UNIVERSITE MONTESQUIEU - BORDEAUX IV
ECOLE DOCTORALE ENTREPRISE ECONOMIE SOCIETE (E.D. 42)
DOCTORAT ès Sciences économiques
Guillaume PASTUREAU
LE MICROCREDIT SOCIAL : UN « ARGENT SECOURS » EN
PERSPECTIVE HISTORIQUE
Le cas du prêt sur gages au Crédit municipal de Bordeaux depuis 1801
Thèse dirigée par M. Bertrand BLANCHETON, Professeur des Universités,
Soutenue le lundi 8 juillet 2013
Jury :
M. Bertrand BLANCHETON
Professeur des Universités, Université Montesquieu - Bordeaux IV, Directeur de thèse,
M. Hubert BONIN
Professeur des Universités, Institut d'études politiques Bordeaux,
M. Pierre-Cyrille HAUTCOEUR
Professeur des Universités, Directeur de l'EHESS,
Président,
M. Pierre-Charles PRADIER
Maître de conférences HDR, Université Paris I Panthéon-Sorbonne, Directeur délégué de
l'ENASS,
rapporteur,
M. Marc-Alexandre SENEGAS
Professeur des Universités, Université Montesquieu - Bordeaux IV, Directeur du GREThA,
Mme Nathalie SIGOT
Professeur des Universités, Université Paris I Panthéon-Sorbonne,
rapporteur.
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Remerciements
Une thèse de doctorat est inévitablement une aventure. Une aventure intellectuelle
sans pareil ; une aventure longue, fastidieuse, jalonnée de haut et de bas ; une aventure nourrie
d'échanges, de débats, d'argumentaires, de choix ; une aventure semée d'embuches et de
défis ; une aventure qui se termine par le bonheur du devoir accompli après de longues années
à parcourir les méandres d'un projet scientifique. Mais cette aventure n'en est pas moins une
aventure humaine. Que serait ce travail sans l'apport de proches qui nous entourent ? Que
serait-il sans un soutien bienvenu ? Sans critique de toute sorte pour avancer ? Sans une
motivation et un encouragement quand les résultats ne sont pas au rendez-vous ? Que serait-il
si le jour d'une découverte personne n'est pour vous lire, vous comprendre, ou vous
reprendre ? Cette aventure intellectuelle n'aurait pas été possible sans tout cela, et sans toutes
ces personnes.
Mon premier regard se porte sur mon directeur de thèse, Bertrand Blancheton, qui par
ce projet a su cerner ma personnalité, et surtout qui a permis qu'il soit arrivé à son terme. Il en
a fallu des discussions, des échanges, des conseils, des orientations, des accords, des
désaccords, assez rares il est vrai, et des rapports d'étapes jusqu'au manuscrit. Mais, ce ne fut
pas que des échanges universitaires, je lui tiendrai toute ma reconnaissance pour le soutien
sans faille, et son rôle dans mon parcours académique. Il en aura fallu de la patience...
Mon second regard se tourne vers Guy Poirier, directeur du Crédit municipal de
Bordeaux, qui m'a ouvert son établissement, mis à disposition tous les documents disponibles,
et qui a toujours été pour répondre à mes nombreuses interrogations. Comme Bernard
Candiard, directeur du Crédit municipal de Paris, qui m' permis dealiser une enquête sur
son établissement.
Je ne saurai oublier les membres du jury d'avoir eu l'amabilité, le courage, et la volonté
de me juger et de m'évaluer. A Nathalie Sigot et Pierre-Charles Pradier, pour leurs
commentaires et leur rapport. A Pierre-Cyrille Hautcoeur, président du jury, pour
l'organisation des débats et de la soutenance. A Hubert Bonin et Marc-Alexandre Sénégas,
pour leurs commentaires.
L'aventure humaine ne s'arrête pas à l'Université, l'amitié de mes proches, leur
bienveillance, leur soutien, leur remarque, et leur intérêt pour tout ce parcours doivent être
soulignés et remerciés. Sylvain, bien entendu, qui de la licence AES au doctorat fut plus qu'un
compagnon de route. Je ne pourrai pas résumer les heures de débats et de discussions, le
temps passé ensemble, les colloques en commun, mais aussi et surtout, tout ce qui fait une
amitié sans faille et le respect. Bien évidemment, je n'oublie pas Julien, qui de son regard
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extérieur m'a lu, relu et soutenu. Je n'oublie pas non plus Albane, Matthieu, Nicolas, Liliane,
Teddy, Anthony, Benoit, Jean-Baptiste, Nicolas 'pada', et Andrew, qui dès le départ de
l'aventure ont été là, présents quand il le fallait, confidents et critiques au sens noble du terme.
Que toute ma reconnaissance et mon admiration leur soit portées. Je garde aussi dans le coin
de ma tête, toutes les personnes qui ont croisé un jour ou l'autre mon chemin, et qui ont
participé à mon apprentissage intellectuel et académique.
Ce long travail n'aurait pas été possible sans mes collègues doctorants, j'ai une pensée
toute particulière pour Brice Arnaud et Luc Elie, qui, avec moi, en un certain mois de
septembre ont franchi les portes du GREThA pour se lancer dans le labyrinthe de la thèse.
Leur amitié, soutien, et critique ont façonné mon parcours doctoral. Alexandre Berthe doit lui
aussi recevoir une pensée, le petit nouveau qui a su partager tant debats, de discussions, et
d'échanges et qui à un moment tout particulier a accepté de me relire... Je n'oublierai bien
évidemment pas TOUS les autres qui m'ont accompagné de près ou de loin, Emmanuel
Lorenzo, qui a su au bon moment m'orienter, Isabelle Salle, Diego Useche, Amanda Vargas,
Natacha Laskowski, Pierre Fauvet, Laurent Bergé, Matthieu Bonal, Rémi Delille, Caroline
Granier, Nicolas Bedu, Max Maurin, Laurent Baratin et tant d'autres... Je pense aussi à Léo
Charles et François Chounet, « économistes de l'histoire », qui ont fait que l'on se trouve
moins seul... Pour finir, comment ne pas souligner l'importance de ceux qui ont partagé ce
petit bureau D315, Huihui Ding, Marianne Lanoë, et Romain Jourdheuil.
Je tiens aussi à souligner le rôle des membres du GREThA. Que ceux qui ont croisé
ma route et qui ont participé à ma formation universitaire, à mon apprentissage de la
recherche et à leur regard critique et bienveillant, en soient tous remerciés. Mais je souhaite
remercier plus particulièrement Matthieu Montalban, Marc-Alexandre Sénégas, Samuel
Maveyraud, Eric Berr, François Combarnous, Christophe Carrincazeaux, Emmanuel Petit,
Jean-Patrice Lacam, Jean-Marie Harribey, et Frédéric Poulon. Un dernier remerciement doit
aller tout droit à Lysiane Fontanges qui m'a toujours soutenu.
Bien évidemment, il me reste à avoir une pensée toute particulière pour ma famille. A
mes parents, qui m'ont toujours rendu fier de mes origines, qui ont toujours été là pour moi, et
qui ont permis que tout cela soit possible. A mon père, qui malgré son tempérament réservé,
doit au fond de lui être fier du parcours atteint et achevé, comme moi je peux l'être pour tout
ce qu'il m'a apporté. A ma mère qui m'a soutenu sans commune mesure, et qui aujourd'hui
comme hier à toujours été présente. A mon frère, nous n'avons pas pris le même train, mais il
nous a amené au même endroit, celui de l'accomplissement de nos projets de vie. Je pense
aussi à Emilie. A Arnaud et à Romain, certes thésards en sciences physique, mais thésards
quand même. Ainsi qu'à toute la famille Pastureau-Royon...
Une pensée toute particulière ira vers mes grands parents, Edith, Odette, William et
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Pierrot. Où qu'ils puissent être à présent, ils ont été de près et de loin à mes côtés.
Il ne reste qu'une personne, celle qui partage mon quotidien, mes doutes, mes joies,
mon caractère, qui a été dès le début mon premier soutien qui n'a jamais douté... merci
Céline.
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