L’ocytocine TGCTACATCCAGAACTGCCCCCTGGGC
UGCUACAUCCAGAACUGCCCCCUGGGC
Puis en aa : Cys Tyr Ile Gln Asn Cys Pro Leu Gly
La comparaison des séquences nucléotidiques et des séquences d’acides aminés, semblent
indiquer qu’un acide aminé correspond à un triplet de nucléotides, que l’on appelle : un
codon.
B. Un traducteur : le code génétique.
Etude et utilisation du code génétique.
Le code de correspondance, clef du décryptage du message entre les codons et les acides
aminés , est le code génétique. Il est universel.
Un codon code pour un acide aminé sauf les 3 codons suivants qui sont des « codons
STOP » : UAA, UAG, et UGA.
Un même acide aminé peut être codé par plusieurs codons différents : on dit que le code
génétique est redondant ou dégénéré.
C. Le mécanisme de la traduction.
La traduction se réalise dans le cytoplasme. Ce sont des organites qui sont les « ateliers
d’assemblage » des protéines. La traduction se déroule en 3 étapes :
• L’initiation : fixation d’un ribosome au codon initiateur AUG correspondant à l’acide
aminé méthionine.
• L’élongation : le ribosome se déplace un nouvel acide aminé vient se placer en face
du codon correspondant rencontré par le ribosome. Une liaison peptidique s’établit
entre chaque acide aminé.
• La terminaison : le ribosome arrive à un codon STOP, il se dissocie donc de l’ARNm
et c’est la fin de la synthèse protéique.
Rque : un même ARNm peut être traduit simultanément par plusieurs ribosomes.
FIN DU SCHEMA-BILAN.