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présente
La Truffe
et ses fabliaux
Comédie interactive
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La Truffe et ses fabliaux
Présentation
T
ransmettre les fabliaux glanés aux détours des chemins,
des routes, des villages et des villes, tel est le plaisir de La
Truffe.
Ces histoires simples et amusantes, il les partage avec qui
veut bien l'écouter : des gueux aux princesses, des paysannes
aux chevaliers. On y cause de la vie de tous les jours et de la
nature humaine.
Cependant, lassé de rapporter les mêmes récits sous les
mêmes formes, La Truffe a trouvé le moyen de conter d'une
façon peu conforme et jamais répétitive.
Comment s'y prend-il ? Rien de plus simple ! D'une part, La Truffe se fait aider des spectateurs qui
animent avec lui les histoires. Et d'autre part, il donne à son auditoire le choix de la suite des
événements, mélangeant ainsi les fabliaux à sa guise. Chaque récit devient alors unique en son
genre !
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La Truffe et ses fabliaux
Un divertissement sur tréteaux ou déambulatoire
L
es fabliaux sont incontournables dans l'étude des mœurs et de leurs évolutions durant cette
large période qu'est le moyen-âge. Ces œuvres du patrimoine se jouent d'elles-mêmes et des travers,
non pas d'une société mais des sociétés. En effet, leurs provenances sont multiples et, à l'instar des
contes, on peut trouver des fonds et des thèmes communs qui les rapprochent. C'est pourquoi nous
choisissons de les restituer comme reflet de notre époque sous une forme originale et inédite.
Des fabliaux à leur intemporalité
La vie quotidienne est un terreau pour l'inspiration. Dans chaque fabliau, la société est dépeinte
avec humour. Les défauts des personnages sont mis en avant pour décrire des situations cocasses
dont la conclusion est une morale. Nous pouvons apprendre des erreurs des autres et comme les
fabliaux concentrent ces faux pas, nous devenons plus avisés grâce à eux.
Nous pourrions voir dans un fabliau un récit ancien, propre à la vie d'autrefois, une image désuète.
Ce serait une erreur de cantonner ces œuvres au passé. En observant notre actualité, les anciens
personnages et les situations qui les lient peuvent facilement être transposés à notre époque. La
morale trouve alors un écho en nous.
L'interactivité
Chaque histoire a un déroulé immuable. Malgré l'originalité insufflée par la personne qui la partage,
le récit reste le même et cela le fige dans un carcan dont on a de la peine à sortir.
Pour raviver ces récits, notre protagoniste inclus les spectateurs en les transformant en acteurs. Et
pour pousser la fantaisie, les fabliaux dont les thèmes sont similaires ont été regroupés et mélangés.
Le choix de la suite à inspirer au récit est offert aux spectateurs pour aboutir à des histoires uniques,
aux rebondissements inédits.
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Le public, la durée, la forme
Le spectacle s'adresse à tous les âges dès 5 ans.
Sa durée est adaptable de 25 min à une heure suivant les envies.
Le spectacle peut être présenté sous la forme de spectacle sur tréteaux comme sous la forme de
déambulations avec de courtes saynètes.
Il peut également s’accompagner, sur demande, d’actions culturelles.
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La compagnie
Culture et Diversité
La Compagnie de l'Orée du Bois, créée en mai 2014 par Nicolas Rager, se situe au croisement des
arts de la scène et privilégie une émulation festive. Jeu masqué, chants, marionnettes, théâtre de
scène, de tréteaux ou déambulatoires, la compagnie vous offre la diversité durable !
La compagnie commande ses textes à des auteurs contemporains. Pour la première création
« Renards… » c’est l’auteur metteur en scène Jean-Frédéric Noa qui a été invité à réinterroger ce
texte du répertoire médiéval.
Interdisciplinarité
Pièces du répertoire ou pièces contemporaines, le désir de la compagnie est d’offrir la diversité
culturelle à tous, en travaillant sur le lien. Il s’agit d’en donner le goût, la « substantifique moelle »,
là où d’ordinaire les esthétiques demeurent cloisonnées et confinées à des publics désignés. De
l’enfant à nos anciens, la compagnie souhaite tisser le lien intergénérationnel qui nous fait souvent
défaut.
Au-delà de l’aspect festif du spectacle, la compagnie s’engage à générer des projets de médiation en
direction notamment du public scolaire.
La scène, la rue, le patrimoine
Cette pluridisciplinarité est accompagnée d'une transversalité des formes. Et pour offrir à tous cette
richesse, nous entendons jouer sur toutes les scènes, qu’elles soient théâtrales, de rue ou qu’elles
servent des lieux du Patrimoine. Une émulation des sens pour un lien des cultures à travers les âges
et les esthétiques.
Expériences diverses
Le premier spectacle de la compagnie, « Renards... », écrit et mis en scène par Jean-Frédéric Noa,
a été créé à L'Atelier de la Motte Aubert (17) et a été présenté dans différents festivals tels que la
Fête du Roy de l'Oiseau au Puy-en-Velay (43), la Fête du Grand Fauconnier à Cordes-sur-Ciel
(81) ou encore à la Fête médiévale de la Saint-Jacques à Saint-Bretrand-de-Comminges (31).
La Compagnie de l'Orée du bois a créé avec le Conseil Départemental des Jeunes de Vendée un
outil pédagogique sur le thème de « l'estime de soi » sous forme de deux vidéos interactives
intitulées « Talking » et « No Talking ». Ces vidéos, ainsi que divers outils, sont proposées à tout le
corps enseignant sous forme de mallette virtuelle téléchargeable via internet à cette adresse :
http://edap.vendee.fr/Mallette-virtuelle-Estime-de-soi
Dans le cadre des Journées Archéologiques 2016, la compagnie a présenté « L'Odyssée
d'Arlequin » au Site Archéologique de Saint-Saturnin-du-Bois (17) dans sa version tout public.
Cette représentation a été réalisée en partenariat avec la Communauté de Commune Aunis Sud.
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Opérations d'accompagnement
Médiation culturelle
Nous proposons diverses activités autour de ce projet suivant les demandes.
Ateliers pédagogiques
Nous organisons des ateliers théâtraux ponctuels (deux jours maximum) dont les sujets sont divers
et variés : cela peut aller de la découverte théâtrale générale à des ateliers particuliers comme le
travail du masque, le travail du corps et des animaux, l'histoire du théâtre, etc. Nous profitons de
nos expériences pluridisciplinaires pour les transmettre au public.
Des ateliers organisés sur des périodes plus longues peuvent être mis en place en partant de
l'écriture théâtrale aboutissant à l'interprétation des textes écrits.
Ces ateliers s'adressent à toutes les personnes à partir de 5 ans.
Le jeu masqué
Le masque, outil bien connu de la scène, se trouve sous différents aspects. Moulé sur le visage du
comédien, il modifie son apparence en créant une nouvelle forme, une naissance immédiate du
personnage. Le jeu maqué a son histoire avec ses codes distillés à travers les âges. Nous nous
inspirons des personnages classiques mais sans pour autant leur ressembler.
Dans nos ateliers, nous proposons de réinterroger ce jeu : tout d'abord apprendre à le connaître, puis
le comprendre pour enfin l'adapter.
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Les fabliaux : entre récit et morale
La notion pédagogique d'un récit est ancienne et perdure à travers les âges. Il est plus facile de
transmettre les pensées sous le couvert d'un récit que de le faire de façon directe, façon qui pourrait
être mal perçue pour celui qui reçoit l'avis.
Puiser dans les fabliaux nous est apparu évident. Écrits dans le but de dénoncer la société humaine,
les personnages deviennent des stéréotypes de caractères humains. Les personnages sont le résultat
de la sublimation du réel et de l'imaginaire : ils sont à la fois tout le monde et ne sont personne. Le
destinataire a donc le choix de prendre à son compte la morale comme l'ignorer totalement.
Nous proposons d'interroger notre humanité en transposant ce questionnement dans un récit. Nous
inviterons les participants à choisir leur morale, à la développer comme ils le souhaitent par le biais
de l'écriture et à la partager oralement à un auditoire. Sous-jacent à cet aspect ludique, nous
abordons les notions d'acceptation de soi et de valorisation de la personne à travers un récit simple
et récréatif.
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Le protagoniste : Nicolas Rager
L'auteur et metteur en scène
La première pièce écrite par Nicolas et sa première mise en scène est un spectacle pour les 5-11 ans
intitulé Assia ou les Histoires de l'Imagnaire (publié chez Alna Edition) qui se joue pendant deux
saisons à Paris. Chloé Demurger et Camille Labarthe font appel à lui pour une écriture commune
qui aboutira sous le titre Héléphantollas, et alors ?, spectacle pour les 5-11 ans portant sur la
biodiversité et dont Nicolas signera la mise en scène. Cette association perdure pour les spectacles
de commedia dell'arte de la Compagnie du Flocon, Qui veut épouser Isabella ? et La Farce des
Inventions, ainsi que le spectacle historique Aliénor, entre Orient et Occident.
Par la suite, Nicolas suit le stage d'écriture de Christophe Botti, stage dont est issu sa première
pièce dramatique Tibo (publiée chez Alna Editeur). Cette pièce n'a pas encore été créée sur les
planches. Dans le même temps, la Compagnie des Z'ardisans lui propose la mise en scène de la
comédie tout public Amis... Amis ? de Jérôme Goy qui se joue pendant deux saisons à Paris puis à
Lyon. C'est au sein de La Compagnie de l'Orée du Bois que Nicolas renoue avec la commedia
avec L'Odyssée d'Arlequin et poursuit le travail sur le masque avec Renards..., spectacle de JeanFrédéric Noa présenté dans plusieurs fêtes historiques dont celles du Roy de l'Oiseau au Puy-enVelay et du Grand Fauconnier à Cordes-sur-Ciel.
Le comédien
Nicolas est formé à l'Atelier Théâtre Frédéric Jacquot. Il y joue Les Folies de Mr Labiche d'après
Eugène Labiche, La Double Inconstance de Marivaux et enfin Le Système Ribadier de Feydeau
dans des mises en scène de F. Jacquot. Par la suite, il intègre l'Espace Marais et joue dans L'avare
et Le Malade Imaginaire de Molière, L'Île des Esclaves de Marivaux et Antigone de Cocteau.
Durant l'été 2008, il joue dans Les Anges de l'Enfer, spectacle muet de Nydia Hetherington,
d'abord à Paris puis lors du Camden Fringe Festival, festival londonien. Il découvre les spectacles
pour enfants avec, début 2009, Et si on fabulait ! puis durant la saison 2009/2010 avec Scapin et
Arlequin sur la Lune à La Comédie Italienne. Il écrit et met en scène Assia ou les histoires de
l'imaginaire (publiée aux Éditions Alna) et Héléphantollas, et alors ?. Au sein de la Compagnie
du Flocon, il joue le personnage de Pantalone dans Qui veut épouser Isabella ?, Arlequin dans La
Farce des inventions et Louis VII dans Aliénor, entre Orient et Occident. En 2012/2013, il
interprète La Veuve dans Un ouvrage de dames, de Jean-Claude Danaud puis en 2014, la
compagnie amateur saintongeaise Les Préglissants fait appel à Nicolas pour la mise en scène de
Diables de Femmes. La même année, il crée La Compagnie de l'Orée du Bois avec des projets
tels que L’Odyssée d'Arlequin, Renards.... et La Truffe.
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Contacts
Si vous avez besoin d'informations complémentaires, voici plusieurs façon de nous contacter :
Mail et site internet
[email protected]
www.cie-oreedubois.fr
Téléphone
Présidente de la compagnie
Marielle ROLLAND
06 33 06 30 98
05 46 93 37 30
Crédits Photos : Pierre Noirault Photo
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