ZaWin4® : la nouvelle génération est là.

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La 3D: une révolution médicale et dentaire
Les imprimantes 3D vont révolutionner la dentisterie, avec une application directe en implantologie et en orthodontie. Le premier avantage
est de permettre à l’implantologue d’avoir la main plus sûre. Un second
est de lui permettre de réduire, voire supprimer, le risque de perforer le canal dentaire et de léser le nerf dentaire quand on implante à la
mâchoire du bas: les imprimantes 3D permettent de réaliser des maquettes intégrant la position précise des nerfs et artères du patient. Le
même principe peut s’appliquer pour les dents de sagesse, également
délicates à cause de la proximité du nerf dentaire.
primées à partir d’une empreinte optique ultra-précise garante d’une
adaptation au centième de millimètre près.
Mais ces nouvelles techniques ouvrent aussi de nombreux horizons
aux traitements orthodontiques. Grâce à un scanner optique 3D, il est
possible de numériser l’ensemble de la dentition du patient. Ensuite,
l’orthodontiste devient un programmateur d’informations cliniques
transmises à un ordinateur qui fait tous les calculs et les simulations
possibles afin de proposer aux patients une solution la plus proche de
ses désirs et de son budget. Une seule consultation suffit pour faire un
diagnostic complet et montrer quelles sont les solutions à disposition.
S’il est aujourd’hui possible de fabriquer des implants sur mesure pour
réparer des os, on peut imaginer dans un proche avenir des implants
dentaires réalisés sur-mesure à partir de l’empreinte optique numérisée
de l’alvéole dentaire du patient, une fois la dent extraite. On obtiendrait
ainsi un implant parfaitement intégré à la mâchoire sur le plan biomécanique avec un risque réduit de léser des structures anatomiques voisines. Pas d’adaptation de la couronne à la dent, mais directement im-
Avec l’apparition de l’orthodontie interne, le secteur avait déjà fait
beaucoup de progrès dans le confort esthétique des traitements. Mais à
l’heure actuelle il est possible de traiter au moyen de petites gouttières
transparentes, invisibles et esthétiques. Celles-ci peuvent même être
enlevées deux heures par jour. δ
THEMA
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ZaWin4 :
la nouvelle génération
est là.
Visitez-nous pour en savoir plus :
– au congrès de la SDS, les 15 et 16 mai 2014 à Bulle
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«Nous sommes à la croisée des chemins»
Un des défis actuels de la profession: être la moins invasive possible
Dans quelques jours s’ouvre à Berne le Congrès annuel de la SSO,
la Société suisse des médecins-dentistes. Forte de plus de 125 années d’expérience et de plus de 5000 membres, la SSO est plus que
jamais la plateforme centrale de la médecine dentaire en Suisse.
Elle est donc en tête de ligne pour répondre aux défis du futur
et y préparer ses membres. Un des thèmes du prochain congrès,
d’ailleurs, va plus loin encore, en abordant un aspect quasi philosophique de la dentisterie contemporaine: la micro-invasivité.
Son postulat: l’augmentation de l’espérance de vie, qui dépasse
80 ans dans les pays développés, nécessite d’étendre et de renforcer les mesures de prévention bucco-dentaire pour conserver le
capital dentaire durant toute la vie. Aussi est-il est impératif de limiter au maximum le sacrifice tissulaire, à chaque intervention et
à chaque ré-intervention. Cet objectif est aujourd’hui à la portée
de tous les praticiens, en réalisant des interventions dentaires miniaturisées avec de nouveaux matériaux adhésifs et/ou bioactifs
pour reminéraliser, sceller, et réparer les pertes de substance amélo-dentinaires. Cependant, pour obtenir des résultats cliniques durables et de qualité, les concepts, les indications et les règles d’application de la dentisterie a minima seront les enjeux de cette
séance pluridisciplinaire consacrée à la médecine bucco-dentaire
préventive et micro-invasive.
«C’est une nouvelle approche du concept de notre profession,
confirme le docteur Olivier Marmy, membre du comité central
de la SSO et chef du département Information. Cette approche a
une sorte de slogan, «less is more», qui peut se traduire par «faire
mieux avec moins». En fait, notre approche actuelle consiste à intervenir le moins possible et en utilisant le mieux possible les ressources dont nous disposons. Dans la pratique, cela se traduit par
un recours moins systématique à des checkups complets, à des radios réalisées à chaque séance, etc.»
Olivier Marmy rappelle que plusieurs outils permettent cette approche: les diagnocam par exemple, qui offrent des images supplémentaires, immédiatement et sans rayons X des dents, contribuant ainsi à accroître la sécurité du diagnostic, en exploitant la
structure de la dent et utilisant cette dernière comme guide optique; la radio 3D, qui donne en 10 secondes les informations les
plus détaillées possibles pour un diagnostic plus précis et une
meilleure précision dans le traitement et fournit une vue plus com-
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Fluorure, c’est bien.
Encore mieux: Éliminer correctement
la plaque dentaire.
THEMA
Mot clé:
qualité de vie
plète de l’anatomie faciale; des techniques de dépistage tel le diagnodent, un appareil émettant un rayon laser afin de détecter la
carie dans les puits et fissures des dents. «Ces méthodes, à l’exeption de la 3D, laquelle doit être utilisée avec parcimonie, visent à
réduire l’exposition du patient à des rayonnements, car nous sentons que ceux-ci induisent de plus en plus de réticences.» L’Office
fédéral de la Santé publique, relayé par la Société suisse de radiologie dentaire, vient d’ailleurs de publier une mise en garde à propos des risques de surexposition. «Il faut donc adapter nos intervention, et ne pas les systémiser.»
C’est une approche qui se veut psycho-sociale, qui remet le patient
dans ses attentes et qui tient compte de son profil de risques. Qui
englobe aussi l’évolution tant de la mentalité des gens que de la
société en général. Les gens vivent plus longtemps, et conservent
leurs dents plus longtemps également. Ils se sentent aussi davantage responsables de leur corps. «Notre mot clé, c’est la qualité de
vie. Le monde médical n’est plus sur un piédestal, la notion de paternalisme des générations précédentes a mené à un cul-de-sac.
Internet, curiosité, ou méfiance, font qu’on ne se laisse plus mener par le bout du nez. Le rapport économique a aussi changé; les
patients paient, donc ont un droit. Nous sommes persuadés d’ailleurs que c’est sous angle qu’il faut considérer la problématique
des coûts et tarifs, toujours d’actualité. Ce qui se répercute favorablement sur le prix de la santé dentaire, qui reste maîtrisé.»
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Classiquement, avant de forer le logement de l’implant, il
faut inciser la gencive et en découper une surface relativement importante. Les implants non-invasifs proposent
de forer directement au travers de la gencive, sans l’inciser. Ils évitent également de la suturer après. L’intérêt est
évident:
1) La chirurgie est moins traumatisante, mieux acceptée
par le patient;
2) Le saignement est très limité;
3) Les infiltrations bactériennes sont limitées. De plus, la
gencive quasiment intacte est un meilleur rempart contre
les bactéries toujours présentes;
4) L’absence de points de suture, qui sont un lieu de prédilection pour l’accumulation de débris alimentaires et la
prolifération bactérienne, favorise l’hygiène dentaire;
5) Il faut moins d’un quart d’heure par implant;
6) Les temps d’attente qui suivent l’intervention sont diminués et permettent donc de poser plus vite la prothèse
définitive. δ
« Une approche
psycho-sociale. »
Cette évolution de la profession se fonde aussi sur les nouvelles
technologies disponibles, qui non seulement optimisent les travaux, mais permettent désormais de mieux les planifier. La 3D, par
exemple, est devenue précieuse en implantologie, mais aussi en orthodontie. «Dans le grand public, on associe ces soins de pointe à
des coûts plus élevés. Or, ça n’est pas toujours le cas.» Car le gain de
temps occasionné se répercute aussi sur la facture.
«Ces vingt dernières années, explique Olivier Marmy, les gros cas
prothétiques ont quasi disparu. L’implantologie a pris la relève. Et
nous recourrons autant que possible aux facettes en lieu et place
des couronnes, toujours selon ce principe d’intervenir le moins
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Découvrez les avantages de la mobilité
Pour vous prémunir contre le manque de
liquidités, le mieux est encore de pouvoir
les gérer en tous lieux.
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«Il nous faut penser autrement»
Comment répondre au vieilli ssement de la population
lourdement possible, de sacrifier le strict minimum.» Mais c’est la génération «empowerment»
aussi: rendre les gens compétents, responsables.
L’amélioration de l’hygiène bucco-dentaire et la
prophylaxie individuelle en font partie.
«La tendance est au suivi et aux conseils. Les
grands défis, aujourd’hui, ce ne sont plus les
dentitions cariées ou incomplètes. Les patients
veulent conserver leurs dents, et pour toujours si
possible. Déchaussement avec les caries radiculaires associées, ainsi que d’autres soins très spécifiques, voire palliatifs, voilà qui nous force à penser autrement.»
«La nouvelle application ‹Crediflex›
de la Caisse pour médecins-dentistes
SA vous donne littéralement plus
de liberté de mouvement en matière
de gestion des débiteurs. Peu
importe votre emplacement, cette
application vous permet de consulter les échéances de paiement
de vos honoraires et de les modifier
en fonction de vos besoins de
liquidités. Grâce à cette innovation,
le module ‹Préfinancement› de
la Caisse pour médecins-dentistes
SA – qui vous propose pas moins
de 85 formules de versement – vous
donne toute latitude pour planifier vos liquidités».
Heidy Forzinetti, conseillère à la clientèle
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Une population vieillissante, mais avec une
bouche en bonne santé? Oui dans l’ensemble,
mais avec de nombreuses nuances. Avec les années, l’hygiène dentaire se relâche. De nombreux
patients perdent leur mobilité et se rendent donc
plus rarement chez leur dentiste. Pour ces personnes, un suivi adapté doit être mis en place. Et
c’est là un autre défi que la SSO dont remporter
ces prochaines années.
«Nous avons constitué une task force avec des
spécialistes de tout le pays pour aborder ce problème, révèle Olivier Marmy. Des pistes? Que
chaque home ait un dentiste répondant et que
la formation des employés englobe aussi un volet dentaire.» Fribourg s’y est déjà mis; Vaud a élaboré une charte entre homes et dentistes, qui assure un contrôle et un suivi; des projets de bus
dentaires sont en cours.
«Des propositions concrètes seront faites au comité central cette année encore, lequel devra ensuite émettre des lignes directrices. Nous espérons que tout soit en place dès l’an prochain.» jft
Olivier Marmy: «La SSO veut rester représentative de la grande majorité de la profession. Nous
médecins-dentistes rejoignent nos rangs dès
leur sortie d’études.»
La tendance: préserver l’inté grité de la dent
Le modèle médical non invasif considère la carie comme une maladie infectieuse dont les lésions
sont traitées par l’instauration de mesures. Celles-ci
ne sont que les signes et les symptômes, qui apparaissent longtemps après la primo-infection et l’initiation du processus pathologique, lorsque la prévention n’a pas été instituée ou a échouée.
La gestion médicale de la maladie est basée sur le
diagnostic de l’activité carieuse, l’instauration de
mesures prophylactiques individualisées visant à
la reminéralisation des lésions, le suivi médical des
lésions (monitoring) jusqu’à confirmation de la reminéralisation, les traitements restaurateurs étant réservés aux lésions avec cavitation. Ce modèle médical, non invasif a pour but de préserver l’intégrité de
la dent et donc d’augmenter les chances de conservation sur l’arcade, pendant toute la vie des sujets,
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allons aborder les cliniques pour que les jeunes
dont la durée moyenne est en constante augmentation.
Trois raisons fondamentales sont mises en avant
dans cette nouvelle approche: les raisons éthiques,
les raisons économiques et la nature des matériaux
et des techniques de restauration. Ces protocoles
opératoires peu invasifs, c’est-à-dire conçus pour détruire le minimum de structure dentaire lors de l’élimination de la lésion carieuse, relèvent d’une philosophie préventive. Ils doivent également supplanter
progressivement l’acte d’intervention conventionnel.
Seuls les tissus cariés sont éliminés.
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Les tissus qui ne sont que déminéralisés sont conservables et les restaurations doit favoriser leur reminéralisation. Les récidives de carie sont prévenues par
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DENTAL 2014 BERNE
Le futur: 12 000 m2 et 150 exposants
La plus grande manifestation de la branche en Suisse est prête
«La qualité suisse reste bien supérieure»
L’édition 2014 de Dental Berne sera légèrement différente de
celle de 2012. Son président, Ueli Breitschmid, note une présence accrue de petits stands, et les grandes sociétés ont réservé des surfaces plus modestes. Mais cela ne se fera pas au
détriment de la qualité. «Je pense que les principales nouveautés de ce salon se situent dans le secteur dit «IT», comme
les «Google glass», avec reconnaissance de voix. Notons aussi les innovations dans le domaine des scanners intra-oraux.
On parle aussi de loupes d’opération conçues sur mesure, des
plateformes adaptées au management, etc...
D’aucuns estiment qu’il y a une tendance de plus en plus marquée en Suisse à acheter à l’étranger. En quoi le salon Dental peut-il inverser cette tendance, si elle se vérifie? Ueli
Breitschmid ne partage pas cette crainte: «Non, en effet. Cela
est dû au fait que d’une part, les prix en Suisse ont baissé, et
que d’autre part, la qualité des services reste bien supérieure
à celle des sociétés étrangères, surtout en ce qui concerne le
service après-vente et les prestations de garantie. Au fond, les
dentistes Suisses préfèrent le prix tel que proposé à l’étranger,
mais des prestations comme on en a l’habitude en Suisse...
Autre tendance dont on a plusieurs fois parlé: celle d’acheter
ses équipements ou ses consommables à l’étranger. Là aussi, Ueli Breitschmid nuance: «C’est vrai que tant la tendance
à se faire traiter à l’étranger que celle des dentistes et des laδ
boratoires à s’approvisionner
à l’étranger reste forte. Mais à
mon avis, elle ne se renforce plus. jft
Une fois de plus, les technologies les plus
contemporaines seront à l’honneur. Car
les avancées modernes dans le secteur et
les procédures nouvelles qui en découlent
ont rendu la tâche plus facile pour le médecin-dentiste. D’autre part, les patients
en bénéficient aussi. Le trend va de plus en
plus vers une approche sans douleur lors
des traitements des problèmes dentaires
communs. Les méthodes de remplacement des dents ont également été améliorées par des implants dentaires de nouvelle génération et par la recherche. jft
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Congrès SSO: relever les nouveaux défis
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L’innovation, c’est de
combiner les avantages
Obturation canalaire en 3D avec un obturateur
composé exclusivement de gutta-percha
• Séparation du manche sans l’aide d’un autre instrument
• Préparation simplifiée du logement du tenon
• Insertion précise de l’obturateur dans le canal
radiculaire avec les doigts ou une précelle
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Le plus grand salon dentaire de Suisse
propose, sur plus de 12 400 m2 et pendant trois jours, une expérience particulière aux professionnels de la branche
dentaire. L’environnement que Berne garantit pour ce salon, avec des offres attrayantes, attirera plus de 6000 visiteurs,
y compris des pays voisins, ce qui augmentera le plaisir d’acheter, mais aussi
et surtout de découvrir et de se tenir informé. De par sa position géographique,
Berne est accessible rapidement et aisément de toute la Suisse.
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Limiter au maximum le sacrifice tissulaire, à chaque
intervention et à chaque ré-intervention. Cet objectif est aujourd’hui à la portée de tous les praticiens, en réalisant des interventions dentaires miniaturisées avec de nouveaux matériaux adhésifs
et/ou bioactifs pour reminéraliser, sceller, et réparer
les pertes de substance amélo-dentinaires.
Comment obtenir des résultats cliniques durables
et de qualité: les concepts, les indications et les
règles d’application de la dentisterie a minima seront au centre du prochain congrès de la SSO, à
Berne, du 22 au 24 mai; la majeure partie des conférences est consacrée à la médecine bucco-dentaire
préventive et micro-invasive. En tout, plus de vingt
interventions sont au programme.
Car les moyens, désormais, sont bel et bien là. Dans
les cas où la quantité et la qualité osseuse est favorable, la mise en place d’implants peut se faire en
recourant à une technique mini invasive. Il s’agit
d’un procédé chirurgical qui requiert du praticien
une très grande expérience et qui consiste à ouvrir
une petite fenêtre dans la gencive, à travers laquelle
sont placés les implants dentaires.
Il s’agit d’une technique simple et rapide, qui
n’exige pas de sutures et qui procure au patient un
post-opératoire très confortable, rendant ainsi l’intervention chirurgicale imperceptible.
jft
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