sur l’intégration de l’adaptation dans la planification nationale et la mobilisation du
soutien en faveur de la gestion du risque climatique en Afrique.
Il a par la suite présenté l’ONG droit à l’énergie et s’est félicité de leur soutien pour la
réalisation des présentes assises.
2.2. Les communications
Les travaux ont dans leur déroulement deux communications majeures :
COMMUNICATION 1 : ENERGIE, CHANGEMENT CLIMATIQUE ET DEVELOPPEMENT
EN AFRIQUE par Kouglo Boevi LAWSON-BODY
L’énergie est considérée comme un facteur indispensable pour l’exercice de toute
activité économique et sociale. Dans tous les pays, cette ressource est à la base de la
production des richesses; de la croissance économique et de l’amélioration des
conditions de vie. Elle devient dès lors un des déterminants du niveau de
développement.
Malgré l’énorme potentialité
énergétique de l’Afrique, de
nombreux pays sur le continent
connaissent des insuffisances dans le
domaine, en matière d’équipements
et que de services. A l’heure
actuelle, seule une infime partie de
ce potentiel est exploité : 7%
seulement des capacités hydrauliques, moins de 1% des capacités géothermiques, et
les initiatives photovoltaïques restent encore embryonnaires.
Dans le contexte actuel, les syndicats ont la responsabilité d’œuvrer pour la mise en
œuvre dans les pays africains des propositions concrètes pertinentes tenant compte
des orientations ci-après : des services énergétiques fiables pour sont déterminants
pour la croissance économique et le développement social sur le continent, les
pouvoirs publics doivent agir pour assurer l’accès aux services énergétiques
essentiels à tous aussi bien dans les zones urbaines que rurales ;La nécessité de
préserver l’environnement.