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EMERCIEMENTS
Après un peu plus de 3 ans, ce travail de thèse est enfin achevé. Trois années et demies de
formations par la recherche, qui m’ont permis d’acquérir de nouvelles connaissances scientifiques,
des savoir-faire et des savoir-être jusqu’alors insoupçonnés, et qui me seront, j’en suis sûre, infiniment
utiles dans la suite de mon parcours. Avant de tourner cette page, je tiens à remercier tous ceux qui,
de près ou de loin, m’ont aidée à réaliser ce travail, à progresser pas à pas durant ces nombreux
mois et à surmonter les difficultés rencontrées :
J’exprime tout d’abord toute ma reconnaissance à mes encadrants, Yves Coquet, Damien Marage,
Jean-Marc Gilliot et Joël Michelin pour m’avoir fait confiance et m’avoir guidée : merci pour votre
patience, votre perfectionnisme, votre soutien technique pour la réalisation des mesures de terrain, et
pour avoir accepté de lire, relire, re-relire les « quelques » pages de ce manuscrit.
Merci également à Christophe Labat pour avoir accepter de prendre un peu de son temps pour
m’assister lors de mesures de pF, à Philippe Jauzein, de son soutien en botanique.
Je tiens à exprimer mes remerciements aux membres du jury, pour avoir accepté d’en faire partie, en
tant que rapporteurs ou examinateurs.
Je remercie le groupe VINCI qui, grâce à son soutien financier, a permis que ces trois années et
demies se déroulent dans les meilleures conditions. Je tiens également à remercier l’ensemble de
mes interlocuteurs au sein des filiales COFIROUTE et Autoroute du Sud de la France pour avoir pris
part à ce projet sur le terrain.
J’adresse un grand merci à l’ensemble de l’équipe Sol d’EGC qui, grâce à ses hebdomadaires et
délicieux gâteaux, ses diverses douceurs ramenées d’un peu partout, a si souvent rechargé mes
batteries en sucres. Un merci particulier aux si nombreux locataires de l’ail C et du bureau 13, aux
courageux ayant cheminé jusqu’au fond du couloir : Marie, pour nos discussions sans fin sur à peu
près tout et nos pique-niques estivaux dans l’arboretum, Maha, pour ta cuisine libanaise et pour avoir
éclairé si souvent ma lanterne en hydrologie, David, pour ton bonjour matinal toujours enjoué,
quelques soient les circonstances, Florian, pour avoir de temps en temps passé la tête dans
l’encadrement de la porte pour constater que, oui, j’étais bien là. Merci à Laetitia pour nos débats
matinaux et engagés, nos « j’ai faim ! », à Marie E. pour ta bonne humeur et pour avoir apporté une
petite touche internationale à ces derniers mois.
Enfin, une reconnaissance toute particulière à mes proches pour leur soutien, leurs encouragements
et pour les moments de distraction partagés au milieu de tout ce travail : Renaud (évidemment !),
Maman, les sisters n°1 et n°2 et les fistons, la co loc’ pour sa bonne humeur renommée, son gite et
son couvert, Delphine, Laure, Flo, Marie P. (doublement !), Yayou, Julie, Yonna, Christel.
A M. Solange