DOSSIER DE DIFFUSION
Infos tournées : http://livediffusion.wordpress.com
De Véronique Gallo
Mise en scène Alexis Goslain
Avec Jean-François Breuer, Catherine Decrolier et Véronique Gallo
Création Lumières Renaud Dechanet et Jean-Louis Rouche
Régie Renaud Dechanet
Graphisme et photos Lou Vershueren
Presse Valérie Nederlandt
Diffusion Denis Janssens
Coproduction Centre culturel de l’Arrondissement de Huy et Innovact sprl
Avec le soutien de la Sabam
Disponible en tournée la saison 2016-2017 :
16 oct.
06 nov. 2016
CONTACT DIFFUSION
Denis Janssens
Portable : 0032 (0)498 32 11 85
Site : livediffusion.wordpress.com
Chacun sa place
09 > 10/10/2015 : Centre culturel de l’Arrondissement de Huy | CREATION
07 > 11/11/2015 : Fou Rire Théâtre, Bruxelles
14/11/2015 : Whalll, Bruxelles
04/12/2015 : Centre culturel de Dison
05/12/2015 : Centre culturel Cinéma Royal de Gembloux
10 > 12/12/2015 : Théâtre Jardin Passion, Namur
07 > 09/01/2016 : Théâtre Jardin Passion, Namur
20/01/2016 : Centre culturel de Ciney
10 > 12/03/2016 : Centre culturel de Hannut (reporté saison 2016-17)
31/03/2016 : Théâtre de la Toison d’Or
01/04/2016 : Centre culturel d’Andenne
05 > 09/04/2016 : La Samaritaine (reporté saison 2016-17)
Après trois "seule en scène" hilarants, salués par le public comme par la critique c’est assez
rare pour être souligné –, Véronique Gallo se tourne vers le théâtre et se confronte à deux
partenaires de choix, Catherine Decrolier et Jean-François Breuer.
Bénédicte, Clara et Laurent. Un frère et deux sœurs qui organisent les 65 ans de leurs parents.
La salle est presque prête. L’organisation semble bien répartie. Il ne reste qu’à finaliser
l’émouvant diaporama qu’ils projetteront lors de la fête. Leurs retrouvailles autour de ce projet
commun fait évidemment remonter à la surface les vieilles rivalités fraternelles et les non-dits
familiaux. Bien entendu, tout cela va joyeusement dégénérer en un merveilleux règlement de
comptes comme en connaissent les familles supposées sans histoires. Oscillant entre humour
et vérité, ils vont découvrir que l’image qu’ils avaient de leur famille est loin d’être la même
pour chacun d’entre eux.
SAISON 2015
-
2016
Ecrire à propos des relations humaines, tenter de percevoir ce qui se cache derrière les
apparences m’a toujours interpellée. Je crois que c’est un fil que l’on peut tirer entre chacun de
mes textes, qu’il aborde la femme et la famille avec humour ou la femme et son parcours avec
sensibilité. « Chacun sa place » est un texte qui m’est venu naturellement dès que j’ai eu l’envie
de travailler avec Jean-François Breuer et Catherine Decrolier. J’ai écrit cette partition à 3 voix
pour avoir la possibilité de partager la scène avec eux. Nous sommes de la même génération,
nous sommes plus que jamais ancrés tous les trois dans un monde d’adulte et je voulais, avec
eux, faire rire et émouvoir à partir des relations fraternelles qui nourrissent toutes les familles
banales et sans histoire.
Et pourtant, « Chacun sa place » est l’occasion aussi d’aborder tout un questionnement sur
l’identité au sein d’une fratrie, sur l’influence d’un rang de naissance et sur le regard différent
que chaque enfant devenu adulte peut porter sur ses propres parents.
Je souhaitais un texte kaléidoscope sur les émotions, la tendresse, la colère qui nous agitent
quand l’éloignement a fait son œuvre, quand les parents vieillissent et que chacun a fait des
choix de vie profondément influencés par un modèle parental et familial. Pour quelles raisons
reproduit-on un schéma familial ou s’en écarte-t-on ? Pourquoi poursuivre des relations il
est toujours plus simple de ne pas dire son ressenti ? Quel chemin suivre quand la réalité qu’on
croyait voir n’est pas celle que l’on avait imaginée ? Toutes ces questions ont nourri l’écriture
du spectacle autour du chiffre 3. Parce que ce chiffre, dans toute relation, donne naissance aux
alliances, aux oppositions changeantes et à un constant rappel qu’à trois, il y a forcément un
mouvement de balancier entre la complicité et la mise à l’écart.
Pour ce spectacle, je voulais à tout prix rester dans une vision très réaliste des rapports
humains, dans la sobriété crue d’une fratrie qui se retrouve dans un huis-clos. Avec Alexis
Goslain à la mise en scène, nous avons travaillé sur ce qui correspond le plus à un mode de
fonctionnement fraternel car quoi qu’il arrive, quoi qu’on se dise, les liens du sang et la
complicité qui ont pu nourrir l’enfance demeurent, même lorsqu’on ne se parle plus. Nous
avons cherché la tendresse dans la colère, l’abandon dans la blessure et surtout le rythme
intérieur qui unit trois personnes qui ont grandi ensemble.
Véronique Gallo | Ecriture et interprétation
Après un master en Langues et Littératures françaises, Véronique
enseigne la littérature pendant dix ans. En 2008, elle écrit et interprète
son premier seule en scène On ne me l’avait pas dit. Le public est au
rendez-vous, les critiques sont élogieuses et permettent à la
comédienne d’afficher complet, de changer de carrière et de jouer plus
de 100 fois en Belgique. En octobre 2010, elle écrit et crée Mes nuits sans
Robert, qui remporte un énorme succès public et critique et a été joué plus de 120 fois en
Belgique et à Paris. En 2011, Véronique publie son premier roman Tout ce silence aux Editions
Desclée de Brouwer à Paris, préfacé par Gabriel Ringlet et sélectionné au Prix Première de la
RTBF. 2013 est l’année de son troisième spectacle Tout doit sortir !. Grâce à ses capsules Vie de
mère publiées chaque mercredi sur YouTube, elle reçoit au Festival international du
programme court d’humour 2015 le Prix de Nouveau talent du web et Prix du Public.
NOTE D’INTENTION DE L’AUTEURE
La famille et ses aspérités ont toujours constitué au théâtre un terrain fertile pour les metteurs
en scène de mon espèce et de toute génération. Elle produit un écho retentissant dans nos
propres histoires, et s’immisce habilement jusque dans nos souvenirs.
La pièce de Véronique Gallo pourrait être l’étendard de ces pièces de mœurs où sous des
aspects de comédie se cache en demi-teinte la fêlure non cicatrisée de nos blessures passées.
Dans l’indélicatesse d’une formule ou d’un mot mal choisi, la situation prend toute son
envergure et gonfle jusqu’à l’explosion. Et ces situations, nous les connaissons tous. Elles
planent probablement encore dans nos existences. On s’imagine que l’air est meilleur dans le
salon du voisin et pourtant, il embaume tout autant les rancœurs et les conflits générés avec le
temps.
La pièce a trouvé sa place. Dans mes envies pour commencer. Un besoin de défendre un texte
pertinent et d’y ajouter le relief dans une construction de rapport solide entre les trois
personnages. Issus de génération collée mais à des univers différents les uns des autres, les
trois protagonistes ne font pourtant plus qu’un et font penser à nous, encore une fois. Simples
voyeurs anonymes de ce clash familial, nous prenons un plaisir malin d’observer ça de loin,
pour ne pas trop se mouiller, histoire de se rassurer en scrutant la tension chez les autres.
Dans ce huis clos dépouillé d’artifices (quoique), il ne reste que le corps et le verbe pour se
défendre ou se justifier.
Sous le couvert de l’aigreur, les mots s’entrechoquent, les souvenirs se révèlent et les choix de
chacun interrogent inlassablement. Il n’est pas aisé de prendre sa place mais il est utile de se
raccrocher à ses propres histoires proches ou lointaines pour s’élever un peu plus vers la part
d’humanité qui nous traverse.
Notre conteuse Véronique Gallo tient ses promesses et livre avec « Chacun sa place » non pas
une histoire mais plusieurs. Elle rejoint avec brio le rang de deux autres artistes brillants et
chevronnés pour vivre devant vous une vie parmi tant d’autres mais qui ne nous paraît pas si
éloignée…
Alexis Goslain | Mise en scène
Alexis fait ses armes au Café-Théâtre de la Toison d'Or qu'il coordonne
avec la Compagnie « Laizex de Montjules ». Il joue au TTO notamment
dans BoomeranG et Ciao ciao Bambino et écrit avec Dominique Bréda
Intérieur Jour et Les Dernières Volontés. Se dirigeant aujourd’hui plus vers
la mise en scène, il signe celle des Pétasses ou plus récemment de Belles
de nuit, Sunderland ou Le Repas des Fauves au Théâtre des Galeries.
Récemment vous l’applaudissiez dans New York de Dominique Bréda et dans son seul en scène
Le triomphe du singe-araignée.
NOTE D’INTENTION DU METTEUR EN SCÈNE
Jean- François Breuer | Interprétation
Jean-François partage son temps entre le théâtre et la musique. Il chante
et compose les musiques de son groupe « Oxymore » puis du spectacle
Emoi et vous. Faisant partie de l'équipe du Café-théâtre de la Toison
d'Or, il y a interprété Psychose dans le poulailler et Arrête !. En 2008, il
participait, en tant que musicien et comédien, au spectacle en plein air
Les Folles Funérailles. Plus récemment, vous avez pu l’applaudir dans Le
Capitaine Fracasse au Théâtre du Parc, Cendrillon, ce macho !, Purgatoire et Délivre-nous du
mal au TTO ainsi que dans L’homme de la Mancha… for kids. Cette saison, il est à l’affiche de
Dernier coup de ciseaux au TTO et en tournée. Enfin, il défend en tournée également le
magnifique texte de Laurent Van Wetter : Le Pont.
Catherine Decrolier | Interprétation
Nominée en 2007 aux Prix de la Critique comme meilleur espoir
féminin, Catherine enchaîne les seuls en scène (Un poisson nommé
Saphir, La mystérieuse disparition de W) et les succès (3 lits pour 8, Musée
haut musée bas, La Permanence, Hostile, Arrête !, Purgatoire). Elle a
également participé à la programmation du CTTO, signé deux mises en
scène (Débris et Délivre-nous du mal) et joué dans Le sabotage amoureux
d’Amélie Nothomb, Les amis de Carole de Christian Dalimier ou encore Le Roi se meurt aux
Martyrs. Récemment, elle était à l’affiche des spectacles Enfer, Les Belles-sœurs, Boeing Boeing
et Dernier coup de ciseaux au TTO et en tournée.
DISTRIBUTION
LA PRESSE
Après Huy, retrouvez Chacun sa place, le spectacle
de Véronique Gallo, en novembre au Fou Rire
Le centre culturel de Huy a eu l’immense plaisir ces 9 et 10 octobre de
présenter en première le tout nouveau spectacle de Véronique Gallo
mis en scène par Alexis Goslain et intitulé Chacun sa place.
C’est devant une salle presque comble et un public très enthousiaste avant même
l’entame du spectacle que la brochette d’acteurs composée de Véronique Gallo,
Catherine Decrolier et de Jean-François Breuer a pu se produire. Et le spectacle a tenu
toutes ses promesses : l’atmosphère était détendue et conviviale, le jeu était au rendez-
vous, la pièce était amusante et le public plus que réceptif. Les 100 minutes sont
passées en un coup de vent.
Pourtant, l’histoire que l’on nous livre est loin d’être extraordinaire car d’une banalité
simpliste : 1 frère et 2 sœurs se retrouvent ensemble dans une salle de fête afin
d’organiser les 65 ans de leur papa à l’agenda fort occupé. S’ensuivent chamailles,
taquineries, scènes de disputes, de réconciliation, de jalousie mais aussi d’aveux… car
il s’en passe des choses dans une famille. Et c’est peut-être que réside tout l’intérêt
de cette comédie : elle brille par son naturel et son authenticité ! Impossible en la
regardant de ne pas se remémorer des scènes de famille ou de s’identifier aux
personnages plus que clichés qui nous sont proposés.
Bénédicte (Véronique Gallo) est l’aînée de la famille : c’est celle qui s’occupe de tout,
qui fait de son mieux à chaque instant et qui s’inquiète plus pour les autres qu’elle ne
s’inquiète pour elle ; bref c’est celle qui assume son rôle de grande sœur au maximum.
Elle incarne aussi le mythe moderne capitaliste de la femme qui a réussi : à presque 40
ans, elle travaille et son mari travaillent, elle a des enfants mais son couple bat de l’aile
et elle a du mal à l’avouer tant elle essaie d’être irréprochable. Est-elle donc si
heureuse derrière le masque qu’elle porte ?
Clara (Catherine Decrolier), une trentenaire célibataire un peu coincée, représente
l’entre-deux, celle qui est née parce qu’il faut, soi-disant, bien faire un petit frère ou une
petite sœur pour accompagner le premier bébé. Tiraillée entre son frère et sa sœur, elle
a du mal à prendre parti pour l’un ou l’autre malgré une légère préférence pour le
premier. Convaincue que son père l’aimait moins que les deux autres, elle a du mal à
trouver sa place dans une famille aux personnalités fort extrêmes.
Laurent (Jean-François Breuer) est l’enfant moderne qui met en scène la complexité de
la société dans laquelle on vit. Il est l’homosexuel cliché qui se trémousse et se dandine
sans arrêt tout en assumant pleinement son homosexualité sans aucune gêne. Aux
antipodes de sa grande sœur, Bénédicte, fort traditionaliste, il se situe dans la fleur de
l’âge, respire la joie de vivre et le bonheur même s’il reste incompris par son père.
Au final, ce n’est pas une histoire que nous livre la troupe mais toute une série
d’histoires propres à chaque personnage et ô pourtant combien familières pour le
public : récits d’amour de jeunesse, disputes d’adolescents, vacances en famille, etc.
Bref, des choses que l’on a forcément tous vécues un jour ou l’autre, que lon a
forcément racontées ou partagées avec ses proches et que l’on retrouve sur scène
presque projetées sous nos yeux. Les images et les souvenirs se bousculent forcément
dans la tête du spectateur au fur et à mesure que la pièce avance car, que l’on aime ou
non ses proches, on vit des choses uniques dans une famille et l’on reste forcément lié
à elle d’une façon ou d’une autre. Un spectacle divertissant, à voir !
Tout doit sortir (2013 – en tournée actuellement)
Tout à coup, on se rend compte que c’est le bordel dans notre vie. Au
sens propre : joli boxon dans la maison. Et au sens figuré : le mari qui
fait sa crisette, le couple qui roupille, la vie qui va trop vite… Et tout ça
pour se retrouver devant le poste à regarder des mecs qui font la
cuisine qu’on ne pourra jamais faire aussi bien qu’eux. Alors, autant
chanter à tue-tête les chansons qu’on aime, devenir zen, lâcher prise,
toucher à l’essentiel… Bref, se faire du bien.
« Le tout soulève des vagues de rire, irisées d’émotion. Conquis, on en
redemande. » La Libre
« C’est drôlissime et bien ficelé. » Moustique
Mes nuits sans Robert (2010)
Louise, animatrice culturelle, doit présenter au pied levé une
animation sur « Les accessoires du 7ème art qui transcendent notre
vision de l'amour ». Alors, comment ne pas finir par enfiler par
désespoir la culotte gainante de Bridget Jones ? Et surtout, que dire si
elle s'aperçoit que Robert Redford est partout dans la salle ? En une
soirée, Louise va découvrir à quel point les grands drames du cinéma
américain ont structuré sa vie de célibataire, sa recherche désespérée
du grand amour et comment elle va peut-être, enfin, pouvoir devenir
l'héroïne de sa propre vie…
« Un cocktail de rire et d’émotion » Le Soir
On ne me l'avait pas dit (2008)
Être mariée à un anglophone, penser aux tartes de tante Nénenne,
réinventer les ateliers créatifs avec ses trois garçons, analyser la vie de
Barbie et Ken, vouloir être la famille Ingalls : voilà le quotidien bien
banal de Marie-Anne Delapierre. Un évènement va pourtant bousculer
ses petites habitudes : elle est invitée à s'exprimer en public sur ce
qu'elle pense de cette vie de femme, d'épouse, de mère et de
ménagère. C'est un grand honneur. Tout est prévu. Tout sera parfait. A
moins que de certitudes éducationnelles en aveux peu enviables, elle
ne doive choisir entre le respect des normes sociales et une liberté dont
le prix est bien plus élevé qu'elle ne le croit…
« On rit à gorge déployée d’un bout à l’autre de ce seul en scène » Le Soir
SUCCESS STORY DE SPECTACLE E
N SPECTACLE
Durée du spectacle 1h25’ sans entracte
Equipe
3 comédiens
1 régisseur
1 administrateur de tournée/promoteur/metteur en scène
Dimensions plateau
(adaptation possible)
- Ouverture : 8 mètres
- Profondeur : 6 mètres
- Hauteur du cadre de scène : 5 mètres
Pendrillonnage - La salle sera pendrillonnée comme sur le plan de feux (voir ci-après) :
rideau de fond de scène noir + Italienne 3 pans minimum.
- La salle devra être totalement occultée.
Régie - Régie en salle, au centre derrière le dernier rang de spectateurs.
- L’ensemble de la régie (Lumière, son et projection) est assuré par un
seul régisseur.
Décor - Pas de décor, seuls des accessoires
- Rétroprojection sur un écran de 2m x 2m. (Apportés par le régisseur,
écran et Projecteur) Se branche sur le direct 19 fond plateau à cours.
Matériel lumière
- 18 PC 1kw
- 3 PAR 64 CP 61
- 2 découpes Type Robert Juliat 614 avec Iris, porte gobo et couteaux
- 24 circuits gradués 2kw
- 1 table lumière manuelle ou automatique avec possibilité de
Submasters.
- Câblage adéquat.
Notes :
Circuit 14 - Hauteur +/-2m
Circuit 15 - Hauteur +/-2m
Circuit 16 - Prise dimmable au sol
Circuit 17 - Prise dimmable au sol
Circuit 18 - Découpe sur platine au sol
Circuit 19 - Prise directe au sol pour projecteur numérique
Matériel son
- Diffusion stéréo 2 enceintes sur pied type PS15 à jardin et à cour,
bord plateau.
- 1 console de mixage avec minimum 3 entrées.
- Arrivée Mini Jack 3,5mm pour connexion sur un MacBook.
- 2 retours bord plateau à jardin et cour.
FICHE TECHNIQUE
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