Dossier de presse 2014 Page 2
Bilan de la saison 2013
En chiffres : • 1’085 abonnés (contre 1'435 en 2012 et 1155 en 2011).
Nous avons vendu plus d’abonnements plein tarif qu’AVS, ce qui est une nouvelle
réjouissante concernant le rajeunissement du public.
• 25’703 entrées, soit 74% de fréquentation (contre 75% en 2012).
• 8’443 billets vendus sur notre billetterie en ligne, soit 52% des billets individuels (hors
abonnement) vendus. Elle est à l'origine de 40% de notre chiffre d'affaire billetterie annuel.
• 3’676 nouveaux clients (10'440 places). Une fois de plus, les concerts chanson (Stephan
Eicher, Raphaël Gualazzi et Michael Gregorio) ont attiré un nouveau public.
• 1’686 billets jeunes (-26 ans)
La Saison 2013 était composée de 15 productions. Dont la création mondiale, le 23 mai, du chorégraphe
Sidi Larbi Cherkaoui, milonga, avec une quinzaine de danseurs et musiciens argentins. Une coproduction
avec Sadler’s Wells (Londres) et le Théâtre Vidy-Lausanne. La première anglaise a eu lieu le 6 novembre à
Londres, avant une grande tournée qui passe également par Paris.
A noter le grand succès de Marie-Thérèse Porchet, pour la première fois sur la scène du Théâtre du Jorat
en vingt ans de carrière. Celui qui l’incarne reviendra en 2014 au même endroit pour la création de son
premier spectacle sous son nom : Joseph Gorgoni.
Parmi les autres temps forts, les concerts de Michel Jonasz, Raphaël Gualazzi, Stephan Eicher, Thierry
Romanens (et ses cinq invités, dont Kent et Yves Jamait) ou encore Michael Gregorio, lequel a fait
particulièrement vibrer, pour ne pas dire trembler, l’ancestrale Grange sublime !
Dans un tout autre registre, le spectacle Haïm, mêlant théâtre et musique, et basé sur l’histoire vraie d’un
violoniste en Pologne lors de la Seconde Guerre mondiale, a bouleversé les spectateurs. Autres bonheurs
de théâtre : Le Jeu de l’amour et du hasard, de Marivaux, par la Comédie-Française, et Monsieur chasse!,
de Feydeau, dans une mise en scène du Neuchâtelois Robert Sandoz.
Enfin, en musique classique, après une nouvelle version du Roi David (qui fut créé au Jorat en 1921), a
permis au Chœur Pro Arte, dirigé par Pascal Mayer, de donner la pleine mesure de son talent, avant que le
jeune orchestre Il Pomo d’Oro n’éblouisse dans un gala autour de Vivaldi et Haendel, accompagné par
deux solistes d’exception, Topi Lehtipuu et Sandrine Piau.
Michel Caspary
Directeur