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Amélanchier glabre
(Peti tes poir es) / Amelanchier laevis / Smo oth Ser viceberr y
Famille : Rosacées
Zone de rusticité : 3
Indigénat : Indigène au Québec
Habitat typique : Orées de forêts, forêts mix tes
clairsemées, milieux ouver ts.
Hauteur : 3 à 13 m
Largeur : 2 à 8 m
Espacement requis par rapport aux lignes
électriques : 4 m
Exposition : Plein soleil ou ombre par tielle
(minimum de 2 heures d’ensoleillement)
Aspect : Petit arbre ou grand arbuste à feuilles
caduques au por t ovoïde ou irrégulier.
Sol et conditions de croissance : Préfère les sols
légèrement acides, riches et bien drainés. Moins
résistant aux conditions urbaines que l’Amélanchier
du Canada.
FEUILLES
Photo : Blue Ridge Kitties
Alternes, acuminées et
cordées, finement dentées,
bronzées au débourrement,
devenant ver tes à maturité,
glabres dès le jeune âge.
Couleurs d’automne
notables : jaune, orangé,
rouge.
Photo : Dan Mullen
PROBLÈMES (MALADIES, INSECTES ET AUTRES)
• Rouilles (Gymnosporangium spp.) : Maladie fongique se manifestant par des taches de couleur
rouille sur les feuilles et/ou par des excroissances roses et/ou orangées sur les fruits. Les rouilles
sont rarement dommageables pour les arbres et nécessitent peu ou pas d’intervention. La maladie
alterne entre les genévriers et les arbres de la famille des Rosacées.
Conseils : Afin de diminuer le risque d’infection par les rouilles, ne pas planter d’amélanchiers si un
genévrier est présent sur le site. Supprimer et détruire les par ties infectées.
• Oïdium : Maladie fongique se manifestant par des taches blanches poudreuses sur les feuilles. Peu
ou pas dommageable pour l’arbre.
Conseils : Maintenir une bonne aération autour de la plante en évitant de planter trop dense. Vaporiser
un mélange d’eau et de bicarbonate de sodium sur le feuillage en prévention. Traiter avec un mélange
d’eau et de souf fre en poudre à l’aide d’un vaporisateur, par temps frais seulement. Bien qu’accepté
comme pesticide biologique, le souf fre est un irritant pour les yeux et est nocif pour les insectes.
Utiliser avec précautions.
FLEURS
Photo : Dan Mullen
Blanches, à cinq pétales,
regroupées en cymes ou en
racèmes, peu ou pas
par fumées. Floraison
spectaculaire et de cour te
durée, juste avant le déploiement des feuilles. Début à
mi-mai. Bonne source de
nectar et de pollen pour les
insectes pollinisateurs hâtifs.
• Peu de problèmes entomologiques. Infestations peu communes : tenthrède, mineuses et cochenilles.
REMARQUES
• Les baies des amélanchiers, que l’on appelle amélanches ou petites poires, étaient utilisées par les
amérindiens des prairies (Cris) pour fabriquer le pemmican, une sor te de pain très nourrissant à base
de viande séchée, de gras et de fruits séchés.
• Le nom du fruit en cri est saskatoon, qui aurait donné le nom de la ville de Saskatchewan.
• Les fruits se mangent crus ou cuits, en confitures, en coulis, dans les gâteaux et les muf fins. Ils sont
une excellente source de vitamine C, de fer, de potassium et d’anthocyanes (antioxydants). La commercialisation des fruits demeure marginale mais gagnerait à être développée.
FRUITS
Photo : Dbarronos
Baies comestibles, juteuses et
sucrées, rouge clair devenant
pourpres. Mi-juin. Bonne
source de nourriture pour les
oiseaux nicheurs comme le
Merle d’Amérique et le Jaseur
d’Amérique.
Infographie : Ville en Ver t
Chêne à gros fruits
Quer cus macr ocarpa / Bur Oak
Famille : Fagacées
Zone de rusticité :2b
Indigénat :Indigène au Québec
Habitat typique Forets
:
de
feuillus, forets mix tes, plaines
alluviales boisées.
Hauteur :15 à 30 m
Largeur : jusqu’à 20 m
(prévoir l’espace suffisant)
Espacement requis
par rapport aux lignes
électriques : 12,5 m
Photo : Jason Sharman
Exposition : Plein soleil (minimum de 6 heures d’ensoleillement)
Aspect : Grand arbre à feuilles caduques et au por t globulaire. La cime est large, évasée et clairsemée.
Écorce profondément sillonnée.
FEUILLES
Photo : Marc Sardi
Alternes, simples, lobées et
polymorphes (forme variable).
Ver tes foncées et luisantes en
été devenant jaune-orangées
en automne.
Sol et conditions de croissance : Sols variés mais préfère les sols riches, humides, profonds et bien drainés.
Tolérance aux conditions urbaines (pollution, compactage, sels de déglaçage). Tolérance à la sécheresse.
PROBLÈMES (MALADIES, INSECTES ET AUTRES)
• Anthracnose du chêne (Discula quercina) : Maladie fongique provocant des lésions brunes sur les
feuilles, les tiges et les fleurs.
Conseils : Éviter les fer tilisants contenant beaucoup d’azote au printemps, car cela favorise
l’implantation du champignon. Supprimer et détruire les par ties infectées.
• Spongieuse (Lymantria dispar) Insecte défoliateur; papillon de nuit dont la chenille se nourrit par ticulièrement du feuillage des chênes. Les infestations sévères peuvent mener à un aff aiblissement de
l’arbre engendré par un manque de photosynthèse. Les femelles blanches déposent des masses
d’œufs spongieuses (d’où le nom de l’insecte) de couleur chamois à orangé sur le tronc des arbres.
Les chenilles sont poilues, de couleur foncée avec deux rangées de protubérances rouges sur le dos.
Conseils : Déloger les masses d’œufs à l’aide un couteau et les plonger dans l’eau chaude. Utiliser des
pièges à phéromones pour capturer les mâles. Dans le cas des infestations sévères, utiliser un insecticide biologique sélectif contenant la bactérie Bacillus thuringiensis kurstaki.
Fleurs mâles
FLEURS
Photo : Dan Mullen
Discrètes. Fleurs mâles
regroupées sur des chatons
pendants; fleurs femelles
réunies en petites grappes aux
aisselles des feuilles. Avril.
AUTRES CAR ACTÉRISTIQUES
• De toutes les espèces de chênes du Québec, les glands du Chêne à gros fruits sont les plus comestibles ; ceux des autres espèces sont très amers. Les autochtones les faisaient sécher et les réduisaient en farine nutritive.
• Le bois est très prisé en ébénisterie pour la fabrication de meubles, d’armoires et de planchers.
• Comme plusieurs espèces pollinisées par le vent, le pollen des chênes est allergène.
.
• Le Chêne à gros fruit est une des plantes hôtes d’un papillon diurne nommé Por te-queue du chêne
(Satyrium calanus falacer).
Photo : CameliaTWU
FRUITS
Glands de 20 à 30 mm, ver ts
en été devenant bruns à
l’automne. Bonne source de
nourriture pour les écureuils
et les oiseaux comme les
pics, les geais et les canards.
Infographie : Ville en ver t
Érable rouge
(Plaine, Plaine r ouge) / Acer rubrum / Red maple
Famille : Sapindacées (anciennement Acéracées)
Zone de rusticité :3a
Indigénat :Indigène au Québec.
Habitat typique Marécages,
:
plaines inondables,
forêts de feuillus et forêts mix tes.
Hauteur :20 à 40 m
Photo : F. D. Richards
Largeur : 15 m
FEUILLES
Espacement requis par rapport aux lignes
Opposées, simples, dentées,
électriques : 10 m
lobées (3 à 5 lobes), ver tes
Exposition :Soleil ou ombre par tielle (minimum en été. Pétiole rouge
2 heures d’ensoleillement).
caractéristique.Couleurs
Aspect : Arbre à feuilles caduques, au por t
d’automne spectaculaires:
pyramidal devenant arrondi par la suite. Écorce r
d’un brun grisâtre lisse en bas âge, por tant des jaune.
crêtes recouver tes d’écailles à maturité.
Sol et conditions de croissance Sols
:
variés mais
préfères les sols riches, meubles, légèrement
acides et humides. Tolérance à la sécheresse, à la
compaction et à la juglone (toxine sécrété par les
noyers). Intolérance aux sels de déglaçage.
Photo : Simone Roda
PROBLÈMES (MALADIES, INSECTES ET AUTRES)
(Rhy tisma sp.) : Maladie fongique causant des taches circulaires
• Tache goudronneuse de l’érable
noires sur les feuilles. Peu dommageable pour l’arbre, la maladie cause un désagrément esthétique
au niveau du feuillage.
Conseil Détruire les feuilles tombées à l’automne ou les jeter aux ordures.
:
• Chlorose(décoloration des feuilles qui donne un feuillage panaché) : Condition souvent causée par
un manque de magnésium due à une carence ou peut être causé par de nombreux facteurs comme
un sol calcaire ou trop alcalin, un déséquilibre hydrique, des polluants, des pesticides, etc.
Photo : Tyler W. Smith
FLEURS
En grappes, de couleur jaune
verdâtre à rougeâtre.
Floraison très printanière bien
avant la feuillaison. Fin mars à
mi-avril. Bonne source de
nectar et de pollen pour les
insectes pollinisateurshâtifs.
• Peu de problèmes pathologiques.
• Peu de problèmes entomologiques.
REMARQUES
• Le bois de l’Érable rouge est utilisé en menuiserie et dans l’industrie des pâtes et papiers.
• On peut en récolter la sève pour fabriquer du sirop d’érable mais celui-ci est de moins bonne qualité
et est produit en moins grande quantité que celui de l’Érable à sucre.
Photo : John B.
FRUITS
Disamares rougeâtres de
petite taille, matures et
caduques au printemps.
Source denourriture pour
les écureuils et les oiseaux
granivores comme les
gros-becs, les roselins
et les bruants.
Infographie : Ville en ver t
Noyer cendré
(Arbr e à noi x longues) / Juglans ciner ea / But ternut
Famille : Juglandacées
Zone de rusticité : 3b
Indigénat : Indigène au Québec
Habitat typique : Forets de feuillus
(domaines forestiers de l'érablière à
Caryer cordiforme et de l'érablière à
Tilleul d'Amérique), abords de cours d’eau.
Hauteur : de 18 à 35 m
Largeur : de 12 à 20 m
Espacement requis par rapport aux
lignes électriques : 9,5 m
Photo : Alex Lanthier
Exposition : Plein soleil (minimum de 6 heures d’ensoleillement)
Aspect : Arbre à feuilles caduques, por t globulaire, couronne large, clairsemée et aplatie, branches pendantes.
Écorce grisâtre et crevassée.
Sol et conditions de croissance : Riche et meuble, légèrement alcalin (sols calcaires), moyennement humide,
frais et bien drainé. Tolérance moyenne à la compaction, faible tolérance au sel de déglaçage.
FEUILLES
Photo : Kristjan
Alternes, grandes, composées de 11 à 17 folioles
ovales, pointues et pubescentes, de couleur ver t-jaunâtre en été devenant plutôt
jaune en automne.
Fleurs mâles
PROBLÈMES (MALADIES, INSECTES ET AUTRES)
• Chancre du Noyer cendré (Sirococcus clavigignenti-juglandacearum) : Maladie fongique dont les
symptômes se traduisent par la formation de fissures allongées sur l’écorce de l’arbre. Au printemps, un
liquide noir ressemblant à de l'encre coule de ces fissures pour devenir en été une tache noire-cendrée
bordée de blanc. L’infection de ce chancre évolue lentement mais peut être fatale.
Conseils : Aucun traitement n’existe actuellement contre cet te maladie, il faut donc agir de façon préventive en for tifiant l’arbre par l’ajout de compost et de paillis annuellement.
• Peu de problèmes entomologiques
AUTRES CAR ACTÉRISTIQUES
• Le Noyer cendré détient depuis 2003 le statut fédéral d’espèce en voie de disparition en raison de la
progression du Chancre du Noyer cendré. Dans une récente évaluation de l’état de santé de l’espèce au
Québec en 2010, 77% des arbres recensés (247 sur 320) étaient infectés. La maladie a été réper toriée
pour la première fois au Québec en 1990.
• Les racines sécrètent une toxine (la juglone) qui peut inhiber la croissance des plantes sous la ramure de
l’arbre et aux alentours.
• Bonne résistance au verglas.
• Très beau bois brunâtre, utilisé en ébénisterie.
• La par tie comestible est une amande de forme irrégulière, rappelant celle des noix de Grenoble, enfermée
dans une coquille très rigide. L’utilisation d’un étau peut s’avérer moins salissante qu’avec un mar teau.
Attention aux allergies.
• Il faudra at tendre jusqu’à 20 ans pour qu’un jeune noyer commence à produire des fruits.
• La manipulation des fruits est très salissante et les mains peuvent rester marquées pendant quelques
semaines. Le brou des noix, les racines et l’écorce étaient d’ailleurs utilisés comme teinture pour les tissus
et cheveux. Les fruits tombés de l’arbre peuvent également tacher les pavés et les terrasses.
• On peut entailler le noyer pour en ex traire la sève et en faire un sirop.
• Le Noyer cendré est une des plantes hôtes d’un petit papillon diurne nommé Por te-queue du caryer
(Sat yrium car yaevorum).
FLEURS
Photo : Steven Katovich
Floraison discrète. Fleurs
mâles : chatons verdâtres;
fleurs femelles : petites fleurs
rouge rosé.
FRUITS
Photo : Paul Dupont
Noix ovales ou oblongues.
Brou gommant, aromatique,
ver t-jaunâtre devenant noir à
maturité (automne). L’amande
est comestible, douce,
huileuse et très nutritive.
Source de nourriture pour les
écureuils et les oiseaux.
Infographie : Ville en Ver t
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INSTRUCTIONS POUR LA PLANTATION D’UN ARBRE
2. À l’aide d’une pelle, creuser une fosse
d’un diamètre de deux fois celui de la mot te
de racines et aussi profonde que la hauteur
de celle-ci (voir schéma ci-contre). Les
côtés de la fosse devraient être en pente vers
l’intérieur. Il est préférable de ne pas ameublir
le sol au-delà du fond de la fosse; l’idée est
d’encourager la croissance horizontale des
racines et non la croissance ver ticale.
3. Placer l’arbre au centre de la fosse et
s’assurer que le tronc soit bien droit.
d’orienter la
Prendre un peu de recul
plante dans la position la plus esthétique.
Attache
Protection
anti-rongeurs
Tuteur
Collet
Motte de racines
Paillis
Sol original
Sol non-ameubli
Illustration : Ville en v er t
1. Retirer le pot et libérer la mot te de racines.
Si celle-ci est très développée et spiralée, il
est recommandé de faire quelques entailles
dans la mot te à l’aide d’un sécateur ou d’un
de favoriser le déploiement et la
couteau
croissance des racines.
Deux fois le diamètre de la motte
4. Nous recommandons l’application d’un inoculant mycorhizien en poudre (disponible dans tous les centres de jardin). Les
la mot te de racines, une bonne poignée d’inoculant avant de refermer la fosse de plantation.
5. Ajouter quelques poignées de compost autour des racines puis refermer la fosse à l’aide du terreau qui avait été déplacé en
creusant. Il faut s’assurer que le collet de l’arbre (l’endroit où le tronc rejoint la terre) soit au même niveau que la sur face du
sol. Si la motte est trop haute, les racines risquent de se dessécher. Si elle est trop profonde, le collet risque de pourrir.
ter le sol autour des racines.
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7. Recouvrir la fosse de plantation de 3 à 5 cm de paillis. Nous recommandons un paillis composé de matériaux organiques
copeaux de conifères se décompose plus lentement et a tendance à rendre les éléments nutritifs dans le sol moins disponibles pour les racines. Si ce dernier est utilisé, il faudra ajouter du compost régulièrement près des racines (à l’automne et au
8. Nous recommandons l’installation d’un tuteur métallique, qui sera maintenu en place pendant 1 an. L’installation de 1
tuteur permet une meilleure immobilisation de l’arbre par temps venteux. On positionne un tuteur au sud, si les vents
dominants sont de l’ouest (ce qui est le cas la plupart du temps). Assurez-vous d’enfoncer le tuteur à l’extérieur de la motte de
tion douce.
9. Il est également recommandé de protéger le tronc du jeune arbre, en installant une protection anti-rongeurs (spirale de
plastique blanc), sur tout pendant l’hiver.
10. Arrosez en profondeur. Il faudra arroser régulièrement pendant l’année qui suit la plantation, sur tout durant les périodes
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