N° 20 « spécial innovation »- Mai 2013
e Pôle Innovation du
Pays de Morlaix accom-
pagne leveloppement éco-
nomique par l’innovation.
Ecoute, diagnostic, un conseil-
ler accompagne les entreprises
dans les différentes étapes du
projet d’innovation (soutien
du transfert de technologie,
montage de projets collabora-
tifs, recherche de compéten-
ces, aide à la recherche de fi-
nancement,…). Le Pôle inno-
vation du GIP-Pays de Mor-
laix est un acteur du dévelop-
pement économique local qui
propose un accompagnement
« pas à pas » de l’idée au pro-
jet. Ses missions principales
sont le relais de l’action des
technopôles du Finistère, l’ac-
compagnement des entreprises
innovantes et projets d’inno-
vation, l’animation, l’organisa-
tion d’évènements et la mise
en réseau. Une action spécifi-
que est menée dans le domaine
des sciences du vivant
(promotion du territoire,
prospection de projets, ).
Les objectifs sont de valoriser
des pôles d’expertise technolo-
gique du Pays de Morlaix, de
développer des liens avec la
recherche, les écoles d’ingé-
nieurs, les laboratoires acadé-
miques et veiller à l’émergence
de nouveaux projets, puis d’ac-
compagner leur développe-
ment. Contact :
Véroni-
que.lemonon@paysdemorlaix.com
06 02 22 42 40
L
ette semaine a
pour objec-
tif de valoriser
les innovations
sur le territoire
breton, de fédérer les
professionnels de l’innovation
et faire émerger une Bretagne
innovante au niveau régional
et national. Une quarantaine
d’événements sur les thémati-
ques clés de l’innovation
(matériaux intelligents, agroa-
limentaire, numérique, éco-
construction, emballage, de-
sign …) sont proposés aux
visiteurs en privilégiant le
témoignage et/ou les visites
d’entreprises.
Sur le territoire de la Commu-
nauté de Communes du Pays
de Landivisiau, deux évène-
ments auront lieu. Le mardi
18 juin à 10h à la Communau-
de Communes, des experts
et des
entreprises viendront
témoigner des atouts
de la Robotique en industrie
agri agro, temps fort qui sera
suivi d’une porte ouverte à
l’entreprise AB Process. Ins-
cription en ligne, cliquez sur
le lien suivant : http://
www.innovons.fr/Programme-
inscriptions/La-robotique-un-
outil-accessible-aux-PME-de-l-
agri-agro. Le jeudi 20 juin à
14h à Guiclan, la société Ar-
men ouvrira ses portes sur la
thématique de l’éco-
conception et de l’innovation.
Inscription en ligne, cliquez
sur le lien suivant : http://
www.innovons.fr/Programme-
inscriptions/Eco-conception-et-
innovation-la-preuve-par-l-
exemple-de-la-societe-ARMEN
C n investissement effi-
cient dans un équipe-
ment robotisé réalisé par SER-
MA, équipementier agroali-
mentaire et RS Injection, fa-
bricant de pièces techniques à
base de matières plastiques.
L’innovation consiste en un
développement conjoint d’une
machine spéciale en vue de
surmoulage, contrôle
et conditionnement par camé-
ra Haute Définition. Ce nou-
vel équipement permet d’assu-
rer la livraison au client de
100% de pièces conformes, ce
qui n’était pas le cas lors de la
production en semi-automa-
tique. De plus, la capacité de
fonctionnement de la machine
est optimisé (utilisation en
3/8) et l’intervention humaine
dans le procéest réduite au
réapprovisionnement matière
et aux bandes d’inserts.
Contact : SERMA au 02 98 68
76 26, RS Injection au 02 56
45 00 03. A noter que la SER-
MA et RS Injection présente-
ront cet équipement le 18 juin
prochain à la Communauté de
Communes du Pays de Landi-
visiau dans le cadre de la Se-
maine de l’Innovation, pour
en savoir plus sur cet évène-
ment, cliquez sur le lien sui-
vant :
http://www.innovons.fr/
Programme-inscriptions/La-
robotique-un-outil-accessible-aux-
PME-de-l-agri-agro
U
Au cours d’un voyage d’étu-
des en Hollande, Yann Ber-
thonneau, dirigeant de Brita-
lym, a visité la station de re-
cherche PROVIMI (protéines,
vitamines, minéraux) spéciali-
sée en nutrition animale. Ce
laboratoire était en cours d’ex-
périmentation d’une solution
nutritionnelle à base de solu-
bles d’oignons s’incorporant
dans les aliments de la truie
allaitante, permettant une
amélioration de la qualité du
colostrum et du taux de survie
des porcelets. C’est alors que
Britalym en partenariat avec le
groupe Michel candidate pour
que lui soit
confiée la
validation
européenne
de la solution. Après deux
mois et demi et 24 heures sur
24 de tests sur 4 élevages dont
2 du Nord Finistère, le pro-
duit est validé en novembre
2012. Le complément nutri-
tionnel, fabriqué en Crevin
(35), a été lancé sur le marché
début 2013 sous le nom de
Lactimmune. Il est inscrit au
concours Innov’Space 2013
qui permet de promouvoir les
nouveautés des exposants du
Salon. Mail : [email protected]
N° 20 « spécial innovation »- Mai 2013
A réée en décembre 2007
par Philippe BAILLON,
BM2S est une société de main-
tenance industrielle dont une
des spécialités est le recharge-
ment anti-usure (rechargement
poudre de portée de joint et
portée de roulement pour les
arbres, revêtement carbure de
tungstène…). L’entreprise fait
également de l’usinage de répa-
ration et de la mécanique. En
2011, BM2S est sollicité par la
société GG CORIOLIS, située
dans les Côtes d’Armor dont
l’objet est la recherche appli-
quée autour d’une algue d’eau
douce microscopique riche en
protéines et en lipides (oméga
3 et 6) : la chlorelle. Le but de
ce partenariat est de mettre en
place une installation permet-
tant de produire ces algues à
l’échelle industrielle. CORIO-
LIS et BM2S ont travaillé sur
trois prototypes de 2 litres, de
25 litres puis de 600 litres.
BM2S est intervenu à plu-
sieurs échelons : sur le process
de fermentation et de stérilisa-
tion de la machine à produire
les chlorelles (leur nourriture
doit être apportée stérilisée), sur
la conception et la fabrication
de fermenteur sans lumière
avec un mélangeur qui brasse
et diffuse les apports nutri-
tionnels et l’oxygène. La pre-
mière application est l’aqua-
culture puisque la chlorelle
peut servir dans l'alimentation
des larves de poissons. La se-
conde est l'utilisation dans
l'alimentation humaine en
tant que complément alimen-
taire : le Japon est d’ailleurs
actuellement le premier pro-
ducteur (et consommateur).
L’objectif de cette collabora-
tion est donc de fabriquer en
gros volume et localement une
algue aux propriétés très por-
teuses. Mail : bm2s@orange.fr
lain CABON a créé la
SARL CAC en 2009
spécialisée en automatisme. En
analysant les tonnes à lisier
pendant deux ans et en échan-
geant avec les chauffeurs de
l’ETA des Abers à Ploudaniel,
Alain CABON a réussi à en
simplifier l’utilisation : il est
en mesure d’équiper des ton-
nes à lisier d’un automate pro-
grammable avec écran tactile
intégré en remplacement d’u-
ne solution à multiples inter-
rupteurs. Pour protéger son
travail, Alain CABON a dé-
posé la marque « Tact Mas-
ter » et son logo, le modèle et
le cahier de laboratoire. Les
atouts de l’installation du ter-
minal « Tact Master » sont le
passage pour les ETA de 3 000
manipulations d’interrupteurs
à 300 impulsions quotidiennes
pour contrôler toutes les fonc-
tions de la tonne à lisier et une
traçabilité de l’épandage par-
celle par parcelle (temps passé,
volume, surface) grâce à l’ex-
portation des données. Cette
solution
est inté-
grée au
catalo-
gue
Pichon,
1
français de la tonne à lisier
dont le siège social est à Gui-
pavas et répond au label de
certification des matériels d’é-
pandage « Eco-Epandage »
porté par les constructeurs
Pichon et Rolland. A noter
que cet automate peut trouver
de nombreuses autres applica-
tions industrielles.
www.tactmaster.com
A
gMELIO créée en 2008
par Jean-Patrick DI-
DIER, est une société de
conseil et de prestation de
services en pathologie et créa-
tion variétale à l’échelle natio-
nale et européenne. AgME-
LIO travaille sur de nombreu-
ses espèces comme le colza, le
chou, le tournesol, la stévia,
l’oignon… Actuellement, Jean-
Patrick DIDIER participe à
un projet collaboratif français
dont l’objet d’étude est le col-
za et sa résistance au verticil-
lium. Ce champignon bloque
la circulation de la sève de la
plante qu'il infeste, causant
son dépérissement et il peut
persister plusieurs années dans
le sol. L’étude en cours depuis
3 ans doit évaluer le niveau de
résistance des plants de colza
en reprenant un protocole de
recherche fondamentale d’une
université allemande et en
l’adaptant aux contraintes
climatiques et techniques du
terrain. Cette étude s’inscrit
dans le cadre de la création de
nouvelles variétés, processus
qui dure plus de 10 ans. Le
protocole se déroule par test
de 50 jours sur plusieurs mil-
liers de plantes dont il faut
suivre et mesurer l’évolution.
Pour mener à bien ce projet,
AgMELIO est assisté d’un
ingénieur et de deux stagiaires,
étudiants en master de micro-
biologie. A noter qu’en activi-
annexe, Jean-Patrick DI-
DIER distille des huiles essen-
tielles d’environ quinze plan-
tes aromatiques.
www.agmelio.com
A
C
e Lez Process propose
des lignes complètes
pour des process agro-
alimentaires tels que le lavage,
la décongélation, la cuisson, le
refroidissement, ... Le Maroc
étant un des plus importants
transformateur de sardines, il
apparaissait aux yeux des diri-
geants de Le Lez Process com-
me potentiel idéal de dévelop-
pement des décongélateurs. Ce
choix calé depuis 7 ans est basé
sur une logique industrielle
associant concepteur, dévelop-
peur, fabricant et utilisateur.
Le premier décongélateur ma-
rocain tourne à Agadir depuis
6 ans et le huitième décongéla-
teur a été expédié en avril der-
nier. Pari et parcours réussi
puisque Le Lez Process est
leader en congélation de
poissons auprès des principaux
conserveurs du Maroc. Le
nouveau décongélateur
« Polystream » a fait l'objet
d'un brevet et d'une protec-
tion de la marque ainsi que des
termes liés à la nouvelle tech-
nologie utilisée : le ruisselle-
ment saturé noyé.
…. (Suite page suivante)
L
N° 20 « spécial innovation »- Mai 2013
….Sa différenciation est qu'il
permet d'exploiter 10 fois plus
d'échange grâce à un débit
d'eau filtrée en continu et
ainsi il réduit considérable-
ment le temps de décongéla-
tion. Le Lez Process a égale-
ment développé un séparateur
d’écailles intégré sur ses dé-
congélateurs de sardines et
anchois. Le « Polystream » fait
l'objet d'un projet de collabo-
ration qui associe un conser-
veur breton, l'ADRIA et Le
Lez Process. Ce projet porte
sur l'industrialisation du nou-
veau procédé avec intégration
d'un recyclage filtré des eaux
qui permet de réduire considé-
rablement la consommation et
les rejets. Ce nouveau projet
fera l'objet d'un dossier pour
V A L O R I A L . h t t p : / /
www.lelez-process.com/
epuis 3 ans, Gérémy
BOYER, gérant de BGS,
entretient une collaboration
étroite avec l’Université de
Bretagne Sud (UBS). L’UBS
l’a contacté pour réaliser une
thèse sur la fiabilisation des
batteries au plomb. En 2011, a
lieu la première concrétisation
de ce partenariat avec des tests
en situation elle à bord d’un
AIRBUS A300. Suite à ce vol,
les informations recueillies
sont traitées par le doctorant
qui émet plusieurs postulats.
En 2013, l’Ecole Nationale
Supérieure de Chimie de Ren-
nes (ENSCR) est contactée
afin d’entamer une phase d’é-
tudes plus approfondie sur
certains processus chimiques
liés aux batteries. L’objectif de
ce partenariat à trois combi-
nant l’expertise terrain de
Gérémy BOYER, les connais-
sances pointues des matériaux
pour l’UBS et de la chimie
pour l’ENSCR est la réduc-
tion de l’usure prématurée des
batteries. www.batteries-
global-services.com
D
l’écoute de l’oeuf. Le
métier d’ECAT s’articu-
le autour de l’oeuf fertile, jus-
qu’au poussin d’un jour. Il
part du développement de
l’embryon sous forme d’un
amas de cellules gros comme
une tête d’épingle (appelé Blas-
tocyste), jusqu’à la forme fina-
le d’un oiseau gros comme un
pouce et entouré de plusieurs
poches annexes de liquide de
composition différentes. Cha-
cune des annexes a un usage
spécifique pour le développe-
ment de l’embryon, jusqu’à la
naissance de ce sympathique
poussin, souvent tout jaune,
que nous connaissons tous.
Parmi les outils que développe
ECAT, plusieurs allient la
connaissance biologique de
l’oeuf aux technologies physi-
ques voir chimiques, permet-
tant de suivre et d’assister en
temps réel le veloppement
de l’embryon. Certains outils
ont pour but de vacciner l’em-
bryon avant sa naissance, d’au-
tres ont pour but d’identifier
et de retirer les oeufs à em-
bryon morts, afin d’optimiser
la qualité des oeufs à embryon
vivants. D’autres vont être
utilisés pour inoculer dans
l’oeuf des virus qui pourront
être récoltés afin de produire
du vaccin humain…le plus
célèbre est celui de la grippe
humaine. Ainsi l’un des fleu-
rons d’ECAT est une machine
à mirer les oeufs, communé-
ment connue sous le nom
de WISECARE ou OVO-
CHECK, de plus en plus pri-
sée par les grands laboratoires
pharmaceuti-
ques. Son but
initial était
d’abord d’i-
dentifier avec
précision l’état
de vie ou de mort de l’em-
bryon, dès le très jeune âge.
Plus récemment, ECAT a
élargi le champ d’activité de la
WISECARE, en utilisant la
capacité de diverses longueurs
d’ondes (donc de diverses cou-
leurs visibles ou invisibles) à
être absorbés et réémises diffé-
remment par tel ou tel organe
de l’embryon et de l’oeuf en
général. Elle est devenue un
puissant outil de vision indus-
trielle, capable de suivre pré-
cisément l’évolution structu-
relle de l’embryon dans l’oeuf
avec le contour et le volume
des diverses annexes de l’oeuf.
Il en résulte une machine capa-
ble de lire le contenu d’un
oeuf protégé par sa coquille
opaque…et par ricochet, lors-
que le signal lumineux est
complété ou remplacé par un
signal sonore, l’écoute de
l’oeuf vient compléter sa lectu-
re, pour renforcer un peu plus
les perspectives de performan-
ce de la WISECARE.
www.ecat-com.fr
A
ADESS travaille à la
création d’un écosystè-
me favorable à l’innovation
sociale. Dans une société qui
fait face à de nouveaux enjeux
sociaux, environnementaux et
économiques, de nouvelles
réponses sont à inventer par
les entreprises mais aussi par
les organismes publics, para-
publics ou privés non lucra-
tifs : miser sur l’inventivité et
l’expertise de la société civile
et des entrepreneurs locaux
pour répondre aux enjeux et
besoins du territoire, c’est le
pari de l’innovation sociale.
Suite à une étude réalisée par
Anaïs Bourgouin et à travail
collectif avec les acteurs du
territoire, les principaux critè-
res de qualification de l’inno-
vation sociale du Pays de Mor-
laix sont : (1) viser une trans-
formation sociale, un mieux-
vivre ensemble, (2) inviter à de
nouveaux partenariats, à des
collaborations idites et
transversales entre entreprises,
associations, chercheurs, usa-
gers, (3) des projets ancrés sur
le territoire, (4) essaimage de
ces projets innovants. Sur le
Pays de Landivisiau, on peut
c i t e r
q u e l -
q u e s
projets
dinno-
va t i on
sociale.
L a
S C O P
Papi er
R e l i é
porte un projet de création
d’un réseau de compétences
qui permettra de valoriser les
métiers et les valeurs véhiculés
par l’artisanat d’art. L’associa-
tion Pluri’ailes propose des
activités créatives autour des
thèmes du recyclage, du déve-
loppement durable et de la
couture ; la ligne directrice de
ce projet est la création de lien
social par la pratique artisti-
que. Ce travail collectif sur
l’innovation sociale a fait l’ob-
jet d’un atelier durant l’As-
semblée Générale de l’ADESS
le mercredi 29 Mai, à 17h30 à
la Coopérative Bretagne Sani-
therm (CBS) de Landivisiau.
Contact :
a.bourgoin@adessdupaysdemo
rlaix.org
L’
N° 20 « spécial innovation »- Mai 2013
L'innovation est aujour-
d'hui un élément essen-
tiel pour la création de valeur
économique », Franck BAR-
NU, la vraie nature de l’inno-
vation, 2010. C’est pourquoi,
la Communauté de Commu-
nes du Pays de Landivisiau
souhaite approfondir ce sujet
sur son territoire. Dans ce
cadre, elle a missionné Nicolas
Sisun, stagiaire en master
MIDTE « Management Ingé-
nierie, Développement des
Territoires en Europe » à l’U-
niversité de Bretagne Occiden-
tale, pour élaborer un dia-
gnostic économique. Ce dia-
gnostic aura pour objectif
principal de déterminer la
capacité des entreprises du
territoire à innover. La métho-
de se décline ainsi : élabora-
tion d’un diagnostic territo-
rial, entretiens qualitatifs avec
des « personnes ressources »,
transmission d’un questionnai-
re à destination des élus du
territoire et des entreprises.
Les entreprises peuvent répon-
dre au questionnaire en cli-
quant sur le lien suivant :
http://bit.ly/18xWvGN
Contact : economie@pays-de-
landivisiau.com
«
e dossier de presse de la
7e semaine de l’innova-
tion en Bretagne, du 17 au 21
juin 2013, rubrique "Zoom
sur ces entreprises bretonnes
qui innovent", met à l’hon-
neur AB Process à Landivisiau
(29). Cette jeune entreprise de
5 ans à peine emploie aujourd-
’hui 25 salariés. Elle intervient
dans plusieurs domaines, no-
tamment dans le secteur agroa-
limentaire : conception de
systèmes de convoyage et de
manutention, d’automatisa-
tion et d’information des chaî-
nes de production… Pour Mi-
chel Bris, co-gérant : « À la
différence d’entreprises an-
ciennes qui ont s’adapter
aux nouvelles techniques ou
aux nouvelles conceptions,
notre entreprise est très jeune
et c’est dès le début que nous
avons fait de la robotique no-
tre cheval de bataille. Au-
jourd’hui, nous ne cessons de
l’adapter aux besoins de nos
clients en leur démontrant
qu’elle est parfaitement adap-
tée aux PME, voire aux
TPE ».
L
a Lettre économique de
Bretagne dans son édi-
tion du 6 mai dernier consa-
crait un article sur les projets
de recherche en production
légumière et horticole. Breta-
gne Plants dont une antenne
est basé à Bodilis, Inter Bio
Bretagne et le Cérafel Breta-
gne vont se partager une enve-
loppe de 640 000 euros pour
poursuivre leurs programmes
de recherche. La Bretagne est
l'une des principales zones
légumières de France. Elle a
donc besoin d'innover pour
créer de nouvelles variétés
résistantes notamment aux
maladies. Les trois structures
Bretagne Plants, Inter Bio
Bretagne et le Cérafel dans le
Finistère, travaillent à l'amé-
lioration de la qualité des
plants, la mise au point de
techniques alternatives respec-
tueuses de l'environnement.
Pour les aider dans leurs tra-
vaux scientifiques, la Région
Bretagne vient de décider, au
cours de sa dernière commis-
sion permanente, d'une sub-
vention de 640 000 euros que
ces trois structures vont se
partager.
L
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