DOSSIER DE PRESSE
SYNOPSIS
TORUK – Le premier envol
est un spectacle multimédia live et immersif qui
transpose sur scène le monde époustouant du lm AVATAR de James Cameron
comme on ne l’a jamais vu auparavant.
Dans un savant mélange de projections multimédia à la ne pointe, de
marionnettes et de techniques scéniques ingénieuses, soutenu par une trame
sonore aux accents cinématographiques, le Cirque du Soleil imprime sa marque
emblématique sur le monde imaginaire de James Cameron et réunit deux
visions artistiques qui ont plusieurs atomes crochus.
Cette expérience immersive live porte également la signature distinctive des
metteurs en scène et pionniers du multimédia Michel Lemieux et Victor Pilon.
Le spectacle est une ode à la coexistence harmonieuse des Na’vi avec la nature
et aux liens inextricables qui unissent toutes formes de vie.
Narré par un « conteur na’vi » et peuplé de personnages inoubliables, TORUK
Le premier envol est un conte mythique se déroulant des milliers d’années
avant l’intrigue du lm AVATAR, donc avant que les humains ne mettent les pieds
sur Pandora pour la première fois.
Lorsqu’une catastrophe menace de détruire l’arbre des âmes, Ralu et Entu, deux
garçons omaticaya au seuil de l’âge adulte, décident courageusement de prendre
les choses en main. En apprenant que le toruk pourrait les aider à sauver l’arbre
des âmes, ils se mettent en route, en compagnie de leur nouvelle amie Tsyal, vers
le sommet des Montagnes ottantes pour retracer le redoutable prédateur rouge
et jaune qui règne dans le ciel de Pandora. La prophétie se réalise lorsqu’une âme
pure s’élève parmi les clans pour chevaucher le toruk pour la toute première fois et
ainsi sauver les Na’vi d’un sort terrible.
LES PERSONNAGES PRINCIPAUX
Ralu, Entu et Tsyal sont les principaux personnages de TORUK – Le premier envol, un spectacle narré par un « conteur
na’vi ». Ils sont accompagnés sur scène de la Chamane et du Chef des Omaticaya ainsi que de membres de cinq clans
na’vi : les Omaticaya, les Tawkami, les Anurai, les Tipani et les Kekunan. Vêtus de noir tels des ombres, les marionnettistes
incarnent l’esprit d’Eywa, la déesse mère des Na’vi.
TSYAL,
du clan des Tawkami, lle
unique d’un chef de
village, a perdu sa mère
lorsqu’elle était enfant.
Elle a été élevée par sa
grand-mère avec le soutien
d’autres membres de son
clan comme le veut la
coutume chez les Na’vi.
Une botaniste et une
chimiste redoutable, sa
grand-mère était vénérée
par les siens pour ses
remèdes et concoctions
uniques. Les Tawkami sont
reconnus partout sur Pan-
dora pour leur vaste savoir
chimique et alchimique.
Les dons dont Tsyal a
hérité de sa grand-mère
sont des aptitudes trans-
mises toutes les deux
générations entre les membres d’une même famille. Motivée par la
réputation de sa grand-mère et soucieuse d’être à la hauteur des
attentes à son propre égard, Tsyal tire une grande erté de
concocter des mélanges et des recettes de son cru. Cette lle à
l’esprit vif et indomptable a un tempérament enjoué et elle raffole de
jouer des tours, à l’image des autres membres de son clan, nichés
au cœur des forêts vierges de Pandora. Une seule semence suft à
Tsyal pour endormir la bête la plus enragée; avec la plus délicate
des eurs, elle peut provoquer les plus beaux rêves ou les visions
les plus effrayantes. Tel est le pouvoir des éléments de la nature
que Tsyal et son clan ont appris à maîtriser au l du temps.
ENTU,
du clan des Omaticaya, a
perdu ses parents à un
très jeune âge à la suite
d’une attaque surprise par
un thanator. Il a le même
âge (14 années terriennes)
que son grand ami Ralu –
son mentor – avec qui il a
toujours cultivé une saine
rivalité qui le pousse sans
cesse à se surpasser.
Plein de cran et d’intensité,
Entu est proche de ses
émotions et suit ses
instincts. Un jour, lorsqu’un
membre de son clan s’est
aventuré trop loin sur une
branche au bord d’une
falaise, il s’est immédiate-
ment mis à fabriquer un
dispositif de contrepoids à
l’aide de son sac, d’une
branche solide et de vignes,
pour se laisser glisser le long de la falaise
et sauver le garçon à ses risques et périls. Armé de sa vivacité
d’esprit et d’un total mépris du danger, Entu ne demande pas mieux
que de plonger tête baissée dans l’aventure qui l’attend.
LE CONTEUR
,
Une aura de mystère
entoure le Conteur, ce
voyageur errant qui se
promène de village en
village, de clan en clan, en
lien perpétuel avec ses
frères et sœurs na’vi. Vêtu
d’une superbe cape
patinée par le temps, le
Conteur est un être bien-
veillant plein de sagesse
et d’humilité. Quant à son
âge, nul ne sait vraiment.
Le temps semble s’arrêter
pour ceux qui vivent des
évènements transcendants
qui viennent sceller leur
destinée. Quel que soit
son clan d’origine, le
Conteur porte dans son
âme les chagrins et les
joies de tout le peuple
na’vi. Il est un guide et un
rassembleur, messager
de paix et d’unité. Il y a
très longtemps, le Conteur
a gagné le cœur de tous
les Na’vi, et c’est parmi eux
tous qu’il se sent chez lui.
RALU,
du clan des Omaticaya,
est le ls d’un grand
chasseur qui lui a inculqué
un sens exceptionnel de
la discipline et de l’obser-
vation. Au seuil de l’âge
adulte, Ralu est un garçon
sensible et généreux.
Malgré son jeune âge
(il a 14 ans en années
terriennes), il se dégage
de lui une force tranquille
et une sérénité accen-
tuées par une joyeuse
insouciance. Un leader
naturel, Ralu garde sans
cesse un œil bienveillant
sur Entu, son ami d’enfance
et son protégé. Quand les
choses se corsent, il sait
mobiliser ses forces
intérieures pour être à la
hauteur. Il suft de le demander à Entu, que Ralu a tiré d’un très
mauvais sort en éloignant de justesse un thanator lors d’une
pratique de tir à l’arc au milieu de la forêt pluviale. Pas surprenant
que tout le monde se rallie à Ralu, un meneur au grand cœur !
LES PROJECTIONS ET LE CONTENU MULTIMÉDIA
TORUK – Le premier envol
est un croisement entre le monde d’AVATAR, le
style emblématique du Cirque du Soleil et la vision artistique avant-gardiste des
metteurs en scènes de spectacles multimédia Michel Lemieux et Victor Pilon.
Pandora dans toute sa splendeur Michel Lemieux et Victor Pilon, qui sont aussi
les auteurs du spectacle, ont voulu transposer sur scène la beauté éblouissante
et l’élan vital de Pandora – ses riches textures, sa ore luxuriante et sa force juvénile.
Des Montagnes ottantes à l’arbre-maison des Omaticaya, en passant par le
sanctuaire d’animaux des Anurai et la jungle verdoyante où vivent les Tawkami, les
projections multimédia évoquent les paysages somptueux de Pandora et créent
un environnement saisissant pour les artistes. Il en va ainsi des effets à grande
échelle tels que le tremblement de terre, l’éruption volcanique, les torrents de lave
émanant des profondeurs ainsi que les visions de la Chamane projetées sur un
énorme voile, léger et vaporeux.
Certains effets vidéo sont synchronisés avec les mouvements des artistes, comme
les traînées lumineuses qu’ils laissent sur leur passage dans la forêt. D’autres
effets, plus elliptiques, sont conçues pour créer des ambiances, tels que les
créatures volantes, présentes uniquement sous forme d’ombres au sol.
Quelquefois, les projections vidéo débordent du décor pour se rendre jusque
dans le public, donnant l’impression aux spectateurs non seulement de regarder
Pandora, mais d’y être réellement. À un moment donné, des vagues naissent dans
la foule avant de se briser sur la rive au milieu de la scène; à un autre, un ciel étoilé
envahit l’aréna, le transformant pratiquement en planétarium inversé.
Michel et Victor sont passés maîtres dans l’art de créer des espaces virtuels sur
scène. Dans TORUK – Le premier envol, ils transforment le décor en écran géant
les paysages de Pandora se matérialisent sous nos yeux. « Les changements
de décor, dont certains se font en un clin d’œil, ne sont pas mécaniques, mais
optiques », dit Michel Lemieux. « C’est le langage du cinéma au service des arts
de la scène, renchérit Victor Pilon. Nous alternons entre les effets spectaculaires à
grande échelle et les moments plus intimes an de susciter de l’émotion. »
Dans un spectacle comme celui-ci où les projections sont à l’honneur, les éclairages
sont essentiels pour donner du volume aux artistes, aux éléments de décor et aux
accessoires. Pour ce faire, on utilise de manière complètement inédite un système de
poursuite ultra sophistiqué. Dissimulés dans le costume des artistes, des dispositifs de
repérage reliés à des vidéoprojecteurs réagissent en temps réel à leurs mouvements.
GROS PLANS SUR LES PROJECTIONS
La surface de projection totale, excluant les projections dans le public, est de
1 854 m
2
, l’équivalent de plus de cinq écrans IMAX standard : 1 184 m
2
sur la
scène, 335 m
2
sur les deux écrans latéraux et 335 m
2
sur les deux colonnes de
l’arbre-maison.
Il y a en tout 40 vidéoprojecteurs : la moitié sont de 30 000 lumens chacun; l’autre,
de 20 000 lumens.
22 vidéoprojecteurs diffusent du contenu au sol, 6 vidéoprojecteurs envoient
des images sur l’arbre-maison, 2 vidéoprojecteurs sont dédiés aux deux écrans
latéraux, tandis que 8 autres servent aux projections immersives dans la foule.
LA SCÉNOGRAPHIE
Pandora est une lune ctive en orbite autour de la géante gazeuse Polyphème
dans le système Alpha du Centaure, le système stellaire le plus proche de notre
soleil. Elle abrite les Na’vi, un peuple profondément spirituel, en symbiose avec la
nature. Pandora est caractérisée par des environnements naturels allant de la forêt
pluviale à la forêt boréale, en passant par des déserts équatoriaux, des régions
montagneuses, un littoral océanique, des archipels et des zones humides. La nature
dans toute sa splendeur ! Comme il n’y a aucune construction sur Pandora, le
scénographe Carl Fillion a tenu à éviter toute ligne droite, privilégiant des lignes
courbes et organiques.
Le décor est composé de cinq éléments principaux : l’arbre-maison, l’île, la ceinture
verte, le capteur de rêves et les deux écrans latéraux.
L’arbre-maison des OmaticayaSur Pandora, les arbres-maison s’élèvent deux
ou trois fois plus haut que les séquoias géants qui dominaient jadis l’horizon du
nord-ouest du Pacique sur notre planète. Dans TORUK – Le premier envol, les
colonnes de l’arbre-maison des Omaticaya se dressent à 7,6 mètres au-dessus
du plancher de scène. À l’intérieur de l’arbre-maison, dans le brouhaha de la vie
quotidienne, on retrouve le Métier à tisser géant, un objet qui joue un rôle important
dans la vie de tous les jours des Omaticaya.
L’ÎleUne île se dresse au milieu de la scène sur laquelle les artistes évoluent. L’île
abrite aussi une aire de feu, un tambour circulaire ainsi que l’arbre des âmes, une
structure gonable dissimulée dans une minuscule tranchée sous le plancher de
scène. L’arbre se gone au fur et à mesure qu’il émerge de la tranchée et qu’il est
hissé jusqu’à la structure au-dessus des artistes à l’aide de câbles. Les branches
de l’arbre sont munies de milliers de diodes électroluminescentes (DEL).
La ceinture verte Pour créer une topographie accidentée et évoquer le sol irrégulier
de Pandora, le scénographe a installé une banque surélevée matelassée ou
« ceinture verte » – tout autour de la scène sur laquelle les artistes peuvent grimper
et se déplacer. La ceinture verte permet de donner un aspect tridimensionnel aux
images projetées au sol. Elle sert aussi à dissimuler la bande de la patinoire. Étant
donné que Pandora est largement recouverte d’une luxuriante végétation, les plantes
tridimensionnelles rétractables font surface tout au long de la ceinture verte durant
les scènes en forêt.
Le capteur de rêves Le capteur de rêves est une structure suspendue à environ
14 mètres au-dessus de l’Île. On y retrouve des accessoires et des éléments
de décor, dont une énorme plante de plus de 10 mètres qui fait ofce d’appareil
acrobatique. La structure rappelle le capteur de rêves amérindien.
Les écrans latérauxDeux grands écrans ont été installés de part et d’autre de
l’arbre-maison an de prolonger la surface de projection jusque dans le public.
GROS PLANS SUR LA SCÉNOGRAPHIE
• La scène mesure 26 m par 49 m.
La forme de la scène est basée sur la spirale de Fibonacci. On obtient cette forme
à l’aide de l’ancienne séquence dans laquelle chaque nombre est la somme des
deux chiffres qui le précèdent. On dit que les botanistes sur Pandora ont observé
cette spirale mathématique dans plusieurs spécimens de plantes épousant la
forme d’une de tête de violon. Si on plaçait le motif de la spirale de Fibonacci sur
la scène, l’arbre des âmes serait exactement au cœur de la spirale.
L’arbre-maison mesure 24 m en largeur et a une hauteur de 12 m. La structure sur
roues repose sur neufs pivots et peut être déplacée à la main.
La toile recouvrant la scène et servant de surface de projection durant le Prologue
est en deux parties d’une longueur de 61 m et d’une largeur de 27 m chacune.
1 / 20 100%
La catégorie de ce document est-elle correcte?
Merci pour votre participation!

Faire une suggestion

Avez-vous trouvé des erreurs dans linterface ou les textes ? Ou savez-vous comment améliorer linterface utilisateur de StudyLib ? Nhésitez pas à envoyer vos suggestions. Cest très important pour nous !