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Remettre en cause la théorie du virus
En 1995, Gerald Geison (de l'université Princeton) a fait paraître un livre intitulé
"La science privée de Louis Pasteur". En se basant sur les notes de laboratoire de Pasteur, le
professeur Geison a révélé que la théorie des microbes de Pasteur était fondée sur des
données frauduleuses. En dépit des preuves de la fraude scientifique de Pasteur, sa théorie
règne encore sur la médecine et la science médicale modernes. Considérant aussi qu'il n'y a pas
de preuves scientifiques solides que les virus soient la cause des maladies, incluant le cancer,
ceci implique que les programmes de vaccination à l'échelle mondiale imposées à la population,
particulièrement aux enfants et aux personnes âgées, sont fondés sur une supercherie
scientifique.
Dans leur publication «Virus Mania
» (original en allemand, 2006), le journaliste
Torsten Engelbrecht et le docteur en médecine interne Claus Köhnlein révèlent que
des virus «contagieux» et «mortels» comme le virus de l'hépatite C, le HIV, le HPV
(supposément la cause du cancer du col), le virus de la grippe aviaire
de la poliomyélite
ne sont pas, comme on l'a dit un peu partout, des microbes qui
«envahissent» l'organi
sme humain, mais que ces supposés virus sont en réalité des
microparticules produites par les cellules du corps elles-mêmes.
Les auteurs écrivent: «L'existence de ces «virus mortels» doit encore être prouvée. Et c'est là
que les problèmes commencent. Donc, des preuves scientifiques solides n'ont jamais été
apportées, même si la procédure est facile: il suffit de prendre un échantillon de sang d'un
patient, d'en extraire un de ces virus sous une forme purifiée avec son matériel génétique
complet (génome) et la coque du virus, et ensuite d'en tirer des images à l'aide du microscope
électronique. Mais ces premières mesures si importantes n'ont jamais été prises avec le H5N1
(grippe aviaire), le «virus de l'hépatite C», le HIV, et de nombreux autres corpuscules qu'on a
officiellement qualifiés de virus et qu'on a décrit comme des «bêtes féroces» (43) «Il est certain
que personne n'a encore réussi à détecter une structure de virus correspondant dans le
sérum sanguin de patients souffrant d'«hépatite C». Pour ce qui est du HIV, l'isolation du
virus par purification, nécessaire à une identification claire, n'a pas eu lieu.» (155)
Ceci explique pourquoi la science médicale actuelle essaye de «prouver» l'existence des virus
par «preuve indirecte»; cela veut dire qu'on conclut de la hausse du compte des anticorps la
présence de virus, et donc d'une «maladie infectieuse». La même méthode est employée pour
«prouver» la présence de «cellules cancéreuses métastatiques». Mais comme les auteurs de
Virus Mania le disent si justement, «les tests d'anticorps ne prouvent que l'existence
d'anticorps – et pas la présence des virus ou des corpuscules auxquels les anticorps
réagissent. Ceci signifie qu'aussi longtemps qu'un virus ou un corpuscule cellulaire (antigène)
n'a pas été précisément défini, on ne peut dire à quoi ces tests d'anticorps réagissent.» (44)