L’année 2013 s’est terminée sur de nom-
breuses annonces de reprise économique. Six
mois plus tard, elle se fait toujours attendre.
Conséquence directe, la Banque Mondiale a
récemment abaissé ses prévisions écono-
miques pour 2014 aux États-Unis et dans
les pays émergents. Concernant l'Europe,
les perspectives restent moroses. En France,
l’Insee a également corrigé à la baisse sa
progression du PIB national en 2014, de 1 %
à seulement 0,7 %.
Les freins à la croissance restent nombreux.
L’INSEE pointe notamment la faiblesse per-
sistante de la reprise de l’activité industrielle
et la hausse poussive des gains de rentabilité
des entreprises, ce qui retarde leurs inves-
tissements.
Dans ce contexte tendu, l’emploi local ré-
siste bien, alors qu’il doit encore digérer le
plan social de PSA. Le taux de chômage est
repassé sous la barre des 8 %, et contraire-
ment au reste de la Bretagne, l’effectif total
d’emplois salariés privés dans l’aire urbaine
continue de croître, sur un rythme toutefois
bien modeste.
Le secteur de la construction résiste mieux
qu’ailleurs, et excepté l’agroalimentaire et
l’automobile, l’industrie conserve ses effec-
tifs. Les banques et assurances embauchent
davantage depuis l’été 2013, alors que les
services à la personne et le commerce pro-
fitent toujours du dynamisme démographique
local.
De son côté, la situation du secteur numé-
rique local s’avère morose. Les principaux
chiffres le concernant, en premier lieu l’em-
ploi, montrent qu’il peine à s’inscrire dans
Une économie locale sans tonus, sur fond de reprise avortée
les perspectives encourageantes récemment
confirmées pour 2014 au niveau national par
Syntec Numérique.
Toutefois, l’économie numérique bénéficie
toujours d’un foisonnement d’initiatives por-
teuses d’avenir comme le LabFab, la candi-
dature au label French Tech, ou l’événement
« Opportunités digitales », programmé en
octobre.
D’ici la fin de l’année, la situation écono-
mique du territoire ne devrait pas sensible-
ment évoluer, pour plusieurs raisons. Tout
d’abord, l’année 2013 a laissé des traces
dans les trésoreries des entreprises, qui
génèrent un accroissement des défaillances.
Les gains d’emploi devraient rester modestes
car les départs liés au plan social de PSA vont
continuer à se traduire dans les chiffres de
l’URSSAF, et d’autres plans sociaux annoncés
n’ont pas encore été concrètement réalisés.
Enfin, l’intérim est chahuté, et le volume glo-
bal de déclarations d’embauches est actuel-
lement en baisse.
Une inconnue demeure toutefois, celle de
l’impact de la montée en charge des grands
chantiers de la seconde ligne de métro et du
centre des congrès sur les effectifs locaux du
secteur de la construction.
Une chose est sûre, le territoire doit s’efforcer
d’explorer et de conforter de nouveaux hori-
zons économiques, comme celui de l’écono-
mie de la mer. Dans ce domaine, la métropole
dispose d’un potentiel de compétences pro-
fitable à toute la Bretagne. C’est tout l’enjeu
des coopérations que la métropole souhaite
renforcer avec Saint-Malo, Brest et le reste
de la Bretagne.
En juin, l’INSEE révélait que les métropoles ré-
gionales avaient davantage résisté à la crise que
les autres territoires. Leurs portefeuilles d'acti-
vités diversifiés et surtout une plus forte quali-
fication des emplois ont conféré à ces espaces
une meilleure capacité de résilience.
L’économie rennaise s’inscrit pleinement dans
ce processus de métropolisation et se tertiarise
davantage. Elle parvient ainsi à absorber les
plans sociaux qui frappent durement son appa-
reil industriel. Peut-on s’en satisfaire ? Certai-
nement pas, car il convient d’être prudent. On
assiste en réalité à une profonde mutation éco-
nomique dont le triptyque informatique, internet
et réseaux est le moteur. Il génère de nouveaux
marchés en rapprochant conception, production
et usages.
La métropole rennaise, avec ses plateformes
technopolitaines de services et le potentiel de
son économie numérique, dispose de tous les
atouts pour réussir cette mutation, qui doit pro-
fiter aux grandes filières d’activités bretonnes.
C’est déjà le cas de nombreux secteurs comme
l’agroalimentaire, la logistique ou la santé. C’est
aussi le cas d’activités moins connues à Rennes
comme celle de "l’économie bleue" s’adressant
directement aux marchés de la mer.
Cette nouvelle "industrie servicielle" qui émerge
dans nos métropoles est l’enjeu de demain. Je
souhaite que l’Observatoire de l’Economie de
l'Audiar soit le premier à en témoigner.
Gaëlle Andro,
vice-présidente de
Rennes Métropole,
déléguée au déve-
loppement écono-
mique, à l'emploi et
au commerce
L'édito
Photo : D. Gouray
Ville de Rennes/Rennes Métropole
1 Attractivité & rayonnement
2 Vie des entreprises
3Emploi & activité
Juillet 2014
n°5
OBSERVATOIRE
La note d'information
économique de l'Audiar
VIGIEco
La note d'information économique de l'Audiar • n°5 • juillet 2014
2
Si le bassin rennais ne bénéficie pas directement d’une façade maritime, il n’en demeure pas moins lié, historiquement et éco-
nomiquement, à la mer. Mais ce pan d’activité demeure peu visible et peu lisible car les entreprises travaillant sur le maritime
relèvent d’autres secteurs, plus classiques, comme l’électronique, l’informatique, la pharmacie, l’agroalimentaire, etc.
Ce focus a donc pour objectif de dresser un panorama des activités économiques liées à la mer dans la capitale bretonne.
Pour se faire, ont été compilées les informations issues du fichier SIRENE - Insee et de structures soutenant l’économie bleue,
parmi lesquelles le Pôle Mer Bretagne Atlantique, les CCI de Bretagne, Bretagne Info nautisme, le cluster Mer nutrition santé,
le Centre d'étude et de valorisation des algues (CEVA), Rennes Atalante et d’autres acteurs comme Bretagne Développement
Innovation, le CRITT Santé Bretagne, etc. Les informations présentées ci-dessous ne sont pas exhaustives mais dressent un
tableau de l’engagement de l’économie rennaise au service de la filière mer bretonne.
Certains croisements de domaines ont
donné lieu à des néologismes, comme la
marétique1 qui est l’ensemble des systèmes
informatiques et électroniques utilisés dans
la gestion et l’automatisation des opérations
relatives aux activités maritimes, fluviales et
portuaires.
Selon l’étude réalisée par la CCI de Brest et
le Pôle Mer Bretagne Atlantique (PMBA), la
région compte plus de 3 000 établissements
dans l'économie de la mer, soit environ
25 000 à 30 000 emplois2 hors Marine Natio-
1 - Le livre bleu de la marétique, pour une économie
maritime numérique. avril 2013.
2 - Il s’agit, pour chaque pays, d’évaluer le poids des
activités littorales et maritimes, en nombre d’éta-
blissements et en nombre d’emplois en 2012. Les
établissements "Mer" comptabilisés sont tous les
établissements d’entreprises intervenant pour tout
ou partie de leur activité dans un des domaines
Attractivité & rayonnement
nale (qui représente pour la base de Défense
de Brest/Lorient près de 22 000 emplois).
Certains pays disposent d’une spécialisation
forte comme Brest, Lorient ou Saint-Malo.
L'aire urbaine de Rennes n'est pas autant
orientée vers le marché maritime mais elle
comporte néanmoins de nombreux acteurs
publics et privés engagés dans cette écono-
mie bleue.
couverts par le PMBA. Il en va de même pour la
mesure des emplois : il s’agit du total des emplois
des établissements d’entreprises, intervenant pour
tout ou partie de leur activité, dans un des domaines
couverts par le PMBA. Les chiffres et cartes doivent
par conséquent être utilisés avec précaution. Ils
permettent néanmoins de dessiner le poids relatif de
chaque secteur par pays breton.
1
Une filière très morcelée,
touchant un vaste panel
d'activités
Les activités liées à la mer relèvent, schéma-
tiquement, de 7 grands domaines :
Ò la sécurité et la sureté maritime,
Ò le naval civil et militaire et le nautisme,
Ò les ressources énergiques et minières :
énergies marines renouvelables et off-
shore profond,
Ò la pêche et l’aquaculture marine (dont la
valorisation des algues),
Ò les biotechnologies marines (nutrition-
santé, médicament),
Ò la protection et l’aménagement du littoral,
Ò les ports, infrastructures et transports ma-
ritimes .
Les acteurs de l'économie bleue à Rennes
Les pays situés sur le littoral
Sud (de Brest à Auray) ont
une économie tournée vers
la mer plus importante que la
moyenne. Le poids de l’activité
« mer » en termes d’emplois
s’élève à 7 % pour le Pays de
Lorient et 6 % pour le Pays
de Brest. A l’Est, l’activité
« Mer » est moins présente, à
l’exception du Pays de Saint-
Malo du fait notamment du
groupe Roullier.
Part d'emplois des établissements ayant une activité "Mer" par rapport à l'ensemble de l'activité économique de chaque pays
La note d'information économique de l'Audiar • n°5 • juillet 2014 3
Attractivité & rayonnement
Rennes : une plateforme de
services pour l’économie bleue
bretonne
Près de 120 entreprises du bassin rennais3
s’adressent, pour une partie de leur chiffre
d'affaires, au marché de la mer4.
Le panel des activités est vaste : Les métiers
de l’électronique, l’informatique, l’image et
les réseaux sont très présents sur ce mar-
ché : radars (Estar), images sous-marines
3 - L’étude porte sur le bassin rennais, excluant donc
les territoires de Redon et de Saint-Malo, même si
les bassins sont interconnectés. il faut souligner que
Rennes Atalante comporte un site à St-Malo ayant
pour axe majeur de développement la valorisation
des ressources marines.
4 - Exception faite du commerce de gros ou de détail de
produits de la mer.
(Boom), balises (Kerlink), bathymétrie (Mesu-
ris), traitement du signal (Thalès, Akka Tech-
nologies, Ipsis)…
Les équipementiers rennais des secteurs de
la santé, de la beauté et de l’industrie agro-
alimentaire exercent également leurs métiers
au service des activités maritimes : Biotrial,
Proclaim (molécules médicamenteuses)
Diana Natural, HTL Javenech (compléments
alimentaires, ingrédients fonctionnels)…
La protection de l’environnement et l’aména-
gement portuaire et littoral sont également
présents à Rennes (Idra environnement,
Scheme, Hlb environnement…). Des spécia-
listes en mécanique et électricité participent
à l’équipement des bateaux et à l’accastillage
(Mezières Nautic, RT Méca, Leroy Somer,
Maintenance Marine Bretagne…).
On découvre également que Rennes compte
3 sièges d’armateurs et des experts en sécu-
rité ou en droit maritime (Surtimar, Vaughan
Avocats, Ronin Consultant…).
Il faut également signaler la présence d’In-
fomer, du groupe Ouest-France qui édite
depuis la région rennaise ses titres spécia-
lisés : Le Marin, diffusé sur l’ensemble du
globe auprès des acteurs maritimes, Cultures
marines (à destination des conchyliculteurs)
et Produit de la mer.
Enfin, d’autres applications sont recensées
comme les peintures à base d’algues (Félor)
ou l’expertise en énergie (Avel vor Technolo-
gie, Saltel)…
L'économie bleue concerne plus de 120 entreprises dans le bassin rennais
La note d'information économique de l'Audiar • n°5 • juillet 2014
4
En outre, une vingtaine d’organismes rennais
de recherche publique interviennent sur le
thème de la mer, dans des domaines variés
comme la microbiologie, la chimie, les télé-
communications, l’eau, la santé… Quatorze
sont impliqués dans des projets labellisés
par le Pôle Mer Bretagne Atlantique ; quatre
structures sont engagées dans IDEALG, pro-
jet sélectionné au sein des Investissements
d’Avenir français «biotechnologies et bio-
ressources».
Attractivité & rayonnement
1
Organismes de recherche publique
Agrocampus Ouest ENSCR
Biogenouest IETR
BRGM INRA
CBB Développement INSA
Cemagref Rennes INRIA
CNRS Office national eau milieux
aquatiques
Critt Santé Bretagne SATT Ouest Valorisation
Ecam Louis de Broglie ENST Telecom Bretagne
EME Université Rennes 1
ENS Rennes Université Rennes 2
Les entreprises et organismes
de recherche publique rennais
engagés dans 40 projets du
Pôle Mer
Le Pôle de compétitivité Mer Bretagne Atlan-
tique accompagne la réalisation de projets
collaboratifs (183 projets au 31/12/2013)
associant entreprises et laboratoires, afin de
développer les produits et services innovants
sur les marchés internationaux.
Dans le bassin rennais, 16 entreprises et 14
organismes de recherche (impliquant davan-
tage de laboratoires) sont engagés dans près
de 40 projets pluriannuels du pôle de com-
pétitivité (certains étant impliqués dans plu-
sieurs projets).
Dans ce cadre, ils tissent des liens avec 102
partenaires bretons et 88 acteurs d’autres
régions de France ou de l'étranger. La dyna-
mique la plus importante est avec le Finis-
tère (63 partenaires) et particulièrement avec
Brest (35 acteurs).
Les relations des acteurs rennais engagés dans le Pôle Mer avec leurs partenaires
Lecture : Les entreprises
et organismes de recherche
du bassin rennais dialoguent
avec 3 partenaires d’Aix-
Marseille dans le cadre
des projets du Pôle Mer
Bretagne Atlantique.
Chiffres clés de la mer en
Bretagne :
2 700
km de côtes
2 900
chercheurs
3 000
diplômés/an dans les formations à caractère
maritime, dont 1/3 en formation continue.
Source : Pôle Mer Bretagne Atlantique.
La note d'information économique de l'Audiar • n°5 • juillet 2014 5
2 Vie des entreprises
Les informations présentées ci-dessous sont une sélection de l’actualité locale du premier semestre 2014.
PSA La Janais voit son avenir
clarifié d’ici 2016-2017
En 2016 PSA La Janais produira la 508
restylée à destination du marché européen,
Wuhan sera son équivalent en Chine. Les
ateliers seront modernisés et adaptés à
ce modèle dont la production est estimée
à 100 000 véhicules/an. L’usine bretonne
devrait également produire la remplaçante
de la 5008, à compter de 2017. Mais des
inquiétudes persistent car le nouveau modèle
sera préfabriqué en partie à Mulhouse.
Il nécessitera 10 heures de fabrication à
Rennes, contre 31 heures actuellement pour
la 508. Les syndicats et les collectivités
demeurent attentifs à l’avenir de cette usine
de 4 000 emplois même si Xavier Peugeot,
Directeur Produit du groupe, a confirmé « un
avenir pour le site rennais au-delà de 2020 ».
Les équipementiers locaux adoptent leurs
stratégies à cette situation : ils innovent,
se diversifient et se restructurent. A l’autre
extrémité de la chaine, les sociétés de
recyclage et déconstruction se structurent.
La « milk valley » rennaise
s’apprête à relever le défi de
l’après-PAC
La filière laitière bretonne se prépare à la fin
des quotas au 1er avril 2015 et à l’ouverture
au marché mondial. L’accroissement de la
demande en produits laitiers va entraîner
une course à l’agrandissement des exploi-
tations (cheptel et surfaces exploitées). Ce
développement profitera aux équipementiers
agricoles (robotisation, machinisme, travaux
publics et assainissement…) et aux sociétés
de services (services vétérinaires et sani-
taires…). Mais la profession demeure atten-
tive aux effets en chaine : gestion des épan-
dages, hausse des prix du foncier agricole et
de l’endettement des agriculteurs dans un
marché non régulé où la volatilité des prix
joue à plein. Les affrontements autour du
projet de « ferme aux 1 000 vaches » dans la
Somme témoignent des inquiétudes sur les
impacts environnementaux et sociaux de ces
installations de grande taille.
PSA La Janais
(Chartres de Bretagne)
3900 emplois
Réorganisation de la production : suppression d’une demi-équipe ; 40 jours chô-
més au 1er trimestre 2014. Produit actuellement 220 Peugeot 508 et 110 C5 par
jour.
En 2015 : ligne test « usine du futur » autour des matériaux composites
PSA dispose désormais de 3 actionnaires prépondérants : la famille historique,
l’Etat français et le constructeur chinois Dongfeng.
Corotec (Liffré)
38 emplois
Propitec (Liffré)
Dépôt de brevet d’une poinçonneuse électrique. Certification Iso 9001.
Installation de son matériel sur les lignes d’assemblage de La Janais via ses clients
Faurecia, Plastic Omnium, Visteon... 19 % de son CA à l’export en 2013 contre
5% en 2010. Sa filiale Propitec s’adresse à l’industrie ferroviaire (TGV, tramway)
et navale.
Cooper Standard
(Rennes)
900 emplois
Janvier : Retire son projet d’usine à Domagné, en raison d’un volume d’activités
trop faible. Juin : Remporte un vaste marché auprès de Ford ; le site de Rennes
sera en charge de fabrication de pièces pour 5,5 millions de CA annuel
Faurecia (St Méloir)
220 emplois
Transfert de 30 postes (RH, achats, informatique…) de Laval à St-Méloir.
Faurécia ECSA
(Crevin) 270 emplois
Reclassement de 52 salariés en cours, notamment dans les télécoms ou le BTP.
Bretagne Ateliers
(Noyal-Châtillon) 570
emplois
L’automobile ne représente plus que 51% de ses activités.
Sadex embrayages
(Fougères)
50 emplois
Rénovation de pièces d’embrayage. Stabilisation du CA à 4 millions pour
110 000 kits rénovés/an.
Atlantic recycl’auto (St
Nicolas de Redon)
42 emplois
Déconstruction et recyclage à 95 % de 650 automobiles/mois. Développement
plus rapide que prévu à son ouverture en avril 2013 ; 60 embauches à moyen
terme.
Lactalis (Bourgbarré,
L’Hermitage…)
Le groupe mayennais leader mondial du lait s’implante en Inde (200 usines dans
35 pays, 16 milliards de CA).
Coralis
(Cesson-Sévigné)
570 emplois
Coralis (270 millions de litres de lait) rejoint la coopérative Agrial-Eurial (Soignon,
Grand Fermage, Senoble...). Le trio pèsera 2,5 milliards de litres et se placera
comme le 3e opérateur français derrière Sodiaal (5 mds litres) et Lactalis (5,5 mds
litres).
Valorex (Combourtillé)
120 emplois
Ses nouveaux outils « Visiolait chèvre » et « Spectmeat » analysent les valeurs
nutritionnelles du lait et de la viande.
Artefacto (Betton)
45 emplois
En coopération avec Arbor Technologie (22) et Realyz (53) a développé un outil
de visualisation de lignes de productions alimentaires et d’usines en réalité aug-
mentée.
Luceo (Vern)
40 emplois
Propose un système d’inspection des emballages alimentaires (étanchéité et sécu-
rité des barquettes) très innovant.
Diana (Antrain et
Rennes) 75 emplois
Racheté par Symrise pour 1,3 milliards . Le leader allemand des arômes synthé-
tiques acquiert ainsi des savoir-faire sur les arômes naturels.
Roullier (St Malo –
Dinard) 920 emplois
Investit 27 millions dans un centre de R&D à St-Malo pour accueillir à terme 250
chercheurs (120 transferts et 80 créations de postes en cours) sur l’agrofourniture.
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