Smashed
Gandini Juggling
Tout public
à partir de 6 ans
6 8 février
Cité
Marina Montefusco
Jeune public
à partir de 3 ans
12 20 février
La Maladie
de la famille M.
Fausto Paravidino
Comédie-Française
13 17 février
Les Criminels
Ferdinand Bruckner
Richard Brunel
13 15 mars
LOtage
Le Pain dur
Paul Claudel
Thomas Condemine
15 22 mars
Passione in due
Emio Greco
Pieter C. Scholten
Avec le CDC
2 3 avril
Personne(s) …
Une exposition
de théâtre de
Bérangère Vantusso
8 janvier 28 février
Théâtres
d’invention
Une exposition de
Dominique Pichou
13 30 mars
Théâtre national
de Toulouse
Midi-Pyrénées
www.tnt-cite.com
Direction
Agathe Mélinand Laurent Pelly
© Ludovic des Cognets / Design: Studio Apeloig / Licences spectacle 1-1045623, 2-1045624, 3-1045625
01.177.46_CALENDRIER_FEV-MARS.indd 1 05/12/12 16:46
2
Smashed
Gandini Juggling
Grande salle
Mercredi 6 février / 14h30 / 19h30
Jeudi 7 février / 19h30
Vendredi 8 février / 20h30
Cité
Marina Montefusco
Pet théâtre
Mercredi 13 février / 15h30 / 17h30
Samedi 16 février / 15h30 / 17h30
Dimanche 17 février / 15h30 / 17h30
Mercredi 20 février / 15h30 / 17h30
La Maladie de la famille M
Fausto Paravidino
Grande salle
Mercredi 13 février / 19h30
Jeudi 14 février / 19h30
Vendredi 15 février / 20h30
Samedi 16 février / 20h30
Dimanche 17 février / 16h
Les Criminels
Ferdinand Bruckner
Richard Brunel
Grande salle
Mercredi 13 mars / 19h30
Jeudi 14 mars / 19h30
Vendredi 15 mars / 20h30
LOtage et Le Pain dur
Paul Claudel
Thomas Condemine
Pet théâtre
Vendredi 15 mars / 20h / LOtage
Samedi 16 mars / 20h / Le Pain dur
Dimanche 17 mars / 16h /
Intégrale LOtage et le Pain dur
Mardi 19 mars / 20h / L’Otage
Mercredi 20 mars / 20h / Le Pain dur
Jeudi 21 mars / 20h / L’Otage
Vendredi 22 mars / 20h / Le Pain dur
Passione in due
Emio Greco et Pieter C.Scholten
Pet théâtre
Mardi 2 avril / 20h
Mercredi 3 avril / 20h
Jeudi 4 avril / 20h

pour un théâtre mobile
Bérangère Vantusso
Dans tout le théâtre
Du 8 janvier au 28 février
Du mardi au samedi de 13h à 19h les
jours sans spectacle
Fermeture au début de la représentaon
les jours de spectacle

Dominique Pichou
Dans tout le théâtre
Du 13 au 30 mars
Du mardi au samedi, de 13h à 19h, les
jours sans spectacle
Fermeture au début de la
représentaon, les jours de spectacle
Marie Aard
m.aard@tnt-cite.com
05.34.45.05.22
Contact presse
Nathalie Gasser
gasser.nathalie.pr[email protected]
06.07.78.06.10
2
3
Du 6 au 8 février 2013
SMASHED
Gandini Juggling
Regard(s) 3 Les Insensés
Tout public à parr de 6 ans
Avec
Sean Gandini

Jon Udry
Malte Steinmetz
Niels Seidel
Kim Huynh

Owen Reynolds

Concepon
Sean Gandini et

Éclairage

Durée : 30mn ou 1h (version longue)
Producon :
Aline Angeli / Gandini Juggling
Assistante : Tara Boland
Spectacle créé en résidence au Naonal Theatre
de Londres en juillet 2010 pour le fesval annuel
« Watch This Space » dirigé par Angus McKechnie,
puis à La Brèche, Cherbourg en mars-avril 2011.
Smashed est une pièce de danse-théâtre-
jonglage pour neuf jongleurs séleconnés
pour leur approche perfeconniste du
jonglage et leurs compétences d’acteurs.
Mélangeant des techniques de jonglages
à la théâtralité, les arstes créent une
série d’images cinématographiques
inspirées par la grande chorégraphe Pina
Bausch, récemment disparue.
À travers Smashed, les directeurs
arsques Ka Ylä-Hokkala et Sean
Gandini présentent aux spectateurs un
monde subjecf, déformant violemment
la réalité pour obtenir des émoons
fortes et transmere de manière
singulière leurs humeurs et leurs points
de vue sur le monde.
Composée d’une suite de tableaux
vivants, cee performance illustre entre
autres les guerres, les relaons tendues,
les amours et l’innocence perdus, la
nostalgie, mais aussi la désuétude de la
très Brish tasse de thé de l’après-midi.
Smashed, qualié de « théâtre-jonglage
», en référence au « théâtre-danse » de
Pina Bausch, trouve son point culminant
dans la scène nale mêlant catharsis et
destrucon.
La Compagnie Gandini Juggling
Gandini Juggling a été créée par
Ka Ylä-Hokkala et Sean Gandini pour
célébrer l’art du jonglage sous toutes
ses facees, nourrie par l’idée que le
jonglage est un art vivant et excitant.
Pendant les dix-huit dernières années,
les Gandini ont joué plus de quatre mille
performances dans plus de quarante pays
et sont constamment programmés dans
le monde pour leur jonglage virtuose et
leur chorégraphie remarquable.
Sean Gandini et Ka Ylä-Hokkala créent
la compagnie en 1992. Cee année-
là, les Gandini Juggling font pare
de la fête du fesval « Spring Loaded
Dance » au Théâtre The Place à Londres,
réalisé dans le cadre de Woking Dance
Umbrella. Ils remportent le presgieux
prix « Internaonal Perfomancepreis » à
Konstanz et créent une trilogie de danse
et de jonglage chorégraphiée par
Gill Clarke.
Entre 1995 et 2001, la compagnie réalise
notamment une installaon au Circus
Space de Londres, avec huit jongleurs,
toujours considérée par le jonglage
comme la plus complexe jamais réalisée.
Les Gandini jouent également dans le
Millénium Dôme, eectuant plus de mille
représentaons, et construisent diverses
pièces et appareils de jonglage, y compris
The Cube, le seul cube à jongler en verre
du monde.
Ils tournent, entre autres, aux Etats-Unis
et Sean Gandini reçoit une bourse du
« Wellcome Trust », pour sa recherche
sur les liens entre le jonglage et les
mathémaques.
Le spectacle Smashed, quant à lui, est
développé lors de trois résidences entre
2010 et 2012 : la première au Theatre
Naonal de Londres en 2010, puis à
La Brèche, Pôle Naonal des arts du
cirque de Basse-Normandie/ Cherbourg-
Octeville durant le Spring 2011 et, en
janvier 2012 au Royal Opera House de
Covent Garden. La compagnie a alors le
privilège de travailler avec l’éclairagiste
d’opéra et de ballet Mark Jonathan
pour les représentaons au London
Internaonal Mime Fesval 2012.
Depuis 2012, Smashed a été joué dans
plus de soixante-dix villes d’Europe. Une
tournée est programmée dans plusieurs
fesvals et scènes naonales en France,
mais également en Suisse, Espagne,
Angleterre, Hollande, Allemagne,
Belgique, ou encore au Luxembourg.
Lart du jonglage
4
Du 13 au 20 février 2013
CITÉ
Marina Montefusco
Compagnie Le Clan des Songes
Jeune public à parr de 3 ans
Manipulaon et jeux
Isabelle Ployet
Erwan Costadau
Marina Montefusco
Créaon gurines et images
Marina Montefusco
Musique originale
Laurent Rochelle
Créaon lumières, montage des images,
régie technique
Erwan Costadau
Scénographie, fabricaon des décors,
graphisme, communicaon

Concepon et réalisaon des pares
texles, assistance à la fabricaon des
personnages et des accessoires
Isabelle Ployet
Costumes
Valérie Gosselin
Coproducon :
Théâtre naonal de Toulouse Midi-Pyrénées,
Scène naonale d’Albi et Centre Culturel de
Ramonville
Avec le souen de la Région Midi-Pyrénées, de la
DRAC Midi-Pyrénées et du Conseil Général de la
Haute-Garonne.
Mon spectacle est une ville.
Dans ma ville
je me promène à travers les images
les yeux éblouis
je vois pousser les tours de la cité
nouvelle.
Dans ma ville
le soleil court libre dans le ciel.
Il est mon ami.
Derrière ma fenêtre libre je l’observe
si beau
si haut
en changeant.
Il m’inquiète quand il frôle la tour
pointue.
On dirait un ballon fragile prêt à éclater.
Le soir dans ma ville
Les fenêtres ouvrent les yeux,
sont-elles vivantes ?
m’épient-elles ?
Ma ville
a une musique .
Le jour je me laisse emporter par le
rythme erené
La nuit les sons s’espacent
et sa voix se tait
Ma ville est un spectacle.
Marina Montefusco
Après La Nuit s’en va le jour, et Fragile
accueilli au TNT en avril 2011, la
compagnie Le Clan des Songes conclut
sa trilogie pour le jeune public avec une
fantaisie sur le thème de l’univers urbain
et en inventant un spectacle les sons
et les images sont en osmose pour créer
la magie d’une déambulaon imaginaire.
Un personnage se promène dans une
ville. Il lève les yeux, il regarde les fenêtres
des hauts immeubles qui l’entourent.
Elles sont colorées, elles s’ouvrent ou se
ferment, s’agrandissent et l’entraînent
dans une rêverie...
Le pet humain suit le cours du soleil qui
est encore plus haut que les grae-ciels.
Il s’abandonne à sa rêverie et invite le
spectacteur à se laisser porter à son tour
par ses émoons.

4
5
Du 13 au 17 février 2013
LA MALADIE DE LA
FAMILLE M
Fausto Paravidino
Comédie Française
Théâtre du Vieux Colombier
Texte et mise en scène
Fausto Paravidino
Traducon de
Caroline Michel
Avec






Pierre Hancisse
Denis Chouillet
Décor

Costumes
Anne Autran
Lumières
Pascal Noël
Musique originale
Denis Chouillet
Assistante à la mise en scène
Caroline Michel
Durée 1h40
Producon :
Comédie Française /
Théâtre du Vieux-Colombier
LArche est éditeur et agent théâtral du texte
représenté.
Spectacle présenté avec le souen de la Caisse
d’Epargne Midi-Pyrénées
Étranges maladies
Il y a beaucoup de maladies dans cee pièce. Chaque personnage en a une diérente.
D’une façon générale, ce ne sont pas des maladies d’ordre sanitaire mais plutôt celles
qui arrivent dans le cabinet d’un médecin de campagne. Dans le cabinet d’un médecin
de campagne, on voit toutes sortes de maladies et la plupart n’ont pas leur soluon
dans le codex pharmaceuque, pas plus qu’elles ne trouvent leur dénion dans les
manuels de pathologie. Je suis ls de deux médecins de campagne, j’ai grandi en
entendant parler de toutes sortes de cas chez l’espèce humaine, et je suis un grand
amateur de Tchekhov naturellement... Le point de vue de la pièce est donc celui du
médecin, le narrateur, qui évoque ce dont soure chacun des personnages, y compris
lui. Mais comme l’indique le tre, il existe dans la pièce une maladie unicatrice,
qui les conent toutes ; cee maladie a trait à la diculté d’aronter un deuil.
Cee famille a connu un décès et chacun de ses membres, à sa façon, a hystérisé
comme dirait Freud l’élaboraon de son deuil. Le mot et la chose peuvent avoir
quelque chose d’assez menaçant pour le public ; d’un autre côté, « l’hystérisaon »
d’un deuil peut se faire de façon très amusante... malheureusement. La maladie qui
unie aussi les personnages extérieurs à la famille, les deux garçons et le médecin,
c’est naturellement le besoin d’être aimé, propre à tous les êtres humains. En soi, le
besoin d’être aimé n’est pas une maladie. Il en devient une ici dans la mesure où les
personnages « pathologisent » leur peur de ne pas être capables d’aimer. Et puisqu’il
s’agit d’une pièce de la seconde moié du vingème siècle, et même du début du
vingt-et-unième, elle traite des dicultés de communicaon : c’est cee diculté de
communicaon qui provoque un malaise chez les personnages, qui fait naître en eux
cee peur d’être incapables de manifester leur amour. En cela j’ai de la chance, parce
que « amo » terme qu’on emploie pour son ou sa ancé(e) et « voglio bene
» – terme qu’on emploi pour ses parents, son frère ou sa sœur – se disent de la même
manière en français : « je taime ». En italien, il y a une diérence inule entre
«  amo » et «  voglio bene ».
Fausto Paravidino
La banlieue élargie de l’Occident
Se reconnaître
L’idée du théâtre qui me plait et je vais prendre le risque de citer Hamlet, tant pis
c’est celle les acteurs tendent un miroir à la nature ; pour moi le théâtre doit
être un lieu le public se reconnaît. Alors, du point de vue de l’interprétaon et
surtout de la mise en scène, ce qui m’intéresse, ce n’est pas un grand théâtre d’idées
l’on voit des choses extraordinaires desnées à surprendre le public. Je préfère
que les arstes ulisent leur art pour créer, tous ensemble, quelque chose de très
pet, de très délicat, mais qui soit révélateur de l’âme humaine. Quand je vais au
théâtre, j’aime m’apercevoir que le meeur en scène a découvert quelque chose à
mon sujet, au sujet des gens. Une chose que je savais déjà, mais que je n’avais pas vue
représentée. Tant que cee chose que je connais je ne la vois pas représentée, je me
sens seul. Quand je la vois sur scène, j’ai un senment de communion.
Cee représentaon n’a rien à voir avec le réalisme. À ce propos, rien n’est plus
diérent de la réalité que le reality show. Le reality show est une banalisaon de la
réalité. Il montre des personnes qui font semblant d’être normales. Ce faisant, elles
meent en scène l’art de la banalité. Or chaque personne est singulière. Et si les acteurs
sont plus intéressants que les personnes des reality shows c’est parce qu’ils ont été
entraînés à reconnaître la singularité des personnes. Ce qui m’intéresse donc est un
parcours de stylisaon, de compression, parce que l’écriture est une compression des
canons de la réalité autant que l’art de l’interprétaon. Mais l’objet que jaime voir
stylisé et compressé, naturellement, c’est la réalité. Parce que c’est le seul monde qui
m’intéresse : je ne crois pas en Dieu et je n’ai pas encore rencontré d’extra-terrestres.
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