une scène à la campagne
Mézières / VD
Contact:
Michel Caspary, Directeur
m.caspary@theatredujorat.ch
T 021 903 07 43
www.theatredujorat.ch
DOSSIER
DE PRESSE
THÉÂTRE
DU JORAT
SAISON 2014
THÉÂTRE
|
DANSE
|
HUMOUR
|
CHANSON
|
CIRQUE
|
CONCERT
VIBREZ
Dossier de presse 2014 Page 1
Bilan de la saison 2013 2
La saison 2014 3
La Grange sublime : entre tradition et modernité (de 1908 à 2014) 42
Dossier de presse 2014 Page 2
Bilan de la saison 2013
En chiffres : 1’085 abonnés (contre 1'435 en 2012 et 1155 en 2011).
Nous avons vendu plus d’abonnements plein tarif qu’AVS, ce qui est une nouvelle
réjouissante concernant le rajeunissement du public.
25’703 entrées, soit 74% de fréquentation (contre 75% en 2012).
8’443 billets vendus sur notre billetterie en ligne, soit 52% des billets individuels (hors
abonnement) vendus. Elle est à l'origine de 40% de notre chiffre d'affaire billetterie annuel.
3’676 nouveaux clients (10'440 places). Une fois de plus, les concerts chanson (Stephan
Eicher, Raphaël Gualazzi et Michael Gregorio) ont attiré un nouveau public.
1’686 billets jeunes (-26 ans)
La Saison 2013 était composée de 15 productions. Dont la création mondiale, le 23 mai, du chorégraphe
Sidi Larbi Cherkaoui, milonga, avec une quinzaine de danseurs et musiciens argentins. Une coproduction
avec Sadler’s Wells (Londres) et le Théâtre Vidy-Lausanne. La première anglaise a eu lieu le 6 novembre à
Londres, avant une grande tournée qui passe également par Paris.
A noter le grand succès de Marie-Thérèse Porchet, pour la première fois sur la scène du Théâtre du Jorat
en vingt ans de carrière. Celui qui l’incarne reviendra en 2014 au même endroit pour la création de son
premier spectacle sous son nom : Joseph Gorgoni.
Parmi les autres temps forts, les concerts de Michel Jonasz, Raphaël Gualazzi, Stephan Eicher, Thierry
Romanens (et ses cinq invités, dont Kent et Yves Jamait) ou encore Michael Gregorio, lequel a fait
particulièrement vibrer, pour ne pas dire trembler, l’ancestrale Grange sublime !
Dans un tout autre registre, le spectacle Haïm, mêlant théâtre et musique, et basé sur l’histoire vraie d’un
violoniste en Pologne lors de la Seconde Guerre mondiale, a bouleversé les spectateurs. Autres bonheurs
de théâtre : Le Jeu de l’amour et du hasard, de Marivaux, par la Comédie-Française, et Monsieur chasse!,
de Feydeau, dans une mise en scène du Neuchâtelois Robert Sandoz.
Enfin, en musique classique, après une nouvelle version du Roi David (qui fut créé au Jorat en 1921), a
permis au Chœur Pro Arte, dirigé par Pascal Mayer, de donner la pleine mesure de son talent, avant que le
jeune orchestre Il Pomo d’Oro n’éblouisse dans un gala autour de Vivaldi et Haendel, accompagné par
deux solistes d’exception, Topi Lehtipuu et Sandrine Piau.
Michel Caspary
Directeur
Dossier de presse 2014 Page 3
La saison 2014 en un clin d’œil
RÉSUME SAISON 2014
Nombre de spectacles
19 confirmés
Genres
Théâtre – danse – humour – concerts – chanson - cirque
Nombre de représentations
Au minimum 36 représentations
Durée de la saison
6 mois
Période Avril – octobre
Partenariats institutionnels Collaboration avec l’Opéra de Lausanne, Le Théâtre du Grütli,
Béjart Ballet Lausanne, Chœur des XVI, Théâtre de Carouge,
La Camerata de Lausanne, Ballet de Zurich, Cie Alias
Dossier de presse 2014 Page 4
23 avril
24 avril
25 avril
THÉÂTRE
UNE COMÉDIE MACABRE ET
DÉLICIEUSE
Quel bonheur de retrouver l’équipe du Théâtre de Carouge,
après une lumineuse Ecole des femmes, de Molière, en
automne 2011, avec Gilles Privat dans le rôle d’Arnolphe. Il
revient à la Grange sublime dans la peau d’Argan, malade
imaginaire et tyrannique. On imagine le régal ! Le comédien
et ses partenaires sont dirigés par Jean Liermier, directeur
du Théâtre de Carouge et chef de troupe charismatique,
dont le talent est de trouver une alchimie permanente entre
le poids de la réflexion et la légèreté du jeu. Le Théâtre du
Jorat est aussi fier d’accueillir avec ce spectacle le dernier
décor de Jean-Marc Stehlé, inoubliable Merlin l’enchanteur
de la scénographie européenne, qui s’en allé cet été
retrouver au paradis l’un de ses vieux complices, le metteur
en scène Benno Besson. La vie et la mort sont au coeur du
Malade imaginaire, comédie macabre et délicieuse, « le
rire et la fable tiennent à distance le réel ». La grande
Faucheuse s’est quand même invitée pour de vrai dans les
poumons de Molière: en 1673, l’auteur et comédien
s’évanouit lors de la quatrième représentation, dès le rideau
tombé, et ne se réveillera plus. Dans la pièce, Argan a peur
de mourir, sa seconde épouse meurt d’envie qu’il trépasse
pour de bon, et sa fille, qui veut épouser l’amant de son
choix mais que son père promet à un autre, menace de
mourir… d’aimer. Les sentiments les plus doux sont parfois
les plus douloureux.
MISE EN SCÈNE
JEAN LIERMIER
ASSISTANTE MISE EN SCÈNE
ALEXANDRA THYS
SCÉNOGRAPHIE ET
COSTUMES
JEAN-MARC STEHLÉ,
CATHERINE RANKL
LUMIÈRES
JEAN-PHILIPPE ROY
UNIVERS SONORE
JEAN FARAVEL
AVEC
MADELEINE ASSAS,
TOINETTE
PIERRE-ANTOINE DUBEY,
CLÉANTE
PHILIPPE GOUIN,
THOMAS DIAFOIRUS
SABRINA MARTIN,
BÉLINE
PHILIPPE MATHEY,
MONSIEUR DIAFOIRUS
JACQUES MICHEL,
BÉRALDE
GILLES PRIVAT,
ARGAN
MARIE RUCHAT,
ANGÉLIQUE
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