réaffirmé mardi son rejet de tout dialogue avec le régime de Damas, après une proposition en ce sens du chef de la Coalition de l’opposition, Ahmed Moaz al-Khatib, soutenue par la Ligue arabe et Washington. Des consulta- Deux épineux problèmes. (Photo > D. R.) tions sont prévues entre l’Egypte, l’Iran, la Turquie et l’Arabie saoudite, membres d’un comité quadripartite chargé de la crise syrienne et formé lors d’un sommet extraordinaire en août 2012 à La Mecque, qui a décidé la suspension de la Syrie de l’OCI. Autre dossier épineux, le Mali est au menu du sommet de l’OCI, dont les membres avaient réagi en rangs dispersés à l’intervention militaire française dans ce pays africain, des pays comme l’Egypte et le Qatar se disant partisans d’une solution politique et non d’un règlement militaire. Au programme du sommet figure une séance consacrée à la colonisation israélienne dans les terri- toires palestiniens, un sujet récurrent des réunions de l’OCI depuis sa création en 1969. La question de l’islamophobie, le sort des minorités musulmanes dans le monde, dont celle des Rohingyas en Birmanie, et la coopération économique dans le monde islamique, un marché de quelque 1,5 milliard d’habitants, seront également abordés. Mais au delà de l’islamophobie, les divisions confessionnelles au sein même du monde islamique se sont manifestées à l’occasion d’une visite sans précédent de M. Ahmadinejad, président du plus grand pays chiite, mardi à Al-Azhar, la plus haute autorité théologique de l’islam sunnite. Des res- ponsables d’Al-Azhar ont dénoncé des chiites qui «portent atteinte d’une manière inacceptable aux compagnons du Prophète et ses épouses», embarrassant M. Ahmadinejad, qui plaidé pour «l’unité et la fraternité» entre musulmans. Le président iranien a en outre été hué à sa sortie d’une mosquée du Caire par des protestataires dont l’un a tenté de lui lancer une chaussure. La police a arrêté quatre des protestataires, selon des sources de sécurité. Un Saoudien, Iyad Madani, est en passe de succéder à partir de janvier 2014 à l’actuel secrétaire général de l’OCI, le Turc Ekmeleddin Ihsanoglu. R . I./Agence Ahmadinejad mis en garde sur le Golfe lors d’une visite inédite en Egypte L’Iran a été sommé mardi de ne pas menacer la sécurité des monarchies du Golfe et de "respecter" les sunnites, au début d’une visite au Caire de Mahmoud Ahmadinejad, la première d’un président iranien depuis plus de 30 ans en Egypte, où il a appelé à une amélioration des liens. «J’espère que cette visite sera un nouveau départ pour la solidarité entre nos deux peuples», a déclaré le président Ahmadinejad au terme d’une réunion avec le chef d’Al-Azhar, cheikh Ahmed Al-Tayyeb, au siège de cette prestigieuse institution théologique de l’islam sunnite. M. Ahmadinejad, qui doit assister mercredi et jeudi au 12e sommet de l’Organisation de la coopération islamique (OCI) au Caire, a eu peu après son arrivée un entretien avec son homologue égyptien Mohamed Morsi sur la guerre en Syrie et la normalisation entre les deux pays. «Je suis venu d’Iran pour dire que l’Egypte et les Egyptiens sont dans le coeur du peuple iranien», a déclaré le président Ahmadinejad, en rendant hommage à «l’Egypte, terre de culture et de civilisation». «Les avis entre l’Iran et Al-Azhar sont proches», a-t-il encore dit, en annonçant avoir invité des oulémas d’Al-Azhar à visiter la République islamique, le plus grand pays chiite. Mais le chef d’Al-Azhar a indiqué dans un communiqué avoir demandé au président iranien de «respecter Bahreïn, un Etat arabe frère, et de ne pas s’immiscer dans les affaires des pays (arabes) du Golfe». Il a également souligné la nécessité de donner aux sunnites d’Iran «leurs pleins droits en tant que citoyens, conformément à la charia et à toutes les lois et conventions internationales». En outre, le chef d’Al-Azhar a exprimé son «rejet d’une expansion du chiisme dans les pays sunnites». «Nous refusons totalement une infiltration chiite», a-t-il dit. Les relations sont au plus bas entre les monarchies du Golfe et Téhéran, soupçonné notamment de soutenir en sousmain la contestation chiite à Bahreïn contre la monarchie sunnite. M. Ahmadinejad a semblé mal à l’aise lorsqu’un responsable d’Al-Azhar a dénoncé certains propos «inacceptables» de «chiites» envers les compagnons du prophète Mahomet. «Cela nuit aux relations entre les peuples», a ajouté le cheikh Hassan al-Chafie, suscitant une visible réaction d’agacement du président iranien et de sa délégation. R . I./Agence Pression sur Damas pour une solution négociée , Les dirigeants du monde arabo-musulman ont lancé mercredi un appel à une solution négociée pour mettre fin à la guerre en Syrie, à l'ouverture du sommet de l'Organisation de la coopération islamique (OCI) qui s'étale sur deux jours au Caire. Dans un discours inaugural, le président Mohamed Morsi, dont le pays vient de prendre la présidence de cette institution de 57 pays-membres, a exhorté le "régime au pouvoir" à Damas à apprendre les leçons de l'Histoire et à ne pas faire passer son propre intérêt au-dessus de l'intérêt national. Le chef de l'Etat issu des Frères musulmans a également appelé tous les membres de l'OCI à soutenir les efforts entrepris par l'opposition syrienne pour s'unir et organiser la transition politique. Son homologue iranien, Mahmoud Ahmadinejad, dont le pays soutient fortement le pouvoir en place à Damas, a déclaré à des journalistes égyptiens qu'il ne pouvait y avoir de solution militaire au conflit syrien, qui a fait plus de 60.000 morts depuis mars 2011. "Heureusement en Syrie aujourd'hui, (...) l'opposition et le gouvernement se dirigent vers l'établissement d'un dialogue", a-t-il dit dans une interview au quotidien Al Ahram. Moaz Al Khatib, le président de la Coalition nationale syrienne (CNS), instance dirigeante de l'opposition au président Bachar al Assad, a proposé dimanche de rencontrer le vice-président syrien Farouk Al Chara pour des négociations de paix en échange de la libération de milliers de détenus politiques. Damas n'a donné pour l'heure aucune réponse. L'initiative d'Al Khatib, annoncée après des rencontres du chef de l'opposition syrienne ce week-end à Munich avec les chefs de la diplomatie russe et iranienne, divise au sein de la Coalition. Les dirigeants égyptien, turc et iranien se sont rencontrés en marge du sommet pour soutenir cette initiative de dialogue, a déclaré un porte-parole de la présidence égyptienne. L'Arabie saoudite, soutien éminent de la rébellion et membre avec les trois autres pays du "quartet" islamique formé par Morsi en août dernier pour tenter de trouver une solution au conflit, n'a pas assisté à cette rencontre. A la tribune de l'OCI, le prince héritier saoudien Salman a dénoncé "les crimes affreux" du régime syrien contre son peuple et appelé le Conseil de sécurité de l'Onu, jusque-là bloqué par les Russes et les Chinois, à "agir pour finaliser la transition du pouvoir". Dans leur projet de déclaration finale, que Reuters s'est procuré mardi, les pays membres de l'OCI soulignent que le gouvernement syrien est le premier responsable des violences dans le pays et l'exhortent à ouvrir des discussions sur la transition, sans mentionner le nom d'Assad. L'Iran a tiqué sur la formulation, disent cependant des diplomates, et les critiques contre Damas pourraient être adoucies dans le communiqué final. Le texte de l'OCI appelle parallèlement l'opposition syrienne à accélérer la formation d'un gouvernement de transition et "à se tenir prête à assumer la responsabilité politique pleine et entière jusqu'au terme du processus de changement politique voulu". L'OCI, qui a suspendu la participation de la Syrie en août dernier, "enjoint au régime syrien de faire preuve de sagesse et appelle à un dialogue sérieux entre la coalition nationale de la révolution syrienne, les forces d'opposition et les représentants du gouvernement syrien engagés dans une transformation politique en Syrie et qui n'ont pas été directement impliqués dans la répression, sous quelque forme que ce soit". Sur le terrain, après plusieurs jours d'accalmie, de violents combats ont éclaté mercredi dans plusieurs quartiers de Damas et un attentat suicide a fait selon l'opposition des dizaines de victimes à Palmyre, dans le centre du pays. R. I./Agence Asie La Corée du Nord menace d’aller au-delà d’un essai nucléaire , La Corée du Nord a haussé le ton mardi en menaçant d’aller audelà d’un nouvel essai nucléaire en riposte aux sanctions «hostiles» imposées à la suite du tir, en décembre, d’une fusée à longue portée. «La République populaire démocratique de Corée a tiré la conclusion définitive qu’elle aura à prendre une mesure plus forte qu’un essai nucléaire pour faire face aux initiatives menant à une guerre nucléaire des forces hostiles qui sont de moins en moins masquées», prévient l’agence officielle de presse nord-coréenne KCNA. L’agence ne précise pas quel type d’actions pourrait être entrepris par le régime de Pyongyang. La Corée du Nord n’a pas les capacités d’une frappe militaire sur les Etats-Unis. En revanche, la Corée du Sud est à portée de son artillerie et de ses missiles, dont le rayon d’action englobe également le Japon. En 2010, la Corée du Nord a été accusée d’avoir torpillé un bâtiment de la marine sud-coréenne, le Cheonan, tuant une cinquantaine de marins à son bord. La même année, elle a bombardé l’île sud-coréenne de Yeonpyeong, tuant des civils. Le régime de Pyongyang, soumis à un nouvel ensemble de sanctions adoptées le mois dernier à la suite de son tir de fusée, a annoncé qu’il répliquerait en procédant à un nouvel essai nucléaire, le troisième de son histoire après ceux de 2006 et 2009. R . I./Agence culture La NR 4551 — Jeudi 7 février 2013 11 Nouvel album d’Idir AV I S CONSTANTINE, CAPITALE 2015 DE LA CULTURE ARABE Les préparatifs dépasseront la wilaya Les préparatifs de l'événement culturel «Constantine, capitale 2015 de la culture arabe», déjà en cours, dépasseront le cadre de cette wilaya pour toucher plusieurs régions de l’Est du pays, a indiqué lundi le wali, Noureddine Bedoui. Cette manifestation «grandiose», que la ville des ponts s’apprête à accueillir, aura un impact «certain sur toute la région Est du pays», a souligné le wali à l’APS, précisant que des «contacts de coordination et de consultation étaient en cours avec plusieurs walis de l’Est pour arrêter la démarche à adopter» en vue de «réussir la préparation hors limites de la wilaya de cet événement culturel». Dans ce contexte, le même responsable a affirmé que les wilayas de l’Est du pays s’impliqueront par leurs moyens infrastructurels et leurs compétences intellectuelles et culturelles dans la préparation de cet événement, a encore souligné M. Bedoui. De son côté le directeur de wilaya de la culture, Djamel Foughali, a indiqué que les préparatifs de cette manifestation culturelle «avancent sans relâche» avec la collaboration des différentes parties concernées. Il a indiqué que les autorités locales «se penchent actuellement sur le volet de la réhabilitation et de la restauration des infrastructures culturelles et touristiques existantes». Le même responsable a indiqué que de nouvelles infrastructures culturelles seront mises à l’actif de cette wilaya. R . C. Un artiste rare , Artiste discret, Idir cultive une relation intime avec son public. En quatre décennies, ce fils de berger, né en Grande Kabylie, n’a composé et enregistré que quatre véritables albums. Il revient, avec un nouvel opus égrainant une touchante série de chansons qui permet à l’artiste de libérer toute l’essence de son âme kabyle et les parfums de son enfance. «L’album n’a pas de nom» confie Idir avant d’ajouter «ou si il en a un, c’est le mien !». Le décor est planté avec au centre : Idir. Musicien et poète, Hamid Cheriet de son vrai nom, a accompagné de sa voix mélancolique plus d’une génération de Kabyles, mais aussi des amateurs de musique aux quatre coins du monde qui ignoraient souvent tout de l’histoire de ce peuple de cultures et de traditions berbères. «La douzaine de chansons ont le même âge que moi», reprend-il comme pour signifier que ce cinquième album s’inscrit dans une histoire, la sienne où rythmes ternaires, 6/8 kabyle et sons de la ghaïta, du bendir ou de la basse ont toute leur place. «C’est ma maison de disque qui m’a sollicité. Je me suis donc mis au travail et ai tout enregistré à la maison». Comme souvent avec Idir, on a l’impression que son destin a pris le pas sur sa volonté, un peu comme en 1973, il y a tout juste 40 ans, quand il avait démarré sa carrière en interprétant Rsed a au monde. Il a été pillé. On lui doit beaucoup !», assène celui qui depuis ses débuts, embrasse aussi les combats contre le racisme, le sida, l’homophobie et de manière plus générale, les discriminations faites aux minorités. Idir, entre mère et fille Yidess (Que le Soleil tombe), une berceuse écrite et composée pour une chanteuse qui ne s’est jamais présentée lors des séances d’enregistrement. Ce sera son premier succès radiophonique, trois ans avant son «A Vava Inouva». Cette autre berceuse écrite, elle, avec la complicité de Mohamed Benhamadouche, est depuis fredonnée bien au-delà des frontières naturelles de la Kabylie. Pour les exégètes des musiques du monde, «A Vava Inouva» est un des premiers hymnes de la sono-mondiale. «C’est le métier de chanteur qui est venu à moi. Je n’ai pas choisi», explique celui qui a étudié la géologie et devait devenir un des cadres de l’industrie pétrolière en Algérie. «Quand je n’ai rien à dire autre que moi, je me tais», confie-t-il comme pour justifier le nombre réduit d’albums qu’il laissera à la postérité. «Un Québécois n’est pas un Français» Ses combats n’ont pas changé. La cause kabyle est toujours évidemment au cœur de son propos : «L’identité berbère est ni pire, ni meilleure qu’une autre, elle a juste le droit d’exister.» Cette identité ne constitue pas l’unique préoccupation du chanteur et musicien né à la toute fin des années 1940. «Bien sûr, je crains que ma culture disparaisse, mais être berbère ne me suffit pas. Je suis aussi un Africain, et à ce titre, un ardent défenseur de l’Afrique. Ce continent a énormément apporté Saïd Oulamara, premier titre de ce CD, est un air traditionnel interprété lors de fête en Kabylie, tandis que le dernier, a capella, rend hommage à sa mère disparue au printemps 2012. Entre les deux, une vaste palette d’émotions et de sentiments chantés presque uniquement en kabyle. Cette langue qu’il aime et chérit, nul besoin de la parler pour en comprendre la force. «Je me souviens de la réponse de ma mère lorsque Gérard Geoffroy, mon flûtiste, s’excusait de ne pas parler sa langue : Ta flûte, elle le parle très bien», lui disait-elle. Fils, mais aussi père, Idir invite sa fille à le rejoindre sur quelques titres dont un touchant, sans ma fille, que chante cette dernière. «Je l’ai laissée exprimer les angoisses d’un père qui voit sa fille partir pour fonder une autre famille et se demande s’il pourra devenir ami avec l’homme qu’elle a choisi ; des angoisses qu’elle a pu lire sur mon visage, dans mon regard», confie ce père qui au passage reprend en kabyle «Plaisir d’Amour, s’inspire sur Targit de la mélodie irlandaise popularisée notamment par Simon & Garfunkel pour leur Scarborough Fair ou laisse la flûte du musicien traditionnel Saïd Axelfi, réinventer L’Hymne à la Joie de Beethoven sur Tajmitt i Ludwig». M. F. I. Paris Un grand hommage à la mesure de feu El-Hachemi Guerouabi , Oui, franchement, c’est un grand hommage à la mesure du cheikh El Hadj El Hachemi Guerouabi, le cheikh de la chanson châabi, qui a été organisé dimanche dernier au «Cabaret Sauvage» à Paris par l’association qui porte le non du défunt. En effet, des musiciens de grand talent dirigés par Yahia Bouchala ont majestueusememt accompagné des ténors de la chanson algérienne à l’image de Abdelkader Chaou, Abderrahmane El Kobbi, Kamel El Harrachi, Massa Bouchafa, Farid Gaya, Cheb Tarik et autres grosses cylindrées à l’image de Hamdi Bennani et le poète Ait Menguelet, sous les youyous nourris des nombreuses femmes algériennes présentes ce soir là dans la salle. Les chanteuses et chanteurs ? Et bien, ces derniers n’ont eu aucun mal à faire vibrer le nombreux public du cabaret sauvage, venu rendre un grand hommage à l’un des pionniers de la chanson châabi en l’occurrence, feu El Hadj El Hachemi Guerouabi. Ce fabuleux public, faut-il le souligner, s’est déplacé ce soir-là, en bravant le froid et la pluie… Ils sont venus de partout en France, Bordeaux, Montpellier, voire même de Genève… L’animation de cette grande rencontre musicale a été confiée et assurée magistralement par le comédien Mohamed Ouardache et Fatiha. Depuis 15 h, cette magnifique soirée a débuté, dédiée à la chanson algérienne et à ses différents styles où le banjo, mendole ont savamment accompagnés les voix des artistes de ce merveilleux plateau, s’est ainsi prolongé jusqu’à 19h30 dans une ambiance conviviale où ne manquait que Rihet El bled… Merci donc et encore bravo à ces musiciens, ces chanteuses et chanteurs, ce merveilleux public et les organisateurs de ce spectacle haut en couleurs qui nous ont permis de voyager un temps soit peu dans toute notre bien aimée Algérie… Ce fut en tous cas, un hommage historique à la mesure de l’artiste ! El Harraz, El Bareh, Ya Layem et bien d’autres œuvres resteront à jamais un régal textuellement et bien entendu musicalement ! Impressions d’artistes Kamel El-Har rachi (chanteur) : «C’est un grand bonheur de venir participer à cet hommage dédié à notre maître El Hachemi Guerouabi, ça s’est très bien passé et c’est le plus important…» Mme Chahra Guer ouabi (veuve de l’ar tiste) : «La soirée a été une réussite, j’ai été très émue mais je n’étais pas très étonnée parce que je savais que l’aura du cheikh allait ramener tout ce public merveilleux, Dieu merci, le nom de Guerouabi, ses œuvres et son patrimoine ramènent encore du monde. Il a encore ses fans qui sont là, ils sont toujours assoiffés de ses œuvres…» Abder rahmane El Kobbi (chanteur) : «C’est un devoir de venir assister à cet hommage, c’était quelqu’un que j’admire Allah Yerhmou, c’était un monument de la chanson châabi… Le monde qu’il y avait ce soir pour lui, est la preuve de sa popularité, de sa générosité…» Sâadane Benbabaali (Pr à la Sorbonne, spécialiste du mouachah et du Zadjel) : «Je suis venu assister à ce grand hommage comme tout ce beau monde, ça été un moment extraordinaire d’émotions, de partage, le public était absolument enchanté… Allah Yerhmou cheikhna.» Aït Menguelet (chanteur) : «Je suis très content d’être là, ce soir, pour partager des moments inoubliables avec ce merveilleux public et à la fois rendre hommage à l’un des pionniers de la chanson châabi, El Hachemi Guerouabi, c’était quelqu’un que je respectais beaucoup et ce sur tous les plans… L’hommage qui lui a été rendu ce soir, est franchement à la mesure du maître…» Cheb Tarik (chanteur) : «Pour moi, c’est un grand honneur de venir aujourd’hui participer à cet grand hommage dédié à notre cheikh El Hachemi Guerouabi… Je suis d’ailleurs toujours fan de lui…». De Par is, Hadj Hamiani La NR 4551 — Jeudi 7 février 2013 télévision 12 Programme CHRONIK par Herbé 18.59 Journal 20.00 Tout le sport 13.40 13.55 14.55 16.35 18.20 19.05 19.45 20.00 20.44 20.50 22.40 23.30 01.10 02.00 Petits plats en équilibre Les feux de l'amour L'amour XXL American Wives Une famille en or Le juste prix Nos chers voisins Journal Après le 20h, c'estCanteloup R.I.S. Police scientifique : Mauvaise foi R.I.S. Police scientifique NewYork, section criminelle New York, police judiciaire spéciale Reportages 14.30 Les enquêtes impossibles 16.35 Les frères Scott : encore une chance 17.20 Les frères Scott 19.45 Waterworld 23.00 Les dents de la mer 01.10 Les dents de la mort 12.35 15.15 16.50 17.50 18.30 20.05 20.50 23.50 22.40 MacGyver Navarro Pour l'amour du risque H Touche pas mon poste ! Palmashow Engrenages : Episode 1 Engrenages : Episode 2 Touche pas à mon poste ! 14.00 Toute une histoire 15.15 Comment ça va bien ! 16.35 Le jour où tout a basculé 17.10 Seriez-vous un bon expert ? 17.45 CD'aujourd'hui 17.50 On n'demande qu'à en rire 18.55 Mot de passe 19.30 N'oubliez pas les paroles ! 20.00 Journal 19.40 Image du jour 20.45 Envoyé spécial 22.15 Complément d'enquête 23.15 Grand public 13.25 15.50 18.25 19.00 20.05 20.50 23.30 14.00 15.20 16.55 17.40 20.50 21.30 23.30 01.35 Charmed Talent tout neuf Les Ch'tis à Las Vegas Les Ch'tis à Las Vegas Les Simpson Le convoi de l'extrême Le convoi de l'extrême La dernière noce Vampire Diaries Vampire Diaries Buffy contre les vampires : Duel Buffy contre les vampires : Triste anniversaire Vampire Diaries Vampire Diaries Programmes de nuit 11.45 La petite maison dans la prairie 13.05 Scènes de ménages 13.45 La fille de l'ascenseur 15.40 La loi d'une mère 17.35 Un dîner presque parfait 18.45 100 % mag 19.45 Le journal 20.05 Scènes de ménages 20.50 J'ai décidé d'être heureux 23.40 Nouveau look pour une nouvelle vie 00.45 66 minutes 02.00 M6 Music Hunger Games Kaïra shopping Le grand journal Le petit journal Le grand journal, la suite 21.00 Game of Thrones 23.35 Mad Men 00.20 Le pacte 15.55 18.10 19.10 20.05 20.30 16.10 15.05 17.35 19.00 20.45 23.00 00.30 Frisson Break Training Day Mensch Déjà mort Battle for Honor L'assaut Les provocatrices 20.15 Plus belle la vie Ludo Des histoires et des vies Edition de l'outre-mer Consomag Midi en France Journal Météo Si près de chez vous Si près de chez vous Questions au gouvernement Des chiffres et des lettres 17.20 Un livre un jour 17.30 Slam 18.10 Questions pour un champion 06.45 09.45 10.35 10.45 10.50 11.59 12.55 13.50 14.15 14.55 16.10 19.15 20.45 22.15 23.55 Amazone Radio Days Heathers Carrie au bal du diable 14.35 15.10 outans 16.35 17.30 Allô, docteurs Une île pourles orangs- cinéma 20.46 Ronin 22.45 Météo 22.50 Soir 3 23.15 La grande soirée cinéma : les sorties de la semaine 23.21 Assassins 01.30 Libre court 01.31 Fatigués d'être beaux 02.00 Les profondeurs 02.30 The City of Silence Mémoire du passé Miss Marple Arabesque Las Vegas : Devoirs de vacances 20.45 Et si c'était vrai 22.30 90' Enquêtes : Coups de filet, ADN, cambriolages 11.40 13.45 17.10 18.05 Les dessous de la récup C à dire ?! Natures fortes Arte Journal 28 minutes Injustice Quand la chimie contamine notre eau 19.00 19.45 20.05 20.50 23.05 16.15 La vie en bleu 17.15 Championnat du monde 19.30 Match amical 21.00 La vie en bleu 21.45 Coupe du monde 22.45 Championnat du monde Sélection Ciné Star - 20.45 Radio Days Comédie avec Jacques Villeret Nostalgique, un homme se souvient de sa jeunesse, à New York dans les années 30, bercée par la radio et ses mille trouvailles, notamment «La Guerre des mondes»… Une fresque tendre, nostalgique et jazzy rythmée par la musique des années trente. , Ciné Frisson - 20.45 Battle for Honor France 3 - 20.45 Ronin Film de guerre avec Yevgeni Tsyganov Thriller avec Robert De Niro ,En 1941, dans la forteresse de Brest-Litovsk, En France, cinq mercenaires, recrutés par , un mystérieux commanditaire, tentent de 4000 soldats et leurs familles résistent à l'invasion allemande. Parmi eux, un homme recherche sa fiancée…Des moyens impressionnants, pour un résultat qui l'est beaucoup moins. DEPHASAGE 20.45 La grande soirée du récupérer une mallette tombée entre les mains de terroristes russes…En ce qui me concerne, «Ronin» est le film de la semaine. Le ministre de la Jeunesse et des Sports vient de solliciter l’aide du bureau de l’Unicef en Algérie pour le charger d’une enquête sur les problèmes de la jeunesse en Algérie, mais surtout pour connaître les raisons qui poussent cette même jeunesse à déserter les espaces que ce même ministère leur dédie. Les services du ministère de la Jeunesse et des Sports n’arrivent pas encore à déterminer les raisons qui poussent les jeunes à déserter les Maisons de jeunes, les auberges de jeunesse et les autres espaces de loisirs…pourtant, il suffit juste de faire un tour dans ces fameux espaces que n’ont de loisirs que le nom. En effets, ces espaces de loisirs et de distractions pour les jeunes souffrent très souvent d’un budget insuffisant pour couvrir les activités mais il y a aussi cette panne d’idées de la part des responsables qui ne songent pas à actualiser les loisirs et créer un centre d’intérêts pour cette jeunesse. Pourtant, il suffit juste de développer des activités nouvelles en rapport avec l’évolution technologique et surtout afin d’inciter les jeunes à s’intéresser à de nouvelles activités. Alors qu’ailleurs les Maisons de jeunes développent un intérêt majeur à l’introduction de la nouvelle technologie, de la conception assistée par ordinateur et poussent en même temps les jeunes à la lecture, au théâtre, cinéma amateur et à la peinture, chez nous, on reste encore à pratiquer et à faire pratiquer des activités qui remontent encore à l’âge de pierre. Les jeunes d’aujourd’hui ont d’autres besoins et aspirent à d’autres activités que les buchettes, la pâte à modeler, le coloriage ou encore à des excursions qui fatiguent plus qu’autre chose. Les services du ministère de la Jeunesse et des Sports sont-ils aveugles au point de ne pas voir que les activités qu’ils sont en train de proposer sont en déphasage total avec les besoins des jeunes d’aujourd’hui ? Et pourtant, ces mêmes responsables qui se posent aujourd’hui des questions ont des enfants et il me semble qu’ils savent ce que veulent leurs enfants… à moins qu’ils ne communiquent pas avec eux.… Allez, à demain si je ne suis pas viré ! La NR 4551 – Jeudi 7 février 2013 débat 13 La réforme «Le roi est mort vive le roi» , La crise dans l’éducation dans les pays en voie de développement, trouve ses origines dans le forum mondial sur l’éducation de Dakar 2000 qui a prédit une réforme mondiale de l’Education. On le sait maintenant et plus que jamais, la massification d’un enseignement sans qualité a représenté plutôt un handicap ayant entravé l’intégration des jeunes dans le tissu socio-économique du pays, le phénomène des diplômés chômeurs, nous le rappelle à chaque instant. D’un autre côté, la mise en œuvre de la politique d’arabisation s’est soldée par un constat unique au monde, du fait que l’enseignement des disciplines scientifiques se fait au rythme de deux langues imposant aux apprenants le passage, pédagogiquement insensé de la langue arabe au primaire et au secondaire à la langue française au supérieur. Ainsi, les orientations éducatives préfigurent les mutations sociales, culturelles et économiques auxquelles la société aspire. De la sorte, les orientations de cette nature sont en mesure de véhiculer le changement autant elles risquent de freiner le processus de transformation sociale quand elles ne sont plus en phase avec l’esprit des temps présents et décalées par rapport aux exigences de l’avenir. De même la mise en œuvre de la réforme demeure largement tributaire à la fois, de Publicité la démarche ayant inspiré la conception des finalités à atteindre et de l’implication de l’ensemble des acteurs censés mener cette réforme au jour le jour. Malheureusement, l’échéance qui a été fixée pour l’aboutissement de la réforme est désormais aussi proche que ne le sont les objectifs pour lesquelles le plan d’urgence fut déployé afin de réhabiliter l’école. Le département de tutelle en ayant favorisé une démarche ne permettant guère de s’attaquer aux problèmes structurels qui handicapent, le système éducatif marocain avait opté pour des demi-mesures qui se sont gardées de susciter une mise en cause radicale des dysfonctionnements majeurs dont souffre l’école. De la sorte, la refonte des curricula et des programmes scolaires fut abandonnée au profit de l’introduction de la pédagogie d’intégration aux cycles primaire et collégial. Or au-delà du fait que cette approche avait fait preuve de ses limites au sein des systèmes éducatifs qui l’avaient adoptée de par le passé au Maroc et en Tunisie et qu’elle ne soit introduite dans aucun système éducatif européen, le département de l’Education nationale a opté pour la généralisation de cette démarche sans procéder conformément aux règles d’usage en la matière. Ainsi au lieu de procéder par le biais d’expérimentation permettant d’évaluer d’une façon concrète les retombées de ladite démarche sur l’amélioration des appren- tissages et des méthodes d’enseignement, on s’est précipité de généraliser un protocole de recettes qui, à terme, ne présente aucune garantie de résultat et ce, malgré le considérable investissement humain et matériel consenti. D’un autre côté, une année et plus après la mise en œuvre du plan d’urgence la promotion de l’excellence au lycée tarde à se concrétiser faute d’une action audacieuse permettant de traduire les projets destinés à la résolution des problématiques transversales du système éducatif en mesures efficientes et réalisables. Ainsi, l’école de la réussite tant clamée, ne se profile guère à l’horizon et ce, malgré les moyens considérables mis à la disposition du département en charge de l’éducation, comparativement aux budgets ayant été alloués à ce secteur de par le passé. Ce constat fut rappelé encore une fois à l’occasion du dernier rapport de l’UNESCO consacré aux déficiences du système éducatif algérien et qui se rapportent sommairement à la persistance de l’analphabétisme, l’énorme taux de déperdition scolaire en milieu rural et surtout à la faible rentabilité interne et externe du système de l’éducation et de la formation. Face à cette situation qui ne peut hélas perdurer sans compromettre l’aboutissement des grands chantiers de la réforme touchant l’ensemble des secteurs socioéconomiques, force est de constater qu’une nouvelle politique éducative s’im- pose avec acuité. Désormais, le pilotage du redressement du secteur de l’éducation ne peut s’inspirer des formes de gouvernance ayant prévalu jusqu’à maintenant, comme il ne peut se faire en l’absence d’une implication effective des acteurs éducatifs et une prise en charge concrète des problèmes de l’école par l’ensemble de la communauté sociale. Les impératifs de la réforme qui s’inscrivent dans l’ordre de l’urgence ne furent que relatés depuis plus d’une décennie et pourtant au lieu de s’attaquer aux handicaps structurels qui freinent l’avènement d’une école de qualité, les plans d’action préconisés dans le cadre du plan d’urgence ne font que reproduire des tentatives de réforme qui ont fait preuve de leur inefficacité de par le passé comme au présent. L’école publique demeure certes, le moyen le plus noble qui bâtit le socle sur lequel les nations érigent leur identité propre et par le biais duquel, elles expriment leur génie, mais il n’en demeure pas mois que seules les nations ayant consenti des sacrifices énormes au bénéfice du savoir et de l’éducation de par le passé, se voient aujourd’hui récompensées et gratifiées en occupant une place privilégiée dans un monde où la connaissance et le savoir incarnent la marque-même des temps modernes. (A suivre) H a k em Bachir professeur de mathématiques au lycée Colonel- Lotfi d’Oran La NR 4551 — Jeudi 7 février 2013 vie pratique Tunis, 16h00 INFOS VOLS DÉPARTS Chlef vers Marseille, 13h00 HORAIRES VALABLES DÉPARTS Alger vers Paris (Charles De Gaulles), 07h35 Lille, 08h45 Lyon, 09h50 Marseille, 11h30 Bamako, 18h30 Dakar, 20h45 Genève, 18h11 Istanbul, 11h30, 12h00 Londres, 10h05 Genève, 10h00 Rome, 10h40 Barcelone, 16h45 Madrid, 09h55 Montréal, 14h45 Le Caire, 09h30 Dubaï, 16h30 Casablanca, 09h45 Tunis, 16h00 Damas, 20h00 Aman, 16h00 Beyrouth, 16h00 Francfort, 10h30 Moscou, 16h20 Niamey, 20h50 Nice, 08h10 Nouakchott, 21h15 DÉPARTS Oran vers Alicante, 1445 Bruxelles, 09h00 Casablanca, 07h45 Djeddah, 1700 Lyon, 08h50 Marseille, 09h00, 12h45 Oujda, 8h00, 18h25 Paris Orly, 08h30 Toulouse, 09h00 DÉPARTS Annaba vers Lyon, 11h00 Marseille, 08h00 Paris, 23h00 DÉPARTS Sétif vers Lyon, 09h30, 14h40 Paris Orly, 07h 55, 19h25 19h10 Paris vers Météo Annaba, 15h55, 16h50 Jeudi 7 février : 1 1°C / 6°C Paris vers DÉPARTS Béjaïa vers Marseille, 08h30 Paris, 09h20 Lyon, 13h30 Paris vers Tlemcen vers Paris Orly, 08h45 Constantine, 16h35 DÉPARTS Oran, 12h55 Tamanrasset vers Paris Orly, 02h45 Bordeaux vers LIGNES INTÉRIEURES Marseille vers Alger vers Marseille vers Annaba, 09h30, 15h50, 16h00, 17h30 Constantine, 06h00, 13h10, 14h50, 17h30, 20h00, 21h45, 22h10 Oran, 06h00, 11h00, 11h30, 17h45, 19h30, 20h50 Sétif, 08h00, 15h45 Ghardaïa, 07h00 18h30 Jijel, 08h10, 09h00 In Salah, 13h00 H.Messaoud, 06h45, 07h40, 18h00, 19h00, 20h45 Annaba, 10h30 Paris vers Alger, 18h40 Alger, 14h15 Marseille vers Batna, 13h00 SANTÉ min 10°C ressentie 5°C max 11°C ressentie 6°C Vent fort de nord-ouest Dans la nuit : Ciel couvert min 10°C ressentie 6°C max 11°C ressentie 7°C Vent assez fort de nordouest Samu : Alger : Lever : 7h44 Coucher : 18h18 021.93.11.90 Constantine, 10h30, 15h15 Santé Oran, 11h45, 15h40 Metz vers Alger, 12h25, 15h30 Nice vers Constantine, 10h20 Alger, 12h30 Gelée royale : pour qui, pour quoi ? Lyon vers Alger, 13h00 Annaba, 13h50 Béjaïa, 10h40 Constantine, 16h15 Oran, 12h05 Sétif, 12h15 DÉPARTS London vers Alger, 14h05 La gelée royale est appelée lait des abeilles parce qu'elle remplit à peu près la même fonction que ce dernier. Elle est utilisée pour nourrir les larves des abeilles pendant les premiers stades de leur développement. Quant à son qualificatif de «royale», elle le doit au fait qu'elle est la nourriture exclusive de la reine des abeilles. La gelée royale a donc dans notre imaginaire la place d'un produit un peu mythique, qui permettrait d'allonger la vie et d'augmenter la fertilité. Les reines sont en effet aussi les seules abeilles capables de pondre des œufs. La réalité n'est pas aussi rose, mais la gelée royale a tout de même des atouts. Quels sont les vrais béné fices de la gelée r oyale ? Si l'ingrédient principal de la gelée royale est l'eau, elle contient aussi des sucres, des protéines et des graisses. D'autres éléments sont plus précieux, notamment les vitamines, du groupe B principalement, mais aussi des minéraux et des oligo-éléments. Les études scientifiques qui se sont penchées sur la gelée royale ne sont pas très nombreuses. Les bienfaits théoriques de la gelée royale ne sont pour l'instant pas étayés par des données très fiables. Une certaine efficacité antibiotique a cependant été observée, ainsi qu'un effet similaire à celui des œstrogènes - on conseille donc parfois d'en prendre au moment de la ménopause. Plus traditionnellement, la gelée royale est plutôt utilisée comme un «renforçant» ou un «énergisant». On la conseille notamment en cas de convalescence, de période de stress ou de grosse fatigue. Comment utiliser la gelée r oyale ? La gelée royale fraîche est réputée plus efficace, mais elle est plus onéreuse et doit être conservée au congélateur. La gelée lyophilisée, qui se présente sous forme de capsules ou pilules, se contente d'un placard ! Attention, la posologie doit être adaptée puisqu'une fois lyophilisée, la gelée royale est trois fois plus concentrée. On conseille, pour une cure «de base», en cas par exemple de grosse fatigue, entre 100 mg et 250 mg de gelée royale lyophilisée. La gelée royale ne présente pas de risques particuliers pour la santé. Il ne faut cependant pas la prendre les yeux fermés. Elle peut déclencher des réactions parfois violentes chez les personnes allergiques au pollen ou aux piqûres d'abeille. Alger, 11h40 Dépannage gaz : 021.68.44.00 Dépannage électricité : 021.68.55.00 Service des eaux : 021.58.32.32/58.37.37 SÉCURITÉ Protection civile : 021.61.00.17 Sûreté de wilaya : 021.63.80.62 Gendarmerie : 021.62.11.99/62.12.99 ADRESSES UTILES Aéroport HouariBoumediene 021.54.15.15 Air Algérie Air France : Recette du jour 021.73.27.20/73.16.10 ENTMV : Oran,09h10 GRATIN DE RIZ ET VIANDE HACHÉE DÉPARTS Madrid vers Oujda vers Alger, 13h00, 12h30, 13h00 Alger, 18h15, 18h35 Barcelone vers Alger, 19h05 Alger, 03h05 Djeddah vers Alger, 03h40 INGRÉDIENTS Biskra vers Paris, 10h10 Oran, 01h45 250 g de viande hachée, 250 g de riz, 1 oignon DÉPARTS DÉPARTS Caire vers Horaires des prières DÉPARTS Tunis vers Alger, 10h20, 15h50, 18h20 Constantine, 17h35 haché, 1 petite boîte de champignons, 2 tomates, 1 petit bouquet de persil et coriandre, 2 cuillères à soupe d'huile, 1 cube de poulet, 3 verres d’eau, 200 g de fromage râpé, une pincée de safran, un peu de gingembre, 1/2 cuillère à café de cumin, une pincée de cannelle en poudre, 1/2 cuillère à café de piment doux, sel, poivre PRÉPARATION Dubaï vers DÉPARTS Alger, 08h05, 1h55, Ambulances : 021.28.11.12 Casablanca vers DÉPARTS Paris vers CHU Baïnem : (Réservation) Casablanca vers DÉPARTS CHU Beni Messous : 021.60.66.66 La gelée r oyale, le lait , des abeilles DÉPARTS Alger, 15h30 021.91.21.63 021.58.90.14 Marseille vers Paris (Charles De Gaulles), 07h35 Lille, 08h45 Lyon, 09h 50 Marseille, 11h30 Bamako, 18h30 Dakar, 20h45 Genève, 18h11 Istanbul, Londres, 10h05 Genève, 10h00 Rome, 10h40 Barcelone, 16h45 Madrid, 09h55 Montréal, 14h45 Le Caire, 09h30 Dubaï, 16h30 Casablanca, 09h45 Tunis, 16h00 Damas, 20h00 Alicante vers Oran, 16h45 CHU Ben Aknoun : CHU Kouba : Marseille vers Lille vers Rimini vers Alger, 11h00 021.23.55.55 Bejaïa, 11h00 Alger vers Rome vers Alger, 13h40 CHU Mustapha : 021.81.61.13 Nice vers DÉPARTS 021.67.16.16/67.00.88 Marseille vers Alger, 10h50 DÉPARTS Dans la jour née : , Pluie faible , Djeddah vers Constantine vers Marseille, 08 h 00 12 h 30 Paris, 13h00 Nice, 07h55 Mulhouse, 10h15 Lyon, 07h50 numéros utiles Béjaïa, 12h55 DÉPARTS DÉPARTS Batna vers Marseille, 10h30 Paris, 10h15 14 Jeudi 25 rabi al-awal 1434 : 7 février 2013 Dhor............................13h02 Asser...........................15h55 Maghreb......................18h21 Icha.............................19h41 Vendredi 26 rabi al-awal 1434 : 8 février 2013 Fedjr .........................06h18 Dans une casserole mettre l'eau, le cube de poulet, le sel, le safran et le riz, porter à ébullition et laisser cuire sur feu doux pendant 15 minutes, égoutterles dans une passoire. Eplucher les tomates et couper-les en morceaux et mixer-les avec le persil et coriandre, Faire chauffer l'huile dans une poêle et y faire revenir l'oignon haché pendant 2 minutes, ajouter les champignons et laisser cuire en remuant avec une cuillère en bois pendant 10 minutes, ajouter les tomates mixées et la viande hachée, assaisonner de sel, poivre, cumin, gingembre et piment doux et laisser cuire à couvert pendant 10 minutes, à la fin de cuisson ajouter le riz et bien mélanger. Verser la préparation dans un moule à gratin et saupoudrer de fromage râpé ensuite enfourner dans un four moyen pendant 15 minutes pour le faire gratiner. Servir aussitôt. 021.42.33.11/12 SNTF : 021.76.83.65/73.83.67 SNTR : 021.54.60.00/54.05.04 Hôtel El-Djazaïr : 021.23.09.33/37 Hôtel El-Aurassi : 021.74.82.52 Hôtel Hilton : 021.21.96.96 Hôtel Sofitel : 021.68.52.10/17 Hôtel Sheraton : 021.37.77.77 Hôtel Mercure : 021.24.59.70/85 La NR 4551 — Jeudi 7 février 2013 détente 15 Page animée par Abderrachid — n° 2163 Mots croisés Mots fléchés 1 Feras glisser Rendre aisé Recommençait Passagerapide Habille Bordures Patienterais Sport nautique Brisait Cloison 2 3 4 5 6 7 8 9 10 I II III IV V Rendît les armes Dépravations VI VII Grosse colère Arracha les plantes VIII IX En chien Nabots Paroles Comique X HORIZONTALEMENT Me rendrai Mettra en joue Terme d’échecs Fin de verbe Coupera le bois Note I. Chrétien. II.Amoureuse. III. Poissons plats - Opposition. IV. Coiffures papales - Pouffé. V. Queue de souris - Plantains d’eau. VI. Mesure de température. VII. Au goût du jour. VIII. Comptant - Mer morte. IX. Imaginiez. X. Règle - Fit un tas. VERTICALEMENT Rie en désordre Créature En plein 1. Attestation. 2. Calma - Baudet 3. Sélectionna - Javelot. 4. Echelle. 5. Marteau ou enclume - En cône. 6. Article - Serpentait. 7. Porteur népalais. 8. Relatif - Mélangeais. 9. Tonnelles. 10. Opportuniste - Zone autonome. Paresseux Installé Mots croisés muets 1 L’escamot Le premier mot A partir de la première lettre, descendez l’escalier en ajoutant à chaque fois une lettre pour trouver le mot correspondant à la définition donnée horizontalement. N. B. : D’un mot à l’autre, l’ordre des lettres peut être différent. Complétez la grille en répondant aux définitions horizontales. Les initiales lues verticalement donnent «LE PREMIER MOT» correspondant à la définition. II Plaie ou escarre N Turc S Favorisées L Job Femelle de sanglier E Empreinte Blessure E Usité R Héritier Lui III Dépôt de fond IV V VI Vaste étendue VII Cri VIII N U P I T A L 5 6 7 8 9 10 I II III V VII VIII IX X HORIZONTALEMENT I. Document à remplir. II. Eprises. III. Fruit sec. IV. Suceras. V. Blache parfois - Artères. VI. Deux romain - Attacher -Lasienne.VII. Souiller - Parles. VIII. Pas vraiment séantes. IX. Créatures - Acrimonie. X. Ville de l’Orne - Sapez. E 4 VI Définition : Forme extérieure, galbe Le mot manquant Mots en carré En partant de la lettre donnée, complétez la grille avec les lettres remises en ordre pour obtenir quatre (4) mots pouvant se lire horizontalement et verticalement 3 IV E I I 2 Dans la citation suivante, un mot a été supprimé : N A I S A N E «Le............................ est un fardeau qui obscurcit le passé, qui menace l’avenir et qui rend le présent inacessible.» S I S U (Maya Angelou) F E N U A : Malheur ? B : Mal ? C : Préjugé ? VERTICALEMENT 1. Extravagances. 2. Rivière d’Ethiopie - Gaie. 3. Souverain - Esprit romain.4. Loutre et raton laveur. 5. Déchet organique - Se rendras. 6. Pli. 7. Ecrivain - Sélection. 8. Traverse Grenoble - Géant. 9. Note - Assailli. 10. Dieu gaulois - Trop ! Solutions du numéro 2162 Mots en carré Le premier mot L’escamot I S A I S A I N S A I N T T I S A N E T S I G A N E S I E G E A N T L A N L A M E A M E R N E R F F A C T I O N E S S E N C E S O U R I R E T E N S I O N I R R E E L S Le mot manquant «Chaque âge a ses plaisirs, son esprit et ses mœurs.» S S E V E N E R E E E S S O R E R (Boileau) Mots fléchés Mots croisés Mots croisés muets Horizontalement : B - M - C - A - O - CABOCHARDS NARRA - RIA - EDITER - AS - ESSE ON - E - BRS - ROUGET - IE - EPIEES - PL - INE - RT - LI - TRUAND - TETU - EPIEU. Horizontalement : ARGENTERIE - ROUPIE - ANS DUITE - FINS - ESSE - PANEE - NSE - NERE - N - NI - LOUE - SC ALTIER - ETE - ILLUL - AMER SOIE - EMERI - ENTREMELEE. Horizontalement : BARBOTEUSE - AMEUTE - NES LEURS - TINT - ERNE - GREER - III ARES - O - NN - AMES - SP - IDOLES - MAI - EIDER - CANE - REES MORTE - ENSEVELIES. Verticalement : C - E - B - P - T - BANDERILLE BAISSE - IT - MORTS - I - U CREERENT - CHAR - OPERE - A OUI - UP - ARRANGERAI - DIS EETNE - OSA - ETS - DU. Verticalement : ARDENNAISE - ROUSSILLON GUISE - TLIT - EPTE - LIUER - NIE NOEL - E - TE - PEUR - EM - E FARE - AME - RAINE - EMEL INNE - STERE - ESSENCERIE. Verticalement : BALEINIERE - AMERINDIEN - REUNI - ODES - BURE - ALESE - OTS - AMER - V - TE - GRES - ME - E - TRES - COL - UNIES - MARI - SENE - SANTE ESTROPIEES. société La NR 4551 — Jeudi 7 février 2013 16 Cordonnier INSOLITE La passion au bout du pied , Le secteur de la formation professionnelle tend ces dernières années de mettre en avant des formations liées à des métiers qui ont tendance à disparaître telle la tannerie, la dinanderie et la cordonnerie… Ces métiers qui nécessitent de l’amour, de la passion et souvent beaucoup de patience sont malheureusement en voie de disparition notamment avec la modernisation qui donne accès à toutes les facilités de la vie quotidienne. Depuis plusieurs décennies, on assiste graduellement à la disparition de certains métiers qui, jadis, occupaient une place prépondérante dans l’économie du pays. Ces artisans qui gagnaient, autrefois, aisément leur vie sans dépendre d’aucune tierce personne, sont aujourd’hui, en train de subsister en s’adaptant à une nouvelle façon de vivre. Certains d’entre eux refusent d’abandonner leurs métiers hérités de père en fils. Ils s’adonnent désormais à la réparation et à l’ajustement. Aâmi Saïd, un quinquagénaire, est cordonnier depuis vingt-cinq ans à la rue Tanger. Le commerce n’est plus ce qu’il était, mais il ne sait pas faire autre chose. Il est donc obligé de continuer à pratiquer son métier. Dans son espace de travail de cinq mètres carrés, il remplace les semelles et donne une seconde vie aux souliers de sa fidèle clientèle. Souvent dans la poussière et les odeurs de colle ou de solvants, aâmi Saïd effectue ses travaux de réparation minutieusement et avec une grande patience. Des boîtes rem- plies de sandales et de bottes de toutes formes et tailles reposent à terre ou placées dans des étagères. Ce quinquagénaire qui s’est adapté à cet environnement se retrouve dans ce désordre. «Je ne gagne pas assez pour subvenir à mes besoins les plus élémentaires», confie-t-il. L’artisanat : fragments de patrimoine onscient que les métiers d’artisanat peuvent contribuer à l’évolution de l’économie du pays et peuvent, par ailleurs, encourager la main-d’?uvre, les pouvoirs publics se sont penchés ces dernières années sur le développement de ce domaine générateur d’emplois. Le secteur de l’artisanat englobe toute une panoplie de métiers et d’activités qui devraient trouver leur place dans une économie ouverte sur le monde à travers un nouveau regard et une considération accordée aux activités liées à la promotion de l’artisanat, source de création de richesse et d’emplois. L’artisanat est le secteur le plus menacé de disparition, malgré sa richesse en activités. Au jour d’aujourd’hui, les vieux artisans assistent, à l’extinction de leur carrière, car les jeunes n’assurent plus le relais et préfèrent embrasser des professions de tout repos, à savoir des cybercafés, des magasins spécialisés dans la commercialisation des téléphones portables, leurs accessoires, et d’autres métiers qualifiés de «propres», non épuisants. Conscient de ce problème et pour tenter d’endiguer cette disparition, des conventions sont paraphées entre les ministères du tourisme et de la Formation professionnelle pour permettre aux jeunes d’apprendre certains métiers artisanaux qui sont en train de s’éteindre. 339 métiers sont à promouvoir à travers trois secteurs de l’artisanat, à savoir les activités d’art, de production et de service. Il convient de rappeler que le premier plan de développement durable de l’artisanat, pour 2012, avait entre autres objectifs la création de 70.000 emplois dans des métiers prometteurs qui peuvent réaliser des capitaux. L’Algérie compte près de 450.000 artisans activant dans 372 métiers, dont certains risquent de disparaître à jamais, à l’instar de la tannerie et la dinanderie. C La police d'Oslo primée pour son humour sur Twitter «Je dois continuer à travailler», explique-t-il, «car je suis assez vieux pour changer de voie professionnelle maintenant». «Depuis quelques années, j’ai moins de clientèle. Aujourd’hui, de moins en moins de gens réparent leurs chaussures. Il est moins cher d’en acheter une nouvelle paire», précise aâmi Saïd tout occupé à réparer une paire de bottes. Attentif, soigneux et rapide, aâmi Saïd utilise sa créativité et son habileté pour redonner vie à cette paire de chaussures usées. A à un moment donné, un homme rentre dans la boutique pour déposer ses chaussures, lui demandant à placer des talonnettes. «Je fais encore réparer mes chaussures, car j'ai beaucoup de mal à en trouver et qui vont à mes pieds et lorsque j’en trouve j’y mets un certain prix, donc j'en prends soin», souligne t-il. Pour Fatiha, une jeune fille rencontrée sur les lieux, les cordonniers sont sollicités seulement lorsque les chaussures à réparer sont de bonne qualité. «Mais le problème, c'est que les chaussures qui se vendent actuellement sont bon marché et s’usent rapidement», précise-t-elle en ajoutant qu’on préfère ainsi, acheter de nouvelles paires que d’effectuer des réparations parfois coûteuses. Malgré cette nouvelle tendance, aâmi Saïd continue à exercer son métier aisément, avec passion, sans accorder la moindre attention à l’exiguité des lieux. Evoluant, dans son atelier, comme un poisson dans l’eau, cet artisan continue à être sollicité, fort heureusement, par beaucoup de personnes. La plupart d’entre elles lui confient la réparation de leurs chaussures auxquelles elles y tiennent. Agence Preuve que le bras armé de l'Etat peut avoir la main légère, la police norvégienne a été primée mardi pour avoir accouché du meilleur tweet de l'année 2013 qui ne fait certes que commencer. «Avons été informés d'un tapage nocturne avec cris de femmes. Sur place, constatons fête d'infirmières. Quittons bientôt les lieux»: ces quelques caractères mêlant subtilement malentendus et sousentendus ont valu à la police d'Oslo d'être distinguée aux Social Media Days, le rendez-vous annuel des médias sociaux en Norvège. Le compte Twitter du centre des opérations de la police d'Oslo (@oslopolitiops) est extrêmement populaire - comptant près de 80 000 abonnés - pour ses messages utiles, informatifs mais aussi souvent légers. Plusieurs tweets ont été abondamment retweetés et commentés l'an dernier. «Un véhicule intercepté sur soupçon de conduite en état d'ébriété. S'est avéré être un Grec conduisant pour la première fois sur les routes hivernales norvégiennes», écrivent ainsi les policiers le 26 décembre. Relatant les déboires et les nuisances causées par un cortège de mariage roulant au pas sur l'autoroute, ils précisent qu'un des véhicules subit une panne moteur: «Le chauffeur s'agenouille sur une couverture et commence à prier. Pas sûr que ça aide». Le mystère du corps de Richard III élucidé après 500 ans Artisanat targui Un patrimoine plus que séculaire , L’artisanat constitue une des diverses facettes du riche patrimoine matériel plus que séculaire que les Touareg du Tassili, dans la wilaya d'Illizi, se sont attelés à préserver d’une génération à une autre. Cet héritage, qui a été depuis la nuit des temps entretenu, revêt une importance particulière chez les populations touarègues et à travers lequel est valorisé le savoir-faire artistique dans différents segments du richissime artisanat traditionnel, à l’instar de la bijouterie traditionnelle, la vannerie et la maroquinerie, qui, bien que travaillées avec des outils et moyens rudimentaires, ont gagné une réputation transcendant les frontières du pays. Les outils et armes de guerre, telles que les épées, les coutelas, les hachettes et autres produits façonnés dans le cuivre, ajouté au travail du bois fait avec dextérité, le tout orné de motifs, dessins, sculptures et graphes en tifinagh renvoyant à des origines anciennes des Touareg, constituent également, avec l'habit traditionnel, des éléments de ce patrimoine matériel que l’Homme bleu s’emploie à valoriser et à perpétuer. Il appartient de citer entre autres activités artisanales développées par les Touareg, la tannerie et la maroquinerie, dont la fabrication des tentes et de chaussures connues sous le nom de «Timba» sont l'œuvre de la femme de la région du Tassili. Cette dernière excelle aussi dans la couture et la broderie traditionnelles. Les célébrations d’évènements, locaux ou nationaux, ainsi que les fêtes de mariage, sont, entre autres des occasions, mises à profit pour exposer et valoriser, avec les concours et encouragements d’associations, le savoir-faire de la femme dans le design tra- ditionnel. Parmi les associations de la région les plus actives dans ce créneau, l’associationcoopérative de l’artisanat traditionnel de la localité de Bordj Omar Idriss s’est distinguée, par ses œuvres, lors de manifestations nationales et internationales, à l’instar de salons tenus à Paris (France) et Berlin (Allemagne). Cette association s’emploie aujourd’hui à perpétuer le riche legs artisanal, ancien des Touareg et à le vulgariser, en formant des jeunes, en vertu de conventions signées avec des établissements de la formation professionnelle. Selon son président, cette association envisage, dans le but de répondre à la demande et aux goûts des touristes amoureux de la région, de moderniser ses équipements et moyens de production. M. Ayloum Mohamed Salim a, dans ce cadre, sollicité les autorités locales à prêter assistance aux artisans de la région afin de leur permettre de faire face aux contraintes freinant leurs activités, notamment pour ce qui est de «la cherté de la matière première, en mettant à leur disposition les moyens nécessaires, en plus de la révision à la hausse du micro-crédit destiné aux artisans et plafonné actuellement à 250 000 DA seulement», a-t-il dit. Agence Les restes du roi Richard III d'Angleterre, immortalisé par la tragédie de Shakespeare, ont été identifiés grâce à des analyses scientifiques qui mettent un terme à cinq siècles de mystère sur la dépouille du souverain, a annoncé lundi l'université de Leicester. L'ADN du squelette retrouvé sous un parking de Leicester, ville du centre de l'Angleterre, est identique à celui de Michael Ibsen, un fabricant de meubles d'origine canadienne installé à Londres et qui, selon des généalogistes, descend en ligne directe de la sœur de Richard III, Anne d'York, belle-sœur de Charles le Téméraire. Cette découverte met un point final à cinq siècles de mystères et de légendes, dont l'une voulait que le corps du roi, tué dans la mêlée de la bataille de Bosworth, le 22 août 1485, ait été exhumé sous le règne de Henri VIII et jeté dans une rivière et que sa tombe ait servi d'abreuvoir à chevaux. La NR 4551 – Jeudi 7 février 2013 sport 22 Football européen Turquie, le nouvel eldorado , Wesley Sneijder, Didier Drogba. Cet hiver, grâce à Galatasaray, la Turquie est passée à la vitesse supérieure. S’ils ont de quoi surprendre à première vue, ces transferts vers la Süper Lig ont une logique, tant d’un point de vue sportif qu’économique. Parce que la Turquie est une destination tendance. Explications. Entaché d’un scandale de paris sportifs au terme de la saison 2010-2011, le football turc renaît de ses cendres. Mieux, il devient sacrément attractif pour les stars étrangères. Jusque-là réservé, semble-t-il, aux vétérans à la recherche d’un dernier défi ou aux grands espoirs en quête de rachat, on observe récemment une certaine mutation. Les arrivées de bons joueurs, à la fleur de l’âge, comme Muslera, Meireles, Sow, Krasiç et donc, dernièrement, Sneijder, sont autant de preuves d’un changement. Pourquoi cette subite attractivité ? Pour les stades blindés, l’ambiance de dingue, la culture football et les meilleurs kebabs du monde ? Peut-être. Parce que le championnat, contrairement à ce que l’on peut penser, est relativement homogène et en nette progression ? Peut-être aussi. Mais parce que l’économie turque affiche une croissance rare et un taux d’imposition avantageux, c’est évident. Marché florissant et gros salaires Un peu d’économie ne fera pas de mal, pour expliquer pourquoi la Turquie parvient à convaincre des joueurs de renom. La Turquie, c’est l’Europe du football, mais pas l’Europe tout court. La crise ? Quelle crise ? Le pays affiche une croissance tout simplement dingue depuis quelques années. 8,9% en 2010, 8,5% en 2011. En 2012, elle est en net déclin, avec «seulement» 3%. À titre de comparaison, la France, elle, affiche sur ces trois années des chiffres de 1,5, 1,7 et pour 2012… 0,3%. Une tendance morose se situant à peu près dans la moyenne européenne. Alors autant dire que la Turquie, si elle commence tout juste à payer son étroite collaboration avec les pays européens, est bien loin d’être dure- TURF La Turquie attire les stars du football mondial. (Photo > D. R.) ment touchée par cette fameuse crise qu’elle s’est coltinée au début des années 2000. Quelle incidence sur le football ? C’est simple, les Turcs consomment plus de football (télé, merchandising, billetterie), et les clubs peuvent ainsi profiter d’offres plus juteuses de la part de leurs sponsors. Et des distributeurs : pour parler des droits TV, ils sont passés de 160 à près de 250 millions d’euros après négociations en 2011. De grosses sommes qui profitent essentiellement aux grands clubs stambouliotes – présidés par des hommes fortunés, s’il faut le préciser – qui peuvent donc se permettre de réinvestir cet argent sur le marché. Mais le meilleur est encore ailleurs. Il se trouve dans la fiscalité. Là où les clubs sont exempts d’impôts, ils peuvent également sortir, au moment d’une négociation avec un joueur étranger, un argument plutôt tentant : un taux d’imposition imbat- table. En Turquie, et ce depuis 2003, les footballeurs profitent d’un rabais fiscal et ne sont imposables qu’à 15% de leurs revenus annuels. Toujours à titre de comparaison, la France est à 46% (pour l’instant), l’Angleterre à 50. Voilà qui devrait expliquer pourquoi Didier Drogba a préféré Galatasaray. Ou pourquoi, du côté de la Turquie, on peut se permettre de balancer des rumeurs du style «Maradona coach de Bursasport ?» (véridique), sans que cela ne choque personne. Un challenge sportif pas inintéressant Parce que sportivement, la Turquie, ce n’est pas dégueu non plus. L’argument de base est forcément lié à l’environnement : des stades blindés, des ambiances folles à toutes les rencontres notamment, et surtout pour les géants stambouliotes que Hippodrome de Zemmouri 8 - Qualie de la bouge : C’est une belle base de jeu 9 - Une de la potet : Ce sera dif f i c i l e PROPRIETA I R E CHEVAUX JOCKEYS PDS CDS M. Ouzour 1 - Tempête Di Camino A. Chellal 56 09 F. Hamiane 2 - Soirée d’Avril R. Fliri 54 11 Saida/ouzour Fliri 3 - Samouraî d’enfer T. Belhabchia 54 03 A. Chellal CF Zemmouri 5 - Lucky des champs R. Tarzout 53 05 R. Tarzout M Abdelatif 6 - Ter reo A. Benayaq 53 03 Le petit Haras 7 - Thor de la motte C. Safsaf 53 11 S A Fouzer 8 - Qualie de la bouge 51 13 B. Bazine 9 - Une de la potet 51 07 R . F e k h a r dji Y. Meziani 52,5 12 Y. Meziani S. Meziani 52 08 S. Meziani F. Boubkhenoufa 55 09 A. Boukhenoufa M. Taibi 50 12 elle 10 - Topaze de Fr oulay : Méfiant 1 1 - P a o l a r d i e r e : C’est une jument de qualité 12 - Odile Galbe : Rendr e 50 m aux chevaux de tête, ce n’est Y. Mezian 1 - Tempête Di Camino : Il n’a rien à voir 2 - Soirée d’Avril : C’est une belle chance 3 - Samouraî d’enfer : Il n’a rien à voir 5 - Lucky des champs : C ’ e s t u n e b e l l e c h a n c e 6 - Ter reo : Il r este sur une victoir e pas facile 13 - Nejd des r o n d e s : L e c o u r a g e l u i m a n q u e R. S. Quinté-quarté Pronostic : 2.5.6.7.8.10.11 Prix «Uphoria» - Dotation : 350 000 DA - 15h30 - 2000 m - 15h30 7 - Thor de la motte : Il peut réussir sa course sont Befliktafl, Fenerbahçe et Galatasaray – trois clubs qui rassemblent pas loin de 20 millions de fans, rien que sur Facebook. Et puis, il y a aussi la qualité du championnat à proprement parler. Une «Süper Lig» qui, contrairement aux idées reçues, ne se limite pas, justement, aux plus grands clubs stambouliotes. Ces deux-trois dernières années, plusieurs formations viennent constamment jouer les trouble-fête en haut de tableau : l’historique Trabzonsport, mais aussi Bursaspor ou cette saison des clubs comme Kas›mpafla ou l’Antalyaspor (qui trustait le leadership en championnat il y a encore un mois). Bref, finie l’hégémonie, place à l’homogénéité. La Süper Lig progresse, les clubs s’arment de mieux en mieux. Et ces clubs-là ont également la possibilité de disputer les championnats européens. 10 - Topaze de Fr oulay Mme Aumassip 11 - Paolar dier e A. Boukhenoufa 12 - Odile Galbe Le Petit Haras 1 3 - N e j d d e s r ondes AEK Hami SA Fouzer R F E k h a r dji ENTRAINEURS A. Chellal B. Yahia Melle Abdelatif B. Sahraoui R. Fouzer B. Sahraoui sport La NR 4551 – Jeudi 7 février 2013 23 EN DEUX MOTS Ryad Boudebouz «Acquérir une rigueur défensive pour rivaliser avec les ténors de l’Afrique» , L’international algérien, Ryad Boudebouz a estimé que la sélection algérienne, éliminée dès le premier tour de la Coupe d’Afrique des nations (CAN-2013) qui se poursuit en Afrique du Sud, devait acquérir une certaine rigueur défensive pour espérer faire face aux gros calibres du continent, avouant que la nouvelle génération des Verts «se cherchait toujours». «On doit acquérir une certaine rigueur défensive pour pouvoir rivaliser avec des équipes du calibre de la Côte d’Ivoire», a déclaré le milieu offensif de Sochaux (Ligue 1, France) à Footafrica 365. «A l’heure qu’il est, l’Algérie n’est pas encore un favori pour la CAN, comme j’ai pu l’entendre. Mais simplement une équipe avec une nouvelle génération, qui se cherche», a-t-il ajouté. Avec un effectif comportant trois joueurs seulement «rescapés» de la CAN2010 en Angola, la sélection algérienne a perdu ses deux premiers matches au premier tour contre la Tunisie et le Togo (1-0 et 2-0) et fait un nul contre la Côte d’Ivoire (2-2) lors de sa dernière sortie dans le groupe D. Un bilan qui ne décourage pas pour autant Boudebouz. «On est une équipe jeune. On n’était que trois à avoir déjà participé à une coupe d’Afrique. C’est très enrichissant pour ma part. On va apprendre de ces matchs de haut niveau et on va essayer de rebondir pour les qualifs du Mondial», a-t-il positivé. Et bien qu’il Boudebouz promet un avenir meilleur (Photo > Belinonet) ne soit utilisé que pendant 60 minutes lors de la dernière rencontre face à la Côte d’Ivoire, soit lorsque les dés étaient déjà jetés, le stratège sochalien n’a pas tari d’éloges sur l’entraîneur bosnien des Fennecs, Vahid Halilhodzic. «Depuis que l’entraîneur (Vahid) est avec nous, il a mis en place une certaine qualité de jeu. Il y a du talent en Algérie. Sur ce tournoi, on a eu pas mal de malchance. Et surtout, on n’a pas été assez tueurs dans la zone de vérité. Mais, je le répète, on est jeunes», a-t-il commenté. Boudebouz reste persuadé, en outre, que l’avenir de la sélection algérienne ne sera que prometteur, CR Bélouizdad Les trois nouvelles recrues qualifiées face à El-Ismaïli , Les trois nouvelles recrues du CR Belouizdad, Fodil Hadjadj, Karim Ayache et Merouane Dehar, sont qualifiés pour prendre part aux rencontres du club de Ligue 1 algérienne de football en coupe arabe des clubs, a-t-on appris mercredi auprès de leur entraîneur, Fouad Bouali. «Les dossiers des trois joueurs ont été envoyés à temps à l’Union arabe de football, et ils sont tous les trois autorisés à jouer la coupe arabe dès le prochain match», a déclaré à l’APS, l’ex-entraîneur de l’USM Bel-Abbès. Le club de la capitale accueillera son homologue égyptien Al-Ismaïli mardi prochain au stade du 20-Août 1955 (Alger) en match aller des quarts de finale de l’épreuve arabe. Bouali n’a toutefois pas encore tranché sur la participation des trois éléments en question, recrutés lors de la période des transferts d’hiver, face aux Pharaons. «Je n’ai pas encore en tête le onze qui va affronter El-Ismaïli. Je me focalise plutôt sur notre prochaine rencontre en championnat contre le MC Oran ce vendredi. Il est impératif de l’emporter pour aborder le rendez-vous arabe avec un moral au beau fixe», a-t-il expliqué. Bouali pense néanmoins que Hadjadj, qui a quitté l’ASO Chlef au bout de six mois seulement pour n’avoir pas bénéficié de temps de jeu, pourrait rendre d’énormes services au «Chabab», «grâce notamment à son expérience». «Quant à Ayache et Dehar, ils sont deux jeunes éléments dont le club pourrait tirer profit à l’avenir», a encore commenté l’entraîneur belouizdadi. Il s’agit de la première expérience de ces deux joueurs dans le championnat algérien. Ayache, un demi-défensif, évoluait dans un club de cinquième division en France, alors que Dehar, un attaquant de pointe, portait les couleurs de l’ES Sahel de Tunisie. assurant que «d’ici quelque temps, l’Algérie sera devenue plus solide. Il n’y a que dans les échecs que les grandes équipes se construisent». Les Verts renoueront avec la compétition officielle le 26 mars prochain en accueillant le Bénin, pour le compte de la troisième journée des éliminatoires de la coupe du monde 2014 au Brésil. Après deux journées de compétition, le prochain adversaire des coéquipiers de Boudebouz occupe la première place au classement du groupe H avec quatre points, alors que l’Algérie partage la deuxième position avec le Mali avec trois points chacun. Le Rwanda ferme la marche avec une seule unité. R . S./Agence Equipe nationale -U20 Pas de matchs amicaux internationaux , La Fédération algérienne de football (FAF) n’a pas réussi à programmer des rencontres amicales internationales au profit de la sélection nationale des moins de 20 ans (U-20), appelée à disputer le championnat d’Afrique de sa catégorie qu’abritera l’ouest algérien (Oran et Ain Témouchent) du 16 au 30 mars prochain, a-t-on appris hier d’une source proche de l’instance footballistique algérienne. L’entraîneur des jeunots des Verts, le Français Jean-Marc Nobilo a émis le voeu de voir ses protégés à l’oeuvre contre des sélections africaines avant d’entamer le rendez-vous continental, mais tous les efforts déployés par la FAF pour satisfaire sa doléance ont été voués à l’échec, ajoute la même source. Cette situation oblige le staff technique des (U-20) à se rabattre sur des clubs locaux pour peaufiner leurs préparatifs en vue du championnat d’Afrique. Les deux matchs amicaux que viennent de disputer les coéquipiers de Zineddine Ferhat face aux équipes premières de l’ES Mostaganem (victoire 2-0) et le RC Arbaâ (0-0) pensionnaires de la Ligue 2, entrent dans ce cadre. Les protégés de Nobilo, qui ont clôturé mardi un stage d’une semaine déroulé sur deux phases à Aïn Témouchent et Alger, seront à nouveau regroupés du 17 au 24 février. Deux autres rencontres d’application sont au menu de ce stage face à la sélection nationale militaire et un club de Ligue 1 à déterminer. Le dernier stage précédant le coup d’envoi du championnat d’Afrique sera organisé entre le 5 et le 10 mars. L’Algérie évoluera lors de la CAN-2013 dans le groupe A, domicilié à Ain Témouchent, en compagnie du Ghana, de l’Egypte et du Bénin. Elle rencontrera successivement le Bénin en match d’ouverture, le 16 mars à 17h30, l’Egypte le 19 mars à 20h30 et le Ghana le 22 mars à 17h30. Les rencontres du groupe B composé du Nigeria, du Mali, de la RD Congo et du Gabon, sont programmées à Oran. Les quatre demi-finalistes de l’épreuve se qualifieront directement au mondial prévu l’été prochain en Turquie. Sélection de la Côte d’Ivoire : la Fédération assume l’échec Eliminée en quarts de finale de la Coupe d’Afrique des Nations par le Nigéria (1-2), la Côte d’Ivoire a manqué une nouvelle occasion de soulever un trophée qu’elle n’a plus remporté depuis 1992. Un échec assumé par le président de la Fédération ivoirienne de football (FIF) Sidy Diallo : «Le sport est fait de victoires et de défaites. J’assume toutes les responsabilités de cet échec. Il faut maintenant tirer les leçons de cette élimination pour repartir du bon pied. Tout a été mis en place pour réussir une belle campagne. Notre équipe était bien préparée pour le match contre le Nigeria, mais sur le terrain les joueurs ont évolué en dessous de leur valeur habituelle». Diallo explique également que Sabri Lamouchi n’est pas menacé malgré l’élimination. «Je voudrais indiquer qu’au soir de la défaite joueurs, encadreurs et membres du Comité directeur de la FIF avons de manière unanime reconnu le travail abattu par l’entraîneur Sabri Lamouchi, précise-t-il. Nous allons poursuivre l’aventure avec lui. Limoger un coach à chaque échec n’est pas une sage décision. Notre prochain objectif est la qualification pour le Mondial-2014». R. S. Quotidien national d’information. Edité par la Sarl SEDICOM au capital social de 100 000 DA. Rédaction - Direction Administration : Maison de la Presse. 1, rue Bachir Attar, Place du 1er-Mai - Alger. Tél. : 021 67.10.44/67.10.46 Fax : 021 67.10.75. Compte bancaire : CPA 103 400 08971.1 . 114, rue Hassiba-Ben Bouali, agence Les Halles. Membres fondateurs : Gérant, directeur de la publication: Abdelwahab Djakoune. Directeur de coordination : Samir Sabek Directeur commercial : Ouahid Kouba. Composition PAO La Nouvelle République Impression Alger : SIMPRAL. Oran : SIO. Constantine : SIE. Diffusion centre : SEDICOM. Ouest : SPDO. Est : El Khabar. Sud : Trag diffusion Publicité : La Nouvelle République, Maison de la Presse. Tél. : 021 67.10.72. Fax : 021 67.10.75. E-mail : [email protected]/E-mail pub : [email protected] - ANEP Spa : 1, avenue Pasteur, Alger. Tél. : 021 73.76.78 - 021 73.71.28. Fax : 021 73.95.59 - 021 73.99.19. Conception : Studio Baylaucq, Paris, France. Tél. : +331 44.90.80.40 Les manuscrits, photographies ou tout autre document adressés à la rédaction ne peuvent faire l’objet d’une quelconque réclamation. La NR 4551 – Jeudi 7 février 2013 LA NR L A NOUVELLE R É P U B L I Q U E sport en direct le match à suivre football CR Bélouizdad Les nouvelles recrues qualifiées face à El-Ismaïli Equipe nationale (-U20) Pas de matchs amicaux internationaux Boudebouz «La rigueur défensive pour rivaliser avec les ténors de l’Afrique» Ligue 2 : ne laissez pas l’Arbâa filer ployer plus d’efforts et revenir avec au moins, un point à la maison, d’ailleurs ce team est actuellement onzième, et un nouveau faux-pas sera synonyme de naufrage. Le MOB, quant à lui, il doit vite se rétablir et remettre à nouveau la machine en route, lui qui a perdu son dernière match devant le MO Constantine (2-0). En outre, la guerre acharnée déclenchée au devant du classement, oblige les Mobistes à remporter ce match et à afficher à haute voix leur présence. Lors de cette journée, l’équipe de l’AS Khroub va se rendre à Témouchent pour croiser un CRT languissant. Il semble que ce match est à la portée des Khroubis, vu que les Témouchentois n’ont aucune arme à affûter. Enfin, l’AB Merouana sera appelé à jouer le MO Constantine à la maison. A l’exception de la rencontre MOB-MCS dont le coup d’envoi sera donné à 18h, le reste des matchs débuteront à 15h. Notons que trois affiches de cette journée auront lieu samedi 9 février à savoir : NA Hussein Dey – USM Annaba, ES Mostaganem – MSP Batna et USM Blida – ASM Oran. , La 20e journée du championnat national de Ligue 2 sera jouée demain vendredi, mais sera amputée de trois rencontres qui sont fixées pour le lendemain (samedi). Le leader, RC Arbâa visitera Mohammadia pour affronter le SAM, le CRB Aïn Fekroun accueillera l’O Médéa et le MO Béjaïa va jouer face au MC Saïda à domicile. Une occasion très convenable pour les Arbéens de s’éloigner dans le classement. Avec une distance confortable, ces derniers seront en voyage à Alger pour affronter le SA Mohammadia dans le seul huis clos de la semaine. Après leur nouveau succès le week-end passé devant le NA Hussein Dey, les poulains de Samir Boudjâaran veulent poursuivre le même rythme et revenir avec les trois points de leur nouvelle sortie de demain, une chose qui va les rendre plus sereins pour le reste de la saison, d’autant plus que le public n’aura pas accès au stade Ouali de Mohammadia. Pour sa part, le SAM qui vit des jours de cauchemar n’a pas d’autre choix que la victoire, la victoire et pas moins. On suppose que les joueurs n’arrivent plus à retrouver la quiétude à cause de cette zone rouge qu’ils traînent depuis des journées. Mohammadia et même si son adversaire est des plus redoutables, doit impérativement jouer pour la gagne et ne pas céder à une autre défaite qui rendra le maintien plus compliqué. Le dauphin, CRB Aïn Fekroun sera mis a rude épreuve quand il recevra la bonne formation de l’O Médéa. Ce match constitue une impasse pour les locaux qui sont à la poursuite du leader et ne veulent surtout pas, le laisser s’échapper. Du côté médéen, l’objectif se fixe bien d’après leur position au milieu du tableau. La Der Farid Harbi Programme des matchs Vendr edi à 15h : CRB Aïn Fekroun - O Médéa AB Merouana - MO Constantine SA Mohammadia - RC Arbaâ CR Témouchent - AS Khroub A 18h MO Béjaïa - MC Saïda Samedi à 15h : NA Hussein Dey - USM Annaba ES Mostaganem - MSP Batna USM Blida - ASM Oran Les affaires de la Ligue 2 commencent à s’éclaircir. (Photo > Belinonet) L’OM a, pour rappel, traîné dans la boue le CR Témouchent en le battant par quatre à zéro lors de la précédente journée. Cette démonstration de force fait-elle peur aux Tortues ? la réponse, on la saura demain à partir de 15h. L’autre rencontre qui mettra aux prises, le MO Béjaïa au MC Saïda au stade de l’Unité-Maghrébine, est des plus importantes pour les deux formations, notamment pour les Boujiotes qui auront la faveur de jouer devant leur public. La lanterne rouge, le MCS est condamné à dé- A voir Eurosport : U17, Fluminense – PS Germain à 14h30 Canal + sport : handball, Chambéry – Les maillons faibles Des fusibles ont sauté. Abdenour Kaoua, le maillon faible du staff technique de l’équipe nationale, est le bouc émissaire le mieux indiqué pour payer les pots cassés d’une élimination dont normalement le premier responsable est l’entraîneur en chef. Bientôt d’autres responsables de second rang lui emboîteront le pas dans «une purge», pour le moins incompréhensible. Quelle est-elle leur influence sur le rendement de l’équipe nationale pour être remerciés de la sorte ? Sacrifiés sur l’autel d’une élimination précoce, ces maillons faibles, sont inélégamment «éjectés» sous des prétextes fallacieux et qui ne tiennent pas la route. Abdenour Kaoua, connu pour son sérieux et son dévouement, a payé pour ce qu’il n’a pas fait. M’bolhi, sans club depuis longtemps, a été bel et bien titularisé par Halilhodzic et s’il a encaissé cinq buts, la faute incombe évidemment à l’entraîneur en chef et pas à quelqu’un d’autre quand bien même Kaoua est l’entraîneur des gardiens de but. Mais comme il fallait un bouc émissaire, l’ancien gardien du Mouloudia d’Alger, a bien sûr bon dos. Des membres du staff administratif sont également sur la sellette alors que les problèmes de l’équipe nationale sont ailleurs. Ils sont d’ordre tactique comme on a eu à le vérifier dans cette CAN, l’unique cause de notre sortie prématurée de cette compétition. Il n y a pas mille autre raisons et la logique voudrait que ça soit Halilhodzic qui rende des comptes de cette déroute et pas Abdenour Kaoua, le maillon faible de la chaîne. Un innocent est «viré» alors que le coupable est toujours en poste comme si de rien n’était. A ne rien comprendre à cette fédération qui déroule le tapis rouge à un entraîneur dont la responsabilité est avérée dans l’échec de l’équipe nationale et remercie celui ou ceux qui ont donné leur vie au football algérien et connus pour leur abnégation et leur sacrifice. Sans commentaires. Assem Madjid